Traitez-moi de bizarre ou d’excentrique, mais cela m’est égal. Le comportement de ces hommes musulmans le 7 novembre à Amsterdam ne pourrait être une preuve plus étonnante de la vérité de la religion juive inscrite dans leur Bible. Ils représentent la moralité et la civilisation, et cela rend leurs ennemis fous.
Non seulement les juifs numérotent leurs années et nomment leurs mois comme tout le monde, mais ils nomment aussi leurs semaines. Chacune porte le nom de la section des cinq livres de Moïse qui doit être lue le septième jour de la semaine.
Et quelle coïncidence que dans la semaine du 7 novembre, dans les synagogues du monde entier, les juifs lisent la naissance d’Ismaël, père des Arabes, qui a été prophétisé pour devenir un « pereh adam », communément traduit par « âne sauvage adamique », ce qui signifie anatomiquement un homme normal mais dans l’esprit, un baudet non domestiqué, contrairement aux bêtes dociles que les Arabes utilisent encore aujourd’hui comme des bêtes de somme.
En effet, le comportement de centaines de musulmans à Amsterdam, qui ont brutalement attaqué des centaines d’Israéliens venus assister au match de leur équipe de football, confirme cette description biblique.
Ces supporters, dont l’équipe avait perdu 5 à 0, ont été déçus et, en quittant le stade, ils ont été pris en embuscade par un troupeau de musulmans sauvages, agissant comme des crétins atteints de la rage. Ou, pour changer la comparaison, comme des hommes des cavernes en classe avec leurs frères du 7 octobre 2023 à Gaza, qui, eux aussi en « chaleur » ou « en manque », quel que soit le terme utilisé pour les ânes en rut, ont non seulement massacré 1 200 Juifs, mais ont également violé et mutilé des hommes et des femmes.
Encore une fois, dites-moi que je suis bizarre, mais cela me fait sourire de voir un verset biblique prendre vie.
Si certains affirment qu’il existe des centaines, voire des milliers de religions dans le monde, chaque adepte croyant que sa religion est la bonne – et les Juifs ne sont pas différents -, les Juifs sont uniques en raison de ce que leur religion, et aucune autre, fait au cerveau de certaines personnes confrontées à l’existence des Juifs (jusqu’à présent) immortels.
En proie à la haine, leur esprit bouillonne de fantasmes de Juifs faisant des choses maléfiques et d’une rage qui les pousse à les attaquer et même à les assassiner.
Dans tous les cas, les personnes qui haïssent les Juifs sont infectées par des mensonges, des mythes et des illusions. Quelle autre religion fait cela aux gens ?
Depuis le 7 octobre, ce nouvel accès mondial d’antisémitisme hystérique, soi-disant (et mal) nommé, ne devrait pas surprendre outre mesure. Une telle haine est une sorte de malaria spirituelle toujours tapie dans le corps politique et qui resurgit parfois. Dans les générations de l’homme, qui remontent à près de 4 000 ans, à l’âge d’Abraham, la plupart de ces millénaires ont connu ce dérèglement.
Cette dernière émeute d’extrémistes juifs incontrôlables est, d’un point de vue historique, un cas d’école en raison de l’ignorance de ses auteurs.
Ceux qui crient « Palestine libre » ne savent pas que la Palestine est absente du Coran, qu’elle ne signifie donc rien pour les Arabes et les musulmans et qu’elle n’a jamais signifié quoi que ce soit.
Au cours des quatorze siècles d’islam, les musulmans n’ont jamais appelé la Terre promise « Filistin » comme ils le font aujourd’hui. Ils affirment également que Jérusalem est leur capitale éternelle, alors que l’histoire ne mentionne pas que la ville sainte ait jamais été la capitale d’une entité musulmane.
La totalité de l’hostilité actuelle est ancrée dans la fiction selon laquelle il existait une nation « palestinienne » en Palestine et qu’il s’agissait du peuple indigène dont les sionistes ont volé la patrie prétendument ancienne.
Peu importe que 100 % des preuves de la Palestine pré-sioniste soient vides de toute preuve de ce conte de fées digne des Mille et une nuits.
Le premier congrès sioniste s’est réuni en 1897. Quarante ans plus tôt (une génération biblique), en 1857, le romancier américain Herman Melville, visitant le pays, l’a décrit comme un « enfer croupi et dépeuplé ».
Dix ans plus tard, Mark Twain a fait son pèlerinage et a écrit que la Terre sainte « est couverte de sacs et de cendres », sans qu’aucun des deux écrivains n’ait rencontré de « Palestiniens ». Les sionistes ont construit sur des terres stériles et n’ont dépossédé personne.
Le 7 octobre 2023, les Israéliens, en apprenant les événements de la journée, ont été stupéfaits par le sadisme phénoménal de ces monstres des Frères musulmans (Hamas) et ont déclaré : « Ils sont pires que les nazis ! ». On ne peut pas dire le contraire.
À Amsterdam, comme une ruée de bêtes enragées, les musulmans se sont jetés sur les supporters israéliens sans défense. Certains d’entre eux étaient venus en famille avec de jeunes enfants.
Un survivant, Tomer Alias, a déclaré :
« Ils [les musulmans] leur ont craché dessus [les Juifs], les ont écrasés, les ont humiliés. Certains [Juifs] ont été gravement blessés. L’antisémitisme ici à Amsterdam est quelque chose que je n’ai jamais rencontré dans ma vie ; c’est fou, tout le monde nous déteste. »
Bonjour, Monsieur l’Israélien. J’ai souvent pensé que l’un des inconvénients du projet sioniste était d’élever les enfants israéliens dans un environnement parfaitement dépourvu de juifs lunatiques. Dans les écoles 100 % juives, aucun écolier n’est jamais attaqué par un camarade de classe qui le traite de sale juif ou qui se bat à coups de poing pour son honneur. Pour les Juifs élevés en Israël, l’antisémitisme est une chose dont ils entendent seulement parler.
Le Coran ordonne que les Juifs soient « opprimés et humiliés » (9:29), et c’est ainsi qu’ils ont été quotidiennement, depuis le début de l’Islam, d’une manière ou d’une autre, partout où ils vivaient dans une société musulmane.
À Amsterdam, nous avons vu une version 2024 de la fidélité à la seule vraie foi dans la brutalisation des enfants d’Israël au cœur de l’Europe occidentale. L’humiliation a également été une composante majeure du comportement de leurs compatriotes musulmans obsédés par le sexe à Gaza le 7 octobre.
C’est ce qui se passe à Gaza depuis plus d’un an. Les otages juifs survivants ne sont pas de simples détenus oisifs. Ils sont quotidiennement attaqués, maltraités comme des esclaves, affamés, insultés, violés et sodomisés.
D’une certaine manière, c’est un insigne honneur d’être haï de la sorte par des ennemis impitoyables de la civilisation, précisément parce que les Juifs ont été une source majeure d’éthique et de moralité, sans lesquelles il ne peut y avoir de civilisation.
Si Adolf Hitler était le diable incarné, quel honneur d’avoir été sa cible, son opposé polaire représentant la bonté.
Le nazisme et l’islam sont tous deux des témoignages involontaires de la puissance du judaïsme, une religion à nulle autre pareille, qui rend fous des barbares comme ceux-là.
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