Divulgation cosmique

Message à l’humanité du contacté Ricardo Gonzalez

Interview en Argentine. Une rencontre avec Antarel au Mont Shasta.

Résumé:

Ricardo Gonzalez a eu une expérience de contact extraterrestre le 26 août 2012 au mont Shasta, en Californie. Avant le contact, un grand groupe d’environ 55 personnes a observé physiquement un véhicule qui ne semblait pas être un aéronef ou un satellite. Le contact physique de Ricardo en 2012 a eu lieu après que le grand groupe a terminé l’atelier le matin du 26 août. Ricardo a reçu une demande psychographique (écriture automatique) pour retourner au camping et au total un groupe de 13 personnes a de nouveau vu ce qui semblait être un véhicule extraterrestre. C’était une autre «observation programmée» pour une heure précise (21 h 00) que Ricardo avait conseillé à quelques personnes auparavant afin qu’elles puissent être préparées. Ricardo a reçu une autre demande psychographique d’aller plus loin dans la forêt par lui-même. Le véhicule a projeté un rayon de lumière ou une boule de plasma qui l’a transporté dans un véhicule spatial pendant environ une heure et demie. À son retour, il semble que 15 minutes seulement se soient écoulées.

Une rencontre avec Antarel au mont Shasta

Comme dans le film RENCONTRES DU TROISIEME TYPE, j’ai été invité.

Ce film de 1977 a commencé ma vie de chercheur parce que je suis allé trouver le père de l’ufologie, l’astronome Dr J Allen Hynek, et j’ai travaillé avec lui pendant 6 ans jusqu’à sa mort. Il est donc logique que l’invitation au film soit suivie d’une invitation à vivre un véritable contact 34 ans plus tard, le 21 septembre 2014.

Ricardo González et Paola Harris au mont Shasta, septembre 2014

L’année dernière, je faisais des recherches sur Contact from the Stars et sur les interactions extraterrestres de type Spacebrother (frère de l’espace) / Humain lorsque j’ai rencontré Ricardo González du Pérou. Je l’ai interviewé pour mon magazine italien X-TIMES.


Son contact extraterrestre est le Spaceman (homme de l’espace) musclé de trois mètres de haut nommé ANTAREL du système Alpha Centauri.

Ricardo est peut-être l’un des chercheurs les plus préparés et les plus brillants au monde. Il est impressionnant par son engagement en faveur de la paix mondiale et sa recherche de la vérité et ses nombreux voyages à travers le monde. C’est un Péruvien qui vit en Argentine avec son compagnon SOL SANFELICE, qui a la voix chantante d’un ange.

Ricardo a un groupe de 7 bons amis, dont SOL SANFELICE, sa compagne, ainsi que Corinna Muzi, qui était mon interprète espagnol car elle parle l’italien, ma première langue. Ces amis voyagent avec Ricardo et sont récemment revenus avec lui d’ALTAI en Russie. Ils étaient tous très conscients de la situation géopolitique précaire qui intéresse non seulement nous, mais les aussi sur les étoiles. En trois jours sur le mont Shasta, nous avons entouré la planète de lumière, scandant OM et méditant et priant pour la paix.

Ricardo et Sol, Mt. Shasta, septembre 2014

En août de cette année, Ricardo m’a écrit qu’il tenait son séminaire annuel de méditation sur le mont Shasta et qu’Antarel m’avait demandé d’être présent. Ricardo a précisé plus tard que l’invitation d’Antarel pour moi de venir à Shasta a d’abord été reçue par lui dans l’Altaï le 2 août, puis confirmée plus tard dans un nouveau message reçu en Espagne le 10 août, que Ricardo m’a transmis.


Ricardo et Sol, Mt. Shasta, septembre 2014

Ma traduction de l’invitation est:

«Préparez-vous pour Shasta. Nous allons nous révéler et vous inviterez Paola Harris. Nous faisons cela afin de continuer à soutenir votre travail et à diffuser le message pour promouvoir une vision plus réelle de nos intentions d’aider l’être humain. Nous sommes un… »- Antarel (Message reçu à Malaga, Espagne, 10 août 2014.)

J’ai toujours voulu aller au mont Shasta, et pendant trois jours que j’y étais avec 165 participants hispanophones. C’était une expérience émouvante. Nous dormions dans des tentes sous les étoiles, jeûnions – avec peu de nourriture – pour élever la vibration, et méditions sur la PAIX MONDIALE presque toute la journée. C’est ici que j’ai vécu un moment qui a changé ma vie. J’étais assez content de faire partie de ce merveilleux groupe de travailleurs de la lumière hispaniques, sachant que des vaisseaux extraterrestres volaient au-dessus de nos têtes – parfois capturés par l’équipement de vision nocturne de Ricardo. A 20h30, deux OVNIS ont volé parallèlement au-dessus de nos têtes comme prévu [voir la vidéo ci-dessus]. C’était un présage de choses à venir.

