Lorsqu’on évalue l’action d’un gouvernement, il est évidemment important de considérer équitablement les différentes alternatives, les données objectives et de déterminer si l’action a été un succès.
Et il est également utile de se demander : « Et si l’autre partie avait fait la même chose ? »
Nous assistons à la transformation d’un monde, en temps réel.
Il y a deux ans, plusieurs des organisations les plus maléfiques du monde étaient pleinement opérationnelles, appauvrissant leur propre peuple et terrifiant tant d’autres.
- Le Hamas, financé et dirigé par les mollahs iraniens, a tiré des roquettes sur Israël depuis Gaza pendant des décennies, culminant avec les horreurs du 7 octobre 2023.
- Le Hezbollah, financé et dirigé par les mollahs iraniens, a dominé la politique du Liban, transformant cette île autrefois dorée de paix multiconfessionnelle en une zone dangereuse.
- Les Houthis, financés et dirigés par les mollahs iraniens, ne se contentant pas de s’emparer de la moitié du Yémen, ont fermé la navigation sur la mer Rouge et le canal de Suez depuis plus d’un an et demi avec leurs attaques de navires et leurs actes de piraterie, coûtant à l’économie mondiale des milliards de dollars par jour.
- Et bien sûr, l’Iran lui-même, autrefois une nation heureuse, pacifique, tournée vers l’Occident, avec une économie capitaliste florissante et une liberté économique et sociale générale pour les hommes et les femmes, a passé les 46 dernières années sous l’emprise de fer d’une bande de maniaques homicides du septième siècle, pratiquant tout, du travail d’esclave à la torture, tirant les ficelles des démons susmentionnés et servant de principale source mondiale de terrorisme.
Et aujourd’hui, où en sont ces situations ?
Au cours de la dernière année et demie, Israël a gravement affaibli le Hamas et le Hezbollah par des actions directes, et maintenant, après avoir complètement écrasé la structure du pouvoir de l’Iran moderne en juin dernier, Israël a porté un coup critique, voire absolument mortel, à ces quatre organisations démoniaques.
L’opération en cours en Iran était la plus importante, car Israël était le marionnettiste de ses nombreuses filiales sanguinaires. Mais elle était aussi, d’une certaine manière, la plus difficile, car Israël entretient depuis longtemps des relations heureuses avec le peuple persan.
Les Perses ne sont pas Arabes ; ils ne partagent pas les mêmes préjugés culturels que les nombreuses nations arabes musulmanes de leur Occident.
Les Israéliens assez âgés pour se souvenir du monde des années 1960 et 1970 se souviennent encore d’une époque où l’Iran était leur ami, une nation laïque où musulmans, chrétiens et juifs (ainsi que bahaïs, zoroastriens, sikhs et autres) vivaient et travaillaient ensemble, heureux et en paix.
Lorsque le gouvernement israélien était enfin prêt à agir contre l’Iran, pour priver les mollahs de leur rêve sectaire – la destruction d’Israël par une attaque nucléaire – ces Israéliens avaient leurs vieux amis, le peuple persan, à l’esprit autant que leur propre préservation.
Les dirigeants israéliens rêvaient de rendre à l’Iran sa gloire d’antan, celle d’une nation occidentale pacifique et amicale. Ils ont mis en œuvre des méthodes d’attaque si précises et si soigneusement ciblées que la minimisation des dommages collatéraux serait sans précédent.
Chaque jour de cette guerre, Israël a réussi à éliminer un méchant après l’autre, dans ses bureaux, ses laboratoires, ses quartiers généraux, ses appartements – tout en évitant de tuer des civils à proximité. La puissance militaire de l’Iran, longtemps un ennemi redoutable, a été érodée au point qu’on ose espérer une révolution populaire et un retour à une gouvernance républicaine pacifique.
Le succès d’Israël a été si incroyable que ses partisans à travers le monde ont été pratiquement fous de joie.
Mais comment la presse a-t-elle couvert cette affaire ?
La presse ne sait pas comment le couvrir. La presse a suivi l’année écoulée les réalisations israéliennes, réduisant les pires menaces du monde en ruines, une par une, sans acclamation, sans compliment, sans une once de la célébration que de telles réalisations méritent clairement.
Alors posons-nous la question : et si Benyamin Netanyahou n’était pas le Premier ministre dont le gouvernement est responsable de cette situation ? Et s’il s’agissait de l’un de ses nombreux adversaires politiques ?
Netanyahou est le Premier ministre israélien le plus ancien, mais son leadership a été divisé à plusieurs reprises au cours des trente dernières années. Durant sa carrière politique, Israël a souvent été dirigé par des socialistes et des modérés – Rabin, Peres, Barak, Olmert, Lapid – des personnalités qui étaient souvent les porte-parole de la presse internationale, malgré leur incapacité à relever efficacement les défis d’Israël.
Et si ces succès extraordinaires avaient eu lieu sous leur égide ? Et si Ehoud Olmert, Ehoud Barak ou Shimon Peres, chouchous des soirées new-yorkaises, avaient réussi à paralyser le régime iranien et ses cellules terroristes, en si peu de temps ?
Nous n’avons pas vraiment besoin de demander, n’est-ce pas ?
La presse internationale, du New York Times à la presse antisémite européenne, trouverait encore le courage de saluer de tels accomplissements s’ils étaient le fait de leurs compatriotes de gauche. Vous le savez.
Le Premier ministre israélien serait élu Personnalité de l’année par le Time, lauréat du prix Nobel de la paix, conférencier invité lors des cérémonies de remise des diplômes de plusieurs universités de l’Ivy League, et d’innombrables étudiantes et starlettes se pâmeraient devant lui. Car leur appartenance politique à la gauche méritait d’être saluée.
Hélas, Benyamin Netanyahou, ami de l’Amérique, conservateur convaincu, défenseur de sa nation, n’est pas de gauche. Les membres de son cabinet non plus.
Ainsi, peu importe le succès de son mandat, peu importe le nombre de millions d’innocents libérés d’une vie de terreur grâce aux réalisations de l’administration de Netanyahou, la presse occidentale ne célébrera ni lui ni ces réalisations.
Car pour eux, seul compte l’avancement du programme marxiste/mondialiste. Tout obstacle, quel que soit le nombre d’innocents libérés, doit être combattu.
Dieu merci, il existe encore des dirigeants mondiaux qui font ce qui est juste, sans rechercher la bénédiction des élites corrompues et de la presse à scandale.
Nous remercions la Divine Providence d’avoir donné à cette terre de tels héros – le Premier ministre Netanyahu, son cabinet, l’armée israélienne et le peuple israélien – qui sont aujourd’hui des modèles de leadership pour le monde.
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