Selon la théorie du paléocontact, la Terre est visitée depuis l’Antiquité par des créatures extraterrestres venues de différentes parties de la galaxie. Et il en existe de nombreux types.
Depuis l’Antiquité, les hommes ont pris ces « invités » soit pour des dieux, qu’ils vénéraient et servaient, soit pour des démons, et ont alors tenté de résister. Apparemment, les représentants des différentes races spatiales ont eu et ont encore des désaccords entre eux, ainsi que des opinions divergentes sur nous, les humains.
Âge d’or – L’ère la plus ancienne de l’humanité
Nous n’abordons pas ici la théorie dite extraterrestre de l’origine de l’humanité et des premiers contacts. Nous notons simplement qu’il fut un temps où nous étions laissés à nous-mêmes, d’une manière qui nous convenait. De nos jours, de nombreux peuples à travers le monde conservent plus ou moins la structure tribale de leur société. On appelle aussi cette époque « l’âge d’or » ou « le berceau de la civilisation ».
En observant la vie traditionnelle de certaines petites tribus dispersées à travers le monde, on constate que ces peuples n’ont jamais construit de structures hiérarchiques pour organiser leur société selon le type de monarchie, etc., mais ont préféré vivre en groupe. Par conséquent, le mode de vie naturel de l’homme est la vie en groupe (clan, tribu) comptant jusqu’à 100 personnes.
C’est-à-dire que dans une communauté où tout le monde se connaît, le mode de vie tribal a été préservé pendant des milliers d’années parmi les tribus africaines, parmi les Indiens et les aborigènes australiens, etc.
Le leader de cette équipe est choisi par une sorte de vote, lorsque tout le monde comprend que sa survie dépend du choix du leader.
Mais à un moment historique, une étrange « transition de phase » s’est produite – et les gens ont commencé à s’unir dans des structures beaucoup plus grandes, le système tribal a été remplacé par le système esclavagiste, puis par le système féodal, les premières villes sont apparues, généralement autour des temples – les maisons de l’un ou l’autre dieu, patron du peuple.
Souvent, ces « dieux », « invités du ciel », bâtissaient ces cités et étaient souvent représentés sous la forme de dragons ou de « seigneurs dragons ». Ainsi naquit la deuxième ère.
Monarchies – Le temps des dieux dragons
Ainsi, après une longue interruption, ce sont apparemment les « reptiliens » qui sont intervenus dans notre histoire. Souvent représentés dans les mythes et les contes de fées comme des diables ou des dragons magiques se transformant en êtres humains (bons ou moins bons), ils entretenaient souvent des « relations amoureuses » avec des représentants des familles régnantes.
Il existe de nombreuses histoires de ce genre dans le monde entier, et jusqu’à présent, de nombreuses familles aristocratiques (de sang bleu) vénèrent, ou sont même fières du fait que leur ancêtre était un dragon ou, disons, un succube (comme les clans au pouvoir en Grande-Bretagne, vénérant le dragon Mélusine comme leur ancêtre).
Il s’avère qu’à l’époque du féodalisme, des « dynasties de dragons » ont commencé à régner sur nous, et ce fut le cas partout dans le monde. De plus, les dieux dragons n’étaient pas toujours considérés comme maléfiques ; il existait aussi des dragons solaires dorés, anciens et sages protecteurs de l’humanité, qui souhaitaient élever l’humanité aux sommets de la civilisation.
En fait, ce monde antique, construit par les « dragons » et leurs descendants, avait de nombreuses caractéristiques qui le rendaient similaire à la structure de la société des reptiles.
Quelle est la différence entre les groupes de reptiles à sang froid, de serpents, etc., et les communautés d’animaux à sang chaud ? Tout d’abord, leur abondance. Les scientifiques pensent que les communautés de dinosaures les plus développées (lorsqu’elles dominaient la Terre) vivaient souvent en immenses « collectifs », comme les oiseaux, qui ont beaucoup en commun avec les reptiles.
Comparez une meute de loups (quelques dizaines d’individus) à une « volée d’oiseaux », qui peut en compter des centaines de milliers. Chaque groupe possède sa propre structure hiérarchique. Cela ne nous rappelle-t-il pas la structure de la société féodale ?
Et ce n’est pas un hasard si les châteaux des seigneurs féodaux étaient souvent appelés « nids d’aigle » ou même « nids de dragon ».
Le temps des insectoïdes
Le résultat de l’invasion insectoïde, selon une théorie, a été un changement dans la formation sociopolitique, avec des villes monstrueuses construites par des « humains » qui ont commencé à apparaître partout sur la terre, ce processus évoquant de mauvaises pensées sur les insectoïdes.
Un tel comportement collectif, la vie en agglomérations d’une taille inimaginable, est totalement atypique chez l’homme ; c’est précisément le cas chez les insectes – abeilles, fourmis. On observe la même division du travail, il existe aussi une classe de faux-bourdons, etc. Le simple fait que l’homme ait choisi cette voie témoigne d’une influence extérieure.
Il est clair que quelqu’un a concentré la population dans une certaine zone, nous empêchant de nous installer. Pourquoi recourir à la suggestion, à la publicité, à la culture de la drogue et à des méthodes de gestion non économiques ? Toute la nourriture est retirée des villages (appropriation des surplus), les gens perdent leur emploi, puis certaines ressources sont allouées, et seulement dans les villes.
Même jusqu’à présent, il existe de nombreux territoires où personne ne vit, et de très bons territoires d’ailleurs, mais tout le monde est poussé vers les villes.
C’est-à-dire que les gens ont été délibérément concentrés, puis ils ont commencé à construire un camp de concentration – une métropole-fourmilière.
Il y a donc tout lieu de croire qu’à l’heure actuelle, les insectoïdes sont de plus en plus impliqués dans la confrontation avec les reptiliens (ou hybrides : reptiliens-insectoïdes).
Tout cela nous menace d’une guerre mondiale, qui serait l’écho de l’affrontement intergalactique entre reptiliens et insectoïdes.
Selon cette théorie, il y a là un sens caché de la géopolitique actuelle.
Perspectives d’avenir
L’humanité tente depuis longtemps de se libérer du joug des reptiliens (ou du moins de limiter leur pouvoir), et maintenant d’un nouveau joug : celui des insectoïdes. Bien sûr, tout ce qui précède peut être interprété comme une métaphore de nos vies, ou comme l’intrigue d’un film à succès.
Jusqu’à présent, le retour à l’« Âge d’or » est perçu comme une utopie, ce qui a attiré les gens vers les idées anciennes d’un « retour aux sources » et d’une réorganisation de la société.
Certains font appel au passé, à la torche et à la vie tribale. Certains vivent ainsi et sont heureux. Et certains souhaitent bâtir une société humaine et juste, en s’appuyant sur les acquis des époques passées.
Nous sommes à l’aube d’un grand changement…
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