Interview de William Tompkins par Corey Goode et David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 7 épisode 16
David Wilcock : Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis avec Corey Goode. Et dans cet épisode, nous avons encore plus d’informations étonnantes qui nous parviennent de notre ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale, William Tompkins.
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PROJECTION ASTRALE
William Tompkins : Quand j’étais enfant, quand j’avais quelque chose comme sept, huit ou neuf ans, je volais beaucoup. Je n’avais pas d’avion. Simplement, je volais.
On vivait à Santa Monica. Nous vivions à Hollywood, et j’ai beaucoup volé, surtout la nuit, mais à quelques reprises en classe, à l’école, pendant la récréation, je passais juste derrière le bâtiment et je m’envolais.
Et je l’ai fait parfois en levant les bras, mais la plupart du temps, je sortais, tout simplement.
Et ainsi, je pouvais survoler Hollywood, la vallée de San Fernando, descendre à la plage de Santa Monica, voler jusqu’à Malibu, descendre jusqu’à San Pedro, regarder les navires de la Marine et les cales sèches de San Pedro, et survoler LAX et revenir.
J’ai eu du mal à survoler LAX. Il se passait beaucoup de choses, alors je me suis tenu à l’écart des aéroports autant que possible.
Quelques fois, après m’être amusé à simplement voler dans les basses fréquences – et en particulier, c’est plus amusant la nuit avec les lumières –, je sortais carrément, en direction de la galaxie.
Et j’ai parcouru bien plus de 186 000 miles à la seconde, tellement au-dessus de ça.
Et tout le monde a mis du temps à comprendre que même les Allemands pouvaient voler plus vite que ça [dans des vaisseaux spatiaux, en utilisant des portails naturels ou artificiels qui permettent de franchir en un instant des immensités d’espace stellaire], et évidemment les extraterrestres aussi, d’accord ?
Mais ce que je dis, c’est que je vole là-bas.
Et une fois, je suis monté dans… c’était le vaisseau de commandement amiral d’une marine spatiale reptilienne. Je suis entré en volant dans son bureau. Je pouvais voir, sentir et entendre tout ce qu’ils disaient.
Pour moi, cela m’est venu en anglais [sa conscience a décodé leurs conversations en anglais], comme lorsque j’ai survolé une fois la Russie.
L’amiral Sergey Gorshkov avait construit toute une série de vaisseaux futuristes qui n’ont même pas l’air d’être de la planète parce que cela a été construit [avec un profil de type] furtif.
J’ai survolé la base, la base de Vladivostok, et j’ai fait le tour de la base. Je suis descendu, j’ai regardé à l’intérieur des machines de l’installation de construction, je suis remonté en hauteur, j’ai volé jusque dans le bureau de Sergey Gorshkov et j’ai pu voir, entendre et sentir le café dans son bureau.
Et sa langue… Quelle langue ? L’anglais. Ils parlaient tous anglais. D’accord ?
En fait, j’ai fait partie d’un groupe de recherche dans la Marine où j’étais conseiller auprès de ce genre de médiums.
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David : C’est donc quelque chose de très intéressant. On nous dit qu’il a pu le faire depuis l’âge de sept ou huit ans.
Et Corey, une des choses qui m’ont sauté aux yeux, c’est que j’avais cinq ans quand j’ai vécu une expérience hors du corps.
Je me suis réveillé en train de flotter au-dessus de mon corps, et c’est cet événement qui m’a amené à étudier l’ESP [les perceptions extrasensorielles].
J’ai donc commencé à faire des expériences psychiques à l’âge de sept ans. Je voulais avoir une autre chance. Je n’ai pu le faire qu’une seule fois quand j’étais enfant.
Corey : Oui, je pensais que c’était banal. Je pensais que tout le monde pouvait le faire. Je le faisais…
David : C’est quelque chose qui vous est arrivé souvent ?
Corey : Mm-hmm.
David : À partir de quel âge ?
Corey : L’âge de quatre ou cinq ans, ça arrivait spontanément, et j’ai pu le contrôler dans ma jeunesse.
On faisait de longues balades en voiture. Je m’ennuyais, et au lieu de demander : « Sommes-nous arrivés ? », je me projetais à l’extérieur de la voiture, je flottais et volais au-dessus des panneaux au passage, au-dessus des viaducs.
Et je pensais que c’était quelque chose que tout le monde pouvait faire.
David : Est-ce qu’il y a quelque chose à propos de la lignée extraterrestre dans l’âme qui rend plus probable que les gens puissent faire cela ?
Corey : Eh bien, disons que dans une vie antérieure, vous étiez un extraterrestre plus avancé. Vous aviez des capacités avancées de conscience, et vous avez accepté d’être incarné ici sur Terre en tant qu’humain.
Nous avons toujours la même Sur-Âme qui a les mêmes connaissances. Ainsi, cette connaissance doit lentement s’infiltrer dans cet être conscient que nous avons accepté de devenir.
David : Y a-t-il des raisons de croire que si une personne subit un traumatisme excessif, ce traumatisme pourrait la pousser à développer une projection astrale ?
