Divulgation cosmique

Croyances spirituelles sur des mondes lointains

Interview de Jason Rice par Jay Weidner pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 13 épisode 17

Bonjour à tous, ici Jay Weidner, dans Divulgation Cosmique. Et avec nous, Jason Rice.

Jason Rice: Bonjour Jay, merci de me recevoir.

Jay Weidner: Pour toutes les civilisations aliens que vous avez connues, quel serait, d’après vous, l’aspect spirituel le plus important?


Jason Rice: Je dirais que l’aspect spirituel le plus important des différents groupes aliens que j’ai croisés étaient leur lien et leur conviction dans le travail collectif avec leur environnement, en collaboration avec ce qui les entoure. Et s’ils s’intéressaient, se préoccupaient et se concentraient plus sur le fait de vivre le moment en travaillant.

Jay Weidner: Ces groupes aliens avec qui vous étiez en contact, ont-ils une notion d’un Dieu?

Jason Rice: Ils avaient tout un éventail de croyances parmi les différents groupes sur toutes les planètes. Certains des groupes les plus isolés avaient des croyances polythéistes. Il y avait des groupes dans certains centres de civilisation qui pratiquaient un monothéisme. Donc, pour répondre à votre question, oui, il y avait en fait un grand éventail, allant d’un à plusieurs dieux en qui ils croyaient et qu’ils vénéraient et à qui ils demandaient des faveurs ou de l’aide.

Jay Weidner: Et l’animisme, la croyance que tout dans la nature possède un esprit?


Jason Rice: En fait, c’était la croyance prédominante sur Planète Un. Et pour certaines régions isolées de Planète Deux, c’était la croyance prédominante, pour tout, les animaux, les arbres, les minéraux, les pierres.

Jay Weidner: Avaient-ils des rituels pour ces croyances?

Jason Rice: Ils avaient des rituels pour les saisons des récoltes, similaires à ce qu’on a entendu sur Terre pour le début et la fin des saisons des récoltes, pour la préparation de la saison des pluies, pour se préparer pour une récolte fructueuse, et puis les prières pendant la saison pour s’assurer que leurs récoltes ou leur pêche étaient constantes ou maintenues.

Jay Weidner: Ici, sur Terre, on a des rituels tout au long de l’année qui reflètent nos pratiques agricoles. Noël, le Nouvel An, tout ça a été élaboré autour de nous en tant que gens de la Terre. Ont-ils les mêmes types de rituels et d’expériences?

Jason Rice: Oui, Jay, après avoir commencé comme une société agraire, où c’était les fondements qui leur permettaient de progresser vers d’autres arts et métiers pour ne pas passer tout leur temps à tenter de produire leur nourriture pour leur famille.

Jay Weidner: Et les rituels de fertilité? On a Pâques au printemps, car c’est un rituel de fertilité.

Jason Rice: Ils avaient un rituel de fertilité similaire qui était associé avec le rituel de l’union d’un couple. Et il était généralement effectué dans le mois ou les deux mois suivant la cérémonie d’union et le couple le suivait dans l’espoir d’avoir une famille en bonne santé et prospère. En ce qui concerne son utilisation pour leurs récoltes et leur végétation, non, ils dirigeaient leurs prières séparément pour cela…

Jay Weidner: Ils priaient alors?

Jason Rice: Oui.

Jay Weidner: Ah oui?

Jason Rice: Oui.

Jay Weidner: Ils croyaient communiquer avec une puissance supérieure par la prière?

Jason Rice: Tout à fait. Ils croyaient être en contact avec plusieurs dieux pour les divisions polythéistes, que ce soit leur dieu de la pluie, ou leur dieu du soleil, pour aider les plantations et les cultures.

Jay Weidner: Avez-vous des effigies des dieux?

Jason Rice: Les effigies que j’ai vues étaient faites avec des plantes. Ils les faisaient au début de la saison de végétation, pour qu’elles évoluent et finissent par mourir quand arrive le moment de la récolte. J’ai trouvé très intéressant qu’ils n’aient pas, en soi, une statuette de ce dieu en particulier. Mais ils en créaient une à partir de plantes vivantes qu’ils avaient dans la région ou les mêmes plantes qu’ils cultivaient.

Jay Weidner: Bon, sur Terre, les agriculteurs ont créé un système d’équinoxes et de solstices, où le soleil est entre deux états ou dans un état extrême. Puis ils plantent en fonction de ces signes dans le ciel. Ont-ils la même chose?

