Les ministres des Affaires étrangères du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne ont rencontré leur homologue iranien vendredi et, après la fin des discussions, ont déclaré que les discussions avaient été « sérieuses » et qu’ils avaient exhorté Téhéran à accepter de parler ensuite aux Américains.
Discuter pour au final continuer à discuter
Les premiers pourparlers de paix entre Londres, Paris, Berlin et Téhéran visant à ouvrir la voie à des négociations pour mettre fin à la guerre entre l’Iran et Israël ont duré environ quatre heures et demie vendredi.
Le Britannique David Lammy, le Français Jean-Noël Barrot et l’Allemand Johann Wadephul ont rencontré l’Iranien Abbas Araghchi à Genève, en Suisse, pour des entretiens en face à face qui, selon eux, après la fin de la réunion, devraient conduire à de nouvelles discussions.
ON AVANCE !!! MDR….
Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a déclaré avoir clairement indiqué lors des discussions que « l’Iran ne peut pas posséder l’arme nucléaire » et avoir exhorté l’Iran à « poursuivre ses discussions avec les États-Unis ».
Avant les négociations, Lammy avait déclaré qu’il existait un délai de deux semaines pour parvenir à la paix, alignant ainsi le Royaume-Uni sur les propos du président Trump, qui a tenu les mêmes propos aujourd’hui .
Le Français Jean-Noël Barrot a déclaré avoir dit à l’Iran qu’« il n’y a pas de solution militaire » et qu’ils devraient conclure un accord négocié à la « situation de crise ».
Il a déclaré que « l’Iran doit s’ouvrir au dialogue, y compris avec les États-Unis, pour trouver une solution négociée à cette crise », tout en rappelant les principes fondamentaux de la proposition de paix française, notamment la cessation du soutien de l’Iran aux groupes terroristes parrainés par le monde, la libération des otages occidentaux détenus dans ses prisons et l’opacité du programme nucléaire iranien.
Le plan de Macron vise également à résoudre les problèmes liés au soutien de l’Iran à la machine de guerre russe en Ukraine par le biais de systèmes de drones et au programme de missiles balistiques de l’Iran.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Johann Wadephul, a qualifié les discussions de vendredi de « sérieuses » (c’est sûr 4 heures pour rien, c’est sérieux) et, comme les autres, a déclaré qu’elles avaient incité l’Iran à parler à Washington.
Cette exhortation n’est pas sans conséquence : l’Iran a jusqu’à présent refusé les appels de Washington, y compris de l’envoyé de Trump, Steve Witkoff, car ils accusent les États-Unis d’avoir permis les frappes israéliennes.
En effet, avant le début des négociations ce matin, les médias d’État iraniens ont relayé des informations affirmant qu’il ne pouvait y avoir aucun dialogue avec les États-Unis tant que les combats se poursuivaient, considérant l’Amérique comme « complice ».
Araghchi aurait déclaré :
« Nous n’avons rien à discuter avec les États-Unis, complices de ce crime. »
Jeudi , le président américain Donald Trump a suspendu son intervention dans la guerre israélo-iranienne, déclarant qu’il reporterait sa décision à une date ultérieure. Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a déclaré que pour les États-Unis, un accord nécessiterait des garanties sur l’enrichissement de l’uranium et l’armement nucléaire, ce que l’Iran, selon le gouvernement américain, n’était pas prêt de conclure avant deux semaines.
À ceux qui veulent encore négocier avec les mollahs : réveillez-vous ou barrez-vous !
Depuis plus de vingt ans, certains en Occident — notamment en France — persistent à tendre la main au régime iranien. Ils les reçoivent avec les honneurs à l’ONU, ils les nomment dans les commissions de sécurité et des droits de la femme , les appellent au téléphone (sans être capable s de libérer nos prisonniers français, c’est dire leur incompétence crasse), pleurent leurs presidents ou pire les proxys tombés au Liban… et les mêmes s’indignent dès qu’Israël décide de se défendre. Ce doit être du « en même temps » qui mène directement À LA CATASTROPHE.
À tous ces responsables qui ont fait de l’aveuglement une politique, je pose une simple question :
Imaginez un instant que les mollahs disposent aujourd’hui de l’arme nucléaire. Combien de temps leur faudrait-il pour viser Tel-Aviv ?
Et plus largement : quelle serait la situation au Moyen-Orient si ce régime — déjà le plus dangereux de la région — disposait de l’arme la plus destructrice au monde ?
Ce ne serait pas seulement Israël qui serait menacé, mais l’ensemble de l’humanité.
Un régime théocratique, expansionniste, fanatisé, qui arme tous les groupes terroristes de la région, de Gaza au Yémen, en passant par le Liban et la Syrie… et qui proclame depuis des décennies SA VOLONTÉ DE DÉTRUIRE ISRAËL ET L’OCCIDENT….
Et vous continuez, depuis Paris, à parler de “dialogue”, de “désescalade” et de “risque de chaos” en cas de changement de régime ?
Mais sur quelle planète vivez-vous ?
Au lieu de multiplier les sourires et les appels à la “retenue”, commencez par relever les manches. Il est temps d’aider ne serait ce en vous taisant la seule force aujourd’hui qui agit concrètement pour empêcher un Iran nucléaire, c’est Israël.
Et pendant qu’Israël fait le travail que vous n’avez jamais osé faire, vous blablatez alors que vous avez abandonné le peuple iranien, trahi les Syriens, et laissé les mollahs détruire le Liban, l’Irak, le Yémen et Gaza.
Taisez vous.Les armes nucléaires aux mains de terroristes ne menacent pas un seul pays : elles mettent en péril l’humanité entière.
Et face à cette menace, votre silence, votre lâcheté ou votre collaboration font de vous des complices.
L’Histoire ne vous oubliera pas.
Faraj Alexandre Rifai
UN PEU D’HUMOUR N’A JAMAIS TUÉ PERSONNE :
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