Secrets révélés

Le Mystère de la Terre Jumelle

Nous allons aujourd’hui nous faire l’écho d’une légende, si extraordinaire que nous avons hésité longtemps avant de vous en parler, car elle ne pourrait susciter que dénégation, suspicion, voire dérision chez tous ceux qui prétendent connaître notre système solaire et les planètes qui le composent.

Cette légende, jusqu’à présent très peu diffusée dans la littérature spécialisée, prétend que la Terre aurait une sœur jumelle symétrique par rapport au Soleil et totalement invisible pour nous, en raison de sa révolution sidérale synchronisée avec la Terre.

LA GÉNÈSE DE L’AFFAIRE

C’est dans la petite revue de bandes dessinées « Météor » des éditions Artima éditée à Tourcoing autour de l’année 1954, dans le n°18 intitulé « Le monde Parallèle », que nous avons la première fois eu la grande surprise de découvrir cette « théorie extraordinaire de la Terre Bis ». Nous pensons que l’auteur de cette bande dessinée, était assurément un « initié » car il fallait à notre avis, à l’époque, une sacrée dose d’imagination pour inventer une telle théorie.

N’ayant pas ce 28/05/01, la chance d’avoir la photo de ce N°18 de Météor, voici, à titre d’illustration, la couverture du n°18 (->) de cette revue dont le prix actuel dépasse assurément 200F (30 à 49 euros) dans les boutiques spécialisées. Mais dès le 09/06/01, nous recevions de notre ami Joël B, la couverture du numéro 18 (et qui est en définitive de Juin 1954). Un grand bravo donc, à Joël, pour ses fructueuses recherches grâce encore à la magie d’Internet. Et une fois de plus, félicitons encore « super hasard », pour le petit coup de pouce qu’il vient de nous octroyer.


CONJONCTURE EXCEPTIONNELLE

1) Le 23 Juin 2001 nous avons eu la grande joie de recevoir par la poste le fameux numéro 18 de Météor en question, grâce à l’heureuse initiative de notre ami parisien Roch S. qui par un coup de chance inouï, a pu obtenir cette revue à un prix acceptable, lors d’une vente aux enchères du site de Ibazar.com. Ce qui est encore plus surprenant, c’est que cette vente ne proposait qu’un seul numéro de Météor et c’était justement le numéro 18 que nous recherchions avec tant de ferveur. Alors là « Super hasard », tu as fait, vraiment « un coup de Maître » de haut niveau que les rationalistes endurcis vont « admirer ». Voici donc dès lors, la photo en couleur cette fois-ci, de la couverture de ce numéro 18 de Météor de Juin 1954 (->).

 

Après avoir relu le texte de ce numéro, 47 ans plus tard, nous nous apercevons qu’il nous raconte principalement l’arrivée des astronautes Spencer, Spade et Texas sur une planète qui est située dans un monde parallèle où il existe par rapport à notre Terre, un déphasage de temps d’une journée en arrière, par exemple où la prise de la Bastille est arrivée le 15 juillet 1789.

Et le professeur Spencer fait alors la constatation surprenante : « Nous sommes si vous le voulez : sur Terre mais pas sur « notre Terre ». Nous sommes sur une planète identique à la notre en tout et pour tout… absolument pareille. Les personnages ont les mêmes visages, les mêmes gestes, les mêmes pensées. Ils disent les mêmes choses… et à l’heure actuelle, il y a dans notre vrai New York, un autre Spencer qui dit ce que je dis et fait ce que je fais exactement comme si je me regardais dans une glace. »

Ce qui est encore plus extraordinaire, c’est que la fusée (à cause de sa vitesse immense bien audacieuse pour l’époque), et les astronautes qu’elle contient, arrivent d’abord sur ce monde en avance sur leur propre temps et y demeurent invisibles (et les astronautes peuvent aussi entre autres choses passer à travers les murs), jusqu’à ce que leur propre corps physique viennent les rejoindre. Le professeur Spencer ne parle pas cependant de planète symétrique par rapport à notre soleil, mais l’idée de réflexion est très nettement exprimée : « Nous avons vécu dans le monde parallèle de la 4ème dimension et maintenant nous vivons si on peut dire dans un monde réfléchi de trois dimension. »


Comme il existe un autre numéro, (le n°54) de Météor et qui est intitulé « Terre Symétrique », peut-être y trouvera-t-on d’une manière plus explicite, cette notion, de symétrie centrale solaire ? Et bien que nous sachions que Méteor était, avant tout, une revue de science-fiction, nous restons confondu par la hardiesse du thème évoqué. Affaire à suivre donc.

2) Puis, la deuxième fois, qu’il nous a été donné de côtoyer cette théorie, ce fut grâce au grand ésotérisme français Serge Hutin qui dans son petit livre de poche intitulé « hommes et civilisations fantastiques » paru en « J’ai Lu : l’aventure mystérieuse » en début 1970, nous raconte pages 32 et 33, la chose suivante :

« Selon une tradition orale, connue encore de certains alchimistes contemporains, il existerait une planète sœur de la nôtre, occupant par rapport au soleil une place exactement symétrique à la Terre ; il est donc impossible de l’apercevoir, puisqu’il faudrait pouvoir regarder derrière la fournaise solaire elle-même. »

Ce petit entrefilet de Serge Hutin, nous invite donc à en savoir plus, mais hélas cet auteur ne nous donne aucune référence sur le sujet, qui nous permettrait de poursuivre nos investigations.

Certains sceptiques se diront évidemment que si cette « Terre bis » existait, il y a belle lurette que les astronomes s’en apercevraient et l’auraient crié sur les toits. En effet, elle devrait engendrer des perturbations gravitationnelles des planètes proches, lorsque justement ces dernières se déplaceraient derrière le soleil. Nous ne sommes pas qualifiés pour faire des recherches à ce sujet et seuls les astronomes chevronnés pourront nous dire si ces perturbations ont été repérées. Et de plus, il se pourrait que les dimensions du soleil soient suffisamment énormes pour en cacher les manifestations.

Quant à dire qu’il est très improbable qu’une planète ait la même vitesse de révolution sidérale autour du soleil que la Terre, et que cela serait plutôt miraculeux, qu’il nous soit permis de donner d’abord l’exemple de la Lune qui possède ce que l’on appelle, une rotation obligée, ce qui signifie qu’elle tourne sur elle-même, dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours.

La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone, est que la Lune nous présente toujours la même face.

Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l’autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle. Or d’après des spécialistes que nous avons contactés : 

« Il y a exactement cinquante corps célestes, qui ont la même sorte de synchronisation que la Lune, c’est à dire qu’ils effectuent une rotation sur eux mêmes précisément dans le même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète respective, ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible (ce qui est généralement le cas), qu’ils montrent toujours la même face à la planète. »

De plus, il existe un autre couple exceptionnel du système solaire Pluton-Charon, encore plus extraordinaire dans mon mouvement, car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement en 6,39 jours également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît totalement immobile dans le ciel, (alors que l’autre hémisphère ne le voit jamais), exactement comme le serait un satellite géostationnaire pour la Terre.

Pas mal comme performance n’est-ce pas ? La revue « Science&Vie » dans son n°1003 d’avril 2001, a publié un remarquable article de 23 pages intitulé : « le Hasard est-il vraiment le Maître de L’Univers ? », mais cette revue a là, dans cet article, cependant « oublié » de nous exposer le cas de ce couple Pluton-charon qui pourtant défie les lois du hasard, nous plonge dans la plus grande perplexité et surtout, apporte de « l’eau au moulin » de notre article sur « l’incroyable aventure de Rose C ».

3) Le troisième rendez-vous avec cette « théorie de la Terre bis » nous vient d’une missive que nous avons reçue de l’ami parisien Roch S. le 24/04/01, dont voici un extrait :

« … En approfondissant mes connaissances sur David Hamel qui construit une soucoupe volante d’après les indications d’Extraterrestres de grande taille et notamment le livre des morts Egyptien qui décrirait en réalité le principe de l’antigravité…

Bref, j’ai contacté le webmaster du site pour lui demander des nouvelles fraîches de David Hamel, voici ce qu’elle me répondit alors :

« Bonjour, David est toujours dans sa maison en Ontario. Il termine son engin spatial. Il lui reste 2 ans de travail avant d’explorer « la porte des étoiles » qui le mènera de l’autre côté du soleil, sur une planète semblable à la nôtre, la planète Kladen. Ce n’est pas grave si vous n’y croyez pas. David, lui, est convaincu et c’est ce qui compte. D’ailleurs ce sont eux qui l’aide dans son projet. En tant qu’humain, David ne serait pas capable seul… »

4) Cette affaire de « portes des étoiles » nous donne l’occasion de parler d’un quatrième rendez-vous avec cette « théorie de la Terre bis » en la matière d’un film américain qui justement avait pour thème cette théorie. Il s’agit du film « Danger planète inconnue » dont la dernière diffusion TV eu lieu la semaine du 6/02 au 13/02/1999, le vendredi à 22 heure 30 sur la chaîne « 13° rue ». Ce film intitulé en anglais : « Journey to the far side of the Sun » ce qui est bien plus explicite, on le voit, que le titre français, est du réalisateur Robert PARRISH (1969). Voici l’affiche de présentation.

 

Ce site nous donne quelques détails sur ce film dont l’histoire très résumée est : Une sonde spatiale envoyée par l’EUROSEC, le Centre Européen d’exploitation de l’espace dirigée par Jason Webb, à découvert une nouvelle planète dans notre système solaire. Jusqu’à présent il était impossible de la voir car elle est cachée par le soleil. En effet, cette planète possède la même orbite que la Terre et se déplace à la même vitesse. Eurosec décide d’envoyer un vol habité vers cette planète. Il est commandé par l’astronaute Glenn Ross, le plus expérimenté pour piloter la mission… avec les acteurs suivants : Roy THINNES, Ian HENDRY, Patrick WYMARK , Lynn LORING, Loni Von FRIEDL etc…

D’ailleurs à la page 90, d’une « Encyclopédie de la Science Fiction » de Jean-Piere Piton et Alain Schlockoff chez Jacques Grancher, Paris 1996, nous avons découvert cette phrase concernant ce film :

« … L’existence d’une deuxième Terre en tout point identique à celle qu’on connait. Jusqu’alors cette idée était demeurée ignorée du cinéma. Elle est ici insuffisamment exploitée… »

Comme vous voyez cette affaire de « Terre bis » a surpris par son originalité, même les spécialistes de science-fiction habitués à écrire des ouvrages sur la question.

5) Le cinquième rendez-vous avec cette affaire, va nous conduire au cœur même de l’ésotérisme le plus direct, car il s’agit d’un message arrivé par « channelling », procédé que refusent d’admettre évidemment, les biens pensants et la plupart des rationalistes endurcis. Nous vous donnons la portion préliminaire du message qui est en même temps une plongée vertigineuse dans la genèse de nos origines cosmiques. Le texte est tiré du livre « Enseignements Choisis » de Ramtha aux Editions du Roseau (2trim. 1991) :

« Donc, à l’origine vous aviez tous prédominance. Vous fûtes « le commencement », car vous avez créé le temps. A partir du moment où l’homme créa le temps et se mit à le suivre, alors seulement le temps devint une réalité. Le temps est une gigantesque illusion qui gouverne vos vies et qui n’existe même pas dans « l’Etre ».

Les dieux sont les plus grandes lumières. C’est de leur lumière qu’explosa la créativité. Seule une force dynamique comme la vôtre, particules de Lumière contemplant et créant comme le fit « Celui qui est », peut créer une lumière plus basse. Dans cette forme réduite de lumière se trouve le particum Z.

Avez-vous déjà entendu parler du particum Z ? (Le conférencier regarde alors la mer de visages pantois). Eh bien, je viens de perdre la moitié de mon public.

Le particum Z est une Lumière de plus faible intensité. De ces particules de Lumière vinrent les gaz qui provoquèrent ce que vos savants appellent le « big bang », une déflagration, vous savez. « Boum ! Et tout a commené ». Eh bien, on peut dire ça, mais ça ne s’est pas passé tout à fait de cette façon. C’est mesurer le temps.

