“Tout ce qui n’est pas devant ta face et qui t’est caché te sera dévoilé. Car il n’est rien de secret qui ne sera connu, et rien d’enseveli qui ne sera tiré de terre.” (Marc, 4, 21)
Yeshua (Jésus) et la Sainte Famille
« Dieu soit loué ! », jamais un être humain portant le nom de Jésus… n’exista aux temps de la Palestine, aux temps de Ponce Pilate, préfet romain !… pour la simple raison que le « j » n’existe pas dans la langue hébraïque. Le prénom véritable dudit « Jésus » (dans sa translittération française) est assez peu connu, c’est-
D’emblée, les données que nous pourrions recueillir sur la généalogie et la vie du véritable Yeschua “bar Yosseph” (יֵשְׁזּ ע Yehoshoua, en abrégé Yeshua ou Joshua, fils de Yosseph) qui, en vérité, s’appelait Juda de Gamala, s’annoncent problématiques et nos recherches ardues, sinon relativement risquées car sujettes aux controverses les plus houleuses, furieuses, voire hystériques ! D’autant –
Lorsque nous essayons de confronter les données proposées par les textes officiels du IV siècle, dits « canoniques » (Nouveau Testament) à celles redécouvertes grâce aux « Rouleaux de Nag Hammadi », aux écrits gnostiques qu’ils révélèrent, aux commentaires de certains exégètes ou chercheurs contemporains tels Robert Amblain, Christian Doumergue, Roderic Dunkerly, Laurence Gardner, Paul Le Cour, Edouard Schuré, Pierre Sylvain, Geneviève Vanquelef, en tentant de les mettre en parallèle avec les faits établis par l’historiographe le plus immédiatement contemporain de Yeshua/Jésus, connu sous le pseudonyme de Flavius Josèphe, né vers l’an 37 à Jérusalem, et dont la véritable identité fut celle d’un juif nommé Yosseph ben Matityahou HaCohen, gouverneur de la Judée et donc de Gamala (il l’aurait été de Nazareth si cette bourgade avait existé du temps de Jésus, nous y reviendrons) ; mais encore de consulter les écrits d’historiens brahmines et bouddhistes de l’Inde et du Népal recueillis par Nicolas Notovitch, ou les dires respectueux du Coran…
L’entreprise devient dantesque ! et les résultats quelque peu ébouriffants de divergences, voire de contradictions inouïes. Interrogez Internet, et des dizaines de milliers de pages s’offriront à vous pour couvrir le champ de la vie de Jésus/Yeshua, de son jumeau et autres frères et sœurs, de son auguste lignée, de son épouse, de sa descendance, de “son” crucifiement, de sa “résurrection”, de ses voyages, de ses initiations, des luttes dans lesquelles il s’engagea, du lieu où il quitta le plan, de l’âge qu’il avait atteint…
Aussi tenterons-
L’impossible vérité
Le visiteur intéressé trouvera, au terme de l’article, les références bibliographiques des ouvrages ou textes consultés, auxquels il pourra se reporter autant que de besoin, en toute patience et selon son propre discernement. La question ne peut être soumise à polémique –
Sans jamais oublier que l’on puisse considérer, et non sans raison, que les traductions sont des trahisons et que : « jamais affirmation n’aura été plus vraie des « transpositions » successives en langues grecque, puis latine, puis moderne, de tout ce qui est judaïque, au temps d’Auguste, Tibère, Ponce Pilate, et jusqu’au V° siècle de notre ère, pour le moins.
Faits, idées, noms de personnages ou de localités, notions métaphysiques, symboles, allégories, etc., et leurs traductions dans les vocabulaires et les cerveaux occidentaux,, est un change perpétuel qui fausse l’histoire, travestit la vérité,fait prendre des masques pour des visages, des fantasmes pour des hommes et finit par camoufler un prétendant davidique au trône de Judée contre les Hérode, et à la domination universelle contre Rome en un Prédicateur de la paix et de la vertu, Verbe et Fils de Dieu, en qui Dieu se serait incarné » (Anonyme).
