Une rumeur fait actuellement le buzz au Royaume-Uni concernant l’arrestation d’un commando d’élite des Royal Marines, soupçonné de terrorisme.
- Était-ce une taupe au service d’un adversaire étranger ? Non.
- Utilisait-il sa position pour porter atteinte à la sécurité nationale ? Absolument pas.
En réalité, c’est tout le contraire. Craignant que les politiques de DIE « woke » ne créent une « version méconnaissable, faible et compromise du corps » en abaissant les normes de performance des femmes au combat, le commando non identifié a fait circuler une lettre et une pétition auprès de ses pairs demandant aux chefs militaires d’abandonner les initiatives politiquement correctes et de ramener les Marines aux normes d’excellence essentielles au succès des missions.
Un millier de ses camarades auraient soutenu la pétition, et le commando, aujourd’hui dans le pétrin (le « terroriste » présumé), affirme que la « grande majorité » des Royal Marines partage cet avis.
Au lieu d’écouter ses combattants, le ministère de la Défense a d’abord tenté d’imputer la pétition à des « bots russes » ( quelle originalité ! ).
Il a ensuite mené une véritable chasse aux sorcières, menaçant les Marines d’emprisonnement jusqu’à ce que l’auteur de la lettre se manifeste. Une fois la dénonciation faite, le commando a été transporté par avion à Londres, interrogé pendant des heures et traité comme une menace sérieuse pour la sécurité.
Les interrogateurs l’ont informé que ses inquiétudes « perturberaient » les recrues féminines, qu’il devait se préoccuper de sa carrière et qu’il devait obtempérer pour son propre bien et celui de sa famille.
Après avoir repris ses fonctions, des agents de la lutte antiterroriste ont arrêté le commando en Écosse, prétendument en raison de ses « opinions politiques d’extrême droite ». Cela ressemble fort à une diffamation orchestrée par le gouvernement !
Cet incident est catastrophique et constitue un nouvel avertissement brutal que le Royaume-Uni sombre dans la folie la plus totale.
Lorsque des combattants d’élite expriment de graves inquiétudes quant à l’état de préparation militaire de leur pays, des dirigeants compétents remédient aux problèmes avant qu’ils ne dégénèrent en catastrophes. Ils ne portent pas atteinte à ces combattants d’élite en ternissant leur réputation et en les traitant de terroristes. C’est une catastrophe en soi.
Comme le dit le commando anonyme, il existe une « raison très importante » pour laquelle les unités de combat ont des « normes élevées » : les empêcher d’être tuées dans des situations dangereuses lorsque nous partons en guerre. Lorsque les exigences physiques et autres normes de performance sont abaissées pour des raisons politiques, des combattants meurent et la sécurité nationale est désintégrée.
Le « wokisme », le politiquement correct et l’obsession du traitement spécial des DIE mettent en danger la vie des soldats et des civils qu’ils protègent.
Ce n’est qu’en Occident que cette absurdité prend racine.
Nos ennemis les plus probables sur les champs de bataille futurs ne sabotent pas leurs forces combattantes en affaiblissant les normes et en protégeant les sentiments de groupes sociaux moins meurtriers.
La Russie n’endoctrine pas son armée avec l’idéologie « trans ».
La Chine ne dilue pas ses forces d’opérations spéciales avec des recrues non qualifiées mais politiquement désirables. Son objectif est de former des guerriers exceptionnels. Et lorsque des guerriers exceptionnels s’engagent dans le combat contre des prétendants au DIE, les armées politiquement correctes perdent rapidement.
Le Royaume-Uni a peut-être envie de perdre. Je le sais : il n’est plus que l’ombre de lui-même.
Le berceau de la Magna Carta n’est plus un havre de liberté ni de droits politiques. Chaque jour, des agents de police locaux harcèlent des citoyens qui publient des opinions non approuvées sur les réseaux sociaux.
L’establishment britannique ignore les crimes des migrants musulmans, mais s’empresse de contrôler les discussions en ligne des Britanniques de souche qui soulignent que l’immigration massive détruit leur pays.
Les violeurs, les trafiquants de drogue et les meurtriers aux noms étrangers et à la couleur de peau adéquate semblent appartenir à une classe protégée. Leurs victimes n’ont pas cette chance.
Un pays qui remplace sa population autochtone par des étrangers et rejette sa culture historique peut-il encore être considéré comme un pays ? J’en doute.
Si j’accueille suffisamment d’étrangers chez moi, ce n’est bientôt plus mon chez-moi ; c’est à eux. Un jour, c’est moi qu’on dira de partir. Et contrairement à l’establishment britannique qui se plie en quatre pour accueillir les étrangers, une fois que ces derniers seront majoritaires, la minorité britannique autochtone ne sera probablement pas traitée avec autant de bienveillance.
Suivant une tendance qui s’est accélérée au cours de ce siècle, « Muhammad » est officiellement devenu le prénom de bébé le plus populaire au Royaume-Uni il y a deux ans.
C’est peut-être la raison pour laquelle le roi Charles III a choisi de célébrer Pâques en louant l’islam. En tant que « gouverneur suprême » de l’Église d’Angleterre et « défenseur de la foi », le message du roi pour le dimanche de la Résurrection semblait terriblement étrange. Tout aussi étrange était sa décision d’ignorer le dimanche des Rameaux et de célébrer une fête sikhe à la place.
Pensez-vous que le roi Charles III s’attende à ce que les chrétiens autochtones soient bientôt largement dépassés en nombre dans son propre pays ?
Cela soulève une question : combien de temps la Maison de Windsor peut-elle espérer régner une fois que le pays tout entier portera le nom de « Muhammad » ?
Ceux qui ont lentement conquis le Royaume-Uni préféreront sûrement sacrer un roi plus approprié que l’héritier présomptif, le prince William. Tout comme le prince Harry n’est guère plus qu’un sac à main de créateur pour Meghan Markle, les membres restants de la famille royale britannique sont une marque commerciale en déclin, à peine différente de Budweiser, la « Reine des bières ».
Sans culture traditionnelle, religion ou histoire commune reliant son peuple, le Royaume-Uni n’est qu’une banque centrale extrêmement prospère qui se fait passer pour un pays.
Si seulement il y avait des guerriers capables de sauver la nation ! Hélas, les autorités britanniques les ont relégués sur la liste des organisations terroristes.
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde