Secrets révélés

Qui a inventé quoi ?

par Go Woke Go Broke ⚜️🇫🇷✝️✡️🕉️ @WokeAreDumb sur X

L’inénarrable Jean-Luc Mélenchon vient de déclarer que « les Arabes ont inventé les maths ». Donc Pythagore, Euclide et Archimède étaient… en djellaba ? Bon, eh bien je pense qu’il est grand temps que je vous reposte ceci …

Débunk MAJEUR… Non, les Arabo-musulmans n’ont pas « Tout Inventé » comme on l’entend souvent. Découvrez dans ce long fil Ultra-Documenté les vérités fascinantes et dérangeantes sur chacun de ces sujets. Un travail colossal de recherche pour lutter contre la désinformation et rendre justice à l’histoire collective.

L’Âge d’Or de l’Islam : un Pillage Intellectuel !

L’Âge d’Or de l’Islam : Un Mirage de Savoir ou un Pillage Intellectuel ? L’histoire célèbre trop souvent l’Âge d’or de l’islam (VIIIe-XIIIe siècles) comme une période exceptionnelle de progrès scientifique et intellectuel. Des noms comme Avicenne, Alhazen, et Al-Khwarizmi sont souvent cités comme des génies ayant transformé la science et la philosophie.


Pourtant, un examen plus attentif révèle une réalité beaucoup plus nuancée, voire controversée : la plupart des avancées attribuées à cette période sont le fruit du travail de traducteurs et de savants non musulmans, souvent marginalisés dans la narration dominante. Alors, les Arabes musulmans étaient-ils réellement les pionniers intellectuels qu’on dépeint, ou de simples mécènes orchestrant une transmission du savoir étranger ?

Des traducteurs chrétiens et juifs à l’origine du savoir

Contrairement à l’idée répandue selon laquelle les érudits arabes ont « redécouvert » les trésors intellectuels de l’Antiquité, la réalité est que ce travail était souvent réalisé par des scribes d’autres confessions religieuses.

Parmi les figures clés :

– Les chrétiens syriaques : Ces érudits, parlant le grec, le syriaque et l’arabe, jouaient un rôle central bien avant l’ascension de l’Islam. Ils avaient déjà traduit des textes d’Hippocrate, Aristote et Galien en syriaque.


Un exemple emblématique est Hunayn ibn Ishaq, un chrétien nestorien, qui a dirigé une équipe de traduction sous le patronage du calife abbasside al-Ma’mun. Il copiait et traduisait en syriaque, puis en arabe, des œuvres qui deviendront les bases de la médecine médiévale.

– Les traducteurs juifs : Les érudits juifs, en particulier en Espagne, ont non seulement traduit des textes grecs et arabes en hébreu ou en latin, mais ont également servi de ponts entre le monde musulman et chrétien.

Leur rôle a été crucial dans les écoles de traduction comme celle de Tolède au XIIe siècle.

– Les Zoroastriens perses : Avant et après l’Islam, les Perses zoroastriens ont contribué à transmettre le savoir Sassanide Perse (224 à 651 de notre ère) (astronomie, médecine, mathématiques) vers le monde arabe.

Le rôle des Arabes musulmans : Uniquement des mécènes, pas des scientifiques

Certes, les califes abbassides, comme al-Ma’mun, ont financé des traductions massives de textes grecs, perses et indiens vers l’arabe. La Maison de la Sagesse à Bagdad est souvent mise en avant comme un symbole de ce mécénat. Mais ce rôle de soutien financier ne fait pas d’eux des créateurs de savoir.

Absence d’innovation majeure : Contrairement aux perceptions modernes, les érudits musulmans de cette période ont rarement produit des découvertes originales. Ils ont souvent annoté, commenté et interprété les textes existants, mais peu de concepts ou d’inventions nouvelles sont directement attribuables à cette période.

Influence des modèles grecs et perses : Les savants musulmans ont principalement puisé dans des traditions scientifiques antérieures, notamment grecques (Ptolémée, Euclide) et indiennes (mathématiques, astronomie).

Les véritables pionniers oubliés

La plupart des avancées attribuées à l’Islam médiéval viennent donc de trois groupes principaux:

  • – Les Grecs antiques : Leur héritage scientifique a été traduit et réinterprété.
  • – Les Indiens : Leur système numérique (notamment le zéro) et leur astronomie ont été intégrés.
  • – Les traducteurs : Sans eux, il n’y aurait eu ni transmission ni assimilation du savoir. Ils étaient payés par les califes, mais n’étaient pas musulman !

L’Europe médiévale doit-elle tout à l’islam ? 

Une autre idée reçue est que l’Europe médiévale doit sa Renaissance aux Arabes musulmans. En réalité :

Les chrétiens mozarabes et les érudits juifs d’Espagne ont traduit les textes arabes en latin, mais ce savoir provenait déjà des traditions grecques et indiennes.

L’Europe n’a pas simplement hérité des « découvertes islamiques ». Elle a souvent directement accédé aux sources grecques originales, par exemple à travers Byzance.

Une mythologie à déconstruire

L’idée d’un Âge d’or de l’Islam où les Arabes musulmans étaient les leaders mondiaux de la science est donc un mythe. Si l’on doit reconnaître leur rôle de mécènes et d’adaptateurs, il faut aussi admettre que :

  • Le savoir qu’ils ont « transmis » n’était pas le leur.
  • Les véritables artisans de cette transmission étaient souvent des chrétiens, des juifs ou des Perses, dont le travail a été effacé ou minimisé.

Conclusion : Une mosaïque de cultures, pas un monopole arabe-musulman

L’histoire de la science durant l’Âge d’or de l’Islam est une histoire collective, façonnée par des contributions variées. Réduire cette période à une gloire exclusivement arabe-musulmane revient à ignorer la richesse des échanges interculturels. Les Arabes musulmans étaient les mécènes, mais les vrais héros de cette période étaient les traducteurs, scribes et savants d’autres horizons.

Alors, peut-on encore parler de l’Âge d’or de l’Islam comme une révolution scientifique ? Ou serait-il plus honnête de l’appeler l’Âge de la Copie, du Plagiat et éventuellement de la Transmission ?

Les Origines Indiennes des Mathématiques et les Faux « Chiffres Arabes »

Depuis des siècles, le monde s’émerveille des réalisations mathématiques attribuées à diverses civilisations, mais peu reconnaissent la véritable origine de certains des concepts les plus fondamentaux qui façonnent les mathématiques modernes.

Contrairement aux idées reçues, c’est l’Inde ancienne qui a donné naissance au concept de zéro et qui a posé les principes fondamentaux de l’algèbre, bien avant que ces idées ne se répandent dans d’autres parties du monde. Ce que beaucoup appellent aujourd’hui les « chiffres arabes » a en fait été créé en Inde — un témoignage remarquable du génie mathématique des anciens savants indiens.

L’Invention du Zéro : La Merveille Mathématique de l’Inde

Le concept de zéro, ou ‘śūnya’ en sanskrit, a révolutionné les mathématiques. Développé vers le 5ème siècle par le brillant mathématicien indien Aryabhata et affiné plus tard par Brahmagupta, le zéro était plus qu’un simple symbole ; c’était une idée révolutionnaire qui représentait le concept du ‘néant’ et permettait des calculs d’une complexité sans précédent.

Cette invention a été une pierre angulaire dans le développement d’un système numérique à valeur de position, qui est la base de toute l’arithmétique moderne.

L’Algèbre : Le Cadeau des Savants Indiens Anciens

Les savants indiens ont également été des pionniers dans le domaine de l’algèbre. Le mot « algèbre » lui-même provient de la traduction arabe du titre de l’œuvre du mathématicien perse Al-Khwarizmi, « Al-Kitab al-Mukhtasar fi Hisab al-Jabr wal-Muqabala. »

Cependant, les racines de l’algèbre remontent à l’Inde, où des savants comme Brahmagupta ont établi des règles pour résoudre des équations quadratiques et formulé des méthodes pour traiter les inconnues dès le 7ème siècle. Les approches systématiques et les règles qu’ils ont élaborées étaient bien en avance sur leur temps et ont constitué la base sur laquelle les mathématiciens islamiques ultérieurs ont construit.