Jason Rice: Oui, ils suivent le soleil en fonction de ses positions pendant l’année. Les journées ne sont pas… Le temps que le corps planétaire fasse une révolution complète sur Planète Un était de 28 heures. Pour Planète Deux, c’était 32 heures. Le nombre d’heures par jour était différent de celui auquel on est accoutumé. Et de la même manière, leurs mesures quand aux positions du soleil dans le ciel, pour avoir plus ou moins d’ensoleillement étaient établies. Et ils utilisait un système de… le long des canaux qu’ils utilisaient pour l’irrigation, ils notaient la position du soleil grâce à des marques sur des pierres placées à coté des canaux, un moyen primitif mais efficace de le faire.

Jay Weidner: De ce que vous savez, ces gens, ces groupes extraterrestres croient-ils en la réincarnation?

Jason Rice: Dans un sens, oui. Planète Un, leurs croyances spirituelles quand à l’âme voulaient qu’après la mort du corps, l’âme était alors libérée et se divisait entre les différents dieux que cette personne avait vénérés au cours de sa vie. Cette âme retournait vers ces dieux. Et les dieux prenaient chacun une portion de cette âme pour en disposer à leur guise. Et dans certains cas, ils pensaient que cette âme était renvoyée pour avoir la chance de revenir à la vie, que ce soit sous la forme d’un animal, d’une plante ou d’une personne. Sur Planète Deux, leurs croyances en la réincarnation voulaient qu’ils reviennent si cela était nécessaire. Mais la vie de la personne qu’ils avaient vécue déterminait s’ils allaient revenir ou non. Donc…

Jay Weidner: Comme une sorte de karma?

Jason Rice: Ils ne l’appelaient pas ainsi, mais ça se basait plus sur une leçon expérimentale et sur ce qu’ils ont appris et s’ils ont appris assez au cours de leur vie pour qu’ils ne doivent pas revenir et pour qu’ils puissent transférer et transmettre assez d’informations à leur dieu ou à leurs dieux, selon le cas, pour éviter de devoir revenir.

Jay Weidner: Bon, ces groupes d’aliens avaient-ils des prophètes, des gens prédisant le futur, ce qui se passera plus tard, comme Nostradamus?

Jason Rice: Ils avaient des chamans spéciaux ou des vénérés, comme ils les appellent. Ils les considéraient comme ayant une grande sagesse. Maintenant, que ces individus aient suivi les Annales akashiques ou aient réussi à atteindre la conscience mondiale, ou non, ils pouvaient faire des prédictions. Et au moment où on y était, ces individus avaient vécu dans le passé. Il n’y en avait plus aucun en vie à ce moment là. Et certaines écriture reflétaient cela. Mais la plupart des écrits qu’ils avaient transmis étaient plus en lien avec la façon dont ils vivaient, en toute honnêteté, intégrité, en étant serviables, en se préoccupant et en pensant à leurs semblables. C’était juste un genre de modèle ou de manuel d’instruction pour…

Jay Weidner: Ces gens, des groupes ont-ils… On a les Dix Commandements, un tas de règles qu’on doit suivre et y avaient-il des règles sacrées que les gens, la communauté devaient suivre?

Jason Rice: Ils avaient… chacun de leurs dieux avait des lignes directrices qu’ils suivaient. Par exemple : ne pas détruire plus de forêts qu’absolument nécessaire pour cultiver des récoltes. Ce n’était pas des Commandements écrits sur des tablettes de pierre. Mais c’était les règles que chaque dieu leur avait imposées grâce aux anciens sages qui leur avaient dit : « Bon, ne faites pas brûler toute une forêt juste parce que vous n’aimez pas voir les arbustes et les arbres. Ne blessez pas quelqu’un parce qu’il vous a causé du tort. » Ils avaient des principes, si on peut dire, mais c’étaient des individus dépendants d’un dieu. Donc, on va consulter un dieu qui tient certaines paroles, comme je disais. Puis on va consulter un autre dieu, qui couvre un autre aspect de la vie.

Jay Weidner: Ces groupes ont-ils une justice réciproque, genre oeil pour oeil, où on trouve vraiment un moyen de rendre la pareille pour un tort commis? Comment faisaient-ils?

