Des nouvelles insolites et inquiétantes nous parviennent d’Europe. Les véhicules norvégiens et danois de recherche en haute mer ont cessé de communiquer dans la mer du Groenland.
Les scientifiques construisent diverses suppositions, car il y a très peu d’informations. Cependant, il y a quelque chose à comprendre ici.
En 2012, un signal provenant d’une profondeur de 3400 mètres a été enregistré pour la première fois près du Groenland. À l’aide d’un hydrophone et d’autres équipements acoustiques, les scientifiques ont capté et enregistré un son semblable à un roucoulement. Les bizarreries ont commencé après que l’équipement ait capté des ondes électromagnétiques à basse fréquence parallèles aux ondes sonores.
Les données obtenues ont été étudiées dans l’organisation américaine des chercheurs des phénomènes atmosphériques et de l’océanologie. Les principaux esprits de cette industrie ne sont pas parvenus à une opinion commune, les opinions étaient partagées. Selon une hypothèse, cela pourrait être causé par une activité volcanique au fond en conjonction avec l’activité d’une grande concentration de faune. D’un autre côté, le son ressemblait plus à un son mécanique, et un signal électromagnétique répété est une autre preuve en faveur de cette théorie.
Ce n’est qu’en 2017, pour la première fois, dans la zone du lieu approximatif de fixation de la source du signal, qu’une étude a été réalisée à l’aide d’un véhicule hauturier. À la suite de la plongée, il a été possible de rejeter l’hypothèse d’un possible volcanisme au fond. Il n’y a tout simplement pas de soi-disant fumeurs noirs ou de traces d’activité volcanique dans cette zone. Ainsi, avec un degré de probabilité élevé, l’hypothèse d’une coïncidence aléatoire des circonstances est incorrecte.
Depuis 2012, un signal similaire n’a été répété qu’en 2018. Cette fois, il est venu de presque le point le plus profond du fond de la mer du Groenland – plus de 5300 mètres. L’histoire, en fait, s’est répétée. Cependant, cette fois, il a été possible de retracer la source des signaux.
Le signal est passé d’une profondeur à une marque de 4100 mètres, après quoi il s’est figé et en quelques heures les signaux sortants ont disparu. Pour un suivi rapide et une étude plus approfondie, des océanologues danois ont envoyé des véhicules de recherche à l’endroit prévu deux mois plus tard. Mais, encore une fois, aucune trace d’une créature ou d’un phénomène naturel qui pourrait produire de tels signaux.
Enfin, depuis 2022, six submersibles hauturiers du Danemark et trois autres de Norvège se trouvent en permanence dans la mer du Groenland. Tous sont connectés au système américain MUFON pour l’étude des anomalies acoustiques dans l’océan.
En août de cette année, le signal a été enregistré à une profondeur de 3200 mètres. Les scientifiques ont réussi à réagir assez rapidement, en deux jours, deux véhicules de recherche se trouvaient déjà dans la zone spécifiée. Cependant, il y a eu quelques dégâts. Les installations danoises et norvégiennes en haute mer étaient hors service. La communication avec eux a été interrompue et depuis lors, ni l’épave ni les appareils eux-mêmes n’ont été retrouvés. Bien sûr, tout peut arriver : d’une panne banale à une anomalie inconnue…
Malgré tout le scepticisme des océanologues officiels, un groupe de chercheurs impliqués dans ces signaux n’exclut pas qu’ils soient confrontés à la manifestation d’une sorte d’esprit.
Les océanologues alternatifs ont depuis longtemps souligné la présence dans l’océan de véhicules techniquement équipés d’origine inconnue – les Quakers.
Ces rumeurs sont confirmées par de nombreux marins, sous-mariniers et militaires. L’océan est si vaste et si mal connu que tout est possible.
Il est impossible de nier avec certitude l’existence de toute une civilisation sous-marine. Et ce sont ses activités que les chercheurs ont rencontrées dans la mer du Groenland.
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