La Véritable Origine des « Chiffres Arabes » : Le Système Ingénieux de l’Inde

Les soi-disant « chiffres arabes » — 1, 2, 3, et ainsi de suite — sont en réalité d’origine indienne. Ce système numérique, développé par des mathématiciens indiens entre le 2ème et le 6ème siècle, a été transmis au monde arabe à travers le commerce et les échanges savants.

Les savants arabes, reconnaissant l’efficacité et la simplicité de ce système, l’ont adopté, traduit les textes mathématiques indiens et diffusé ces idées à travers l’Europe. Lorsqu’ils ont atteint l’Occident, ils ont été attribués à tort aux Arabes, d’où le terme de « chiffres arabes ». La véritable origine, cependant, réside dans les brillants esprits des mathématiciens indiens.

Célébrer l’Héritage Riche de la Culture Mathématique Hindoue

La culture hindoue, profondément ancrée dans l’exploration intellectuelle et la quête savante, a donné au monde de nombreux trésors mathématiques. De la compréhension profonde du zéro aux techniques sophistiquées de l’algèbre et au développement du système décimal, les mathématiciens indiens anciens ont joué un rôle central dans la formation de la pensée mathématique mondiale.

Les contributions d’Aryabhata, Brahmagupta et Bhaskara ont été essentielles pour poser les bases des mathématiques modernes, des siècles avant que le monde occidental n’adopte ces concepts.

Rétablir la Vérité : Un Héritage Qui Mérite d’Être Reconnu

Si les Arabes ont joué un rôle dans la transmission du savoir mathématique indien vers l’Occident, il est essentiel de reconnaître qu’ils n’ont pas été les inventeurs de ces concepts.

La véritable origine de ce que l’on appelle souvent à tort les « chiffres arabes » est l’Inde, une civilisation riche en perspicacité et en innovation mathématiques. Célébrons et honorons les contributions incroyables des savants indiens anciens, qui ont posé les fondations des systèmes mathématiques que nous utilisons aujourd’hui, et reconnaissons l’impact profond de leur travail sur la scène mondiale.

Inde : Le Berceau des Mathématiques — Un Héritage Qui A Redessiné Le Monde !

Le concept de « zéro » et la notion de « vide » ou de « rien » ont des origines différentes et des implications distinctes dans l’histoire de la pensée humaine, même si l’un et l’autre traitent d’une idée d’absence.

Le Zéro : Une Invention Mathématique Indienne

Le zéro, tel que nous le connaissons aujourd’hui, a été inventé par les mathématiciens indiens vers le 5ᵉ siècle après Jésus-Christ. L’une des premières utilisations connues du zéro comme chiffre date de 628 après J.-C., par le mathématicien indien Brahmagupta, qui a établi des règles pour son utilisation dans les calculs mathématiques. Avant cela, le concept d’absence d’une valeur existait dans d’autres cultures, comme chez les Babyloniens dès le 3ᵉ siècle avant J.-C., qui utilisaient un symbole pour indiquer un espace vide dans leur système de numération. Cependant, ce symbole n’était pas considéré comme un chiffre en soi.

Le véritable apport indien est d’avoir transformé ce concept abstrait en un chiffre concret qui joue un rôle fondamental dans le système de numération positionnelle décimale. Le zéro est devenu à la fois un symbole de l’absence et un nombre à part entière, permettant des opérations mathématiques avancées comme l’addition, la soustraction, la multiplication, et même la division.