Pour savoir, il vous faut oublier le temps. L’Univers, le Soleil, la Terre ne furent pas créés à partir d’une explosion. Vos savants parlent de « big bang » simplement parce qu’ils ignorent ce qui s’est produit avant. Les dieux étaient là en premier. C’est d’eux que les éléments créateurs émanent et il en sera toujours ainsi.

Et à partir de quoi les dieux créèrent-ils ? De la Pensée, bien sûr. La Pensée est la vie éternelle, elle est « l’Être » à jamais. La pensée dans sa plus simple forme est appelée matière brute. La matière brute est composée d’atomes. Chaque atome contient une infinité de particules. Me suivez-vous ? Cela s’appelle l’Esprit lnfini.

La seule manière pour les dieux de créer à partir du flot de Pensée qui leur avait donné vie était d’avoir quelque chose, une âme, qui pourrait capturer la Pensée.

Votre âme est semblable à un ordinateur elle capte et emmagasine la pensée. Sans âme, vous ne sauriez rien, ne pourriez rien exprimer, rien créer et vous ne seriez rien que « l’Être ». L’âme enregistre chacune de vos pensées. Elle n’enregistre pas la pensée elle même mais sa pulsion électrique répercutée sur votre corps de lumière. Cela s’appelle émotion. Les émotions sont la base de la matière gazeuse de votre univers ; elles l’ont créé.

Le particum Z est l’une des principales composantes de l’atome. Ce fut la première manifestation d’une émotion, celle qui donna vie à la totalité de votre univers.

La création vient du particum Z qui, divisé en particums X et Y, engendra la combustion et les masses gazeuses appelées soleils. La matière brute est née de ces soleils. Les soleils réduisirent l’électrum afin de créer la matière dont les particules furent dispersés dans l’éternité. Et pendant tout ce temps, l’espace, le silence, le néant appelés Pensée permettaient à la Lumière de jouer sur la matière c’est ainsi qu’elle est née. Mais les dieux, les particules de Lumière, prédominaient toujours.

Dans une explosion d’énergie spectaculaire les soleils donnèrent naissance aux planètes. Les planètes, grâce â la fission explosive, tournèrent dans une orbite qui s’éloignait des soleils et se refroidirent graduellement. Plus elles tournaient et se refroidissaient, plus elles se creusaient de l’intérieur par la force centrifuge qui poussait tout ce qui se trouvait en leur centre vers l’extérieur.

Les dieux créèrent la première planète habitable de votre système solaire. Elle fut appelée Mélina. Ce fut la première planète née de votre soleil. Elle vient du processus naturel de la Lumière donnant naissance à matière. Sur cette planète, les dieux s’amusèrent à créer des formes de lumière. (A ce stade, chacun de vous est encore un dieu unique, indivisé sans sexe).

Lorsqu’à cause de leur esprit compétitif les dieux eurent détruit Mélina (dont les vestiges gravitent autour de Saturne), plusieurs s’en allèrent aux confins de votre système solaire et y demeurèrent. D’autres se rendirent sur une planète située de l’autre côté de votre soleil, en ligne directe avec Terre, une planète que vos scientifiques découvriront avant la fin de ce siècle. (Il existe donc une autre planète dont vous ne connaissez pas encore l’existence.)

Après la destruction de Mélina et la création d’autres planètes, votre Terre sortit du flanc de votre mère, fut projetée en orbite et se refroidit peu a peu dans sa rotation. Ensuite (nous parlons de milliards et de milliards d’années, donc d’un laps de temps difficilement mesurable), elle fut fécondée et prête à accueillir la vie. Après qu’elle se fut creusée en son centre et refroidie à sa surface, les dieux commencèrent à y installer leur demeure et â créer, à l’état embryonnaire, toute sa masse cellulaire… Fin de citation.

Que dire donc de plus, après un tel cours magistral sur la Cosmogonie de notre système solaire et au sujet d’un tel texte dont nous avons coupé une grosse partie. Avouons cependant que ce n’est pas le genre d’information que l’on va lire dans nos médias qui ont pignon sur rue et qui sont si souvent pourtant, bien pressés de nous inonder de leurs nouvelles en forme de scoops attrayants.

Notons par ailleurs que Ramtha affirme, en plus de l’existence effective d’une sœur « jumelle » à notre planète, que notre Terre a, bel et bien, été « creusée en son centre par la force centrifuge », lors de sa création.

D’autres sceptiques pourront nous dire : « comment se fait-il que tous les satellites qui ont été envoyés dans l’espace n’ont pas détecté cette planète fantôme ? ». Voici donc, pour clore aujourd’hui, cet exposé, un extrait de l’information que nous avons reçu le 19/05/01 de notre ami canadien Julien J. en provenance de « l’institut national des sciences de l’univers : l’INSU »:

« Le satellite Soho regarde la face cachée du Soleil, et détecte dans le ciel l’ombre gigantesque d’une comète. »

« Des chercheurs du CNRS viennent de démontrer que l’on peut observer la face cachée du Soleil, et détecter si des éruptions s’y produisent, quelques jours avant que les taches solaires n’arrivent en vue sur le côté du Soleil qui fait face à la Terre. Cette découverte surprenante, faite avec le satellite Soho (Solar and Heliospheric Observatory) de l’Esa contrôlé par la Nasa, pourrait aider à la prédiction de l’activité solaire qui perturbe parfois la Terre. D’autre part, Soho a détecté pour la première fois l’ombre projetée d’une comète sur le ciel, la plus grande ombre du système solaire.

Les chercheurs ont utilisé l’instrument Swan placé sur Soho, qui mesure l’émission lumineuse du ciel en lumière Lyman alpha. Cette lumière est spécifique de l’hydrogène, comme l’est la lumière jaune-orange des lampes à sodium pour le sodium. Sauf que cette lumière Lyman alpha rayonne dans le domaine de longueur d’onde de l’ultraviolet, indétectable depuis le sol, car elle est absorbée par l’atmosphère.

D’une part, le système solaire est rempli d’atomes d’hydrogène, car il est constamment balayé par de la matière interstellaire. D’autre part, le Soleil, constitué d’hydrogène, est une puissante source de lumière Lyman alpha. Cette source éclaire donc en permanence les atomes d’hydrogène présents dans le système solaire. Ils reflètent, comme un écran, cette lumière provenant du Soleil et Swan recueille tous les deux jours une carte complète de cette émission céleste. Cet écran sphérique englobe totalement le Soleil, et sa partie qui se trouve de l’autre côté du Soleil est éclairée par la face solaire opposée à la Terre.