Vers 22h30, la nuit de l’équinoxe d’automne, Ricardo nous a demandé de faire un exercice des plus insolites. Nous devions chanter OM dans les Sand Flats sous les étoiles, sans aucune lampe de poche, sans pleine lune dans l’obscurité totale. Nous devions alors nous disperser et marcher dans une zone limitée pendant une demi-heure. À cette époque, nous devions sélectionner un petit rocher à placer sur le drapeau de la paix qui a été créé à partir de pierres dans le camping principal. Ensuite, nous devions retourner à nos chaises.

J’ai remarqué que mon interprète, Corinna, avait disparu. C’est à ce moment que Ricardo s’est précipité vers moi et m’a dit: «Antarel est là. Mon peuple est avec lui, voulez-vous ce contact? Pouvez-vous vous en occuper? Pouvez-vous venir avec moi dans la zone forestière? »

C’était une décision terrifiante en une fraction de seconde qui allait changer ma réalité pour toujours. Mon cœur battait très vite.

Antarel avait invité 2 autres dames et nous nous sommes tous les trois tenus la main, marchant vers un coin de la forêt sombre sur le mont Shasta. Ricardo a crié à son groupe de continuer à méditer avec un ami, qu’il a chargé. C’était tout à fait inattendu pour lui aussi. J’étais du côté droit du groupe et tant que ma main droite était dans la main de l’autre femme, je me sentais en sécurité. De loin, j’ai vu une légère brume s’élever du sol, sur le côté gauche d’une épicéa. Ricardo m’a expliqué qu’un portail s’était ouvert appelé un Xendra.

L’emplacement forestier de CONTACT

J’ai alors vu Corinna et, à côté d’elle, Sol Sanfelice, dont les bras étaient étendus. Elle était immobile, regardant un géant de trois mètres dans les bois. Sol avançait lentement vers lui parce que c’était la première fois qu’elle le voyait sous sa forme physique. Elle m’a dit plus tard qu’elle voulait l’embrasser. On m’a demandé de laisser tomber la main de la femme de droite. Alors que je me tenais dans l’obscurité, c’était peut-être le moment le plus terrifiant de tous, ce sentiment d’être seul. J’entendais Ricardo chanter en arrière-plan, car il ne devait pas faire partie de cette rencontre.

C’était une invitation à des RENCONTRES RAPPROCHEES et un moment dans le temps qui m’a transformé en tant que l’humain que je suis et à prendre conscience que la forêt, les gens, les étoiles, Antarel et le groupe étaient UN!

Antarel parlait dans une langue que je ne comprenais pas. C’était une voix en écho, un peu comme une transmission radio. J’ai essayé tellement fort d’entendre ses paroles qui venaient du haut des arbres à ma droite. Deux mots étaient très très clairs «MERCI»! Ils résonnaient dans un anglais parfait. Ils étaient parfaits et clairs et sont venus dans un écho.

Nous l’avons tous senti, certains l’ont vu… et il m’a parlé. C’était Contact. «Merci» était pour nous tous. C’était la raison d’être de ce phénomène. Il n’y a pas de séparation.

Aussi terrifiant que soient les ténèbres, la forêt et la situation, c’est ce moment qui change tout. Je me souviens quand j’ai rencontré le colonel Corso pour la première fois à Roswell, Nouveau-Mexique en 1997. Il m’a dit qu’il avait eu des contacts avec un extraterrestre se trouvant à Red Canyon et que l’ET avait demandé au colonel de monter à bord du vaisseau. Le colonel lui a demandé: «Qu’avez-vous à m’offrir?» L’extraterrestre a répondu « UN NOUVEAU MONDE, SI VOUS POUVEZ LE MANIPULER. »

Dix-sept ans plus tard, Ricardo González demande à Paola Harris: «Pouvez-vous gérer ce contact ce soir?» La boucle est bouclée dans l’expérience humaine de mes recherches.

La réponse est oui! » Oui au contact et oui au changement de paradigme.

Grazias, Ricardo et vos amis.

Merci à Antarel.

Addendum
J’ai récemment découvert qu’il y avait eu de nombreuses transmissions sur la rencontre, y compris une transmission psychique le 16 septembre à l’un des amis de Ricardo, Alejandro, qui avait dessiné sur papier ce qu’il avait vu. Il y a 3 dessins représentant cet événement même avec mon nom, marqué «Harris», debout à côté de cet épicéa à l’endroit exact où je me trouvais le 21 septembre [voir ci-dessous]. Selon Ricardo, «Raymundo a été le premier d’entre nous à percevoir le Xendra , puis je l’ai confirmé sur la base de mes expériences personnelles. Après cela, le groupe a immédiatement commencé à recevoir des informations sur le Xendra. Avant même les dessins d’Alejandro, le groupe avait déjà des informations sur le portail et une idée de vous qui traverseriez. Depuis le début, nous savions tous que vous étiez l’invité principal de ce Xendra . Les dessins d’Alejandro étaient un pipeline ultérieur qui fournissait des détails.

Tout était préprogrammé. Tout ce que j’avais à faire était de dire «Oui!»

Source

Message à l’humanité : Interview de Ricardo Gonzalez en Argentine

pdf du message

Traduction française : Malou Panchèvre.

« Les messages des ‘Êtres’ sont très précis et comportent des éléments vérifiables. Il existe un avenir prometteur mais certaines anciennes structures doivent se transformer. Ce que j’aimerais dire aux gens, c’est de ne pas avoir peur parce que la peur est l’antithèse de l’amour. Et la peur paralyse et ne nous permet pas de prendre les bonnes décisions. Nous devons ouvrir notre conscience pour réagir en fonction de cela et créer un avenir meilleur pour nous tous. Les extraterrestres peuvent nous aider mais ils ne résoudront jamais nos problèmes. Le vrai contact c’est celui avec nous-mêmes. »

R : Ricardo G : Giorgio Piacenza P : Paola

P : Bonjour Ricardo. Cette interview paraitra dans le magazine X-times en Italie, mais il existe quelques publications médiatiques aux États-Unis intéressés par cette interview. Je vois que vous comprenez très bien l’anglais ?

R : Je préfère parler dans ma langue. Mon discours n’est pas destiné à la lecture un livre, vous savez. Mais pour cette interview, il est préférable pour moi de parler dans ma langue.

P : D’accord. Pas de problème. Je veux vous dire quelque chose avant que nous ne commencions. Je fais des recherches sur les extraterrestres de type humain afin de pouvoir discréditer le lavage de cerveau qu’on nous sert aux États-Unis, disant que les seuls extraterrestres sont les petits gris auteurs des scénarios d’abduction. En ce qui concerne les États-Unis, nous avons eu un contact avec des extraterrestres de type humanoïde, mais c’était dans les années 1950. C’était le groupe de Adamski, Van Tassel, Howard Menger, Orfeo Angelucci… vous savez, ces personnes ont rencontré des gens. Les extraterrestres sont des personnes. Par la suite, c’est le scénario des abductions qui a pris le dessus. Et il n’existe rien, rien dans les Conférences sur les OVNIs ou ailleurs dans la littérature qui perle d’extraterrestres humains. Il en existe un seul. Et c’est Billy Meier. Je suis allée à Smidruti, en Suisse et j’ai rencontré Billy Meier, et j’ai étudié le cas avec Wendelle Stevens, et c’est authentique. Il s’agissait bien de personnes et elles étaient réelles, et les images aussi sont réelles, parce que j’ai parlé à Wendelle Stevens, aujourd’hui décédé, qui a enquêté sur l’histoire et je suis allée voir Billy Meier et vu beaucoup de choses pendant que j’étais là-bas. Voilà donc la seule histoire, Ricardo, qui implique des extraterrestres de type humanoïde. Il fallait donc que je vienne en Amérique Latine, vous comprenez ?

R : Oui.

P : Vous comprenez donc pourquoi je fais cela ?

R : J’aime votre travail Paola. Je connais votre travail. Vous êtes très importante actuellement.

P : Je dois écrire en Anglais. Alors allez-y et racontez-moi votre histoire. J’aimerais d’abord vous interroger sur votre premier contact.

G : Il dit qu’il parlera espagnol parce qu’il parvient mieux à exprimer ses sentiments dans cette langue.

P : D’accord, d’accord. Pas de problème.

R : Merci beaucoup, Paola. Je connais votre but et je sais que votre travail est en lien avec le Dr. Michael Salla dont le but est aussi de faire le lien avec les contacts extraterrestres. Je suis informé de tout ce qui se passe dans le domaine de l’ufologie aux États-Unis et j’ai lu les livres d’exopolitique, y compris tous vos ouvrages.

P : Merci.

G : Nous allons faire une petite pause.

P : Oh, mon Dieu, vous avez lu mon livre Exopolitique en espagnol.

R : J’ai essayé de ne pas rester bloqué sur mon propre témoignage de contact et j’essaie depuis de nombreuses années de rechercher d’autres témoignages de contact. J’ai tout mis en doute, y compris ma propre expérience de contact, parce que je tiens à garder un sain bon sens. Le fait est qu’en
Amérique Latine, il y a eu de très, très nombreux contacts avec des extraterrestres d’apparence humaine et ces expériences ne sont pas connues aux États-Unis. C’est la raison pour laquelle nous faisons ces émissions. Nous avons contacté Michael Salla et l’avons informé que nous aimerions les faire avec Paola, pour vérifier, non seulement que le contact est réel avec des dates et des durées spécifiées, mais aussi pour connaitre les sentiments entourant ces contacts. J’ai vécu des contacts avec ces êtres depuis mon plus jeune âge mais je n’en ai pris conscience que dans ma vie d’adulte.

P : J’ai besoin de connaitre l’âge et la nature du contact. Était-il mental ? Avez-vous vu quelque chose ?

R : Mon premier contact mental a eu lieu vers l’âge de 18 ou 19 ans. Avant cela j’avais eu des rêves et j’avais vu des lumières dans le ciel. Mais le contact mental a commencé vers 18 ou 19 ans. Je n’appartenais à aucun groupe de contactés avant cela, et à cette époque-là je faisais des études de commerce.

P : Attendez voir. Je veux que vous lui disiez que quand j’ai interviewé Luis Fernando, la veille, il y a eu beaucoup de bruit dans ma chambre. Hier soir j’ai entendu le téléphone sonner, mais il ne sonnait pas… je l’ai pourtant entendu sonner dans ma chambre et il y a eu une activité paranormale avant
l’interview.