Corey : Oui. C’est en fait une technique qui est utilisée dans les programmes. Ils causeront des projections astrales en infligeant des traumatismes extrêmes.
David : Comment ça finit par marcher ? Pourquoi se projette-t-on hors de son corps alors ?
Corey : C’est un… C’est une échappatoire ou un mécanisme de protection qu’a notre psychisme. [David approuve de la tête] C’est une capacité dissociative qu’a notre psychisme, et que nous avons spirituellement, de nous dissocier et de divorcer d’avec ce qui se passe.
Et une fois qu’ils ont programmé une personne traumatisée pour qu’elle soit capable de se projeter hors de son corps, ils commencent à lui apprendre comment le faire pour les opérations.
David : Et que serait un exemple d’une opération de projection astrale ?
Corey : Très similaire au visionnage à distance [remote viewing]. Cela va consister à recueillir des renseignements dans un endroit éloigné.
David : Eh bien, il semble que ce soit une technique très ancienne, n’est-ce pas ? Je veux dire que c’est quelque chose dont les Ecoles de Mystères parlent depuis longtemps.
Corey : Oui, c’est une capacité fortement supprimée, que tous les humains ont.
David : Une des choses dont nos téléspectateurs ne sont peut-être pas conscients, c’est qu’il y a une société secrète particulière appelée BOTA, ou Builders of the Adytum, et l’Adytum, croyez-le ou non, est une pièce qui a un autel avec un livre sacré à l’intérieur avec une connaissance sacrée.
Et la pièce est complètement murée. C’est habituellement une pièce cylindrique, toute maçonnée. Vous ne pouvez pas y entrer excepté dans votre corps astral.
La clé pour l’initié est donc de savoir si vous pouvez vous projeter astralement dans cette pièce et ensuite lire le livre à l’intérieur de l’Adytum ; et seulement si vous pouvez raconter exactement ce que le livre dit, alors vous êtes devenu un véritable initié.
Avez-vous déjà entendu parler de quelque chose comme ça ?
Corey : Eh bien, je veux dire, il y a eu des exercices similaires que nous avons tous subis.
David : Vraiment ?
Corey : Oui. Il faudrait identifier un objet dans une autre pièce, sa couleur. Ce n’était pas comme ça… On ne lisait pas de livres, mais, vous savez, on était des enfants.
Et ils nous demandaient d’identifier des jouets, des peintures ou des choses différentes dans une autre pièce qui était murée, et alors que personne dans l’expérience, à ce moment-là, ne savait ce qu’il y avait là-dedans non plus. Donc vous n’aviez pas de réceptions psychiques, et vous n’étiez pas en téléchargement direct de toute façon.
David : Certaines personnes pourraient être enclines à rejeter le témoignage de Tompkins parce qu’il dit, par exemple, qu’il est entré dans le bureau d’un amiral de la Marine reptilienne et qu’il entend des choses en anglais alors qu’ils ne parlent manifestement pas en anglais.
Et la même chose avec les Russes où ils avaient ces avions non conventionnels, des avions furtifs.
Corey : J’ai déjà entendu parler de cela, que votre esprit – votre corps astral projeté astralement – est capable d’interpréter d’autres langues dans la langue que le mental utilise.
David : Il y a donc une sorte de fonction de traduction naturelle.
Corey : Pas tout le temps, mais certaines personnes ont cette capacité innée.
On ne peut pas se projeter de façon astrale sur beaucoup de ces bases secrètes. Elles sont protégées par des personnes qui ont des capacités d’influence à distance et qui sont améliorées par la technologie.
J’ai entendu parler d’eux comme de ‘Ceux qui dispersent’. Ils disperseront vos pensées.
De plus, il y a des êtres d’ombre qui protègeront les installations de ceux qui se projettent dans l’astral.
Les projecteurs astraux vont essayer d’entrer dans une installation, et soudainement, ils vont avoir cet être obscur qui les poursuit partout. Ils ont donc une sécurité astrale.
David : Très bien.
[se tournant vers les téléspectateurs] Dans notre prochain segment, nous allons donc avoir Tompkins qui nous envoie dans le cosmos et, plus précisément, nous allons entendre ce qu’il a à dire au sujet des colonies sur la Lune.* * * * * *
NOTRE LUNE
Tompkins : Tout d’abord, ce n’est pas votre Lune, et ensuite, ce n’est pas une lune.
C’est un centre de commandement pour une région de cette partie de la Voie lactée. D’accord ? Voilà ce que c’est.
Et ça ne tourne pas.
Tout le monde oublie que ça ne tourne pas. D’accord ? Donc ce n’est pas une lune. Ce n’est pas votre lune.
C’est un centre de commandement avec probablement là 25 à 35 civilisations différentes, qui opèrent toutes ici pour cette partie de la Voie lactée.
Et oui, certains de ces gens sont en fait en guerre les uns contre les autres, mais ils ont du personnel qui vit ici. Leurs familles vivent ici. Les enfants sont éduqués. Ils deviennent jeunes. Ils vieillissent. Ils se marient. C’est un gros morceau. C’est une grande, grande installation.
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David : Alors Corey, quelle a été votre réaction en voyant ce segment tout à l’heure ?