L’examen attentif des cartes du ciel de Swan montre la présence fréquente dans le ciel d’une grosse tache plus lumineuse que le reste, clairement liée à la présence sur le Soleil d’une zone active, beaucoup plus brillante en ultraviolet, comme le montrent les images de l’instrument Eit, aussi à bord de Soho. Cette tache tourne dans le ciel en 28 jours, ce qui correspond à la rotation du Soleil sur lui-même. Mais, tandis que la zone active sur le disque solaire disparaît de notre vue au cours de la rotation du Soleil, Swan continue de voir la réflexion de cette tache sur le ciel, car elle continue d’éclairer le ciel situé de l’autre côté du Soleil.

« On pourrait utiliser cette méthode pour détecter la naissance d’une nouvelle région active sur la face cachée du Soleil », suggère Jean-Loup Bertaux, Directeur de Recherche au Service d’Aéronomie du Cnrs, et responsable de l’instrument Swan… » (Images disponibles sur le serveur de l’Esa à l’adresse suivante : http://sci.esa.int/soho). Fin de l’extrait concernant satellite Soho.

Nous ne savons pas du tout, de quoi il s’agit, quand on parle de cette « grosse tache plus lumineuse que le reste ». Il n’en reste pas moins vrai que tout cela est bien étrange et mérite qu’on s’y attache. Ndlr : Surprise ! le 20 novembre 2001 sur le site de l’ESA on nous montre une photo du soleil (à g.) avec ce qui est présenté comme étant un immense nuage de gaz se dirigeant vers le soleil (à d.) au lieu de s’en éloigner. De quoi s’agit-il ? Impossible à dire.

 

CONCLUSION

Une fois de plus, si cette affaire de « Terre Bis » s’averrait authentique, (et ceci pourra-t-il être caché longtemps encore ?), nous constatons que des informations capitales pour notre compréhension du cosmos, sont mises sous le boisseau et gardées à l’écart du commun des mortels, sans doute pour ne pas déstabiliser, les circuits monétaires et politiques mis en place par les potentats qui nous gouvernent. En effet, nul ne peut présumer des réactions du « Monde de la Finance » à la suite de l’annonce d’une révélation de cette nature, comme d’ailleurs de toutes celles qui démontrent que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, que des êtres très évolués sont intervenus dans le déroulement de nos civilisations et qu’ils nous surveillent, assurément, depuis des lustres. A bon entendeur salut.

PROLONGEMENT RÉVÉLATEUR EXCEPTIONNEL

Nous avons, vous vous en doutez, demandé à certains scientifiques versés dans l’Astronomie, de nous donner leur avis sur le sujet. Voici quelques extraits d’une lettre extraordinaire, que nous avons reçue le 10/06/01 :

« Cher Fred… Curieux hasard ! Je suis en train d’écrire un ouvrage d’astronomie (je prévois de le terminer vers la fin de l’année), mon premier chapitre, une dizaine de pages, est entièrement consacré à cette « Terre bis ». Je ne connaissais pas cette revue Météor, ni l’œuvre de Serge Hutin ; durant mes recherches, j’avais juste découvert l’existence d’un film de science-fiction sur ce thème (je n’ai pas eu l’occasion de voir ce film). Selon mes recherches, dans un point de vue astronomique, la présence de cette planète ne fait plus guère de doute, et j’expose donc les différents arguments et indices en faveur de cette planète, ainsi que certains effets de ce curieux duo. Vous comprendrez, que je ne peux pas vous transmettre ici les résultats de mes travaux, puisque cet ouvrage est un condensé de cinq années de travail sur le thème du système solaire. Mais c’est avec un grand plaisir que je vous annoncerai sa parution, mais il faut encore quelques mois de travail et trouver un éditeur … » …fin de la missive ci-dessus.

Voici donc aussi, l’adresse du site de cette personnalité scientifique : José FRENDELVEL. (Ndrl : voir une page de ce site dans notre dossier Mars. L’article d’ouverture : Terre et Mars, une histoire de fraternité.) Que dire de plus, si ce n’est simplement, encore une fois, n’est-ce pas : « Merci Super Hasard ».

DEUXIÈME PROLONGEMENT RÉVÉLATEUR

en date du 14/06/01

Nous avons eu alors le privilège de recevoir la missive suivante de l’ecrivain Gildas Bourdais auteur, entre autre choses, du livre remarquable : « Sont-ils déjà là ? Extraterrestres, L’affaire Roswell » aux « Presses du Châtelet » en Nov 1995, et aussi plus récemment de l’ouvrage : « OVNIS : La levée progressive du secret », (Edition JMG, diffusion Casteilla à joindre à l’adresse : [email protected]).

» … L’idée de terre parallèle ne m’est pas inconnue. Curieusement, cette idée apparaît dans un livre scientifique de ces dernières années, sur la théorie des « supercordes », mais c’est un livre anglais, non traduit : « Superstrings. A Theory of Everything ? « Œuvre collective éditée par P. Davies et J. Brown (Cambridge University Press, 1988).

Cette théorie des supercordes tente de rassembler dans une seule théorie les deux grands piliers de la physique, jusqu’à présent inconciliables, la théorie de la relativité et la mécanique quantique. Elle y parvient sur le papier, en supposant que l’espace a des dimensions supplémentaires. Jusqu’à récemment, on supposait que ces dimensions supplémentaires sont repliées à une échelle infime, bien plus petite que les particules, mais les théoriciens commencent à spéculer maintenant qu’il pourrait y avoir au moins une dimension supplémentaire déployée dans tout l’espace comme les autres dimension que nous connaissons. Cette idée était déjà présente dans le livre anglais que je viens de citer. Elle est aussi présente dans deux articles récents sur ce sujet :
« Les dimensions cachées de l’univers » dans la revue « Pour la science » (octobre 2000).

Même titre, mais autre article, dans « La Recherche » (juin 2001).

S’il existe, non pas trois, mais quatre dimensions spatiales, alors nous sommes dans ce qu’on appelle un hyperespace, et si j’y comprends quelque chose, une terre « parallèle » pourrait s’y trouver !