Car hélas, oui ! tant de documents susceptibles d’être “fâcheux” ou “compromettants” ont été détruits, pour de trop “pieuses” mais surtout de très politiques raisons. Car l’empereur romain Constantin le Grand avait de nombreux ennemis, notamment au plan des diverses religions ou cultes qui sévissaient dans son vaste empire, aussi décida-
Nous comprenons que tout curieux de mon genre qui souhaiterait voir au-
Alors, me demanderez-
Fabrication des Évangiles Canoniques
En l’an 303, l’Empereur romain Dioclétien, dans sa rage de persécution envers les Manichéens et les Chrétiens, ordonne de saisir et de détruire systématiquement tous les Évangiles historiques. Certains furent mis à l’abri… mais ultérieurement échangés ou détruits par l’Église dès lors qu’un dogme fut officiellement établi et que la liste des Écrits Canoniques, constituée des 27 Livres Canoniques formant le Nouveau Testament et proposée par St Anastase en 367, fut entérinée.
Mais auparavant, sous l’Empereur Constantin, lors du premier Concile Œcuménique de Nicée de l’an 325, il fut nécessaire aux autorités ecclésiastiques et politiques de l’époque de mettre fin à la controverse soulevée par Arius (ascète berbère libyen, prêtre et théologien chrétien) sur la nature du Christ. Celui-
La question débattue fut la suivante : « La perfection du Fils est-
Aucun Évangile antérieur au 4e siècle n’a été retrouvé à ce jour –
Ainsi, les falsifications des Évangiles, si magistralement réalisées, pouvaient être préservées de toute remise en question, et permettre la plus large des manipulations de conscience, en plus que favoriser le solide établissement des pouvoirs tant spirituels que temporels… au plans planétaire et monétaire !
D’ailleurs, une très grande partie des manuscrits, ressortissant de la mémoire juive, avait été opportunément détruite lors de l’incendie et de la destruction de Jérusalem, qui fut totalement rasée en l’an 70 (seul le mur d’enceinte occidental du Temple, dit « Mur des Lamentations », subsiste). Et pour faire bonne mesure en matière d’occultation l’usage du latin fut imposé, rendant incompréhensible –
La mystification, devenue littérale, pouvait ainsi permettre une évangélisation homogène et bien encadrée sous toutes les latitudes, et à ses bergers de mieux garder leurs brebis dans des enclos bien établis. Au prix –
Combien de trésors ont-
La Sainte Famille
Selon les textes réécrits par les moines scribes du 4e siècle, le père “adoptif” et légitime de Yeshua fut déclaré être Joseph (Yosseph en hébreu –
Quant à sa mère, la “Vierge Marie”, elle avait pour prénom juif celui de Myrhiam (signifiant princesse dont celui de Marie est issu). Elle était la fille unique de Joachim, descendant lui aussi du roi David, c’est-
Le couple habitait Gamala, en Judée, et leur fils était donc considéré comme héritier légitime des rois de Judée selon les filiations davidiques issues des deux fils du roi David : Salamon et Nathan. Lesquels fils eurent donc, pour l’un, Yosseph/Joseph comme descendance et, pour l’autre, Myrhiam/Marie ).
Yeshua était donc vraiment prince et seigneur, c’est-dire “Adonaï ” : « vous m’appelez Maître et Seigneur, et vous faites bien car je le suis. » (Jean, 13.13). Ses frères l’étaient également. Aussi, étaient-
Les fils du roi David, ancêtres de Yeshua/Jésus, furent donc Salomon et Nathan (pour Yosseph, la généalogie selon Mathieu passe par Salomon, mais la généalogie de Luc passe par Nathan). Quoi qu’il en soit, les deux apôtres confirment Yeshua comme Christ, c’est-à-dire comme roi « oint du Seigneur ». Myrhiam/Marie, quant à elle, étant de la lignée de Nathan, l’autre fils que le roi David eut en seconde noce.