Corey : C’est exactement ce que j’ai dit dans le passé. Il y a un certain nombre de factions qui ont des territoires sur la Lune où elles opèrent.
Et il y en a qui sont des ennemis sanglants depuis des millénaires qui opèrent à un ou deux kilomètres l’un de l’autre, je veux dire, des groupes que vous ne réunissez pas, quoi qu’il arrive.
David : Il a parlé de 25 à 35 civilisations. Je me demande si ça colle bien avec ce que vous avez entendu.
Corey : C’est probablement exact. Il y a beaucoup de races d’agriculteurs génétiques qui ont des « postes d’observation », comme on les appelle.
Et ils s’en servent comme d’un poste d’observation et d’une station à partir de laquelle ils vont et viennent pour faire ces expériences génétiques sur nous.
David : Une des choses qui m’a sauté aux yeux, c’est que j’y ai pensé, comme vous l’avez dit, comme un avant-poste ou peut-être une escale, alors qu’il dit que vous avez des familles qui y vivent. On y éduque des enfants qui grandissent dans ces bases lunaires.
Il s’agit donc de ce qui semble être un logement permanent pour des populations potentiellement importantes de personnes de plusieurs… vous savez… de 25 à 35 civilisations.
Corey : Je veux dire, ce serait comme si nous avions une base de la Marine en Europe. Les soldats ont des familles avec eux. Ce sera l’un de ces scénarios.
Je n’avais pas entendu de renseignements au sujet des familles et des enfants. L’information que j’avais reçue me disait que cela ressemblait davantage à des avant-postes militaires.
David : Quand je suis allé au Japon, je suis allé à Tokyo, la ville principale, et c’est incroyable quand vous êtes là-bas, et vous regardez dehors, et vous voyez quelque chose qui ressemble à Manhattan, mais c’est si grand. Tokyo est incroyablement grand, il y a une telle densité de bâtiments qu’on ne peut même pas voir à quel endroit cette densité de bâtiments très comprimés s’arrête.
Donc, lorsque nous avons une ville de cette taille, c’est une très petite empreinte géographique, mais il se peut qu’il y ait 20, 30 millions de personnes qui y vivent.
Je me demande si le niveau de développement sur la Lune dans certains de ces territoires est suffisant pour qu’il y ait une population aussi nombreuse dans un petit espace.
Corey : C’est une question de technologie. Si nous n’étions pas si technologiquement développés, il ne serait pas possible d’avoir une ville comme Tokyo.
Ils ont maîtrisé [sur la Lune] tous les besoins énergétiques, les besoins en protéines dont les gens peuvent avoir besoin, tout ce qu’il faut pour traiter les déchets à un niveau beaucoup plus efficace que le nôtre.
Donc, oui, ils peuvent avoir une densité de population beaucoup plus élevée que la nôtre.
David : Y a-t-il des exigences en matière d’immigration qui empêcheraient quiconque ne fait pas partie de leur culture indigène de voir l’intérieur de ces villes ?
Corey : Absolument. Il n’y a pas un groupe qui va dans les villes des autres. Je veux dire, c’est comme l’ONU ou un peu comme la façon dont l’Antarctique est découpé pour tous ces différents pays.
C’est un territoire incontesté, et ils ne traversent pas ni n’envahissent [les zones des autres].
La Lune s’est transformée en un peu comme une zone suisse, une zone exempte de conflits, après quelques grandes batailles majeures qui ont eu lieu dans notre histoire. Et ils ont laissé sur la Lune certains des vestiges de ces batailles, comme témoignage et comme souvenir des batailles et de la gravité de la situation.
Ce sont les conflits qui ont mené à la signature de ces traités entre les différents groupes d’agriculteurs génétiques, certains de ces groupes plus négatifs dont nous parlons, qui leur permettent de vivre et d’opérer à proximité sans être en guerre tout le temps.
David : Pete Peterson a un initié qui vient du programme spatial russe, qui lui a dit que si nous pouvions voir le côté obscur de la Lune – qui est, comme l’a noté Tompkins, toujours à l’opposé de notre point de vue, on ne peut pas regarder de ce côté-là –, qu’il ressemble à Manhattan la nuit.
Ce qui signifie toute la zone circulaire de l’arrière de la Lune, si ce cercle pouvait être tourné vers nous, toute la nuit est littéralement couverte de lumières.
Corey : Oui, il y a une chose en particulier, je crois qu’elle s’appelle Luna City, qui a beaucoup de lumière.
Mais vous devez également noter qu’ils ont un type de [technologie de] voile qui recouvre leurs bâtiments et structures qui ressemble au reste du terrain aride de la Lune.
David : Oh, wow !
Corey : Vous pourriez survoler et voir les cratères, alors que c’est une projection sur une base ou un avant-poste.
David : C’est intéressant parce que, comme nous le savons, le major Bob Dean a pris sa retraite, selon ce que j’ai entendu de Jacob, mon initié qui l’a rencontré lors d’un événement du Projet Camelot et qui l’a reconnu dans le cadre du Programme spatial secret…
Corey : Je suis presque sûr qu’il a fait un « 20 ans et Retour »
David : Oui.