Et peut-être que ces deux terres pourraient communiquer dans certaines limites ? Ainsi, on peut dire que les spéculations scientifiques les plus récentes se rapprochent de très anciennes idées qui relevaient des traditions ésotériques ! Mais peut-être ne faut-il pas confondre cette idée scientifique, aussi spectaculaire soit-elle, avec d’autres notions de dimensions plus « spirituelles » qui seraient le domaine des « esprits ». Là, j’avoue ma grande ignorance. » Fin de la missive de Mr G. Bourdais.

Mr Bourdais, comme vous le voyez, nous propose de placer cette « Terre Bis » dans un univers parallèle, peut-être même psychique. Ce n’est pas impossible qu’il y en ait même plusieurs dans ce domaine là.

Nous pensons cependant, que bientôt, les photos de la Nasa prises derrière le soleil, (photos qui ne tarderont pas, selon nous, à être dévoilées sur Internet) pourront seules nous affirmer ou nous infirmer, la réalité bien physique de cette sœur jumelle de la Terre.

TROISIÈME PROLONGEMENT RÉVÉLATEUR

en date du 24/06/01

De notre ami parisien Roch déjà cité plus avant, nous avons de nouveau, reçu le message suivant : une nouvelle information au sujet de cette théorie de Terre symétrique, alors tiens toi bien. Connais-tu le livre de Robert Charroux : « Histoire inconnue des Hommes depuis cent mille ans » ? R. Charroux est un chercheur de trésor, plongeur sous-marin, journaliste et archéologue. Dans son livre, il nous donne une précieuse information sur cette Terre symétrique ! Je le cite :

« La tradition, la mémoire parfois, ont conservé le souvenir de ces bouleversements géologiques, en brodant souvent, en ajoutant, en inventant même des planètes au compte de notre galaxie, puisque au temps de Pythagore, on croyait à une Anti-Terre, gravitant autour du soleil, exactement à l’opposé, si bien que l’astre nous la cachait toujours. Pourtant, une ou deux fois l’an, disait-on, il était possible de voir le contour de cette Anti-Terre qui a, aujourd’hui encore, des partisans. » Fin du message de Roch.

Il ne nous a pas été difficile de retrouver à la page 130, cet extraordinaire passage, du livre de Robert Charroux dans notre bibliothèque dans l’édition de Mars 1973, (mais dont le manuscrit original est de 1963). Donc, depuis tout ce temps là, R. Charroux avait déjà exprimé cette idée de « Terre Bis » et nous l’avions oublié totalement (n’ayant pas relu cet ouvrage depuis, et ce que nous ne manquerons pas de faire bientôt).

Et il ne nous revient pas en mémoire, non plus, que notre professeur de philo, nous ait exprimé à l’époque cette idée saugrenue, que les Pythagoriciens croyaient à une Terre Bis exactement opposée à nous par rapport au Soleil, car nous aurions, à l’époque, fait alors le rapprochement avec cette information analogue venant du n° 18 de Météor, information alors toute fraîche dans notre mémoire.

Mais bien que Pythagore (580-486 avant JC) n’ait laissé aucun écrit tangible, on pourrait trouver peut-être chez ses disciples une petite trace plus étoffée de cette « Anti-Terre » dont parle R.Charroux et dont doit probablement aussi faire référence Serge Hutin cité plus haut. Alors messieurs les internautes fervents des « anciens mystères culturels grecs concernant les pythagoriciens », ne nous oubliez pas, si, comme l’ami Roch vous tombez, « par hasard », sur cette information surprenante. Merci d’avance.

QUATRIÈME PROLONGEMENT RÉVÉLATEUR

en date du 18/10/01

Dans un ouvrage intitulé « Desert Center : George Adamski » de Marc Hallet paru en Juin 1983 aux Editions Michel Moutet – 62, av du Château d’eau 83630 Regusse – France, nous découvrons en page 60, l’existence d’un livre paru en 1954 d’un certain Trumam Bethurum (Note du webmaster intitulé : Aboard a flying saucer) où parait-il l’auteur y rapporte sa dizaine de contacts avec des extraterrestres de la Planète Clarion, planète qui serait située exactement à l’opposé de la notre par rapport au Soleil et qui de fait nous serait toujours invisible. Notons que Marc Hallet qualifie cela de trouvaille de « géniale » et qu’il dit qu’elle est chère aux auteurs de Science Fiction, qu’elle satisfait à l’esprit de géométrie harmonique cher à certains mystiques mais il précise aussi « qu’une telle planète n’a absolument aucune chance d’exister car les perturbations qu’elle provoquerait dans la course de la nôtre aurait été enregistrées depuis longtemps ».

Comme nous l’avons déjà dit nous ne sommes pas qualifié pour prendre position sur l’existence ou non des perturbations en question. C’est l’affaire de spécialistes. Notre rôle se résume à présenter les différentes thèse sur cette oh combien étrange affaire.

Nous avons reçu le 17/10/01 la missive suivante d’un internaute très documenté et qui semble avoir étudié avec pertinence cette question de Terre symétrique : « … Très intéressé par tout ce qui touche, de près ou de loin, à la question de la vie non-terrestre, je suis également un modeste astronome amateur. C’est donc avec beaucoup de curiosité que j’ai parcouru votre dossier concernant une possible « Anti-Terre » qui graviterait sur la même orbite que la nôtre et se situerait à l’exact opposé de celle-ci par rapport au soleil. Comme vous présentez vous-même votre site à la manière d’un édifice sur lequel chacun est libre d’apporter sa pierre, je me permets donc de me lancer en vous livrant mon avis sur la question de cette fameuse « Anti-Terre ».

Tout d’abord, au delà du fait, déjà incongru, que cette planète puisse se situer à l’exact opposé de la nôtre par rapport au soleil, il est un autre phénomène remarquable qui, je crois, mérite d’être souligné.

La planète en question partage la même orbite que la nôtre.

Or, à ma connaissance, un tel phénomène est tout à fait envisageable en théorie, mais se concrétise dans les faits par un système instable qui n’est pas viable à long terme, sauf à une seule condition : les deux corps sont de masse identique. En effet, si tel n’est pas le cas, l’un des deux corps finit inévitablement par rattraper l’autre et par le percuter de manière à ce qu’ils n’en forment plus qu’un seul qui continue d’évoluer sur la même orbite (ou sur une orbite proche).