G : Est-ce arrivé au moment de l’entretien avec Fernando ?

P : Oui, il y avait du bruit, mais avant celui de Ricardo, la nuit dernière, mon téléphone a sonné à 2 heures du matin, mais ce n’était pas réellement le téléphone. Je l’ai entendu sonner, mais il n’était pas vrai… 2 heures du matin. D’accord ? Il y a donc eu une activité paranormale ici, avant que je fasse l’interview avec nous et je sais que quelque chose a essayé de me parler la nuit dernière.

R : Je veux dire quelque chose avant de poursuivre mon récit. Je crois que vous, Paola, faites également partie d’un programme qui est lié aux intentions de ces êtres de vous délivrer un message plus positif. Je pense que vous allez le découvrir par vous-mêmes parce que vous êtes une personne très intelligente et perspicace. J’étais en train de dire que j’avais eu des expériences quand j’étais enfant, mais dans ce contexte, pendant que j’étais aux études… à l’époque où j’étais étudiant, j’ai reçu ce message mental. Le message disait : « N’arrête pas de chercher. Nous sommes des êtres extraterrestres qui entrons en contact avec toi et par ailleurs, tu ne seras pas capable de nous voir physiquement. » J’avais reçu une éducation des plus rationnelles. Mon père était expert en informatique et ma mère cadre bancaire, je ne l’ai donc pas vraiment pris au sérieux à ce moment-là.

Mais quelque chose au fond de moi, me disait que c’était une situation authentique, puis un autre message est arrivé, m’invitant à monter sur le toit de ma maison. Ma famille m’a accompagné sur le toit de la maison et, soudain, un objet d’un rouge intense est apparu dans le ciel. D’abord, seul mon frère Pepe était là avec moi, puis mon père et ma mère sont venus nous rejoindre avec ma sœur Mariella. Toute la famille était donc réunie. Le journal, El Comercio, qui est un journal conservateur, très sérieux, a écrit qu’au cours de la nuit il y avait eu une apparition d’OVNI, ce qui est très rare, doisje ajouter. Je me rappelle très bien de la date : c’était en octobre 1993.

P : Était-ce au Pérou ?

G : Au Pérou, oui. À Lima, au Pérou ; et c’est là où j’ai rencontré Ricardo.

R : Ah ? D’accord.

G : Il y a six ans. Je lui ai dit qu’il se trompait sur certains sujets.

P : Mais la raison pourquoi je lui ai demandé d’intervenir, c’est que nous lui parlons en direct d’Argentine, là maintenant, parce que les gens qui lisent ceci, ne savent peut-être pas ce qu’il fait en Argentine.

R : Eh bien, je vis en Argentine parce que ma compagne est argentine. Elle est argentine d’origine italienne. Elle m’accompagne partout dans le monde et est à mes côtés depuis de nombreuses années. Après l’observation d’OVNI de 1993, j’ai essayé de reproduire le contact et c’est là que j’ai découvert
que certaines méthodes de méditation pouvaient aider. Et j’ai pu répéter la réception des messages et d’autres objets sont apparus, des OVNIs, et d’autres amis du voisinage m’ont accompagné et les apparitions ont eu lieu. Il est intéressant de noter que ces contacts ont eu lieu dans la même zone où s’étaient déroulés les contacts avec Rahma, c’est-à-dire dans le désert chilien.

P : À présent, le contact Rahma est aussi celui de Sixto Paz ou… groupe Rahma… À la base, s’agissait-il groupe Sixto Paz ou du groupe de Luis Fernando ? D’accord … d’accord. R : Il est important que vous compreniez. Rahma est le groupe qui a commencé avec les frères, Carlos et Sixto Paz. Cette Mission Rahma, ou groupe de contact Rahma, a existé en tant qu’organisation structurée entre 1974 et 1991, et ensuite elle fut officiellement démantelée, les gens participaient, mais il ne s’agissait pas d’une association officielle et enregistrée.

P : Je crois qu’il a parlé également d’un groupe d’initiation… d’initiation spirituelle ?

R : Non. E n’était pas un groupe initiatique. C’était un groupe de contact avec les extraterrestres. Peutêtre qu’avec Luis Fernando, il s’agit d’un chemin plus initiatique. Même si la Mission Rahma a cessé d’être une structure, un groupe officiel, une association en 1991, les gens ont continué à se réunir, à se rencontrer et à expérimenter, et je les connais depuis lors. Je n’ai pas participé à la Mission Rahma pendant son existence officielle avec Luis Fernando et Sixto, mais j’ai participé à la Mission Rahma après cela, quand elle était plus indépendante. Je suis cependant lié à ce programme de rencontres parce qu’il s’agit des mêmes êtres.

P : Mais, quand il dit que ce sont les « mêmes êtres », j’ai besoin qu’il me décrive ces êtres.

E : Après le troisième contact mental et les observations programmées, s’en est suivi le contact physique. Les premières expériences nécessaires pour faire connaissance avec ces êtres ont eu lieu à travers des portes dimensionnelles. Les frères Paz ont fait connaître le terme « Xendra » comme ce qui désignait des portails temporels.

