Secrets révélés

Les jumeaux du Docteur Josef Mengele et la colonisation de Mars

Un médecin nazi nommé Josef Mengele très connu des historiens a été surnommé « l’Ange de la mort, suite à son service, pendant la Seconde Guerre mondiale, en tant que médecin dans les camps de concentration d’Auschwitz, Birkenau, où beaucoup de gens ont servi de cobayes pour des expériences scientifiques particulières.

Selon certaines personnes, ses expériences ont continué après la guerre. 

Une ville brésilienne fort mystérieuse

Probablement peu de gens ordinaires auraient entendu parler de la ville brésilienne de Candido Godói, près de la frontière avec l’Argentine, si elle n’avait pas attiré les scientifiques et le public pendant de nombreuses décennies. Pourquoi?

Bien que la ville ne dispose que d’environ 7,000 habitants, le nombre de naissances de jumeaux est très supérieur à la moyenne mondiale.


Dans le cas d’une moyenne mondiale de 80 naissances double, dans cette ville, ce sont 1/5ème des naissances qui donnent des jumeaux.

Non seulement des jumeaux, mais des enfants aux traits aryens dominants : blonds, aux yeux bleus.

Tous les enfants sont en effet les descendants d’immigrés allemands qui sont arrivés en 1918, mais le mystère réside principalement dans le fait que les jumeaux blonds naissent depuis plusieurs décennies.

Selon l’historien et journaliste argentin Jorg Camarasa, il ne peut y avoir qu’une seule possibilité: Josef Mengele a continué ses expériences biologiques même vingt ans après la guerre. Y aurait-il des preuves?


L’Ange de la mort au Brésil

Casamara a fait des recherches pour établir la vérité sur les jumeaux de Mengele, et il a constaté que le principal objectif des expériences de Mengele était principalement…sa recherche sur les jumeaux .

Et c’est pour cette raison précise que Hitler a voulu étendre au maximum la masse démographique de la race aryenne. Il fallait que les Aryens soient multipliés autant que possible, pour étendre la suprématie du Reich.

Cette ambition Hitlérienne n’aurait jamais pu se réaliser sans qu’une femme aryenne accouche non pas de un, mais au moins deux enfants en bonne santé.

Les expériences avec des jumeaux indigènes auraient commencé à se faire bien avant l’arrivée en Amérique du Sud, mais surtout avec les premières prisonnières juives et tsiganes, à Auschwitz.

A l’approche de la fin de la guerre, Mengele a intensifié ses tentatives expérimentales. En Avril 1945, il a réussi à fuir l’Armée rouge, mais a été capturé par les Alliés, puis miraculeusement relâché…

Aucune preuve n’avait été retenue contre lui qui n’avait pas laissé entendre qu’il était un membre de la SS… Un bon camouflage de  l’Opération Paperclip aura permis à ce criminel de guerre de continuer ses travaux.

En 1949, il est arrivé en Argentine, mais en 1959 il a été averti qu’il venait d’être découvert par un chasseur de nazis, alors il a fui au Paraguay, puis au Brésil. Et de là, au début de ses 60 ans, selon certains témoignages, on lui suggéra de visiter la ville de Candido Godói.

Parmi les nombreux émigrants allemands qui arrivaient en Amérique du Sud, plusieurs ont été encouragé  à s’établir avec le fameux Dr Mengele dans cette ville. A leur arrivée dans cette ville brésilienne au climat exceptionnel, beaucoup de réfugiés allemands voulurent y rester, d’autant plus motivés par la présence d’un leader illustre, comme  le « médecin » Josef Mengele, inscrit sous un faux nom et officiellement, vétérinaire.

La particularité de cette petite communauté d’origine allemande était qu’ils parlaient même un patois germanique, tant ils étaient attachés à leurs origines. Il eut été facile de les convertir aux idéologies du Lebensborn..

