Lorsque les glaces de l’Arctique auront disparues en 2054, les portes d’un autre monde seront-elles révélées ?
La perte de glace dans l’Arctique est stupéfiante. Depuis 1979, le volume de la glace de mer en été a diminué jusqu’à plus de 80% au-delà même des prévisions des scientifiques. A ce rythme, la banquise arctique devrait avoir complètement disparu en septembre 2054 selon des estimations effectuées par des scientifiques de l’Université d’État de New York.
Alors que l’Antarctique est depuis longtemps l’objet des convoitises des États, l’intérêt étatique pour l’Arctique est récent. Comme au temps de la découverte par l’Occident de l’Amérique, les États riverains à la région se livrent à une véritable course à la souveraineté en utilisant à la fois des moyens technologiques (les Russes sont parvenus à planter un drapeau à 4200 mètres de profondeurs, un exploit) et juridiques (en essayant de faire admettre par une Commission internationale que les plateaux continentaux sur lesquels se trouvent leurs pays, même s’ils sont profondément immergés, font partie de leur territoire).
L’enjeu est important, puisque l’État est la puissance suprême sur son territoire : il décide des lois qui s’y appliquent et des personnes et entreprises qui s’y trouvent.
Le Pôle Sud a pu bénéficier de la volonté internationale d’en faire une zone sans souveraineté, interdisant de plus la militarisation de la zone et les exploitations minérales (à l’exception des exploitations scientifiques), ce qui n’est pas le cas de l’Arctique. Un forum intergouvernemental a été mis en place en 1996 pour tenter d’administrer la région et rassemble le Canada, le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège, la Russie, les États-Unis et la Suède.
La Chine, qui a profité de la crise économique pour se rapprocher de l’Islande et du Danemark, a également signifié son intérêt pour la région. L’Union Européenne quant à elle a établi une stratégie avec pour mots d’ordre « la connaissance, la responsabilité et l’engagement ». Elle a investi 20 millions d’euros en 10 ans pour la recherche scientifique dans la région et 1,4 milliards d’euros depuis 2007 pour le développement durable.
Les scientifiques russes ont trouvé un monstre au fond de l’Arctique
Les scientifiques de Vladivostok ont trouvé une créature énorme inconnue dans les eaux de l’Arctique à une profondeur d’environ 1,5 km.
Ce monstre a été enregistré par les capteurs de l’appareil Clavecin. Initialement, on pensait que l’appareil trouve un troupeau de très petits organismes, mais plus tard, on a compris qu’il s’agit d’une créature unique, mais d’une taille énorme.
Puis tard, une chose étrange s’est passé, tout à coup, ce monstre a attaqué la machine et a commencé à la mettre en mouvement, indique le docteur-ingénieur Leonid Naoumov.
Lorsque l’engin Clavecin était soulevé, des fosses et des griffures ont été visibles sur sa surface. Les scientifiques ont demandé l’aide des experts de la biologie des océans, mais ils ont été incapables de classer la créature.
CE DONT ON NE PARLE PAS : un trou géant découvert dans l’Arctique
Un trou géant de 60 x 100 mètres de diamètres a été trouvé dans l’Arctique.
Un TROU vers l’Enfer ?
Voici un fait FAIT, soigneusement enterré dans le SILENCE par les médias de l’Est, comme de l’Ouest, c’est la découverte de l’Enfer par les Soviétiques en Sibérie occidentale, fin 1989.
Et cela, au cours de forages profonds près de MOURMANSK, dans la presqu’île de KOLA qui jouxte la Finlande sous le Cercle polaire arctique.
Dans ses éditions du 31.05 et 6.10.1989, du 26.10.1990, le Figaro a rendu compte de ces forages profonds de la croûte terrestre, effectués aux USA, en Allemagne et en URSS (et là, sans une seule référence à l’Enfer).
À Mourmansk, le forage avait pour objectif de surveiller les plaques lithosphériques dont les mouvements génèrent les séismes ; le moyen de contrôle est la descente, au fond du forage le plus profond possible, d’un capteur de vibrations (un micro est un capteur de vibrations sonores) connecté à un enregistreur en surface.
« Nous avons percé la voûte de l’Enfer » tel est le titre du reportage effectué à HELSINKI (Finlande) par le journaliste US Stan Miller et publié le 24 Avril 1990 par l’hebdomadaire américain « WEEKLY WORLD NEWS » :
« Des Scientifiques qui ont fait un forage de 15 Km de profondeur pour étudier le mouvement des plaques continentales sous la surface terrestre, prétendent avoir découvert l’enfer.