P : D’accord.

R : Ma seule crainte est que les Xendras sont davantage comme des hologrammes et pas complètement physiques. Je les ai expérimentés à de nombreuses reprises et je ne crois pas qu’ils soient complètement physiques, mais j’ai entendu parler d’autres expériences qui disaient qu’ils
avaient voyagé vers différents endroits et mon opinion est que c’est arrivé parce qu’ils n’avaient pas de point de référence pour la comparaison. Mais, quand j’ai vécu des contacts physiques avec ces êtres qui avaient atterri, et que j’ai été capable de les toucher, ou quand je suis allé physiquement dans leur vaisseau spatial, j’ai réalisé que c’était différent du Xendra. Lors de mon huitième contact physique, ce n’était pas grâce à un portail Xendra, mais un contact physique, j’ai vu que ces êtres étaient très, très grands. Ils étaient d’apparence humaine, oui… mais très grands, probablement aux environs de 2,30 à 2,50 m. L’être extraterrestre principal qui m’a contacté s’est identifié sous le nom de « Antarel ».

P : Oui, j’ai lu cette partie-là. Portait-il un costume spatial d’une seule pièce quand il l’a vu ? Et avaitil des cheveux foncés ou bonds ?

R : Il portait un costume d’une seule pièce de couleur métal, le vêtement était ajusté à son corps, ajusté partout.

P : Mais était-il blond ou… ?

R : Aucun pli dans le costume ou vêtement… Seuls le visage et les mains étaient découverts… ou visibles. Mais ses cheveux étaient d’un blond si clair qu’ils en étaient presque blancs platine.

P : Était-il presque transparent ? (Bis) Mais ses cheveux… étaient d’un blond transparent, presque platine, pas vrai ? Blond platine ?

R : Ils étaient d’un blond clair, un blond platine très clair. Pas transparents. Très, très fins.

P : Et très raides…

R : Comme les cheveux d’une poupée Barbie.

P : Très raides ?

R : Et très fins, presque comme des cheveux d’ange.

P : De quelle couleur étaient ses yeux ?

R : D’un brun clair, couleur miel. Une peau blanche d’apparence nordique avec un menton pointu, fin, et une allure athlétique en général.

P : Une carrure athlétique.

R : Une carrure athlétique et un menton légèrement pointu.

P : Les gens demandent-ils parfois à prendre des photos de ces êtres, juste par curiosité ?

R : j’ai voulu prendre des photos des équipages de ces vaisseaux pendant l’approche, quand ils viennent plus près. Je leur ai demandé : « Pourquoi ne m’autorisez-vous pas à prendre des photos ? » Et ils me l’ont expliqué en trois points : d’abord, parce qu’ils n‘y sont pas autorisés d’après leur protocole ; cela affecterait les humains s’ils…

P : Je crois qu’il est parti… Oh, d’accord. La première raison, c’est que cela affecte leur protocole. Vous alliez me donner trois raisons. Alors, numéro un : cela affecte leur protocole. Numéro deux ? Je ne vous entends plus…

G : (En espagnol) J’appelle.

P : Giorgio, ai-je bien compris ? Primo, à cause de leur protocole. Y a-t-il un secundo et un tertio ? Voulez-vous que j’arrête la vidéo ?

G : D’accord. Non, tout va bien. On dirait que ça marche maintenant.

P : OK, il a dit premièrement parce que cela affecte leur protocole. Y avait-il un numéro deux et trois ?

R : La deuxième raison c’est que certaines d’entre eux semblent même plus humains qu’à l’habitude, et qu’ils ne veulent pas être détectés parmi les humains de la Terre, en particulier autour des bases militaires et d’autres activités de ce genre. Pas parce qu’ils coopèrent avec le gouvernement et l’armée, mais parce qu’ils surveillent les choses et que nous allons nous faire du mal à nous-mêmes. Troisièmement, s’ils m’autorisaient à prendre des photos ou s’ils me donnaient des photos d’eux, je serais en danger.

P : Oui. Je peux le comprendre. Je comprends.

R : Comme je l’ai dit, au cours des années, je les ai vus physiquement à huit reprises et à deux occasions, sur accord mutuel, je suis monté dans leurs vaisseaux. La dernière fois, c’était au Mont Shasta en 2012, et l’hôte était Antarel, l’être qui me contacte habituellement. Qu’aimeriez-vous savoir d’autre ?

P : D’accord. Il a donc parlé du contact physique au Mont Shasta. Parlons maintenant du but : le message.

R : J’étudie le message de ces êtres depuis de nombreuses années et je l’ai comparé à ce que d’autres être ont transmis à d’autres témoins. Dans mon cas, je suis en contact avec un groupe d’extraterrestres qui ne viennent pas dans un but négatif. Ils appartiennent à une espèce de sociologues et d’anthropologues du cosmos, et c’est l’une des raisons, pour laquelle ils ont choisi l’Amérique Latine, pour contacter des habitants de ce continent qui sont manifestement des personnes instruites de…

P : J’ai besoin de savoir d’où viennent ces êtres, ce serait bien qu’il m’indique un endroit ou quelque chose du genre. Je ne vois plus son visage.