La famille de Yeshua était donc assurément juive et princière… mais aussi fortunée ! Ses sept frères et sœurs, furent dénommés les 7 daïmons (3) ; encore surnommés les 7bounergès :“les 7 tonnerres”. Les jeunes princes et princesses reçurent donc l’éducation due à leur rang.
Laquelle éducation pourrait expliquer la grande érudition du petit Yeshua(4) et sa parfaite connaissance de la Torah. Connaissance dont il témoigna lorsqu’il fut présenté aux Docteurs de la Loi, lors de sa Bar Misva (examen de majorité religieuse auquel est soumis un enfant juif lorsqu’il a 13 ans).
Et Yeshua fut toujours respectueux et observant de sa religion… et plus encore pourrions nous dire : il était un « furieux de Dieu », à l’instar de son père Juda de Gamala le Zélote, chef de l’intégrisme judaïque, lequel indisposa fort les rabbins du Temple de Jérusalem, car il était « Juda, le rebelle qui combattra Archelaüs, et sera dit le Gaulanitide », selon Flavius Josèphe.
Nous aborderons très vite cette problématique centrale mais conviendrons auparavant, si vous le voulez bien, que nous appellerons les membres de cette Sainte Famille selon leurs prénoms et noms originels, à savoir : Myrhiam pour la mère, Yeshua pour le fils, et Juda de Gamala pour le père.
Royale lignée
Une lignée est d’abord initiée, portée et perpétuée par une mère. Celle de Yeshua se prénommait donc la Princesse Myrhiam de Gamala, et son premier enfant : Yeshua. Cependant il fut conçu, non seulement par une jeune femme qui était vierge auparavant, mais à une période de l’année… où la continence sexuelle était imposée par les règles de la communauté Nazôréenne à laquelle les parents appartenaient. Les jeunes époux ne respectèrent peut-
En effet, pour les Esséniens et les Nazôréens notamment, le premier rapport sexuel ne pouvait avoir lieu « réglementairement » qu’au cours du seul mois de décembre précédant le quarantième anniversaire de l’époux. De ce fait, et afin d’être légitimement reconnu dans le cadre d’un mariage, l’enfant était, selon la formule consacrée, déclaré « né du Saint-
L’enfant princier n’était donc pas fils d’un pauvre charpentier et d’une vierge. D’ailleurs l’ange avait bien annoncé à Myrhiam que « Le Seigneur Dieu donnerait à cet enfant le trône de David son père » (Luc 1, 32) ; « Son fils, issu selon la chair, de la lignée de David » (Paul, Romains 1,3).
Yeshua était donc l’héritier légitime du Royaume d’Israël et Fils de Dieu (Psaumes 132,11). Lors de son à Jérusalem il fut effectivement acclamé roi : « Ils prirent des branches de palmiers, et allèrent au-
Afin, donc, que soit établie très assurément cette lignée davidique, « Yoseph » et Myrhiam se rendirent également chez Simon le Mage (Zebedee), grand-
C’étaient d’ailleurs les envoyés de Simon le Mage qui vinrent honorer les nouveau-
Mais Yosseph est averti en songe par un ange qui lui dit : « Lève-
Les jumeaux princiers
Myrhiam de Gamala, semble-
Le jumeau de Yeshua fut appelé Taoma (signifiant jumeau), connu en tant que Thomas Didyme (Thomas le jumeau ou : le “jumeau-
Effectivement, le petit Yeshua démontra très précocement des dons et des pouvoirs psychiques et spirituels hors du commun, qu’il put développer ensuite auprès de nombreux maîtres de Chaldée, d’Égypte, du Moyen-
Cependant, si les origines de Yeshua furent « divinement enjolivées », devrions-
Il est d’ailleurs relaté, dans les Évangiles canoniques, que leur fils aîné Yeshua fut salué en ces termes : « N’est-
Pour cela, tournons-nous vers les historiens. Et d’abord le plus célèbre et crédible d’entre eux, car historiographe contemporain de Paul, également juif né vers 37 à Jérusalem : Yoseph ben Matityahou HaCohen, procurateur des Romains, plus connu sous le nom de Flavius Josèphe, et contemporain donc de Yeshua.
Nous ne possédons pas de source plus directe, véritablement documentée, que ce Galiléen et Nazôréen qui, par ailleurs, était le gouverneur de Judée et donc de la ville (véritable nid d’aigle) de Gamala, où nos deux époux vivaient effectivement et amoureusement. Mais certains chercheurs supposent que les écrits de cet historien furent également abondamment expurgés des passages les plus compromettants pour ceux qui établirent les Canons de l’Eglise romaine et apostolique.
Joseph/Yosseph / Juda de Gamala
Concernant le père de Yeshua, que nous apprend néanmoins Flavius Josèphe dans ce qui fut conservé de ses « Antiquités Judaïques » (livre XX, V, 2) ? Que Jacob (Jacques) et Simon (Simon-
Yeshua se disait fils biologique de l’homme (son « père de chair » selon ses propres termes), qui épousa la princesse Myrhiam et lui donna 6 fils et 2 filles.
Car Juda de Gamala, encore appelé Juda le Gaulanite, fils d’Ezéchias, de la lignée de David, était considéré comme un héros par les Judéens car, en Galilée, il dirigea la révolte dite du Recensement à la succession d’Hérode le Grand (mort en 4 av. J.C.), puis en Judée au moment où celle-
Associé à un pharisien nommé Tzadok (le Juste), Juda de Gamala s’opposa par la violence au recensement fiscal effectué par Quirinius lorsque la Judée devint province romaine.
Il serait d’ailleurs, selon Flavius Josèphe, le fondateur de la secte appelée « Christienne » (mais oui !), relevant d’un mouvement appelé la IVe philosophie et qui, selon le procurateur Flavius Josèphe, serait responsable de la révolte et de la destruction du Temple de Jérusalem, rien moins.
Or, les romains surveillaient de très près les survivants de la lignée davidique, afin de les exterminer en période de trouble. C’est pour cette raison que Myrhiam dut fuir avec ses enfants en Égypte, pour se réfugier avec eux dans l’importante communauté Juive d’Alexandrie, ville ou Yeshua put être initié auprès des kabbalistes juifs aux arcanes suprêmes. Ainsi, tous ceux qui étaient de « la race du Sauveur », et les petits-
Le Père et le Fils, activistes zélotes
Juda de Gamala et son fils Yeshua étaient donc respectés en tant que seigneurs et princes, mais également fort craints en tant que zélotes. Juda était un rude combattant qui conduisit ses partisans –
Elle s’accorde en toutes choses avec celle des Pharisiens, excepté que ceux qui en font profession soutiennent qu’il n’y a que Dieu seul que l’on doive reconnaître pour Seigneur et pour Roi. Ils ont un si ardent amour pour la liberté que les genres de mort les plus extraordinaires, les supplices les plus atroces, qu’ils subissent eux-
Comme bien des gens ont été témoins de la fermeté inébranlable avec laquelle ils subissent tous ces maux, je n’en dirai pas davantage, non de crainte de ne pas être cru, mais plutôt de peur que mes paroles ne donnent une idée trop faible du mépris avec lequel ils supportent la douleur. » (Flavius Josèphe, Antiquités Judaïques, XVIII, 2 ). Pour Yeshua, son père et ses frères, nul ne pouvait prétendre au titre de maître, sinon le Père céleste : Abba en hébreux (nous le rappellerons). Aussi, Yeshua était-
Juda de Gamala –
Aussi prélevaient-
« Alors, ceux qui étaient avec lui, voyant ce qui allait arriver, lui dirent : « Seigneur, frapperons-
nous de l’épée ? » (Luc, XXII, 49). Et à ceux qui n’étaient pas armés Yeshua ordonnait : « Que celui qui n’a pas d’épée vende son manteau et en achète une ! » (Luc, XII, )
Ils n’étaient, aux yeux des autorités romaines, rien d’autres que des malandrins, des bandits, des brigands, des rebelles à circonvenir. Et ceux qui furent crucifiés avec Yeshua-
Et c’est bien Juda de Gamala, cet homme libre, prince et rebelle, qui appela Israël à l’insurrection au nom de YAVEH, « qui fit frapper des monnaies portant en exergue le terme de medina, signifiant “république”, tenta d’organiser Israël sur ce type, et élabora une doctrine dans laquelle Dieu seul était le roi du peuple-
Juda, tombé lors d’un soulèvement la poitrine transpercée, ne vécut donc pas jusqu’à 111 ans, et ne put voir son fils “crucifié” pour ces raisons que lui-
Rappelons-
« Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur terre. Je suis venu apporter non la paix, mais le glaive. Je suis venu mettre la division entre le père et le fils, entre la fille et sa mère, entre la belle-
fille et la belle- mère ; et l’homme aura pour ennemi ceux de sa propre maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi, celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi, n’est pas digne de moi. Celui qui ne prend pas sa croix (l’épée) et ne me suit pas, n’est pas digne de moi. Celui qui aura conservé sa vie la perdra. Celui qui aura perdu sa vie à cause de moi, la retrouvera ».
Aussi les Zélotes étaient-
Arrestation de Yeshua & cruci-fiction
De son arrestation, nous savons qu’elle fut un coup monté afin que notre Seigneur et Prince soit mis « hors circuit » par le pouvoir romain, mais… en lui permettant de survivre au crucifiement concédé par Pilate pour ne point renforcer encore plus la colère des Zélotes tant redoutés. Et il semble bien que ce fut par le baiser d’un autre Judas qu’il fut identifié pour n’être pas confondu avec son jumeau par les soldats romains, puis conduit devant Ponce Pilate… afin que l’on ne se trompe pas pour la suite des événements, et qu’il puisse quitter discrètement la Judée.
Aussi, un certain Yeschua-
Quant à nous, nous penchons vraiment pour la thèse de la « cruci-
« Les juifs traînèrent Îsâ à un endroit où ils avaient préparé une croix pour le crucifier, et un grand nombre de juifs se rassemblèrent autour de lui. Ils avaient un chef nommé Yesû’a, qui était également parmi eux. Quand ils voulurent attacher Îsâ à la croix, Dieu l’enleva à leurs regards et donna la forme et l’aspect de Îsâ à Yesû’a, leur chef. […] Quand ils regardèrent, ils virent Josué entièrement ressemblant à Îsâ, et ils le saisirent. Il dit : Je suis Josué. Ils répondirent : Tu mens; tu es Îsâ, tu t’es dérobé à nos regards par la magie ; maintenant la magie est passée et tu es devenu visible. Il protesta en vain qu’il était Josué ; ils le tuèrent et l’attachèrent à la croix. Quant à Îsâ, Dieu l’éleva, au ciel comme il est dit dans le Coran : Ils ne l’ont pas tué et ils ne l’ont pas crucifié, mais ce n’était qu’un faux semblant ». (Coran IV; 156).
Ce récit, donné dans une traduction formulée de façon quelque peu ambiguë, nous offre néanmoins deux pistes que nombre de chercheurs suivirent, dans l’une ou l’autre voie : celle d’un « jumeau » crucifié à sa place, et celle d’une crucifixion ayant amené Îsâ –
Aussi inviterons-
Notons également que les Andromédiennes (G. Vanquelef, 2006) nous parlent aussi d’un Yeshua, encore dénommé Melethiel selon eux, qui fut sauvé et continua à vivre jusqu’à 64 ans (âge supposé auquel il mourut en Inde selon Nicolas Notovitch).