Peu après son installation, Mengele avait commencé à donner aux femmes locales une combinaison miraculeuse de médicaments et d’hormones, en les convainquant qu’il s’agissait d’une première mondiale et que le traitement était gratuit. Les familles d’origine allemande ont donc presque vécu en autarcie et le nombre de naissances de jumeaux a grimpé en flèche.

Selon Camarasa, juste après l’installation de Mengele, on commence soudainement à Candido Godói , à voir naître beaucoup plus de jumeaux et de jumelles.

Cândido Godó célèbre la huitième édition de la Festa dos Gêmeos

Jorge Casamara, dans son livre : « L’ ange de la mort en Amérique du Sud » , dit avoir interrogé toutes les personnes âgées de la ville de Candido Godoi, et celles-ci ont toutes confirmées « qu’il était vraiment un grand médecin et qu’il détenait une mystérieuse drogue ».

Il explique notamment une coïncidence troublante :

« Personne ne sait exactement quand Mengele est arrivé à Cândido Godói, mais les premiers jumeaux sont nés en 1963, l’année au cours de laquelle on a pour la première fois eu des rapports de sa présence sur place« .

Traqué pendant des années par les Israéliens, pour lesquels il était l’une des incarnations du mal infligé pendant la Shoah, sa cache avait fini par être localisée. Mais Mengele n’était plus chez lui et les voisins ont expliqué qu’il allait revenir dans une semaine…

Le Mossad l’a ensuite manqué de nouveau au Brésil. A la fin de l’année 1962, Mengele a été repéré avec certitude dans une ferme près de Sao Paulo. Cependant, le chef du Mossad ayant démissionné, ses successeurs n’ont pas donné leur feu vert à une nouvelle opération contre Mengele, faisant valoir d’autres priorités.

Ces révélations sont intervenues alors que la déclassification du dossier du Mossad sur Mengele. La presse israélienne a découvert d’autres ratés : par exemple, les recherches ont ainsi été en grande partie menées au Paraguay alors que le fugitif se trouvait au Brésil…

Qui a aidé les nazis à s’exfiltrer d’Europe ?

Tous les chemins mènent en Italie.

Les passages alpins en provenance du Reich sont divers et empruntent tous les anciennes filières de contrebande, pour converger ensuite dans la région italienne du Tyrol du Sud, principalement dans la localité de Bolzano, où se rejoignent tous les fuyards. Ils se rendent ensuite à Vérone, puis se répartissent sur plusieurs itinéraires en direction du port de Gênes ou de Rome, pour se rendre vers leur lieu de refuge, principalement en Amérique du Sud.

L’Italie devient une véritable plaque tournante pour l’expatriation des anciens hiérarques du IIIe Reich. D’autres itinéraires, via la Suisse ou l’Espagne, sont eux aussi en place, mais beaucoup moins fréquentés que la voie transalpine. Comment ces criminels pourtant connus ont-ils réussi à passer incognito? Ils ont certes bénéficié d’aide.

L’aide de la Croix-Rouge et du Vatican

La Croix-Rouge a délivré dans les derniers mois de la guerre et dans les mois qui ont suivi des dizaines de milliers de titres de voyage, que les personnes pouvaient se procurer rapidement, sans que le CICR ne vérifie leur identité. Des centaines voire des milliers de nazis, se faisant passer pour des réfugiés, ont pu se procurer des papiers qui leur ont permis de circuler tranquillement dans la péninsule italienne, puis de prendre un bateau à destination de l’Amérique du Sud.

Ce même schéma se reproduit chez les services du Vatican chargés de venir en aide aux réfugiés. L’organisation Caritas International a elle aussi contribué à aider des nazis à s’enfuir incognito vers leur lieu de refuge.

De véritables réseaux d’exfiltration ont été mis en place depuis l’Europe centrale, souvent aidés par les États-Unis, qui prétendaient vouloir «retourner» ces anciens nazis pour devenir des espions ou des informateurs face aux communistes. Le spectre de la menace communiste aura servi d’écran à une organisation de sauvetage des plus grands criminels ayant jamais existé sur cette planète !