G : Oui, oui. Il a disparu. Nous avons été déconnectés.

P : Oh, le voilà. Je vois qu’il est connecté. Je dois vraiment connaitre l’endroit. S’agit-il d’un endroit ou d’une dimension ?

R : S’ils avaient contactés des personnes érudites en Europe ou aux États-Unis, ils auraient peut-être eu une perspective de contact différente, moins sensible et ouverte en raison de la différence de culture. Pourquoi est-ce important ?

P : C’est aussi une question de connexion de cœur ? Est-ce une connexion de cœur ?

R : Oui, c’est très important d’avoir une connexion de cœur. C’est aussi très important pour ces êtres, parce qu’ils en ont besoin… ils ont besoin d’avoir cette connexion de cœur. Le simple contact mental ou technologique ne les intéresse pas, ce qu’ils veulent c’est un contact avec des émotions et des sentiments. De cœur à cœur. Parce que ce genre de contact de cœur est ce qui peut leur permettre de mieux grandir. Et nous les aidons à grandir de cette manière et eux aussi nous aident à grandir, à évoluer. La complexité du contact est due au fait qu’il y a de tout dans l’univers et qu’ils ont des agendas différents. Mais je pense que nous sommes tous d’accord, à la base, pour dire que notre monde est dans une situation de quarantaine et sous observation. Mais manifestement, nous savons qu’il existe des intérêts voués à essayer de perturber les gens et à promouvoir un aspect effrayant dans le contact. C’est pourquoi, à mon humble avis, la situation concernant les abductions, les gris, et l’armée a été exagérée. C’est aussi devenu commercial…

P : C’est plutôt un business. C’est, dans un sens, ce que le Dr. Greer appelle le « petit commerce del’ufologie ». Giorgio, demandez à Ricardo – car tout le monde veut le savoir – de me dire d’où viennent ces êtres.

R : C’est un sujet très complexe à l’heure actuelle. Beaucoup de gens qu’ils viennent d’Andromède, mais Andromède est une galaxie et aussi une constellation. C’est très grand. Ou alors, ils viennent d’Orion ou encore des Pléiades. Les Pléiades, ainsi qu’Orion sont de grandes constellations elles aussi. Ils peuvent venir d’un univers physique, mais se trouve-t-il à la même fréquence que le nôtre… ou ils viennent de dimensions différentes. Mais dans mon cas, ils m’ont dit que le lieu clé d’où ces êtres me contactent est Mintaka… l’étoile Mintaka de la constellation d’Orion.

P : D’accord. Vous pensez donc qu’ils sont dans un univers parallèle et que vous atteignez cette fréquence, ce qui est la raison pour laquelle vous pouvez communiquer avec eux ?

R : Je suis convaincue que c’est un univers parallèle et que cet univers parallèle est aussi un univers physique. Mais ces êtres m’ont aussi expliqué qu’ils possèdent une base opérationnelle sur Alpha du Centaure parmi d’autres lieux.

P : Oui. Vous ont-ils expliqué pourquoi ils vous ont choisi ?

R : C’est une bonne question.

P : OK. Je suis une bonne journaliste.

R : J’espère que je ne me prends pas pour une personne spéciale. Sincèrement, je ne comprends pas pourquoi ils m’ont choisi parce qu’il y a beaucoup de choses dans cette affaire que je ne comprends pas. Peut-être ont-ils pensé que par mon témoignage, ils pourraient atteindre une collectivité plus large, un groupe plus important de personnes. Comme j’ai perdu mon travail parce que j’ai fait une apparition à la télévision, j’ai passé mon temps à voyager partout dans le monde et à partager ce témoignage.

P : Bien. Il a donc été renvoyé de son emploi parce qu’il est passé à la télé. Et ils pensaient qu’il serait le meilleur représentant de ce contact… c’est ça la raison ?

R : Oui, mais j’étais d’accord de le faire parce que j’ai pensé que c’était très important. Puis, j’ai reçu certaines communications mentales qui m’ont dit qu’il y aurait une vague d’OVNIs au Pérou pendant le premier mois de 1999. Cette vague d’OVNIs a eu lieu et j’ai alors été interviewé dans différentes émissions de télévision. Cela a forcé l’Armée de l’Air péruvienne à ouvrir pour la première fois un Bureau d’Investigation sur les OVNIs. C’est au cours de l’une de ces interviews, que j’ai perdu mon travail parce que tout le monde l’avait vue.

P : Que faisiez-vous à cette époque ?

R : Je vendais des médicaments sur prescription pour un laboratoire international, je faisais des visites médicales…

P : Vous étiez visiteur pharmaceutique… vendeur pour une compagnie pharmaceutique.

R : Et depuis lors, j’ai voyagé partout dans le monde, en partageant mes témoignages avec des physiciens nucléaires et des pilotes de différents endroits dans le monde, etc. Je me suis soumis à des tests psychiatriques dans ma vie, et dieu merci, ils se sont bien passés.

P : À part au Mont Shasta, où êtes-vous venu aux États-Unis ?

R : Je me suis rendu dans de nombreux endroits aux États-Unis, mais il est évident que le Mont Shasta est mon préféré en raison des expériences que j’y ai vécues.