Autrement dit, cette « Anti-Terre », si elle existe, a forcément une masse rigoureusement équivalente à la nôtre et ceci au kilogramme près ! Si tel n’était pas le cas, les deux planètes finiraient par se percuter au terme d’une durée proportionnelle à l’écart de leurs masses.

Considérons toutefois que « Super Hasard » nous a encore joué un de ses tours de force dont il a le secret et que les deux planètes soient bien de masse quasi équivalente. Après tout, pourquoi pas ? Donc si tel est le cas, je me dois de porter à votre connaissance un phénomène dont vous semblez tout ignorer (ou que vous n’avez pas songé à prendre en compte malgré son intérêt explicatif évident) puisqu’il n’est pas mentionné dans le texte que j’ai pu lire sur votre site au sujet de l’anti-Terre.

Le phénomène en question est lié à la forme de l’orbite terrestre et de ce que j’appellerais sa jumelle.

En effet, l’orbite de la Terre autour du Soleil n’est pas circulaire, contrairement aux représentations simplifiées qu’en donnent la plupart des manuels scolaires. Cette orbite est légèrement elliptique. Il en résulte un phénomène, bien connu des astronomes, qui du fait de la loi de Kepler (dite « loi des ailles ») implique que lorsque la Terre se trouve au plus près du Soleil (le périhélie) elle se déplace plus rapidement sur son orbite que lorsque elle est au point le plus éloigné (l’aphélie).

Si l’on tient compte de ce phénomène dans un système à deux corps de même masse évoluant sur une orbite commune autour du soleil, il en résulte l’effet suivant : le mouvement des deux astres autour du Soleil n’est pas rigoureusement synchrone. L’angle qu’ils forment avec le soleil (variant autour d’une valeur de 180° pour le système Terre / Anti-Terre) est variable au cours d’une année.

Comprenez qu’il y a des moments dans l’année où, du fait de l’accélération subie à proximité du périhélie et de la décélération à l’aphélie, l’un des deux astres se rapproche de l’autre puis s’en éloigne plus tard.

Ce phénomène, difficile à expliquer textuellement, mais très simple à représenter sous forme d’animation, confirme le passage de votre texte citant R. Charroux et où il est dit ceci :

« une ou deux fois l’an, disait-on, il était possible de voir le contour de cette Anti-Terre ».

En effet, l’une des conséquences directes du phénomène que je viens de vous décrire est la suivante : il doit être possible d’observer certains levers (ou couchers) de l’Anti-Terre juste avant (ou après) les levers (ou couchers) du soleil. Ceci à condition que le décalage induit produise un angle suffisant, c’est à dire qu’il soit supérieur à l’angle formé par l’observateur terrestre, le centre du disque solaire et la bordure de ce même disque.

Les moments de l’année où une éventuelle observation doit être possible se situent, en toute logique, un mois ou deux avant et après les solstices d’hiver et d’été.

L’anti-Terre devrait théoriquement être visible non pas deux mais quatre fois dans l’année.

Bien sûr si une telle observation est envisageable et si la distance au Soleil est suffisante pour ne pas masquer l’Anti-Terre, cette observation ne peut se faire dans les meilleures conditions qu’à des endroits bien précis du globe terrestre (au bord de la mer sur l’équateur par exemple) mais pas forcément avec du matériel de pointe puisque, si Anti-Terre il y a, une simple lunette astronomique doit suffire… » Fin de citation.

Mais le 18/10 , nous avons reçu les importantes précisons suivantes :

« Tout d’abord, je tiens à préciser que mon estimation d’un délai de 1 à 2 mois avant ou après les solstices, pour une possible observation de cette planète, est très approximative. Pour déterminer avec précision les éventuelles dates d’observation, il faut se livrer à un calcul que je n’ai pas encore eu le temps d’effectuer. Je demande donc un peu d’indulgence à vos lecteurs sur ce point.

D’autre part en prolongeant ma réflexion, je me suis aperçu que le texte de R. Charroux auquel vous faites référence est probablement plus juste que je ne le pensais. En effet, lors des solstices d’été, notre Terre est située (paradoxalement pour le néophyte en astronomie) à l’aphélie, c’est à dire au point de son orbite le plus éloigné du Soleil. Cela signifie que le Soleil nous apparaît comme légèrement plus petit lors du solstice d’été que lors du solstice d’hiver, ce qui peut théoriquement influencer les conditions d’observation lorsque l’on a affaire à un si faible décalage, par rapport au Soleil, de la planète à observer.

Autrement dit, il est très possible que la Terre jumelle ne soit effectivement observable qu’une à deux fois dans l’année, comme indiqué dans le texte de R. Charroux.

Enfin, il ne faut pas manquer de souligner que, compte tenu du faible décalage induit par le phénomène que j’ai décrit dans mon précédent e-mail, la luminosité solaire peut très bien nous masquer, malgré tout, la Terre jumelle. Cela ne signifie nullement qu’elle n’est pas observable depuis la Terre, mais que cette observation serait plus aisément réalisable au cours d’une éclipse totale de Soleil qui interviendrait lors de la période idéale d’observation, c’est à dire avant ou après un solstice (et de préférence un solstice d’été). »

Mais le 18 /10 nous avons aussi reçu de l’ami parisien Roch le message :

« Voici justement un site qui parle de deux corps nouveaux aperçus derrière le soleil qui ne manque pas d’intérêt. Ce site rattache ce phénomène dans la perspective de l’approche de la planète X dans un scénario apocalyptique, mais à la lumière de ton article nous pourrions analyser ces images différemment et parler de l’anti-terre avec son anti-Lune. »

Mais le 19 /10 nous avons aussi reçu de l’internaute astronome Cédric :

« Votre correspondant remarque, d’ailleurs fort à propos, que notre « Anti-Terre » pourrait être pourvue d’une lune comparable à la nôtre. Si tel n’était pas le cas alors il faudrait que la Terre jumelle en question possède une masse équivalente au couple Terre – Lune et ce afin que l’hypothèse de son existence tienne la route (c’est à dire qu’elle respecte les lois élémentaires qui régissent la course des astres autour du Soleil et qui prédisent qu’avec une masse trop faible ou trop élevée, elle aurait été détruite depuis longtemps en percutant notre planète). Si toutefois, il existait bien une « Anti-Lune », il se pourrait alors que, certaines années, son observation soit plus aisée à réaliser que celle de « l’Anti-Terre » elle même. Je vous expliquerais volontiers pourquoi, si cela vous échappe.

