Les cénotes sont des gouffres profonds remplis d’eau. On en compte 5000 dans la péninsule du Yucatán, au Mexique. Considérés comme sacrés par les mayas, les cénotes recèlent de nombreux secrets.
Ce sont d’immenses cavités remplies d’eau turquoise qui parsèment les forêts de la péninsule du Yucatán, au Mexique. Il y a 65 millions d’années, la météorite qui a provoqué l’extinction des dinosaures aurait creusé certains de ces puits. Ils ont été façonnés par une dissolution ou un effondrement des roches calcaires et donnent accès à un véritable réseau de rivières et de grottes souterraines. Ces précipices abyssaux attirent le monde scientifique qui y a déjà fait des découvertes surprenantes.
Depuis plus de 20 ans que les chercheurs du projet du Gran Acuífero Maya exploraient les eaux souterraines du Yucatán. En chemin, les scientifiques étaient tombés sur les réseaux cavernicoles de Sac Actun (263 kilomètres de long) et Dos Ojos (83 km).
En 2017, pour la première fois, des plongeurs sont descendus à Sak-Aktun, qui ont ramené à la surface des artefacts des espaces jusque-là inexplorés de la grotte. C’étaient les os d’animaux anciens – des lions des cavernes et des mastodontes. De plus, une sorte de totem miniature a été tiré des profondeurs du donjon vers la lumière. Cela a donné lieu à l’hypothèse que Sak-Aktun était habitée par des personnes il y a environ 9 à 10 000 ans, et peut-être même plus.
En 2018, les deux grottes ont à nouveau fait parler d’elles : après dix mois d’explorations intenses, une jonction entre les deux ensembles a en effet été découverte. Les chercheurs avaient été mis sur la piste par une mèche qui flottait dans l’obscurité.
Cette super-caverne de 347 km de long est maintenant la plus grande grotte inondée au monde. Pour le nom de baptême, la grande grotte a pris le dessus : on parle donc désormais uniquement de “Sac Actun”. Côté archéologie, Sac Actun avaient déjà révélé quelques secrets, comme le plus vieux squelette humain du continent américain, celui de Naia, une jeune fille ayant vécu il y a 13 000 ans.
En 2019, une autre expédition de plongeurs archéologiques est descendue. Cette fois, parmi les trouvailles, il y avait plusieurs crânes allongés. La datation a montré que la découverte date d’environ neuf mille cinq cent ans. Cela est prouvé par le fait que le culte des crânes allongés existait depuis au moins 10 000 ans. Qui les anciens imitaient-ils ? Cette question reste sans réponse malgré de nombreux artefacts.
En 2021, l’archéologue Guillermo de Andes a participé à une autre expédition à Sak-Aktun. Selon des rapports et une conférence de presse à laquelle le chercheur s’est exprimé, ils ont pu remonter à la surface plus de 150 crânes. Parmi eux se trouvaient plusieurs spécimens, dont le tissu osseux contenait des microcircuits électroniques. Naturellement, le scientifique a été immédiatement traité de falsificateur, cependant, le chef des archéologues mexicains, Jorge Sancho, l’a défendu, informant l’élite mondiale des archéologues de la preuve incontestable de cette découverte dans la grotte inondée.
Selon Guillermo de Anda, dans les temps anciens, les gens ont rencontré une civilisation plus avancée. On ne sait pas s’il s’agissait d’extraterrestres ou de locaux, mais le fait qu’il y a 10 000 ans, ils aient pu implanter des micropuces témoigne d’un niveau de développement incroyable. Il est probable que les peuples indigènes soient entrés en contact avec eux, les anciens Mexicains par exemple, ont commencé à copier leur apparence. D’où le culte des crânes allongés. En effet, dans la nature, pas un seul animal n’a été trouvé avec cette particularité, ce qui signifie que l’exemple a été donné de quelque part de l’extérieur.
Quoi qu’il en soit, tous les crânes trouvés dans la grotte inondée ont été examinés aux rayons X. Des microcircuits ont été trouvés dans seulement deux crânes. Dans six autres, des éléments ont été fragmentés en petits composants. Cependant, une chose est claire – quelqu’un les a implantés dans le tissu osseux, de plus, de l’intérieur. Dans quel but, et surtout avec l’aide de quelles technologies, cela a été mis en œuvre ? Ça reste un mystère.
Un an et demi se sont écoulés depuis la dernière expédition. Guillermo de Andes a cessé de se présenter aux conventions internationales avec ses collègues. Mais au Mexique même, il reste un archéologue, un scientifique, un publiciste et un chercheur respecté hors pair. Cette année, il va mener une autre expédition dans la grotte. il reste apparemment beaucoup de choses intéressantes cachées là-bas.
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