P : Mais il n’y est jamais intervenu dans des conférences. Il n’y a jamais été invité à des conférences ?

R : J’ai reçu beaucoup d’emails de gens qui souhaitaient que je vienne à leurs conférences, mais à la toute dernière minute on m’a retiré de la liste des intervenants, y compris lors du Congrès UFO au Nevada.

P : Non, il faut quelqu’un comme moi pour le faire. Je dois le faire. Bien. Le truc c’est que… je voudrais dire un certain nombre de choses à Ricardo. D’abord, c’est une question de timing, le temps n’était pas venu ; ensuite, il n’a pas été choisi, car il parle du cœur, ce n’est pas un langage rationnel cérébral. Pouvez-vous le lui dire ?

R : Il dit que vous êtes une femme extraordinaire et très bonne avec lui.

P : Dites-lui qu’il doit me laisser le temps, que tout est une question de temps… de bon moment et que nous ferons quelque chose.

R : Le bon moment, le bon moment.

P : Ricardo, les gens doivent d’abord digérer l’information et ne pas seulement l’entendre. Pouvezvous lui dire ça ?

R : Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites. Il dit que ses expériences lui ont permis de visiter 40 pays différents, et même des pays où on ne parle pas espagnol… il avait un traducteur. Nous sommes allés dans diverses émissions et des millions de gens les ont vues. Nous sommes allés à Discovery Channel, mais malheureusement, ils n’étaient pas toujours précis par rapport à nos déclarations. M’entendez-vous ?

P : C’est un peu haché, mais j’ai compris.

G : Il (Ricardo) a dit, qu’il avait l’impression que les messages de ces êtres avaient été bloqués aux États-Unis.

P : D’accord. Vous devez lui dire que c’est parce que beaucoup de gens ne comprennent pas qu’il existe des extraterrestres de type humain. Ils pensent que c’est du channeling, ils croient que ce sont toutes ces autres choses qui ne sont pas valables, que ce sont des éléments vérifiables. Ils ne sont pas habitués aux messages extraterrestres/humains, qu’ils sont comme nous. (Interruption)

P : On dirait que quelqu’un nous surveille.

G : Oui.

P : Je veux lui dire que les États-Unis pensent que ce contact n’est pas valable, que c’est une espèce de channeling bizarre. Parce que nous ne sommes pas habitués aux extraterrestres de type humain.

R : Oui. Je continue à respecter toutes sortes de contact qui peuvent avoir eu lieu, mais après avoir participé à plusieurs conférences partout dans le monde, je suggérerais la prudence. Il faut être prudent avec le channeling qui dans bien des cas est un peu devenu comme une question de foi.

P : Oui. Mais comprend-il qu’il est difficile pour les gens de croire qu’il existe d’autres aliens que les petits gris qui pratiquent les abductions ? Alors, quelqu’un comme moi doit leur préparer le terrain.

G : Il veut vous dire quelque chose, Paola.

P : Bien. Je ne le vois pas. Il vient de se figer sur l’écran.

G : Tout va bien, ne vous inquiétez pas.

R : Vous voulez enquêter et vous comprendrez ce que je vais vous dire. Vous avez rencontré Allen Hynek et vous savez comment tout cela a commencé. Le premier contact a eu lieu avec des êtres humains d’aspect humain et les messages étaient positifs. Le premier contact a eu lieu dans les années 1940 et 50 sur ce modèle. Mais depuis, les pouvoirs mondiaux et l’Armée de l’Air américaine a commencé à faire des recherches sur ce sujet, la situation a commencé à changer et à dévier. Et tout cela, indépendamment de l’affaire Roswell et des rapports de Philip Corso, et d’autres cas que nous connaissons, et de cas à part ceux-ci. Il existe apparemment de tout dans l’univers, mais les pays clé comme les États-Unis bloquaient de sorte que la vérité sur ces questions n’a pas été divulguée. Ceux parmi nous qui ont été contactés par ces êtres d’apparence humaine ne pouvaient pas atteindre la
culture américaine, mais les extraterrestres avaient un autre plan, un plan « B ».

P : Plan B. D’accord.

R : Ensuite, j’ai commencé à recevoir des messages qui étaient différents. Pendant ces messages, on m’a informé que le Dr. Michael Salla et Paola Harris faisaient partie de ce plan pour essayer de faire progresser la prise de conscience de ce qui se passe dans cette culture. C’est la raison pour laquelle j’ai
acheté le livre du Dr. Salla et aussi vos livres, Paola, pour essayer de comprendre ce que pensaient les gens et ce qui se passait. Et c’est aussi la raison du programme de contact avec Michael Salla, les observations qui se sont passées au Mont Shasta. L’idée ne venait pas de moi, mais de Giorgio Piacenza, et ensuite j’ai demandé aux extraterrestres et cela s’est fait.

P : C’était bon.

R : C’était bon. Je pense donc que le bon contexte se crée progressivement pour que le message devienne acceptable aux États-Unis et dans d’autres parties du monde aussi ;

P : Je crois qu’il faut le faire avec une enquête sur le terrain. Vous comprenez ?… Il faut voyager et enquêter en personne.