J’ajouterais encore que l’hypothèse de l’existence d’une anti-Terre, si elle était confirmée, me laisse rêveur. En effet, la probabilité pour qu’une telle configuration planétaire se produise est absolument infime. Il faut en effet faire remarquer à vos lecteurs qu’une telle configuration serait forcément unique dans le système solaire. Il est clairement avéré et facilement vérifiable qu’il n’existe pas d’Anti-Mars, d’Anti-Jupiter ou d’Anti-Vénus par exemple. Autrement dit, l’existence d’une telle planète, ainsi disposée par rapport à la notre, ne manquerait pas d’interpeller pas mal de monde au même titre que les particularités inouïes de la Lune qui sont mentionnées sur votre site (distance au Soleil « faite » pour provoquer des éclipses, même face toujours visible depuis la Terre etc…).

Si « l’Anti-Terre » existe bien, alors une hypothèse encore plus fabuleuse se doit d’être formulée : et si les deux Terres avaient été artificiellement placées sur leur orbite commune ? Troublant n’est-ce pas ? Bien sûr de nombreuses autres questions ne manqueraient pas d’être soulevées, si la présence d’une Anti-Terre se confirmait : Cette planète est-elle pourvue d’une atmosphère semblable à la nôtre ? Est-elle habitée ou l’a-t-elle été ? Si elle est habitée, une civilisation technologique s’y est-elle développée ? Si oui, quel niveau a-t-elle atteint et sa position particulière par rapport au Soleil nous permettrait-elle de capter un quelconque signal ?

Mais peut-être cette hypothétique civilisation est-elle celle qui nous visite depuis déjà longtemps…

Peut-être même que les fameux Ummites (qui reconnaissent eux-mêmes qu’ils ont truffés leurs textes d’inexactitudes pour ne pas fournir de preuves trop évidentes de leur existence) ne viennent pas d’une planète située à 14 années lumières de la Terre comme ils le prétendent, mais bien de notre propre système solaire, en l’occurrence, de l’Anti-Terre. En effet, il ne faut pas manquer de souligner un fait absolument remarquable à propos des données qu’ils fournissent concernant leur planète : sa masse est supérieure à celle de la Terre, et elle n’est pas pourvue d’un satellite naturel. Il serait donc intéressant de vérifier si la masse Terre+Lune fournit une valeur approchante de la masse d’Ummo, chose que je m’emploierai à vérifier prochainement. » fin du message de Cédric.

Mais voici une nouvelle missive extraordinaire des amis scientifiques du site : José FRENDELVEL.

« Je vois que ce sujet de la Terre-bis fait couler de l’encre, mais ne soyons pas avare cette encre électronique est constituée de 100 pour 100 d’électrons recyclés… Pour que deux astres gravitent ainsi de manière symétrique à long terme, le premier paramètre est qu’ils aient la même période de révolution donc en première approximation le même demi-grand axe c’est à dire même distance moyenne au Soleil (je n’aborde pas ici le problème stabilité/instabilité).

Compte tenu de l’ellipse de l’orbite terrestre, pour que Terre et Anti-terre restent strictement opposées il faudrait alors que le sens de leur grand axe soit également inversé comme sur ce dessin (->) où Terre et Anti-terre sont au même moment à leurs périhélies et au même moment à leur aphélies respectives.

De cette manière les deux astres ont leurs vitesses momentanées constamment équivalentes et leur opposition reste parfaite.

Mais si à certains moments de l’année l’Anti-terre peut devenir visible alors nous ne sommes pas dans le cas de figure précédent et de nombreuses autres hypothèses sont alors possibles. Prenons un autre cas particulier où l’Anti-terre suit parfaitement la trajectoire de la Terre comme sur ce schéma (<-). Alors effectivement l’Anti-terre peut être en parfaite opposition au moment des périhélies et aphélies (03 janvier et 04 juillet), par contre leurs vitesses momentanées ne sont pas égales ce qui engendrera une opposition non parfaite en dehors de ces deux dates.

Le décalage sera le plus grand vers début Avril et début Octobre et approchera 2° d’angle. Mais il n’est pas possible d’espérer observer un tel astre dans ces conditions car beaucoup trop proche du Soleil. Il faudrait l’observer quelques petites minutes après le coucher (ou avant le lever) du Soleil mais la luminosité du ciel terrestre est encore beaucoup trop grande. Il y a les rares moments d’éclipse totale, mais là aussi la proximité solaire est semble t-il encore trop grande.

Le meilleur observateur est finalement le satellite d’observation solaire SOHO positionné au point de Lagrange L1 (pour une explication sur les Points de Lagrange) qui observe le Soleil en permanence en utilisant un coronographe, c’est à dire un télescope équipé d’un petit cache circulaire qui occulte le disque solaire.

Dans l’espace SOHO n’a pas le problème de la luminosité ambiante du ciel due à l’atmosphère terrestre. Voici un exemple (->) d’une photo prise par SOHO lors du célèbre regroupement de planètes au mois de mai 2000, où Saturne est à 4° du centre du Soleil ; le rond bleu au centre est le disque d’occultation du coronographe ; le petit cercle blanc représente l’emplacement et la taille du Soleil situé derrière le cache (diamètre du Soleil 0,5°) ; le disque cache une zone d’environ 2° de diamètre soit tout ce qui se trouve à une distance égale ou inférieure à 1° d’angle du centre du soleil ; par comparaison on constate que les premières étoiles sont visibles à environ 2° de distance du centre du Soleil.

