Mystique

L’origine mystérieuse d’une mesure de temps biblique

Selon Jean Sendy, nous sommes les descendants d’extraterrestres

Jean Sendy, le célèbre et très respecté ufologue français, semblait avoir trouvé un indice plutôt intéressant…

Sa trouvaille ?

Une simple mesure du temps utilisée dans l’Antiquité, plus particulièrement par les hébreux et leur calendrier, et qui se nomme le Helek.


Hélek signifie textuellement « partie » et s’écrit : Halakim au pluriel. Il peut aussi signifier  » volume » pour un livre, comme c’est le cas du Zohar divisé en helek.

Le Hélek est une unité de temps qui correspond au 1 / 1080ème d’une heure.

Celle-ci, citée dans le livre sacré du Judaïsme, la Torah, tient son étrangeté dans son incompréhensible précision.

Dans le passage où il est évoqué, la journée est divisée (comme nous) en 24 heures, chaque heure en 1080 regalim « instants » (rega au singulier) et chaque rega en 76 helek.


Soit des particules de temps équivalant à 3,333…/ 76 = 0,0438596491 secondes, soit approximativement 1/20e de seconde.

C’est à l’aide de ces unités de mesure, que les experts pouvaient calculer avec précision l’instant de la lunaison de chaque mois, ou « Molad », et déterminer le premier jour du mois, ou « Roch-Hodech ».

Dans le calendrier hébraïque, le 1er jour du mois porte le nom de Roch-Hodech, la « Tête du Mois » en hébreu. Ce jour est appelé la « Néoménie » chez les Grecs, et la « Calende » chez les Romains.

Au regard de la loi juive, la Sanctification du 1er jour du mois hébraïque dépend de l’apparition du nouveau croissant de lune.

C’est cet instant précis qui détermine le Molad, soit l’instant de la nouvelle lunaison. De cette façon, lorsque le nouveau « Molad » était déterminé avec exactitude, il était possible pour les savants de définir quand tombera le premier jour du mois lunaire ou Roch-Hodech.

Le « Molad » est l’instant précis de la conjonction lunaire, correspondant au début de l’alignement de la lune entre la terre et le soleil. Cet alignement cosmique se reproduit une fois tous les 29 jours 12 h 44 minutes et 3 secondes 1/3, dans le système du calcul moyen de cet instant appelé « Molad ».

C’est la subdivision de l’heure en 1080 qui permet des simplifications de calcul car ce nombre est divisible par 2, 3, 4, 5, 6, 8, 9 10 etc.

De plus, le hélek est une unité de temps élémentaire permettant d’exprimer la lunaison en un nombre entier d’unités. Toutes les opérations nécessaires à l’établissement du très complexe calendrier hébraïque se font donc en nombres entiers, sans erreurs d’arrondi possible.

Après un rapide calcul, on se rend compte qu’un helek vaut approximativement 0,043739893 seconde !

Comment un peuple si ancien pouvait trouver une quelconque utilité avec une mesure du temps si faible et si insignifiante pour n’importe qui. Même nous, Homme vivant au Troisième millénaire, nous ne parvenons pas à se la représenter sans utiliser un appareil de mesure adéquat et suffisamment précis.

L’Origine du calendrier et des unités de temps

Les Égyptiens de l’Antiquité utilisaient un découpage de la nuit en douze heures.

Par la suite, ils ont aussi divisé le jour en douze heures ; suivant les saisons, ces heures étaient plus ou moins longues.

On peut penser que faire douze subdivisions permettait de diviser facilement la journée en tiers, en quarts ou en sixièmes. De plus, douze était déjà utilisé pour subdiviser l’année en mois ou lunaisons, par observation des cycles lunaires au cours de l’année (voir histoire de la mesure du temps).

Il est en fait très probable que la division se faisait en fonction de l’observation de la position du soleil dans le ciel, à l’œil nu ou avec un instrument. La position du soleil servait aussi à l’orientation sur terre et sur mer.

D’autre part, la seconde, apparue chez les Babyloniens, correspondait à peu près à la période des pulsations cardiaques au repos, faciles à compter, et appréciée aussi par la suite pour la définition du rythme en musique.

L’heure comptait alors environ 3 600 secondes qu’il était facile de diviser en multiples de 60, qui est aussi un multiple de 12.

Le symbolisme du nombre 12, et la facilité de le diviser en 2, 3 ou 4, et la facilité de diviser la minute et l’heure en 5 dans ce système permet de n’utiliser que des entiers aurait donc conduit à la création du système sexagésimal pour diviser l’heure en minutes et secondes égales et entières.

Une journée comprend généralement 24 heures de 60 minutes ou de 3 600 secondes.

Cependant la durée de certains jours du calendrier peut différer de cette durée de plus ou moins une seconde, en fonction des ajustements qui peuvent être décidés suivant l’évolution de la rotation terrestre et qui, suivant les cas, allongent ou raccourcissent la durée de la dernière minute de la journée calendaire. La durée de la dernière heure de ces jours (généralement le 30 juin et le 31 décembre) peut donc varier de plus ou moins une seconde.

L’origine du Hélek

Les Textes de la Torah nous révèlent que Dieu enseigna à Moïse,sur le Mont Sinaï, que la longueur du mois lunaire est de 29 jours, douze heures et 793 halakim. Et que la lune ne peut se renouveler en moins de 29 jours et demi, 2/3 d’heure et 73 halakim.

La Torah a été révélée il y a environ 3 000 ans.

Et Jean Sendy nous fait habilement remarquer qu’au 18ème siècle, la science était encore loin de parvenir à évaluer le temps en millisecondes.

