« La liberté d’expression est un virus. La censure est le vaccin. »
Ce mantra effrayant, repris dans les couloirs du pouvoir en Europe et au Royaume-Uni, est devenu le credo tacite d’une gauche mondialiste désireuse de garder le contrôle.
Il sert de slogan séduisant à ceux qui craignent le chaos du débat public – une justification pour faire taire la dissidence sous couvert de protection du public. Mais sous cette façade clinique se cache une profonde trahison des principes qui ont façonné le monde moderne. Si la liberté d’expression vacille, elle ne sera pas une victime isolée ; elle entraînera avec elle tous les autres droits.
L’idée selon laquelle la parole fonctionne comme un « virus » fait de l’expression humaine une maladie, quelque chose qu’il faut craindre et éradiquer. Cette métaphore nous prive de notre humanité, réduisant les idées, aussi brutes ou rebelles soient-elles, à des agents pathogènes qu’il faut contenir.
La censure, comparée à un « vaccin », devient le noble remède utilisé par les élites éclairées pour immuniser la société contre le chaos de la libre pensée.
Ce n’est pas seulement de la rhétorique ; cela sert de modèle pour le contrôle. Partout en Europe et au Royaume-Uni, nous avons vu cette idéologie prendre racine : les lois se durcissent, les plateformes de médias sociaux se plient aux régulateurs et des voix autrefois bienvenues sont désormais qualifiées de dangereuses.
Considérez les faits.
Au Royaume-Uni, la loi sur la sécurité en ligne permet au gouvernement de contrôler les contenus « préjudiciables », un terme si vague qu’il peut englober tout, de la dissidence politique aux opinions impopulaires.
En Allemagne, la loi sur la répression des cyberattaques oblige les plateformes à supprimer les « discours de haine » dans les 24 heures, qui s’apparentent souvent à de la satire ou à un véritable débat.
La loi Avia en France, bien que partiellement annulée, visait auparavant à criminaliser les discours en ligne jugés offensants en leur imposant des amendes faramineuses.
Ces mesures ne sont pas isolées : elles sont les symptômes d’une contagion plus large qui considère le libre échange d’idées comme une menace à neutraliser.
L’ironie est indéniable. La liberté d’expression n’est pas un virus, c’est l’élément vital d’une société libre.
Ce mécanisme nous permet de défier le pouvoir, de dénoncer la corruption et d’approfondir notre compréhension du monde. Sans elle, les puissants deviennent intouchables, protégés de tout contrôle par une chambre d’écho aseptisée.
L’histoire le prouve : tous les régimes autoritaires, de l’Union soviétique de Staline à la Chine de Mao, ont commencé leur règne en faisant taire les dissidents.
La gauche mondialiste n’aspire peut-être pas ouvertement à de tels extrêmes, mais sa logique suit le même chemin : contrôlez le récit et vous contrôlez tout le reste.
L’histoire nous montre que lorsque la liberté d’expression est restreinte, d’autres libertés suivent rapidement. Sans la possibilité de remettre en question les politiques, comment les citoyens peuvent-ils préserver la démocratie ?
Sans débat ouvert, comment le public peut-il demander des comptes aux dirigeants ?
Si l’État a le pouvoir de décider de ce qui peut être exprimé, il acquiert inévitablement l’autorité de contrôler ce qui peut être pensé.
Considérez comment la censure a déjà commencé à porter atteinte à d’autres droits fondamentaux :
Liberté de réunion : Les manifestations considérées comme politiquement gênantes sont réprimées, ce qui donne lieu à des poursuites judiciaires contre les manifestants.
Liberté de religion : Les expressions de foi qui entrent en conflit avec les idéologies progressistes sont de plus en plus marginalisées.
Droit à la légitime défense : les restrictions à la liberté d’expression ouvrent souvent la voie à des politiques qui désarment les citoyens, les laissant impuissants face aux excès du gouvernement.
- Si la liberté d’expression est perdue, les dominos tombent rapidement.
- Le droit de se réunir ? Nul si l’on ne peut pas exprimer ses pensées.
- Le droit à la liberté de la presse ? Vide de sens si les journalistes s’autocensurent sous peine de sanctions.
- Le droit à la vie privée ? Futilité si chaque mot est contrôlé pour s’assurer qu’il est conforme.
- Même le droit de penser librement se détériore lorsque l’expression est contrôlée, forçant la dissidence à se cacher ou à tomber dans l’oubli.
Ce n’est pas une exagération, c’est une réaction en chaîne, ancrée dans la simple vérité que la liberté d’expression est le fondement sur lequel reposent toutes les autres libertés.
Pourtant, les censeurs continuent, dissimulant leur programme sous une façade de supériorité morale. Ils affirment qu’ils protègent les plus vulnérables et la société contre la désinformation ou la haine. Mais qui détermine ce qui est nuisible ?
Les mêmes gouvernements et géants de la technologie qui profitent du conformisme et prospèrent lorsque la dissidence est réduite au silence ?
Leur solution est pire que le problème : un ordre stérile et autoritaire où seules les voix autorisées perdurent. Ils ne recherchent pas la sécurité mais le pouvoir.
La lutte pour la protection de la liberté d’expression ne se résume pas à une simple question de mots : elle touche à l’essence même de la démocratie.
L’Europe et le Royaume-Uni se trouvent à la croisée des chemins : l’un mène à un avenir où les idées circulent librement, aussi désordonnées et controversées soient-elles, l’autre à une dystopie stérile où la pensée elle-même est un privilège accordé par l’État.
Voici comment nous, en tant qu’individus, pouvons riposter :
Défiez la censure : évitez l’autocensure. Participez plutôt aux discussions, partagez des points de vue différents et mettez en évidence les tentatives visant à étouffer le débat.
Soutenir les plateformes de liberté d’expression : Alors que les grandes entreprises technologiques imposent de plus en plus de restrictions idéologiques, les plateformes indépendantes qui donnent la priorité à la liberté d’expression doivent être renforcées.
Tenez les politiciens responsables : votez pour des dirigeants qui respectent les libertés civiles et s’opposent aux lois de censure draconiennes.
Éduquer les autres : Plus les gens comprendront les conséquences de la censure, plus leur résistance aux politiques autoritaires deviendra forte.
La gauche mondialiste a beau qualifier la liberté d’expression de virus, ce n’est pas une maladie : c’est le cœur d’une société saine.
La censure n’est pas un vaccin, c’est un poison.
Si nous la laissons se propager sans contrôle, nous risquons de perdre tout ce qui définit notre humanité.
Si l’histoire nous sert de guide, le silence ne peut être une option. Une société qui privilégie le confort à la liberté perdra rapidement les deux.
Le choix est clair : accepter la liberté d’expression ou abandonner tous les droits à la force croissante de la censure. L’avenir de la démocratie dépend de cette lutte, et il est temps d’agir maintenant.
N’oubliez pas que lorsque la liberté d’expression est qualifiée de virus, l’idée même de liberté individuelle se transforme en une maladie à éradiquer.
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