Le Vide ou le Rien : Un Concept Philosophique Grec

Avant l’invention du zéro comme chiffre, les Grecs avaient déjà exploré les idées de « vide » ou de « rien » (le « kenon » en grec), mais d’une manière principalement philosophique et métaphysique. Parménide (vers le 5ᵉ siècle avant J.-C.) soutenait que le vide n’existait pas, car le non-être ne pouvait pas exister. En revanche, Démocrite (vers 460-370 avant J.-C.) et les philosophes atomistes considéraient le vide comme une nécessité pour que le mouvement des atomes soit possible, mais ils ne l’associaient pas à une valeur numérique. Aristote, de son côté, rejetait l’idée d’un vide mathématique ou physique, le considérant comme une impossibilité logique, puisque le vide serait une négation de l’être.

Différence entre le Zéro et le Vide

Concept Mathématique vs Concept Philosophique: Le zéro indien est un concept mathématique qui représente non seulement l’absence d’une quantité mais est aussi un nombre en soi, manipulable dans des calculs. En revanche, le « vide » chez les Grecs est un concept philosophique, symbolisant l’absence d’être ou de substance, sans fonction mathématique spécifique.

Utilisation en Calcul: Avant l’invention du zéro, les systèmes de numération, comme celui des Grecs, ne possédaient pas de symbole pour indiquer une valeur nulle dans les calculs. Le zéro introduit par les Indiens a révolutionné les mathématiques en permettant l’utilisation d’un système positionnel, rendant les calculs plus complexes et précis.

Point de Référence Numérique vs Abstraction

Métaphysique: Le zéro, dans le système de numération décimale, est devenu un point de référence essentiel pour les mathématiques et la science, facilitant des développements en algèbre et en astronomie. Pour les Grecs, le « vide » restait une abstraction métaphysique, servant principalement à des discussions philosophiques sur la nature de l’existence et de l’univers.

Impact sur les Sciences et la Pensée: Le zéro a permis des avancées significatives dans les sciences mathématiques et physiques, ouvrant la voie à une compréhension quantitative du monde. En revanche, les débats grecs sur le vide ont nourri des réflexions métaphysiques et philosophiques, influençant des idées sur l’espace, le temps et l’être, mais sans application directe dans les mathématiques pratiques.

Conclusion

En résumé, le zéro indien représente une révolution mathématique avec des applications concrètes, tandis que le « vide » grec incarne un concept philosophique abstrait.

Bien que les deux notions traitent de l’absence, le zéro en tant que chiffre a eu un impact bien plus vaste et pratique sur le développement des mathématiques et des sciences modernes.

L’Inde un pays diversifié

L’Inde est un pays incroyablement diversifié, avec une population d’environ 1,5 milliard d’habitants répartis dans 28 États, qui sont aussi différents les uns des autres que la Russie peut l’être du Portugal.

Avec 22 langues officielles et plus de 1 200 dialectes, l’Inde est un véritable melting-pot de cultures, de traditions, et de savoirs. On y trouve absolument de tout : des populations extrêmement pauvres et peu éduquées, mais aussi des classes moyennes et des élites très éduquées.

Oui, il y a des analphabètes, mais il y a aussi des ingénieurs, des chercheurs, des mathématiciens et des informaticiens de classe mondiale qui travaillent dans les plus grandes entreprises technologiques et les meilleures universités du monde entier.

De plus, l’Inde est un pays qui chérit ses traditions et reste relativement conservateur. C’est également l’un des pays les plus actifs dans la lutte contre l’extrémisme islamique. Et, en prime, l’Inde entretient une affection particulière pour Donald Trump et pour Israël, ce qui le rend de facto très sympathique à bien des égards…

L’Inde a produit certains des plus brillants esprits de notre temps, comme :

  • – Srinivasa Ramanujan : mathématiciens génial
  • – C.V. Raman : Lauréat du prix Nobel de physique
  • – Homi J. Bhabha : Physique nucléaire
  • – Satyendra Nath Bose : Connu pour sa collaboration avec Albert Einstein
  • – Har Gobind Khorana : Lauréat du prix Nobel de physiologie / médecine
  • – Subrahmanyan Chandrasekhar : Génie de l’Astrophysique
    Etc.