R : Je suis d’accord avec vous, parce que je me considère toujours comme un chercheur de terrain. J’ai effectué des expéditions là où aucun autre chercheur n’était allé auparavant. Mais je crois que si les extraterrestres ont permis à M. Salla d’être présent lors de ces observations et de s’y impliquer, c’est parce que ce qu’il fait maintenant est juste. Il revient donc à M. Salla de trouver l’équilibre et la conscience par rapport à ce qu’il a vécu, ce qu’il a expérimenté pour évaluer cette situation.

P : Dites-lui que je respecte beaucoup M. Michael Salla. C’est lui qui m’a donné envie de m’intéresser à l’exopolitique. Mais notre intention doit être pure, n’est-ce pas ?

R : C’est ce que mon partenaire d’âme m’a dit… « Vous allez rencontrer Paola. Elle va vous interviewer.

P : Parce que ne fais que travailler pour « eux ». Mais je n’ai vécu aucune expérience.

R : Vous vous trompez. Nous travaillons tous pour les mêmes personnes, mais il n’est pas nécessaire que nous ayons tous une expérience physique.

P : D’accord. Il me reste très peu de place sur l’enregistrement. Pouvons-nous passer à ce qu’il envisage pour l’avenir et à la teneur du message ? Donnez-moi quelques idées de ce que sera 2014 et quel est le message qu’il aimerait transmettre aux gens de la Terre ? Quel message ?

R : En premier lieu : Le monde ne va s’effondrer ou être détruit ; il va plutôt se remodeler. J’ai été la première voix critique par rapport à 2012. Je n’ai pas seulement annoncé qu’il n’y aurait pas de catastrophe, mais aussi que nous n’allions pas passer dans la quatrième dimension avec nos problèmes résolus. J’ai critiqué cette position. Les Êtres nous ont dit que l’année 2012 était le début d’un cycle de connexion progressive avec une autre réalité, ce qui incluait la communauté de l’espace. Cette période va durer au moins 400 ans environ ce qui coïncide avec le 14ème cycle des Mayas. Mais les 13 premières années, jusqu’en 2025, resteront des années importantes pour que ce contact soit bien établi. Et pendant cette période, pendant cette transition, nous aurons probablement à affronter des situations d’intenses difficultés dans le monde.

Je travaille actuellement à l’écriture de mon treizième livre au sujet de cette situation, qui évolue, et qui implique également le Vatican. Je base ce livre sur les messages des contacts extraterrestres. Les messages des « Êtres » sont très précis et comportent des éléments de vérification. Il existe un avenir plein d’espoir, mais certaines anciennes structures doivent se transformer. J’aimerais dire aux gens de ne pas avoir peur, parce que la peur est l’antithèse de l’amour. Et la peur paralyse et ne nous permet pas de prendre les bonnes décisions. Nous devons ouvrir notre conscience pour réagir en fonction de
cela et créer un meilleur avenir pour nous tous. Les extraterrestres peuvent nous aider mais ils ne résoudront jamais nos problèmes. Le contact réel est celui avec nous-mêmes. Entendu ? Voilà le message.

P : Tout le monde dit que tout a l’air négatif, mais est-ce une question de réincarnation là où les gens sont sur leur chemin d’évolution pour ce qu’ils vont faire ?

R : Je vais vous répondre comme ces êtres nous l’ont exprimé il y a quelque temps. Ils ont dit qu’il y a autant de bien que de mal dans le monde, mais que le mal reçoit une meilleure publicité.

P : Magnifique, magnifique. D’accord. C’est bien ça. C’est super. Je vais le transcrire et le publier dans X-Times en Italie. Il existe peu de supports médiatiques pour ce matériel aux États-Unis.

R : Oui, je sais. Je suis triste de l’entendre, mais vous avez notre soutien et le « leur ».

P : Je sais. Eh bien, dites-lui que tout est une question de timing. En novembre de cette année, je serai à Turin, et je parlerai de vous, de Sixto Paz et de Luis Fernando. Mais mon boulot est aux ÉtatsUnis.

R : Je sais, je sais. Avez-vous besoin de photos pour le magazine, d’images pour l’article que je pourrais envoyer en Italie ?

P : Merci à Giorgio pour la traduction. Vous nous aidez à diffuser la traduction de l’espagnol en anglais dans le monde. Je n’aurais jamais pu le faire sans vous. Et j’ai besoin de leur aide. Parce que vous connaissez mes intentions. Il ne s’agit pas d’une entreprise commerciale, mais je souhaite connaitre la
vérité et faciliter la divulgation. Alors, « mucho gracias » à vous, Giorgio et Ricardo. Merci beaucoup. Vous êtes merveilleux, et merci du fond du cœur à vous, Ricardo. C’est un plaisir de vous rencontrer.

Gracias.

Lien vers le site officiel de Ricardo Gonzalez: https://www.legadocosmico.com/bio

Lien marchand vers les livres de Ricardo Gonzalez en espagnol: https://www.casadellibro.com/librosebooks/ricardo-gonzalez/92251

Source : https://eveilhomme.com/

Les interview de Ricardo Gonzalez par Emery Smith pour l’émission Cosmic Disclosure


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