Jason Rice: Ils avaient bien plus de frictions et de conflits dans le passé. Et par exemple, sur Planète Deux ils avaient… Encore un exemple de cas où il y a eu des conflits et des tensions pendant des générations mais plus du tout récemment, grâce à leur ferme conviction dans la communauté et dans le brassage de la communauté et de la famille, où elles forment presque un seul organisme, un seul groupe. Et travailler sur ces troubles et ces problèmes était préférable à la loi du talion qui vous laisse aveugle et sans dents. Ils étaient plus du genre à résoudre les choses, car c’est plus avantageux pour le groupe que la satisfaction personnelle de sentir qu’on a sauvé sa propre peau.

Jay Weidner: Si je blesse accidentellement quelqu’un de la communauté, je l’ai percuté sans le vouloir avec ma voiture ou un chariot qui lui est passé dessus, n’y a-t-il pas de système où je suis supposé faire quelque chose pour compenser la bourde que j’ai commise?

Jason Rice: Ce qu’ils faisaient dans ce cas là variait selon la planète. Par exemple, en raison des liens communautaires forts, ils s’alliaient et collaboraient pour apporter leur aide. Et les accidents arrivaient. Des gens se sont blessés, à l’époque où j’étais là, et c’étaient des accidents légitimes. Un jour, quelqu’un s’est cassé un bras en tombant d’un arbre. Ils n’éraient donc pas, sur aucune des deux premières, la troisième étant une exception, mais sur les deux premières planètes, ce n’était pas le genre de personnes qui étaient rancunières ou intéressées par des punitions à long terme. Ils pensaient que ce n’était pas avantageux pour la communauté car ils étaient… Si on supprime une personne qui est blessée et la personne qui a eu ou causé l’accident, vous perdez alors deux travailleurs. Donc, au lieu d’avoir perdu un travailleur, là vous en perdez deux.

Jay Weidner: Après vous être impliqué sur ces planètes, surtout Un et Deux, et que vous ayez fait ce que vous avez fait, cela les a-t-il changés spirituellement, religieusement? Où sont-ils restés les mêmes?

Jason Rice: Une fois que les batailles ont eu lieu, la culture et la société ont changé. Ils sont passés de vivre chaque jour en faisant ce qu’ils devaient faire pour prendre soin de leur famille et de s’exprimer de la manière dont ils voulaient le faire, à survivre. Et quand on régresse de vibrations élevées à des vibrations de survie, ce que j’ai vu arriver, c’était, en général, pas dans tous les cas, mais en général, l’évolution s’est faite sur la survie de l’individu plutôt que sur le succès collectif. Donc, oui…

Jay Weidner: Ils sont donc passés de se préoccuper du groupe à se préoccuper de la vie individuelle?

Jason Rice: Oui.

Jay Weidner: C’est quoi alors, une régression? ou une ascension?

Jason Rice: A mon avis, c’est une régression, la vibration, dans l’échelle des vibrations, disons.

Jay Weidner: Est-ce devenu visible?

Jason Rice: Oui, et en fait, en retournant sur Callidus 3 pour aider à la reconstruction, et je crois avoir dit avant que soudain ils avaient eu des bars, des tenues miteuses, et une certaine mafia qui était apparue, et plus d’activités centrées sur « moi, moi, moi. » Et ce n’était pas comme ça quand on est arrivés. Et je crois que la guerre les a tant changés, d’une mentalité du bien de tous à celle du bien individuel. Ce n’était pas le cas partout, mais ça prédominait nettement. Ils avaient changé. Définitivement changé.

Jay Weidner: Pouvez-vous décrire certaines des religions ou pratiques spirituelles que vous avez vues sur ces planètes?

Jason Rice: Une pratique spirituelle en particulier se rapportait aux pêcheurs. Un village en particulier qu’on est allé visiter avec un pêcheur lui et… un était son fils et l’autre un jeune homme du village. Et ils avaient tous la peau très bronzée, très tannée par d’innombrables années au soleil sur l’eau. Leur peau avait l’aspect du cuir. Elle était visiblement abîmée par le soleil. Leurs vêtements étaient élimés. Et le type de poissons qu’ils pêchaient était une sorte de grand poisson-chat qu’ils pêchaient au fond.

Et il y en avait deux autres, le brochet et l’autre était grand comme une brème de l’ordre de 60 à 75 cm de long. Vraiment gros.