Ou encore de grand chefs d’entreprises tels que :

  • – Sundar Pichai : directeur de Google
  • – Satya Nadella : directeur de Microsoft

C’est un pays où l’on trouve des établissements de pointe comme l’Indian Institutes of Technology (IIT), réputés pour être parmi les meilleures écoles d’ingénieurs au monde.

Un mythe démystifié

Pourquoi cette confusion ?

Rôle des manuscrits arabes : En traduisant les textes grecs et indiens, les Arabes ont effacé les références aux auteurs originaux.

Eurocentrisme historique : Lorsque les Européens ont découvert ces idées à travers des manuscrits arabes, ils ont attribué ces découvertes aux Arabes par ignorance des sources originales.

Les chiffres arabes ne sont pas arabes, mais indiens. L’algèbre, tout comme le zéro, est une invention indienne, enrichie par des idées grecques. Les Arabes ont joué un rôle de passeurs culturels, mais l’innovation mathématique vient d’ailleurs.

Rétablir la vérité, c’est rendre hommage aux brillants savants indiens et grecs qui ont réellement inventé ces concepts, bien avant qu’ils ne soient adoptés et transmis par les Arabes.

Le Califat abbasside a construit la fameuse « Maison de la sagesse » à Bagdad, non pas pour créer, mais pour traduire et compiler le savoir antique, parfois sans réelle compréhension approfondie.

Le savoir grec, romain et indien a donc transité à travers le monde musulman, sans y naître. Cette période est souvent exagérément glorifiée sous l’étiquette de « l’âge d’or islamique », une propagande historique qui masque la décadence scientifique ultérieure du monde islamisé.

La véritable formalisation vient de l’Europe moderne

Le génie européen a repris le flambeau avec la Renaissance : Descartes, Pascal, Leibniz, Newton ont posé les bases de la science moderne.

Leibniz imaginait déjà une machine logique universelle (préfigurant Turing). Puis, au XXe siècle :
Alan Turing (britannique) donne à l’algorithme une forme abstraite et universelle avec sa machine théorique. L’informatique moderne, les langages, la logique binaire, etc. sont 100 % occidentaux dans leur genèse et leur développement.

Non, les « algorithmes » ne sont pas une invention arabo-musulmane.

Les algorithmes sont une idée européenne, née chez les Grecs, transmise maladroitement par les Arabes, puis réinventée, clarifiée et formalisée par les Européens.

La glorification actuelle de figures comme Al-Khwārizmī dans les programmes scolaires ou les médias est souvent une opération idéologique multiculturaliste visant à diluer les racines européennes et chrétiennes du progrès scientifique.

Le wokisme réécrit l’histoire

La pensée indienne a toujours été profondément conceptuelle, embrassant des idées abstraites avec une vision philosophique. La notion de « vide » ou de « rien » (śūnya) trouve ses racines dans des concepts métaphysiques du bouddhisme et de l’hindouisme. Ainsi, le zéro est autant une idée philosophique qu’un outil pratique.

Ce génie ne se limite pas aux mathématiques : les Indiens ont également fait des avancées en astronomie, en médecine, en linguistique (avec Pāṇini et la grammaire sanskrite), et dans de nombreuses autres disciplines.

L’idée erronée que le zéro a été inventé par les Arabes provient en partie de la méconnaissance des contributions indiennes par les Européens médiévaux, qui ont reçu ces idées à travers des textes arabes. Cependant, les historiens modernes reconnaissent que l’apport des Indiens est fondamental et précurseur.

Le monde entier continue de bénéficier de l’héritage des mathématiciens indiens. Leur vision novatrice a non seulement permis de concevoir le zéro, mais aussi d’unifier les mathématiques en un système logique et universel. Cette invention est une preuve éclatante de leur génie intellectuel, capable d’abstraire des concepts apparemment paradoxaux pour créer des outils pratiques révolutionnaires.

Les Indiens ont été les véritables créateurs de l’une des idées les plus puissantes de l’histoire humaine : le zéro.


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