À partir de 1947, alors que la guerre froide s’installe, des réseaux d’anciens nazis, «criminels de guerre reconvertis» s’installent aux Etats-Unis, tout en restant en contact étroit avec leurs coreligionnaires en Amérique du sud et ailleurs.

L’expérience Mengele de Candido Godói n’aura certainement pas été méconnue de ces grands scientifiques nazis qui ont gouverné les grandes institutions américaines suite à l’opération Paperclip et perdurent aujourd’hui au sein des multinationales, pour finalement composer : Le Gouvernement Fantôme » de la planète.

Le dénonciateur Corey Goode dit avoir personnellement voyagé sur Mars, et décrit avoir été témoin d’un certain nombre d’installations, qui appartiennent à un programme spatial appelé le Conglomérat Industriel Interplanétaire (ICC). C’est-à dire les plus grandes industries mondiales…

Le conglomérat a autorité sur les installations militaires, qui ont également été construites sur Mars, par d’autres programmes spatiaux. Mars étant essentiellement gouvernée, par une entité corporative.

Les Nazis, selon Corey, se sont échappé vers des bases secrètes, en Amérique du Sud et en Antarctique, où ils ont établi une alliance, avec un groupe d’extraterrestres, appelés les Reptiliens Draco. Les nazis ont été alors, en mesure de vaincre avec succès, une expédition militaire punitive, menée par l’Amiral Byrd, appelée Opération HighJump en 1947.

Corey dit que, après une démonstration de la supériorité technologique Nazie, au cours du Vol d’un OVNI au-dessus de Washington en1952, l’administration Eisenhower et de Truman, ont tous les deux, négocié des accords, avec la civilisation délinquante Nazie. Les Nazis ont alors procédé, à infiltrer le système de sécurité nationale des États-Unis, de façon à miner l’indépendance, et l’intégrité, des différents programmes spatiaux des États-Unis, et internationaux, tant civils et militaires.

L’esclavage était une pratique importante dans l’industrie Nazie de la Deuxième Guerre Mondiale, il semble que cela continue, avec les organisations, que la civilisation délinquante Nazie a infiltré, telles que les opérations de la ICC sur Mars.

La réussite de l’expérience de Mengele à Candido Godói, a-t-elle été le prélude qui aura permis de peupler la Colonie Martienne d’une élite purement Aryenne, servie par de nombreux esclaves ?

Nous n’en savons rien.

Toutefois, ce livre donne un très bon éclairage sur l’assistance financière de la famille de l’Ange de la mort. Lorsqu’on a compris que le concept Aryen de la famille s’étend très largement au sein d’un réseau extrêmement puissant et fortuné, on finit par se dire que même le Mossad y a trouvé son compte en le laissant nuire sans véritable opposition !

Le brillant livre d’Olivier Guez, qui obtint d’ailleurs le prix Renaudot ainsi que le prix des prix en 2017, retrace la vie de ce sinistre personnage à partir de 1949, où il rejoint l’Agentine de Peron, faite de fuites sous différents pseudonymes et de traque, en passant par le Paraguay, le Brésil… Trente années de cavale avec au départ une période faste, où argent, femmes et dolce vita sont au programme, suivie d’années beaucoup plus sombres où l’on assiste à l’auto-destruction d’un Mengele devenu totalement parano, une punition sans aucun doute bien plus efficace pour ce tortionnaire que s’il avait passé sa vie en prison.

Un livre d’abord fascinant car si on sait que l’Amérique du Sud était un repère pour les anciens SS, on ignore de quoi a pu être faite leur vie d’exil. En cela, le roman d’Olivier Guez est très éclairant et met en lumière la manière dont ce monstre a pu survivre, grâce à l’assistance financière de sa famille, mais aussi à la complaisance de ses pays d’accueil où il a toujours pu trouver des soutiens. Il montre aussi à quel point cet homme ne s’est absolument jamais remis en cause les années passant, demeurant fier du « travail accompli ».

Mengele en 1970


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