En effet, le premier chronomètre de John Harrison (vers 1730) possédait encore des erreurs significatives sur les secondes. Les sceptiques diront que les hébreux ont simplement inventé ce chiffre plus par commodité et que, de ce fait, il ne correspondrait à rien. Mais est-ce le cas ?

Pas vraiment.

Si l’on s’amuse à multiplier un helek par la vitesse de la lumière (égale à environ 300 000 mètres / seconde), on obtient environ 13 000 helek / seconde.

Et on sait que ce chiffre « 13 » était très symbolique pour de nombreux peuples, dont les hébreux.

Les numérologues spécialistes des écrits sacrés ont constaté que la valeur numérale de YHWH (qui représente le tétragramme, c’est-à-dire le « nom propre » de Dieu) est 26, soit 2 multiplié par 13.

Il est dit, dans la Torah, que Dieu est ehad (« Un »), et la valeur de ce mot est 13.

Ce nombre apparait à de multiples reprises que nous ne pouvons pas tous les énumérer, devant l’énormité du travail. On retrouve également ce chiffre dans la science en générale et dans l’astronomie en particulier : le volume de la Terre est de 1 / 13.10^5 et celui du Soleil est de 1 / 13,01.10^5.

Mais là encore, on pourrait inlassablement se dire qu’il ne s’agit que d’étranges coïncidences superstitieuses. Ce dernier indice devrait cependant annihiler toutes suspicions possibles.

Lorsque Moïse monta sur le Mont Sinaï, Dieu donna au Prophète le décompte du temps qu’il convenait d’adopter. Le Tout-Puissant lui dit que la durée d’une lunaison est d’exactement de 29.5 jours 2/3 d’heure et 73 halakim.

Voici les données fournies par Dieu :

  • 2/3 d’heure : 2/3 x 1080 = 720 halakim
  • Au total : 720 + 73 = 793 halakim
  • 793/1080 = 0.734259 heures
  • Soit : 0.734259/24 = 0.03059 jours
  • On ajoute à cela les 29.5 jours
  • Au total : 29.5 0.03059 = 29.53059 jours

Que dit la science ?

Carl Sagan, chef de recherche à l’institut spatial américain déduit de ses recherches que la durée de renouvellement de la lune est de 29.530588 jours, le chiffre même obtenu dans la Torah.

D’autre part, pour d’autres chercheurs, il apparaît de manière flagrante que le Hélek serait l’unité de temps la mieux adaptée pour les calculs précis des distances spatiales sans erreurs d’arrondi puisqu’il correspond à l’unité de la vitesse lumière… (donc à l’unité idéale pour voyager dans l’espace…)

Ces résultats étonnants nous amènent donc à d’autres questions.

Comment Moïse, aurait-il pu inventer cette unité de mesure temporelle ?

Et surtout quel besoin réel aurait-il eu d’utiliser une fraction de temps aussi précise que le Hélek à une époque ou personne ne se souciait d’être à une heure prés ?…

Les Hébreux, ce peuple de nomade, qui ne possédaient aucune technologie de pointe, connaissaient parfaitement la durée d’une lunaison 3500 ans avant qu’on ne l’a redécouvre avec nos appareils de mesure très sophistiqués !

Jean Sendy cherche alors la manière d’où ce peuple tirait de telles connaissances. Pour lui, l’explication est à chercher du côté de l’espace.

Selon ce théoricien, ce sont les extraterrestres qui ont créé l’humanité en mélangeant les gênes des hommes de Cro-Magnon avec les leurs.

Ensuite, au cours de l’histoire de l’humanité, au fil des années ils seraient revenus sur Terre pour nous apporter les technologies nécessaires à notre évolution. Les peuples se seraient alors rappelés de quelques données scientifiques fournies par leurs créateurs pour les incorporer à leurs livres sacrés.

A mesure que les sciences désagrègent l’idée d’un univers simpliste, “grande mécanique” construite soit par un Dieu créateur soit par le Hasard, c’est une conception gnostique qui s’impose, une ouverture sur le cosmos.

En dehors d’un cercle restreint, toute idée d’un contact avec d’autres civilisations apparaissait folle, en 1962, quand Jean Sendy a publié ses Cahiers de cours de Moïse : d’excellents esprits doutaient encore de la possibilité d’atteindre la lune.

En 1970, on commençait à savoir que de prestigieux chercheurs étaient lancés dans un programme de “contact avec d’autres intelligences”… d’un premier contact. Dans son Ère du Verseau, Jean Sendy développait, et appuyait d’arguments nouveaux sa thèse initiale, celle d’un deuxième contact à établir avec la civilisation galactique dont il postule qu’elle aurait laissé une base aménagée, dans la cavité lunaire détectée par la NASA.

En 1975, l’éventualité d’un contact avec d’autres civilisations est bien admise dans les milieux scientifiques.

Avec ses Temps messianiques, Jean Sendy apporte des données nouvelles à l’appui de sa thèse : la vitesse de la lumière est donnée dans la Bible ; l’orbite lunaire n’est plus la même qu’il y a vingt mille ans, et elle est trop “privilégiée” pour être naturelle ; l’astrologie, devenue superstition, a été une science dont on redécouvre les bases solides ; des chercheurs de premier plan soumettent le phénomène OVNI à une étude statistique, cependant que les travaux des bio-informaticiens permettent d’envisager une explication rationnelle à des “objets” dont l’existence concrète n’est pas nécessaire à leur observation par des témoins de bonne foi.

Les Temps messianiques font le point sur l’ensemble des recherches et des découvertes d’aujourd’hui, à travers lesquelles Jean Sendy fait apparaître un lien logique entre l’homme et l’univers.


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