C’est la nouvelle publiée dans le respectable journal finlandais AMMENUSASTIA, et révélant ceci :
« le Géologue soviétique Dimitri AZZACOV a dit qu’une créature terrifiante ailée s’échappa du tubage, avant que les microphones fussent mis en place révélant les hurlements de douleur des Damnés » «
« En tant que communiste, je ne crois ni au Ciel, ni à la Bible, mais en tant que scientifique, je crois maintenant à l’Enfer », dit le Dr AZZACOV.
« Point n’est besoin de dire que nous eûmes un choc de faire une telle découverte. Mais nous savons ce que nous avons vu et ce que nous avons entendu. Et nous sommes absolument certains que nous avons atteint la voûte de l’Enfer. »
Et AZZACOV témoigne :
« Arrivée à 15 Km de profondeur, la colonne de forage commença à tourner librement, montrant que le trépan était arrivé dans une large cavité ou caverne. Les sondes thermométriques indiquèrent alors une hausse subite de chaleur : 1.100° c.
Après avoir remonté la colonne de forage, nous ne pûmes en croire nos yeux : une créature pourvue de crocs avec d’énormes yeux terrifiants, diaboliques, est apparue dans un nuage gazeux et a hurlé comme un animal sauvage avant de disparaître.
Quelques ouvriers et techniciens s’enfuirent mais ceux qui restèrent voulurent en apprendre davantage.
Nous avons descendu au fond du tubage un micro destiné à enregistrer le bruit de plaque lithosphérique en mouvement. Mais au lieu de cela, nous avons entendu une voix humaine qui hurlait de douleur de façon perçante.
Tout d’abord nous avons cru à une défectuosité de notre matériel. Nous l’avons remonté, vérifié, redescendu et nos pires soupçons furent confirmés : ce n’étaient pas les hurlements d’une seule personne, c’étaient les cris perçants de douleur de millions de personnes.
Fort heureusement, nous avions mis en route l’enregistreur et nous possédons ces hurlements de cauchemar enregistrés sur cassette. A ce stade, nous avons arrêté le forage et cimenté le trou. Il est certain que nous avions découvert quelque chose qui était au-dessus de notre compréhension. »
Selon le Journal AMMENUSASTIA, « les Autorités soviétiques ont refusé tout commentaire, les reportant à plus tard. »
Une autre publication US (« The Last Days Ministries ») avait publié l’information le 14 Février 1990 ; le 2 Avril suivant, elle donne des précisions complémentaires avec la traduction d’un article du « Asker og Baerums Budstikke », le plus important journal de Norvège ; c’est l’interview de BJARNE NUMMEDAL, le sismologue en chef de l’équipe norvégienne participant au forage de Mourmansk : « La découverte des voix humaines dans cette cavité a tellement choqué les soviétiques que, tout d’abord, ils ne surent que faire avec les membres étrangers. »... »
Nous fûmes tous licenciés deux jours après cette découverte.
Les soviétiques avaient terriblement peur que nous propagions les nouvelles de cette découverte et un représentant du Ministre des Affaires Religieuses nous remit à tous une grosse somme en prix de notre silence ; nous fûmes contraints d’accepter (de retour en Norvège, je fis don de l’argent à une oeuvre de charité).
Ce qui a surtout effrayé les soviétiques, c’est cette hideuse créature intelligente, avec de grandes ailes de chauve-souris, embrasée de flammes sur le fond sombre du ciel sibérien, et qui a crié en russe : « Je vous ai conquis. »
« Ce fut absolument terrible, les soviétiques crièrent de terreur », dit NUMMEDAL.
Plus tard un chauffeur qu’il connaissait lui révéla qu’un sédatif connu pour effacer la mémoire à court terme, avait été administré au personnel russe. »
Voilà l’information sensationnelle qui n’a été publiée en détails que par des journaux finlandais et norvégiens, et reproduits seulement par un hebdomadaire et une publication à faible tirage US.
Tous les médias français ont fait le silence le plus complet ; or les médias sont tous en liaison permanente par téléscripteur avec les grandes agences de presse qui ont forcément diffusé l’information. (…)
Qu’ont réellement découvert les Russes en Antarctique ?
Et si c’était une entrée vers la Terre Intérieure ?
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde