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La question palestinienne – Une menace croissante pour l’Europe

Depuis le 7 octobre, les villes européennes sont le théâtre de manifestations incessantes en soutien à la cause palestinienne et à Gaza.

Des milliers d’événements et de manifestations ont eu lieu, certains violents et incitant à la haine contre les Juifs et Israël, d’autres dirigés contre la police et les pays d’accueil.

La majorité de ces manifestations et protestations ont été organisées en solidarité et en identification avec les Palestiniens, contre Israël et la guerre à Gaza.


Dans cet article, nous présenterons des chiffres et des données sur ces manifestations et soulignerons le danger qu’elles représentent pour l’Europe. Nous examinerons également comment les Palestiniens parviennent à organiser autant de manifestations, qui les finance et comment cela nuit à l’Europe et contribue à l’anarchie dans les rues européennes.

Selon le Centre européen des médias palestiniens (EPAL), un centre palestinien qui documente les activités palestiniennes dans le monde entier, mais se concentre sur la scène européenne, il a réussi à documenter 26 000 événements et manifestations dans 619 villes de 20 pays européens en un an.

Il s’agit sans aucun doute d’un chiffre astronomique. Toutes ces activités sont financées – ironiquement – ​​par des fonds européens versés aux Palestiniens. Ces fonds reviennent en Europe d’une manière ou d’une autre pour semer l’anarchie et perturber l’ordre public.

Manifestation pro-palestinienne à Genève, en Suisse, le 19 octobre 2024.

Le centre révèle également qu’au 18 janvier 2025 – la veille du cessez-le-feu à Gaza – il avait recensé 30 000 manifestations et événements en Europe. Une analyse des activités palestiniennes démontre leur immense force et leur capacité à organiser des manifestations et, parfois, des événements violents à travers l’Europe, notamment en Allemagne, en Espagne et en Italie.


Le rapport souligne également que les Palestiniens parviennent à mobiliser les Arabes et les musulmans vivant en Europe qui adhèrent à leur cause. Par exemple, selon le rapport, rien qu’en Allemagne, plus de 4 665 manifestations et événements ont eu lieu dans 122 villes – et ce, uniquement jusqu’au 18 janvier 2025.

Données sur les manifestations palestiniennes dans certains pays européens :

Allemagne : 4 665 manifestations et événements dans 122 villes sur 471 jours, soit près de 10 par jour.

Suisse : 1 217 manifestations et événements dans 6 villes sur la même période, soit plus de 2 par jour.

Autriche : 1 200 manifestations et événements dans 7 villes sur 471 jours – soit plus de 2 par jour.

Pays-Bas : 1 950 manifestations et événements dans 25 villes, soit plus de 4 par jour.

Les Palestiniens en Europe

Les Palestiniens d’Europe ont reconnu l’importance de l’influence politique comme moyen de soutenir la cause palestinienne. Nombre d’entre eux ont réussi à occuper des postes influents au sein des parlements locaux et des institutions européennes. Cela a renforcé la position palestinienne et a conduit à une condamnation généralisée d’Israël en Europe.

Après que de nombreux Palestiniens ont obtenu la nationalité – britannique, française ou italienne (il n’existe pas de chiffres précis, mais les estimations évoquent des centaines de milliers) –, nombre d’entre eux se sont activement engagés dans la cause palestinienne, en exerçant des pressions politiques sur les gouvernements et en participant à des manifestations de rue et à des campagnes d’affichage. Comme mentionné précédemment, les Palestiniens d’Europe ont organisé de nombreuses marches et manifestations contre la guerre à Gaza au cours des dix-huit derniers mois. Ces protestations ont exercé une pression sur les autorités et les gouvernements européens, aboutissant souvent à des condamnations d’Israël, voire à des mesures de boycott.

Dans le domaine humanitaire, de nombreuses organisations palestiniennes en Europe mènent des actions caritatives et humanitaires. Elles ont joué un rôle important dans l’atténuation de la crise humanitaire récemment vécue par les habitants de Gaza, en collectant des dons et en les canalisant vers la population de Gaza.

Des manifestants avec un grand drapeau palestinien marchent le long du Rokin lors d’une manifestation pro-palestinienne à Amsterdam, aux Pays-Bas, le 2 novembre 2024.

Les musulmans en Europe et la question palestinienne

Les musulmans et les Palestiniens en Europe pourraient instrumentaliser la question palestinienne de diverses manières : pour justifier des actes criminels ou pour se rebeller contre les pays d’accueil en liant la cause à des motifs politiques et religieux chargés d’émotion.

Présenter le conflit palestinien comme un élément d’un « djihad » mondial : Les musulmans d’Europe pourraient promouvoir l’idée que le conflit palestinien s’inscrit dans un « djihad » contre ce qu’ils perçoivent comme l’occupation et la tyrannie occidentales.

La cause palestinienne sert de prétexte pour inciter les jeunes à participer à des actions violentes lors de manifestations. De nombreux jeunes musulmans en Europe (notamment d’origine algérienne, mais pas exclusivement) considèrent le soutien à la cause palestinienne comme un moyen de résister à ce qu’ils perçoivent comme une hégémonie occidentale ou coloniale, soulignant que ce conflit ne se limite pas aux Palestiniens mais touche tous les musulmans d’Europe.

Lier la cause palestinienne à la lutte contre « l’ennemi commun » : De nombreux imams occidentaux condamnent l’Occident, ce qui peut conduire à des alliances extrémistes liant la question palestinienne à des mouvements anti-occidentaux.

Ils présentent le conflit avec Israël comme faisant partie d’une lutte plus large contre l’Occident (y compris les États-Unis et l’Europe). Ces groupes pourraient tenter de présenter l’Occident comme un ennemi de l’islam, justifiant ainsi des actions violentes contre des citoyens ou des cibles occidentales en Europe.

Exploitation des sentiments de solidarité : De nombreux jeunes musulmans pourraient exploiter les sentiments de solidarité et de compassion que ressentent de nombreux musulmans face à la « souffrance » des Palestiniens.

Ces émotions se transforment en haine et en violence contre des cibles représentant les politiques occidentales ou israéliennes. Ces groupes pourraient tenter de recruter des jeunes en présentant des actes de violence comme une réponse à l’oppression persistante des Palestiniens.

La rhétorique religieuse et la mosquée Al-Aqsa : De nombreux musulmans en Europe pourraient recourir à la rhétorique religieuse pour justifier leurs actions.

La lutte pour la Palestine est présentée comme un devoir religieux ; les attaques contre les Juifs, les Israéliens ou les cibles occidentales sont légitimées par la « défense de l’islam » et l’« aide aux musulmans », même si de telles actions sont contraires aux valeurs humaines et religieuses.

Amplifier les confrontations émotionnelles dans les médias : De nombreux musulmans d’Europe pourraient utiliser les réseaux sociaux et les reportages sur les souffrances des Palestiniens pour attiser la colère et la déception chez les jeunes musulmans d’Europe.

En amplifiant les sentiments de haine et d’injustice, ils pourraient inciter les jeunes à la violence ou à des actes terroristes en réaction à ce qu’ils perçoivent comme une attaque contre les musulmans de Palestine.

Augmentation de l’antisémitisme et des attaques contre les Juifs : Malheureusement, les Juifs à l’étranger ont été à maintes reprises la cible d’incitations à la haine et d’attaques de la part d’organisations palestiniennes, lors de chaque guerre de Gaza, y compris après le 7 octobre.

Après le meurtre de Juifs, de nombreux Juifs au Royaume-Uni et en France ont été victimes d’attaques antisémites et d’incitations continues de la part de musulmans. Le nombre d’incidents antisémites a doublé, voire triplé, ces dernières années en Europe.

Manifestation pro-palestinienne à Vienne, le 21 octobre 2023.

Conclusion

De nombreuses manifestations pro-palestiniennes échappent à tout contrôle et sèment l’anarchie dans les rues d’Europe.

Souvent, les manifestants occupent des places, des espaces publics ou des rues, proférant des injures contre les Juifs et Israël ou contre les tentatives d’intervention de la police. Ces manifestations sont parfois marquées par la violence, tant de la part de la police que des manifestants.

La tension monte dans les rues : les chants en arabe, la musique forte, tout cela est inutile. L’Europe n’est pas le Moyen-Orient. Les problèmes du conflit israélo-palestinien doivent rester là et ne pas être importés en Europe.

Il est alarmant de constater que les millions de réfugiés musulmans arrivés en Europe ces dernières années ont transformé le visage du continent. Pendant le Ramadan, des centaines de milliers de musulmans ont participé à des rassemblements de protestation à travers l’Europe, priant avec force, parfois même avec provocation.

Ils ne craignent ni la loi ni la police locale. L’Europe est devenue le théâtre d’affrontements, non seulement entre Palestiniens et Israël, mais aussi de conflits étrangers sur le sol européen, comme celui entre Turcs et Kurdes.

La question palestinienne a déclenché de nombreuses guerres dans le monde arabe : un quasi-coup d’État en Jordanie en juillet 1970, une guerre civile au Liban de 1975 à 1991, et d’autres.

Ce problème peut influencer les millions de migrants musulmans du Moyen-Orient et d’Afrique arrivés en Europe. Ils pourraient devenir une bombe à retardement dans le monde occidental, servant d’outil de recrutement pour les extrémistes incités à commettre des actes criminels ou nationalistes en exploitant les sentiments de solidarité, le contexte politique et les justifications religieuses de la violence pour parvenir à leurs fins. Une grande partie de ces actes se produisent par l’intermédiaire de militants palestiniens ou dans les mosquées.

Dans certains cas, la question palestinienne devient un prétexte pour justifier la violence contre des individus ou des communautés que ces groupes considèrent comme des « ennemis » ou qu’ils associent aux événements en Palestine.

Les Européens doivent se réveiller.

Parallèlement au processus d’islamisation que connaît l’Europe en raison de l’afflux quotidien de réfugiés, le continent a été le théâtre de milliers de manifestations et de troubles à l’ordre public depuis le 7 octobre, organisés par les Palestiniens et leurs sympathisants.

Ces manifestations constituent un terreau fertile pour le terrorisme et le vandalisme, en particulier lorsque les manifestants se couvrent le visage, instillant la peur et la terreur parmi les citoyens. Les autorités européennes doivent promulguer des lois pour endiguer ces manifestations.

L’Allemagne a commencé à les restreindre, mais les résultats restent à voir.

Les manifestations comportent souvent des menaces contre les Juifs et Israël, se déroulent fréquemment en arabe et perturbent les citoyens et l’ordre public. Les Européens doivent empêcher que la guerre au Moyen-Orient ne s’étende au territoire européen, car cela met en danger la sécurité nationale de l’Europe.

Les autorités doivent également veiller à ce que les migrants vivant en Europe ne subissent pas de lavage de cerveau ni ne soient recrutés pour la cause palestinienne.


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