L’intelligence artificielle peut être utilisée pour le bien ou pour le mal, comme toute autre technologie d’ailleurs. Le véritable problème, c’est que l’IA pourrait devenir si avancée que les mauvaises personnes, qui au final, n’arrêteront jamais d’essayer de l’utiliser à leurs profit pourraient l’accaparer à des fins malveillantes.
Le malheur, c’est que les manoeuvres de ces parasites obsessionnels ne pourront pas être contrecarrées parce que les bonnes personnes n’agiront pas assez rapidement et de plus, certainement pas de manière assez décisive pour s’y opposer.
Tout ça parce que les gens ne veulent pas croire que quiconque puisse utiliser ce genre de technologi pour le mal… et parce qu’ils veulent être tolérants, ne pas porter de jugement, ou même vouloir faire des compromis.
Bref, vous l’avez compris, ce que nous constatons aujourd’hui, cette façon de se cacher la vérité pour ne pas paraître intolérants ou suffisamment inclusifs, ou tout simplement racistes, cette démission face à une réalité qui nous menace, cette propension à courir au suicide, dans le cas de cette nouvelle technologie de l’IA, il sera trop tard, quand les « gentils » imbéciles voudront commencer à s’interposer.
Les tendances tolérantes des non-méchants pourraient conduire à une dévastation totale lorsque la technologie que les malfaiteurs emploient et contrôlent aura atteint un certain niveau de capacité, de complexité et même potentiellement de sensibilité.
Il ne peut y avoir de compromis avec le mal absolu, surtout s’il contrôle la technologie la plus avancée, si une société fonctionnelle veut survivre.
Nous ne parlons pas ici de la technologie des armes nucléaires du XXe siècle, qui est déjà assez effrayante en soi, mais de quelque chose de bien plus subtil, omniprésent et sinistre.
Quelque chose dont nous ne sommes peut-être même pas conscients. Quelque chose qui pourrait un jour échapper à notre emprise et à notre contrôle. Quelque chose qui, s’il n’est pas utilisé pour nous éliminer, pourrait effectivement nous asservir à jamais.
Corollaire : peut-on vraiment qualifier de bonne personne quelqu’un qui promeut – ou « tolère » – des politiques qui, historiquement et de manière prévisible, conduisent à la misère, au crime, au chaos, à la mort et à la destruction ?
Peut-on en dire autant de ceux qui ne tentent pas de s’attaquer à ce que je considère comme le point de bascule technologique à venir ?
Ou de ceux qui ne souhaitent pas offenser le mal ?
C’est le moment de se poser les bonnes questions.
“L’IA du mal” : c’est l’histoire d’une technologie très diabolique
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