En définitive tout objet situé à une distance angulaire au Soleil comprise entre 0 et 1° est invisible pour SOHO, tout objet situé à une distance angulaire au Soleil comprise entre 1° et environ 2° sera à priori inobservable ou difficilement observable, cela dépendra de la magnitude (luminosité) de l’objet en question et du niveau de l’activité solaire. Sur cette photo l’activité solaire est assez forte et s’étend assez loin masquant partiellement le fond du ciel. Les deux situations étudiées sur les deux premiers schémas ci-dessus sont évidemment des cas particuliers, rien ne dit qu’ils correspondent à l’orbite de l’Anti-terre. Il peut évidemment y avoir beaucoup d’autres cas de figure dans lesquels un (ou plusieurs) paramètre d’orbite serait différent, par exemple l’excentricité de l’orbite ou le positionnement du périhélie, etc.

Ces variations de paramètres pourraient augmenter ou diminuer le décalage de l’opposition des deux astres en question. La question se pose donc, SOHO peut il voir un jour cette Anti-terre ? Et s’il la voyait (ou s’il la déjà vu) que se passerait il ? Les autorités spatiales révèleraient elles cette observation au public ou bien la camoufleraient elles, tout comme elles ont camouflé la présence OVNI et bien d’autres choses ? Fin du message de Fransyl.

Merci donc à Cédric et Roch et Fransyl pour ces compléments de précisions d’une grande importance, et donc comme vous le voyez messieurs les spécialistes en astronomie ou autres, le débat est désormais bien ouvert au sujet de cette bien mystérieuse Anti-Terre.

(Ndrl : sur le serveur de l’ESA, on apprend que Soho a déjà filmé ce curieux nuage de gaz qui suit une trajectoire étrange, à différentes reprises : novembre 2001, septembre 2000, février 2000, janvier 2000, décembre 1999, et octobre 1999.)

L’ANTI TERRE… UNE MYSTERIEUSE PLANETE QUE LES GRECS AVAIENT NOMME ANTECHTON

Les Grecs de l’Antiquité en savaient plus long qu’on ne l’estime d’ordinaire.

On peut même se demander, si les dieux de leur Olympe n’étaient pas autre chose que des personnages mythiques, et par définitions, mythologiques, mais plutôt des grands initiés, des géants de la connaissance scientifiques extra-terrestres.

On n’a pas cessé de célébrer la philosophie et l’art de ces fameux Grecs de jadis. Avec quelle raison d’ailleurs ! Tandis qu’on se référait au seul Euclide pour les mathématiques et qu’en matière de sciences physiques on permettait tout juste à ce petit baigneur d’Archimède de surnager, d’émerger du lot.

Que d’injustice dans cette méconnaissance d’autres grands esprits ! On se la reproche surtout depuis la découverte de certaines réalisations techniques- hellènes à cent pour cent- et, plus spécialement, de la machine à calculer d’Anticythère.

Elle seule suffit à démontrer que les savants étaient en nombre sous le règne resplendissant de Périclès, que toutes nos conceptions sont à réviser, sur le chapitre, comme le rappelait récemment le très érudit Hubert Reeves, et que les enseignements à puiser dans ce très grand patrimoine intellectuel prennent, souvent, un aspect déconcertant sinon effrayant.

En tête de ces idées oubliées qu’il serait temps de réexaminer ou figurent les théories relatives à la planète Antechton, l’anti-Terre

De quoi s’agit-il au juste ? Les Grecs,qui savaient parfaitement que la Terre tourne autour du Soleil, affirmaient qu’une autre planète exactement semblable à la notre, sa jumelle, en quelque sorte, participait à la même gravitation, mais en sens inverse.

C’est le soleil lui-même, disaient-ils, qui nous la cache, si bien que personne n’a jamais pu l’entrevoir.

Conception pleine de séduction, certes, et qui présente, en particulier, l’avantage, d’expliquer l’origine des visiteurs lointains apparus sur la terre en diverses périodes de son histoire.

Plus besoin de leur supposer des origines extérieures à notre système solaire : ils pouvaient très bien venir de cette mystérieuse Antechton. De plus, les origines étant rigoureusement semblables, ils ne pouvaient avoir qu’une forme physique et organique identique à la notre. Je tiens pour conception recevable en matière d’anti-Terre.

Précisons d’abord qu’anti-Terre, ne veut pas dire « anti-monde »

Il n’y a dans cette appellation aucune idée d’antagonisme. Et, si des astronautes accédaient, à un moment donné, à cette planète invisible ; ils ne reviendraient pas « inversés ». Mais ils auraient toutes chances de trouver des continents, des océans, des hommes et des femmes parfaitement semblables à ceux de la Terre.

La science-fiction s’est bien sûr intéressée à ces merveilleuses hypothèses. L’un des auteurs les plus prolifiques dans le genre, cet l’Anglais Edgar Wallace à qui nous devons, entre autre, le scénario du film « King Kong », avait inventé, dans son roman « Planétoïde 127 », une variante fort ingénieuse de la même idée. Son « Antechton » à lui était, en effet, le sosie de la Terre, mais elle avait sur celle-ci quelques mois d’avance. Si bien qu’il suffisait de savoir ce qui se passait sur elle, ce qui faisait le héros du roman grâce à une liaison radio, pour connaître notre avenir avec une extraordinaire précision.

Revenons, toutefois, à des données plus scientifiques. Les détracteurs de ce globe invisible font bien sûr valoir qu’une autre planète du système solaire n’a de jumelle, nos télescopes les auraient détectés depuis belle lurette, ainsi que nos sondes.

Est-ce un argument suffisant ? Pourquoi exigerait-on de toutes les planètes qu’elles aient les mêmes caractéristiques ? Pourquoi refuserait-on à la Terre d’avoir une différence notable ? Avec les autres, alors qu’elle présente déjà cette particularité plus considérable d’être le seul monde habité du système solaire.

Autre objection basée, cette fois, sur des calculs d’une grande complexité, cette « anti-Terre » devrai, forcément, produire des effets gravitationnels propres capables d’affecter le mouvement de notre globe. Or nous n’avons jamais enregistré de telles perturbations. L’affaire paraît sérieuse. Et pourtant ! Tout, dans cet exposé, repose sur la conception d’un soleil parfaitement sphérique.

Mais il n’est pas prouvé du tout qu’il se présente sous une forme de boule aussi parfaite. Des études actuels viennent de faire ressortirent, que par sa rotation le Soleil est plus enflé a l’équateur, il est déformé, si l’on peut s’exprimer de la sorte.

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