Y a-t-il de l’espoir pour le Royaume-Uni ? Imaginez que l’on se pose cette question il y a un siècle, lorsque l’Empire britannique s’étendait sur 25 % de la planète.
Ou même il y a une cinquantaine d’années, lorsque l’Angleterre a remporté la Coupe du monde. À l’époque, si vous pouvez imaginer, l’équipe d’Angleterre était entièrement composée de jeunes Anglais.
Cecil Rhodes a dit un jour : « Naître Anglais, c’est gagner le premier prix à la loterie de Dieu. »
Oh, comme les puissants sont tombés. Cette terre autrefois verte et agréable est devenue un enfer pour ses habitants. Les Américains s’inquiètent d’un avenir dystopique ? Mes amis, la Grande-Bretagne vit un avenir dystopique.
Sir Keir Starmer, le malheureux nouveau Premier ministre britannique, a récemment fait la une des journaux du monde entier lorsqu’il a critiqué l’immigration incontrôlée qui sévit dans son pays.
« Cela s’est produit délibérément, pas par accident. Les politiques ont été réformées délibérément pour libéraliser l’immigration.
Le Brexit a été utilisé à cette fin, pour transformer la Grande-Bretagne en une expérience d’une nation aux frontières ouvertes. »
Mon Dieu, admettre une telle trahison. Il a essentiellement dit que le Grand Remplacement est réel et qu’il est voulu. Jusqu’à présent, tout Britannique faisant cette affirmation a été attaqué, censuré, déplateformé, voire arrêté.
Et même si Keir n’a pas fait montre de beaucoup de remords, il a poursuivi en affirmant qu’ils réformeraient le processus et réprimeraient les abus. Certains suggèrent que c’est un moment important, et c’est peut-être le cas. J’ai des doutes. Comme l’a dit un jour un ami, ne faites jamais confiance à un communiste dégueulasse.
Regardons un peu l’histoire.
L’immigration en Grande-Bretagne n’est pas nouvelle et, pour mémoire, elle n’a jamais été populaire. Le 2 juin 1948, le HMT Empire Windrush est arrivé au port de Tilbury avec à son bord 492 migrants des Caraïbes. C’est ce qui est généralement reconnu comme le début de tout.
Aujourd’hui, la version officielle est que les nouveaux arrivants ont joué un rôle essentiel dans la reconstruction de l’Angleterre après la guerre. Ils ont été de véritables sauveurs. De plus, en tant que sujets du Commonwealth britannique, ils avaient le droit de circuler librement au sein de l’Empire, y compris en Grande-Bretagne. C’était une échappatoire, et elle est restée ouverte très longtemps.
Comment les braves gens de Grande-Bretagne – c’est-à-dire les Britanniques autochtones – ont-ils réagi à l’immigration ? Ils y sont opposés depuis le premier jour. Personne n’en voulait, personne ne l’a demandée. Mais le gouvernement ne leur a pas prêté attention et l’immigration a continué.
Le sens de l’immigration a évolué au fil des ans, tout comme la législation qui la régit. Ce qui est resté constant, cependant, c’est la trahison constante du gouvernement envers le peuple anglais, alors que celui-ci voyait ses villes et villages subir un bouleversement démographique permanent.
Vingt ans après Windrush, Enoch Powell prononça son célèbre discours « Rivers of Blood » le 20 avril 1968. C’était un chef-d’œuvre de l’esprit britannique – un argument puissant exprimé avec politesse, élégance et conviction. Et ses mots étaient étrangement prémonitoires. Il avait raison sur tous les points, mais je doute qu’il ait pu prédire que la situation deviendrait aussi grave.
Des enfants massacrés en plein jour, des jeunes filles préparées et violées par dizaines de milliers, des spectateurs innocents réduits en miettes par des kamikazes.
Des rivières de sang, en effet.
Après le discours de M. Powell, de nombreux Britanniques ont exprimé leur soulagement : « Enfin , quelqu’un attire l’attention sur cela. Enfin , quelqu’un dit quelque chose. » Powell est sans doute devenu l’homme politique le plus populaire de toute l’Angleterre.
Que lui est-il arrivé ? Le chef du Parti conservateur Edward Heath a renvoyé Powell du cabinet fantôme, mettant ainsi fin à ses ambitions politiques. La presse a publié des éditoriaux virulents attaquant les appels éhontés de Powell à la haine raciale.
Et le rythme a continué. L’immigration s’est poursuivie sans contrôle dans les années 70, 80 et 90.
Les villes et les villages ont été transformés de façon permanente, comme si la Grande-Bretagne était conquise par un ennemi. En effet, c’était le cas.
Au cours des 25 dernières années, les travaillistes et les conservateurs ont tous deux occupé le pouvoir pendant de longues périodes. Quel que soit le parti au pouvoir, l’immigration s’est poursuivie sans contrôle.
Lorsque le peuple britannique a voté pour le Brexit, c’était comme si les conservateurs se vengeaient en assurant un nombre record de nouveaux migrants. L’ampleur de la trahison est grotesque.
Quel monde ils ont créé !
Des communautés autrefois charmantes et fondées sur la confiance sont aujourd’hui des cloaques ravagés par la criminalité.
Les migrants sont placés dans des hôtels tandis que les Britanniques opprimés sont sans abri et meurent dans les rues. Les systèmes de protection sociale et de santé socialisés s’effondrent sous le poids de la criminalité.
Pendant ce temps, les Anglais d’aujourd’hui, dont certains ont des racines remontant au Moyen-Âge, sont traités avec mépris. Ils sont insultés, souillés, humiliés. Pour un exemple affreux, regardez l’attaque au couteau du 29 juillet 2024 à Southport, où trois jeunes filles anglaises ont été brutalement tuées. C’était trop dur à supporter, et les gens ont éclaté en protestations.
Il y a eu des émeutes, et bien sûr, les médias ont vite oublié le massacre pour s’en prendre aux émeutiers blancs. La police aussi.
De nombreux blancs ont été arrêtés avec une dose supplémentaire de violence. Starmer a qualifié les manifestants de voyous d’extrême droite et a fait appel à toute la force du gouvernement. Les condamnations ont été rapides et excessives.
Pendant ce temps, les musulmans avaient carte blanche pour affirmer leur domination.
Ils pouvaient se déplacer, protester, faire preuve de méchanceté (et dans certains cas d’une violence extrême) envers les autochtones anglais. Les deux poids deux mesures n’étaient pas subtils, pas plus que le message adressé aux Britanniques. Vous ne pouvez pas nous combattre. Nous viendrons vous chercher. Nous vous détruirons.
Existe-t-il une voie réalisable pour le Royaume-Uni ? La question n’est pas facile, à moins de tomber dans le genre fantastique.
Des dissidents malicieux de X suggèrent que l’Amérique envoie des troupes pour sauver les Britanniques de la tyrannie. Sont-ils facétieux ?
Peut-être, mais je ne mets rien au-dessus du président Trump. C’est une figure mythique, non seulement pour les Américains mais pour le monde entier. Une force de la nature singulière dont on se souviendra très longtemps.
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