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Boualem Sansal et Kamel Daoud, les martyrs de la gauche woke

Télérama qualifie les deux auteurs Boualem Sansal et Kamel Daoud de « héros de la droite et de l’extrême droite »... Je croyais que ce journal servait à fournir le programme télé !

Les vrais martyrs, sont des gens comme l’Imam Chaghoumi, Boualem sansal, Kamel Daoud, Karim Maloum, Amine El Khatmi, et d’autres.

Amine El Khatmi a une voix singulière à gauche. Musulman, l’adjoint socialiste au maire d’Avignon défend haut et fort une laïcité intransigeante, quitte à agacer dans son propre camp. Il n’hésite pas à se dire «en guerre contre l’islam politique…

« Il faut expulser les imams étrangers qui tiennent des propos anti-républicains», insiste l’élu, qui invite les musulmans «à se prendre en main» et à «faire le ménage chez eux». «Qu’ils commencent par ça. Parce qu’il y a trop de complaisances, de choses qu’on laisse passer», insiste-t-il.

Le journaliste algérien Karim Maloum évoque l’absence de musulmans à la Marche contre l’antisémitisme :

Le gauchisme médiatique est un dérèglement mental qui engendre une maladie de l’âme . On t’aime #Boualem❤️

G-William Goldnadel sur X @GWGoldnadel

Le magazine Télérama a publié un article jeudi 26 décembre sur l’affaire Boualem Sansal et Kamel Daoud, deux écrivains franco-algériens critiques du régime algérien, qui questionne la liberté d’expression.


« Issus de la gauche laïque algérienne, ciblés par le régime de leur pays d’origine, les deux écrivains divisent en France, où leur discours sur l’islam a fait d’eux des héros de la droite et de l’extrême droite. Ce dont ils semblent souvent s’accommoder »écrit Télérama qui pointe du doigt des « passions très françaises » autour des deux hommes.

Mais où on va dans ce pays gangrené par un gauchisme maladif ?

Des propos qui n’ont pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux.

« Mais non Télérama, et c’est à l’honneur de notre pays, ces passions sont universelles : celles de la liberté d’être et de créer, celles de la littérature, de la belle langue, de la poésie, de cette culture que vous avez abandonnée par obsession gauchiste », écrit David Lisnard, maire de Cannes et président des maires de France, sur X.

« La passion de l’esprit des lumières, celle de la liberté, la passion de la démocratie qui protège les opinions… oui une passion très française… qui devrait amener à demander unanimement la libération de Boualem Sansal », ajoute Guillaume Lacroix (PRG), membre du Conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes.

« Télérama range à l’extrême droite tous les français d’origine magrébine qui ne sont pas islamistes »

« Télérama wokisé et islamo-gauchiste range à l’extrême droite tous les Français d’origine maghrébine qui ne sont pas islamistes. Manque de chance, il suffit de regarder la composition de son Comité international de soutien à Boualem Sansal pour constater qu’il n’en est rien », tance le politologue Stéphane Rozès. 

« Les voix qui s’élèvent pour défendre la laïcité, qui formulent une critique éclairée, et qui soutiennent la démocratie et les droits de l’homme ne sont pas d’extrême droite », abonde un autre internaute.

« Article médiocre de Télérama qui reprend l’argument, qu’horreur ! Daoud et Sansal accepteraient d’être appréciés par la droite et son extrémité. Alors que l’un d’eux est au cachot, le discours est écœurant », fustige également l’avocat et essayiste Gilles-William Goldnadel sur X.

Kamel Daoud, lauréat du prix Goncourt 2024, est vilipendé des deux côtés de la Méditerranée – l’écrivain Boualem Sansal arrêté et inculpé…

Quand les écrivains sont vus comme des traîtres, c’est qu’on est dans un système fasciste.


Les deux écrivains sont considérés l’un et l’autre comme des suppôts du sionisme, du colonialisme et de l’extrême droite, bref comme des traitres à leur patrie…

Mais quelle patrie ? Cette patrie que la députée LFI Rima Hassan décrivait dans un tweet comme « la Mecque des révolutionnaires et son deuxième chez moi ». Elle, qui n’a jamais parlé d’autre chose que de la Palestine où elle n’a jamais mis les pieds !

Du coup, Kamel Daoud et Boualem Sansal se retrouvent face à un faux choix entre islamisme et extrême droite.

Comme si il n’y avait rien au milieu. Comme si la liberté de penser était systématiquement un enjeu politique…

Non, c’est un enjeu humain !

Et il faut quand même dire que l’islamisme que nous voyons autour de nous, dans ce monde, n’a rien d’humain. Ce que l’on voit en Afghanistan, en Iran, en Irak, au Qatar etc… n’a rien d’humain. 

Eux qui se prennent pour des martyrs lorsqu’ils se font éliminer après un attentat contre des innocents, sont tout ce qu’on veut sauf des martyrs. Ce sont des criminels terroristes qui n’ont rien de « résistants », mais ne sont que des malades mentaux aux prises avec une secte satanique qui les possède.


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