Transhumanisme

Cauchemar du dépeuplement: Ils tuent les vrais bébés, mais vous pourrez en acheter des faux

Suite à notre précédent article : « Cauchemar du dépeuplement: Les enfants Tamagotchi ou les bébés cyber dans 50 ans ou Moins« , il est important de revenir à ce qui se passe aujourd’hui.

August Stoll

Né avec une maladie cardiaque, seule une greffe pourrait le sauver, mais le docteur David W. Bearl a catégoriquement refusé, car il n’est pas à jour du calendrier « vaccinal » et il n’a pas reçu le vaccin Pfizer…

Son assassin, le docteur David W. Bearl. Obèse, futur diabétique (si ce n’est pas déjà le cas), c’est ce genre de monstre malade qui décide de la vie et de la santé des bébés qui ont besoin d’une greffe au « Vanderbilt Pediatric Heart Institute » (Tennessee – États-Unis).

Aux États-Unis, les « médecins » tueurs à la seringue d’ARNm de Pfizer & Co. ont les mains libres, ils sont protégés par les cliques de Joe Biden et des Démocrates.

Âgé de 6 mois, immunodéprimé, August Stoll est né avec une maladie cardiaque congénitale qui lui a valu, début juin 2022, d’être opéré du cœur en urgence (« Vanderbilt Pediatric Heart Institute » – Tennessee – États-Unis).


Malheureusement, l’opération fut un échec et l’équipe chirurgicale de cardiologie infantile le transféra à l’équipe de transplantation de l’hôpital, afin qu’il bénéficie d’une transplantation cardiaque, qui seule peut lui sauver la vie.

C’était sans compter sur le chef de service des transplantions, David Bearl, qui refusa en indiquant aux parents d’August Stoll que leur enfant ne serait pas transplanté tant qu’il ne serait pas vacciné contre le Covid

Lorsque la maman d’August fit remarquer au docteur David W. Bearl qu’une loi en vigueur dans l’État du Tennessee « interdit aux hôpitaux de refuser des greffes d’organes aux patients non vaccinés contre le Covid », de même qu’aucune loi de l’État ne soumet les soins aux enfants à leur statut « vaccinal », il lui précisa que ce n’était ni la loi ni la politique qui l’obligeait à vacciner August si elle voulait qu’il bénéficie d’une transplantation : « C’est comme ça qu’on fait les choses ici. ».

Révoltée, la maman a déclaré « C’est un bébé immunodéprimé dans un état critique et ce médecin veut le bombarder de vaccins… Nous savons que cela le tuera. »

Il est vraiment urgent que les Républicains et Donald J. Trump reviennent au pouvoir aux États-Unis.


En février 2022, des Républicains ont déposé le projet de législation fédérale « Stop Arduous Vaccine Enforcement (SAVE) Act » (« Arrêter l’application stricte du calendrier vaccinal »), qui est soutenu par l’« Association of American Physicians and Surgeons » (« Association des médecins et chirurgiens américains »).

Droit à l’avortement

Aux États-unis, la décision de la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade a donné lieu à une véritable insurrection. Biden parle carrément de supprimer la Cour Suprême, des appels à la violence sont tolérés, et des maternités sont attaquées.

Il faut dire que la légalité de l’avortement était revendiquée jusqu’au neuvième mois de grossesse et pire encore, jusqu’à 28 jours après la naissance du bébé. L’infanticide est devenu légal dans certains états et notamment dans l’état démocrate de Californie.

Le Temple satanique revendique l’avortement comme étant un rituel religieux et invoque la « liberté de culte ».

Or, Monseigneur Vigano, faisant le point sur la question a vivement rappelé » que la décision de la Cour suprême n’a fait que guérir une blessure constitutionnelle:

La décision de la Cour suprême n’a pas statué sur le « droit à l’avortement » – comme le prétend le discours dominant – mais elle a plutôt renversé sa « légalisation obligatoire dans tous les États », rendant le pouvoir de décider de la « question morale profonde de l’avortement » au « peuple et à ses représentants élus », à qui Roe v. Wade l’avait retiré, contrairement aux préceptes de la Constitution américaine.

Il rappelle également, que la définition de « Mon corps, mon choix », devrait s’appliquer à tous les domaines de la vie individuelle:

Le monde globaliste, qui a fait de la violation systématique du corps humain son drapeau idéologique en imposant à la population un traitement génique expérimental contre toute évidence scientifique, déchire aujourd’hui ses vêtements en revendiquant le droit des femmes à l’autonomie corporelle et le droit tuer la vie que la mère porte dans son ventre.

En France l’hypocrisie est toujours à son comble: alors que personne en France ne songe à remettre en cause le droit à l’avortement, même pas la criminelle loi votée à la quasi-unanimité des députés sortants et de sénateurs actuels qui autorise les avortements à terme (!) (on attend toujours qu’un responsable politique s’intéresse à la question, car s’il s’agit de pratiquer un avortement le jour de l’accouchement, cela signifie quoi exactement pour le bébé à naître ? Ils le tuent ?), toute la classe politique française qui vit en parasite de nos impôts a trouvé là un bon moyen de faire diversion: ils veulent inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution ».

Faire diversion, la grande spécialité de la classe étatique française qui préfère ne pas avoir à parler des dizaines de milliers de morts dus aux vaccins, de la dangerosité du port du masque, et des soignants et pompiers jetés à la rue (et dont certains se suicident dans l’indifférence générale).

Mais restez confiants, les mondialistes adeptes de la dépopulation humaine de la planète ont pensé à tout : avec « Babyclon AI », le premier bébé en silicone « ultra-réaliste » au monde équipé d’intelligence artificielle, vous pourrez faire comme si vous aviez un bébé, avec tous les avantages et sans les inconvénients.

D’après La lettre confidentielle de LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ et le suivi des articles de la semaine


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