Un rouleau en possession des Russes prouverait cela et préciserait que Yeshua Bar-
Quant aux sources Aryennes, Nicolas Notovitch (1894, p. 63) nous apprend encore que, pour les bouddhistes, « Issa est un grand prophète, l’un des premiers après les vingt-
Aussi, devons-
Être hors du commun dont les civilisations extranéennes, telle celle des Andromédiens, conservent la mémoire dans leurs registres, avec mentions d’une filiation remontant jusqu’à Moïse, dont ils nous apprennent qu’il était un hybride(8). Pour Edgar Cayce, la mère de Yeshua, Myrhiam, a elle aussi été fécondée selon une opération gynécologique menée par les biologistes extranéens (dont il ne précise pas de quelle origine ils étaient).
Mort, résurrection et Gnose
Un livre hors du commun, découvert dans les manuscrits apocryphes de Nag Hammadi : « Pistis Sophia » (traduite du copte en français par E. Amélineau, 1895-
Par la Grâce de Dieu, nous avons personnellement vécu cette indicible expérience au cours d’une mort transitoire suivie d’un coma, dont nous avons conservé les mémoires de ce que notre conscience fut invitée à explorer dans les autres plans dimensionnels. Aussi pouvons-
Nous en retirons les données qui sont présentées dans « Multidimensions de l’Être que nous sommes », « Présence Essentielle » et « Déploiements du Chemin », présentés sur ce site à la page <Livre>. J’invite donc tout lecteur (vraiment) intéressé à prendre connaissance de la Pistis Sophia, d’en faire relecture à travers le livre de Samaël Aun Weor : « Pistis Sophia, le livre sacré des gnostiques d’Egypte », mais également de nos livres : « Multidimensions de l’Être que nous sommes » et « Déploiement du Chemin ». D’autant… que nous fûmes Zélote aux temps du Seigneur Yeshua-
Aussi, pensons-
L’épouse & les enfants de Yeshua
Nous achèverons ce dossier relatif à Yeshua / Jésus en évoquant le fait que son épouse Myrhiam de Magdala, sa fille Tamar et ses fils Yeshua et Josèphe, qui vécurent le reste de leurs existences en Provence (Ste Baume), puis dans le Razès.
Quant à leur père, il mourut à Srinigar au Cachemire, aux environs de 64-
Yeshua-
Son nom nous illumine dans toutes les dimensions de notre être et, en écho, fait appel à notre Christ intérieur que l’humilité seule nous peut faire connaître ou reconnaître, surtout en ces temps ou les sciences et les technologies entièrement tournées vers la matière, la jouissance et l’avoir, nous dépossèdent de nous-
Nous remercions Samaël Aun Weor (1986, p. 272) et Edouard Schuré (1960, p. 622) de nous prêter ces dernières citations pour conclure ce dossier :
« La Science pure, c’est la science de l’Être. Il faut distinguer la Science du Christ de la science de l’Antichrist.
En ces instants de crise mondiale et de faillite de tous les principes, la science de l’Antichrist accomplit des miracles et des prodiges trompeurs.
Tout le monde ploie le genou devant l’Antichrist, lequel fabrique des bombes atomiques, des bombes N, des bombes H, des rayons de la mort, des fusées qui vont sur la Lune, etc.
La science matérialiste de l’Antichrist, avec toute sa pourriture de théories et d’utopies absurdes, est adorée par la grande Prostituée. Le nombre de la Grande Prostituée, nous le savons, est 666. »
Samaël Aun Weor
***
« Le Christ dit à l’âme accablée de tous les poids de la terre : « Relève-
toi, car ta patrie est au ciel ; mais pour y croire et pour y parvenir, prouve- le dès ici- bas par ton œuvre et par ton amour ! » Edouard Schuré
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