Avant d’embarquer pour la journée, ils prenaient une partie de leurs appâts. Ils nettoyaient leur couteau ou frottaient le couteau sur les appâts pour obtenir des fluides de l’animal ou des insectes morts, ou ce qu’ils utilisaient. Puis ilks prenaient le couteau et disaient une prière. Puis ils prenaient le couteau et le nettoyaient sur le quai. Parfois ça formait deux lignes. Parfois une ligne avec une autre transversale. Et je n’ai jamais compris les motifs, ce qu’ils signifiaient, mais ça signifiait quelque chose pour eux. C’était leur prière individuelle : « Permets-moi d’attraper quelques poissons. »

Jay Weidner: Des croyances que vous avez découvertes ont-elles eu un effet personnel sur vous?

Jason Rice: Je dirais que l’effet le plus important à titre personnel a été, sur moi, l’effort communautaire généralisé qu’ils partageaient. Et peu importe la partie de la ville de la zone 26 où on allait, ils étaient tous hyper serviables, amicaux, généreux. Le concept de la tromperie ne faisait même pas partie de leur vocabulaire. Donc, notre acceptation dans la ville… même si on prétendait être une délégation commerciale d’une ville lointaine, ils n’en doutaient pas. Ils n’ont pas posé de questions. Ils ne nous ont pas regardés de travers. Ils nous ont acceptés. Donc, la spiritualité de l’aide, de leur compassion et de donner sans rien attendre de retour, c’est quelque chose qui m’a profondément frappé, parce que c’était clairement quelque chose dont je n’avais pas l’habitude.

Jay Weidner: Ils ne mentaient jamais?

Jason Rice: J’imagine que dans certains cas, si, mais leurs croyances et leurs pratiques faisaient qu’ils n’en avaient pas besoin. C’ n’était juste pas… C’était étrange pour moi et pour nous, car l’humanité terrestre se consacre tant, malheureusement, à la politique, aux tromperies et aux mensonges. Et ils n’étaient pas comme ça. Ce n’était pas leurs méthgodes pour gérer leurs rapports avec les autres. Et c’était profond.

Jay Weidner: Leur avez-vous menti?

Jason Rice: Bien sûr. On a dit qu’on était une délégation d’une autre ville, pour commencer. Après la frappe à l’énergie cinétique et que la majorité de la population de cette ville ait péri ou disparu, on est passés à des déclarations plus directes. On a pu apporter notre équipement pour leur parler de ce qu’on faisait là et de comment on voulait les aider, et les aider à rassembler les morts qu’on pouvait trouver et les aider avec les funérailles, ainsi qu’à nettoyer la ville, à éliminer les débris, à faire le ménage et à déplacer des choses.

Jay Weidner: Et inversement? Avez-vous tenté de les convertir à vos religions?

Jason Rice: Non.

Jay Weidner: C’était interdit?

Jason Rice: Oui, tout à fait. Ce n’était pas du tout permis du point de vue du fait qu’on était pas censés affecter directement leurs systèmes sociaux, culturels et spirituels. On était censés les laisser tels quels. S’ils changeaient organiquement, alors c’était différents. Mais on étaient pas censés changer ça. Mais le fait que l’alcool est apparu et les bars et d’autres endroits louches. Visiblement les gens parlaient ou faisaient des suggestions, donc…

Jay Weidner: Avez-vous culpabilisé pour tout ça?

Jason Rice: Oui. Touché comme je l’étais par le type de civilisations qu’ils avaient et par combien ils étaient véritablement attentionnés, ce n’était pas quelque chose que je voulais voir détruit, que je voulais voir changer.

Jay Weidner: Mais de toutes façons, vous ne saviez pas ce qui se passait. On vous avait dit d’honorer la directive première de tout ça. Mais c’est bien plus tard que vous avez su.

Jason Rice: Bien plus tard.

Jay Weidner: Y avait-il des ordres spirituels?

Jason Rice: Il y avait… Ils ne les appelaient pas des ordres, pour les dieux spirituels ou religieux. Les sages en étaient les gardiens. Donc, les individus qui choisissaient d’aller étudier, pratiquer et travailler les aspects spirituels et philosophiques de leurs différents dieux, c’étaient eux. C’était ce qu’ils avaient de plus proche d’un prêcheur ou d’un révérend.

Jay Weidner: Mais ils n’étaient pas élus?

Jason Rice: Non.

