Mis à part ses déclarations pro-vie (et qui sait combien de temps il continuera à chanter cette chanson), le pape François semble toujours se rapprocher davantage de Marx que des doctrines catholiques traditionnelles.
Il est totalement en faveur du changement climatique, attaque le capitalisme, soutient la maladie mentale du transgendérisme et veut sortir l’homosexualité de la colonne des « péchés ».
Il n’est pas surprenant que le Vatican soit en faillite, car son Église offre peu aux fidèles.
Un autre signe de la gauchitude du pape est son soutien indéfectible au Hamas, y compris sa foi aveugle dans les statistiques de victimes qui se sont révélées à maintes reprises être des mensonges grossiers . Mais Israël en a finalement eu assez et riposte.
Le soutien du pape au Hamas est franchement étrange.
Israël autorise toutes les religions, y compris le catholicisme, à être pratiquées librement à l’intérieur de ses frontières.
Le Hamas tue ou chasse tous les chrétiens et massacre tout juif qui a le malheur de s’approcher de Gaza ou de la Cisjordanie. Mais le pape soutient le Hamas.
Le pape François a reproché à Israël de mener une guerre contre les djihadistes, qui sont les descendants directs de ceux qui, pendant des siècles, ont combattu l’Église catholique au Moyen-Orient et en Europe.
Et en parlant de descendants, plus tôt ce mois-ci, le pape a tacitement approuvé le mythe selon lequel Jésus, un Juif de Judée et un descendant du roi David, était un « Palestinien », c’est-à-dire un arabe.
Plus récemment, le pape a fustigé la prétendue « cruauté » d’Israël pour ses frappes contre Gaza, sans demander la libération des otages ni que le Hamas soit tenu responsable du massacre de plus de 1 200 Israéliens :
François a ouvert son discours annuel de Noël aux cardinaux catholiques qui dirigent les différents départements du Vatican avec ce qui semble être une référence aux frappes aériennes israéliennes de vendredi qui ont tué au moins 25 Palestiniens à Gaza.
« Hier, des enfants ont été bombardés », a déclaré le pape. « C’est de la cruauté. Ce n’est pas la guerre. Je voulais dire cela parce que cela touche le cœur. »
Le pape, en tant que chef de l’Église catholique romaine qui compte 1,4 milliard de membres, est généralement prudent lorsqu’il s’agit de prendre parti dans les conflits, mais il s’est récemment montré plus franc au sujet de la campagne militaire d’Israël contre le groupe militant palestinien Hamas.
Dans des extraits de son livre publiés le mois dernier, le souverain pontife a déclaré que certains experts internationaux ont déclaré que « ce qui se passe à Gaza a les caractéristiques d’un génocide ».
Le pape Pie XII se retourne dans sa tombe, car il a essayé, dans les limites de son autorité spirituelle et pratique, de protéger les juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Et le pape Jean-Paul II, qui a travaillé dans la Résistance polonaise pendant la Seconde Guerre mondiale, se retourne dans sa tombe avec lui.
En réalité, Israël, contrairement à tout autre pays combattant dans l’histoire du monde, a fait tout ce qu’il pouvait pour protéger les civils de sa guerre contre un ennemi qui a ouvertement affirmé sa détermination à commettre un véritable génocide, et non un génocide imaginaire, contre les Juifs.
Israël a diminué son efficacité militaire en annonçant à l’avance des bombardements pour que les civils puissent partir, a déplacé des populations entières pour les éloigner du champ de bataille et a expédié des millions de tonnes de nourriture aux civils ennemis tout en sachant que (a) le Hamas s’empare de la plupart de ces vivres et (b) les civils soutiennent le Hamas.
Mais François aura son mot à dire, un discours antisémite.
Pendant longtemps, Israël est resté silencieux, refusant de s’en prendre au pape et d’offenser les catholiques du monde entier. Mais trop c’est trop.
C’est ainsi que le ministère israélien des Affaires étrangères a finalement riposté à ces calomnies :
« En réponse à la déclaration du Pape aujourd’hui : La cruauté, ce sont des terroristes qui se cachent derrière des enfants tout en essayant d’assassiner des enfants israéliens ; la cruauté, c’est le fait de détenir 100 otages pendant 442 jours, dont un bébé et des enfants, par des terroristes et de les maltraiter.
Malheureusement, le pape a choisi d’ignorer tout cela, ainsi que le fait que les actions d’Israël ont ciblé des terroristes qui ont utilisé des enfants comme boucliers humains.
Les propos du pape sont particulièrement décevants car ils sont déconnectés du contexte réel et factuel de la lutte d’Israël contre le terrorisme djihadiste – une guerre sur plusieurs fronts qui lui a été imposée à partir du 7 octobre.
La mort d’un innocent dans une guerre est une tragédie. Israël déploie des efforts extraordinaires pour empêcher que des innocents ne soient blessés, tandis que le Hamas déploie des efforts extraordinaires pour accroître le préjudice causé aux civils palestiniens.
La responsabilité doit être imputée uniquement aux terroristes, et non à la démocratie qui se défend contre eux. Assez de deux poids deux mesures et de stigmatisation de l’État juif et de son peuple.
Israël a raison. Le pape est un arbitre moral. S’il fait défaut dans sa morale, il est essentiel qu’il soit corrigé afin que son échec, tel un caillou dans un étang, n’ait pas de répercussions morales et pratiques mortelles.
Après on se demande pourquoi le catholicisme est en train de tomber. Pourquoi les gens fuient cette religion. Avec un pape menteur, il est difficile d’avoir envie de rester catholique.
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