Il y a environ 2 500 ans, Ésope (620-564 av. J.-C.) écrivait de courtes fables qui révélaient de profondes vérités. Elles faisaient autrefois partie du canon occidental, mais ce n’est plus le cas.
Et c’est dommage, car si davantage d’Occidentaux avaient été élevés au son d’Ésope et avaient connu l’histoire du fermier et de la vipère, ils n’auraient pas accueilli des milliards de musulmans venus de pays pratiquant les versions les plus strictes de cette foi, ils n’auraient pas encouragé le gauchisme et ils n’auraient certainement pas été surpris par les violentes émeutes anti-israéliennes à Montréal.
Comme toutes les histoires d’Esope, Le fermier et la vipère est courte et le dénouement n’est pas réjouissant.
Un fermier, se promenant dans ses champs par un matin froid, trouve une vipère gelée, mais pas tout à fait morte. Par excès de sympathie déplacée, le fermier prend la vipère et la place sous sa chemise pour la réchauffer. La vipère, lorsqu’elle se remet du froid, mord aussitôt le fermier, le tuant.
La morale de l’histoire est que si vous faites preuve de bonté envers une personne mauvaise, vous serez trahi. L’expression autrefois courante pour décrire ce comportement était « nourrir une vipère dans son sein ».
Sans surprise, ce n’est pas le seul conte qui rappelle aux gens que le mal existe dans le monde et qu’il ne faut pas le nourrir, car il nous détruirait.
Une version russe du conte est La grenouille et le scorpion. Dans cette version, alors que les eaux montent, une grenouille cède à la demande d’un scorpion de le porter de l’autre côté d’une rivière pour le mettre en sécurité. À mi-chemin de la rivière, le scorpion mord la grenouille, provoquant la noyade des deux. Alors qu’ils coulent, la grenouille demande : « Pourquoi as-tu fait ça, puisque ça te tue aussi ? » Le scorpion répond : « Je n’ai pas pu m’en empêcher. C’est dans ma nature. »
Et il y a le Talmud, qui dit simplement : « Si vous êtes gentil avec les cruels, vous finirez par être cruel avec les gentils. »
(Pour les curieux, ce morceau de sagesse se trouve dans le Midrash.)
Mais comme je l’ai dit, la nature de la gauche est qu’elle n’apprend rien du passé. Comme pour les Jacobins, c’est toujours l’an 1. Ou, si vous voulez changer de camp dans l’aile française, les gauchistes sont comme les Bourbons, la lignée des rois français que les Jacobins ont renversés: ils n’ont rien appris et n’ont rien oublié.
Ainsi, ils ont leurs petits morceaux de connaissances intégrées ( comme Jasmine Crockett hurlant à propos des Noirs emmenés de force en Amérique), mais ils n’ont pas de compréhension plus large (par exemple, le dernier esclave légal expédié en Amérique remonte à 1808, la traite des esclaves existait parce que les tribus noires se capturaient les unes les autres et vendaient leurs captifs à des commerçants musulmans, l’esclavage était une norme humaine, tous les gens dans le passé étaient à la fois esclaves et esclavagistes à un moment donné, etc.).
C’est cette incapacité à apprendre qui explique pourquoi l’Occident embrasse la gauche malgré ses échecs sanglants sans fin depuis la Révolution française. Et c’est pourquoi les gauchistes embrassent l’islam malgré son histoire sans précédent de conquêtes violentes depuis 1 700 ans. Et cela m’amène au Canada.
Le Canada n’a pas son pareil pour accueillir les personnes venues de pays musulmans du Moyen-Orient et d’Afrique.
Grâce à ses politiques d’immigration généreuses, environ 1 personne sur 20 (5 % de la population) au Canada est aujourd’hui musulmane, ce qui fait de l’islam la deuxième religion la plus populaire. Voici un petit graphique que j’ai réalisé à partir des chiffres de Wikipédia montrant la croissance de l’islam jusqu’en 2021 :
Je pense que nous pouvons supposer que la ligne a augmenté encore plus rapidement au cours des trois dernières années.
Naturellement, les musulmans du Canada vivent principalement dans les zones urbaines. En 2021, ils représentaient plus de 10 % de la population de Toronto et près de 9 % de celle de Montréal. Comme le montre cette analyse , qui se révèle sans cesse exacte, autour de 10 % des musulmans se montrent rétifs et violents.
Peut-être parce qu’il est de gauche et/ou peut-être parce qu’il commence à avoir peur de la population musulmane du Canada, le premier ministre Justin Trudeau n’a pas montré d’affection envers Israël au cours de la dernière année.
Depuis l’automne, le Canada bloque les ventes d’armes à Israël via les États-Unis et les embargose directement depuis le Canada. Lorsque la CPI a annoncé qu’elle inculpait Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant pour crimes de guerre (un chef d’accusation qui incluait le fait d’avoir tué un terroriste pour « équilibrer les choses »), Trudeau a annoncé avec enthousiasme qu’il était de son côté.
Mais ce n’est jamais suffisant. Si c’était suffisant, les militants musulmans antisémites et leurs compagnons de route de gauche n’auraient pas passé l’année dernière à manifester contre Israël à Montréal, une activité qui ne cesse de s’intensifier. Trudeau refuse de condamner ces manifestations.
Les islamistes radicaux* sont des vipères, des scorpions et des êtres maléfiques. Lorsque nous les entourons de nos bras, les portons sur notre dos ou les récompensons par nos bienfaits, nous signons notre propre certificat de décès.
Il reste très peu de temps à l’Occident pour comprendre cela et pour obliger les musulmans de leurs pays à décider s’ils veulent adopter les valeurs occidentales et être de bons citoyens (sous réserve de sanctions sévères s’ils s’en écartent) ou s’ils veulent être expulsés vers des pays qui respectent déjà la charia.
Article original avec les post publiés sur X
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
|
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde
