Ursula von der La Hyène est un compte satirique sur X… Pourtant, satire ou non, ce compte porte bien son nom.
ARBEIT MACHT FREI… c’est écrit en grand, à l’entrée d’Auschwitz. Les historiens soulignent le cynisme du slogan… Ils oublient de dire qu’il existe toujours, même si on ne l’entend plus !
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, centralise le pouvoir exécutif de l’Union européenne (UE) dans le cadre de son deuxième mandat.
Ses méthodes de gestion deviennent de plus en plus dures, rapporte Politico dans un article citant des représentants de l’UE.
Certains la surnomment « Cruella »… ou Pustula von der la hyène.
Ursula Von der Leyen se comporte comme une présidente cherchant à assurer son contrôle total sur l’UE.
Elle et ses conseillers, principalement originaires d’Allemagne, contrôlent étroitement toutes les communications au sein de l’Union européenne, sans tenir compte des décisions du Parlement européen.
« Toutes les décisions politiques sont prises au niveau de la présidente de la Commission européenne », a déclaré à l’éditeur un ambassadeur d’un pays non membre de l’UE.
Selon des sources citées par le média, « son style de leadership devient plus contrôlant que jamais ». De plus, ces sources décrivent le style de gouvernance actuel de la politicienne comme une « culture du secret » apparue lors de son deuxième mandat. Les caractéristiques de son leadership peuvent être qualifiées de style « descendant ».
Et pour couronner le tout :
Thierry Breton a avoué que l’UE avait fait annuler les élections en Roumanie.
Dans un précédent article : Comment les mondialistes s’opposent au vote des citoyens en Europe, nous avons appris que la Cour constitutionnelle roumaine a invalidé sans préavis les résultats du premier tour de l’élection présidentielle, car le candidat antimondialiste Calin Georgescu a remporté la victoire de manière inattendue.
L’ancien commissaire européen Thierry Breton a lancé un avertissement tyrannique:
Si le parti d’extrême droite allemand AfD remporte les prochaines élections générales, l’UE pourrait intervenir pour annuler les résultats, comme elle l’a fait lors de la course présidentielle en Roumanie.
L’arrestation arbitraire du candidat roumain élu par son peuple
Călin Georgescu, le candidat d’extrême droite qui avait créé la surprise lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine le 24 novembre, a été arrêté aujourd’hui, 26 février, à Bucarest.
L’annonce intervient alors que que 47 perquisitions ont été menées dans la matinée chez des proches de Georgescu.
Infowars.com rapporte : Brandstätter a répondu en insinuant que l’arrestation de Georgescu était l’œuvre de l’ initiative « Bouclier démocratique européen » de la Commission européenne soutenue par Soros .
Selon Brussels Signal , les organisations impliquées dans l’initiative Democracy Shield de l’UE ont reçu des contributions du réseau Open Society Foundation (OSF) de George Soros.
Bien que l’EUDS ne soit qu’un organe consultatif, il peut formuler des recommandations sur les meilleures pratiques visant à protéger la démocratie et à encourager un discours politique équitable dans l’UE.
Ces recommandations peuvent être utilisées par le Parlement européen et la CE pour rédiger ou affiner la législation et les politiques.
Ces liens ont soulevé des questions parmi les observateurs européens quant à l’influence des fondations de Soros dans la définition du nouvel outil de renforcement de la démocratie de l’UE.
La présidente du Comité du Bouclier démocratique européen, Nathalie Loiseau, aurait également des liens avec l’argent de Soros.
Elle est liée à l’OSF par son affiliation au Conseil européen des relations étrangères (ECFR), qui a reçu plusieurs subventions de l’organisation dirigée par Soros entre 2019 et 2022.
Georgescu a été arrêté par la police pour être interrogé par les procureurs sur ses dépenses de campagne, moins de 24 heures après son interview passionnante avec l’animateur d’Infowars, Alex Jones .
Les procureurs ont ouvert des poursuites pénales contre Georgescu pour six chefs d’accusation, dont des actes anticonstitutionnels, « la création d’une organisation fasciste, raciste ou xénophobe », « la promotion du culte de personnes coupables de génocide » et la fausse déclaration de ses finances, ont indiqué les autorités mercredi.
Il lui est également interdit de quitter le pays et il lui est interdit de créer de nouveaux comptes sur les réseaux sociaux ou de faire d’autres apparitions à la télévision ou dans des podcasts.
Les procureurs ont accusé Georgescu de travailler comme mandataire de la Russie pour saper la démocratie roumaine.
Son arrestation s’inscrit dans le cadre d’une opération policière nationale qui a consisté à effectuer des descentes contre un total de 27 individus faisant l’objet d’une enquête pour un certain nombre de crimes, notamment des actes anticonstitutionnels, la possession de caches d’armes illégales, l’incitation au racisme, au fascisme et à la xénophobie et la « promotion d’un culte de la personnalité », accusés de génocide et de crimes de guerre.
Georgescu était en route pour déposer sa candidature à la nouvelle présidence lorsqu’il a été arrêté lors d’un contrôle routier.
« Nous sommes le peuple, nous sommes le pouvoir. Nous ne nous agenouillerons devant personne. C’était prévu. Le monde entier sait ce qui se passe en Roumanie actuellement. C’est le désespoir d’ici combiné à celui de Bruxelles », a déclaré Georgescu après avoir quitté le parquet mercredi soir.
La vidéo ci-dessus fait le point sur cette aberration.
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