Jay Weidner: … ni rien… Comment montaient-ils les échelons pour devenir un leader spirituel?

Jason Rice: Les individus qui en avait la passion et l’intérêt étudiaient et avaient leur propre forme de méditation et de prière, et… ils s’immergeaient entièrement dans ces sujets. L’autre sujet qui survient alors est celui des églises. Avaient-ils des édifices spirituels? Avaient-ils des bâtiments ou des lieux où ils vénéraient leurs divinités? La réponse est oui. Ils avaient des installations ou des édifices où ces sages… c’était là qu’ils logeaient. C’était là que leurs maisons était installée. Et selon le dieu qu’ils représentaient là, parfois, il y avait un sage qui avait deux, trois ou quatre divinités différentes qu’il ou elle vénérait, sur sa propriété. Parfois, ça pouvait être une petite alcôve. Mais ça pouvait être aussi tout un édifice.

Jay Weidner: Les leaders spirituels étaient tant des hommes que des femmes.

Jason Rice: Exact.

Jay Weidner: C’est bien ça…. Les rituels qu’ils faisaient étaient-ils symboliques? Etaient-ils physiques? Comment étaient-ils?

Jason Rice: Les rituels variaient en fonction du dieu. Ils avaient des symboles pour représenter les dieux. Je me rappemme de quelques uns. L’un d’eux était un croissant avec une ligne qui traversait le croissant. Et c’était pour leur dieu de la mer.

Un autre était in triangle dont le sommet pointait vers le bas. C’était pour leurs plantations, pour l’agriculture ou la terre, le sol.

Ils avaient des rituels où ils brûlaient leur équivalent de la sauge. Ou ils allumaient un cierge, de façon très similaire à certains rituels amérindiens où ils créaient de la fumée et l’insufflait dans tout le lieu.

Jay Weidner: Les avez-vous entendu chanter?

Jason Rice: Oui, et dire des prières. J’allais y venir.

Jay Weidner: Et la méditation? Méditaient-ils? Sur ces autres planètes?

Jason Rice: Certaines personnes pratiquaient la méditation. Ceux qui étaient… Généralement, la méditation était pratiquée par les sages. Le reste de la population l’utilisait un peu, mais ce n’était pas une tâche quotidienne pour le citoyen lambda.

Jay Weidner: Et les armes? En avaient-ils?

Jason Rice: Les planètes Un et Deux… Planète Un avait des armes qui étaient produites dans une région. Ils avaient des couteaux, car ils les utilisaient à des fins utilitaires. Ils n’avaient rien de semblable à une épée, une pique ou une lance.

Jay Weidner: Il n’y a jamais eu aucun meurtre?

Jason Rice: Non. Aucun meurtre. Planète Deux n’avait aucune arme, proprement dite, non plus. Planète Trois, c’était une toute autre histoire. La spiritualité sur Planète Trois, car ils avaient trois races, les humanoïdes, les cyclopes, et les insectoïdes.

La spiritualité des insectoïdes était complètement différente que celle des humanoïdes ou des cyclopes. Leur spiritualité se centrait sur un dieu ruche qu’ils vénéraient. Ils étaient monothéistes. Et ce seul dieu régnait sur tous les aspects de leur société. Donc, tout ce qu’ils faisaient était attribué soit à la volonté, soit à la colère de ce dieu. Bien sûr, ils avaient des représentations de ce dieu qui leur ressemblaient et entièrement différentes de celles des humanoïdes. Les dieux cyclopéens vénérés, formaient un panthéon, là aussi, des différents aspects terre, air, feu… Et ils avaient eux aussi… En fonction des besoins, que ce soit pour la pêche, la chasse, les cultures, le succès ou l’abondance, ça déterminait quels dieux ils allaient prier.

Jay Weidner: Et les superstitions? Avaient-ils des superstitions?

Jason Rice: Oui, tout à fait.

Jay Weidner: Lesquelle? Que faisaient-ils?

Jason Rice: Le sel était une chose extrêmement rare. Et ils en avaient. Mais ne pas avoir d’eau salée signifiait qu’il devait être extrait, et il était extrêmement rare. Donc, une fois par an, ils passaient toutes sortes de marchés pour en avoir une pincée pour la jeter au dessus du seuil de leur porte, comme une bénédiction de leur maison. Est-ce un aspect spirituel ou est-ce plutôt une superstition?

Jay Weidner: C’est difficile à dire.

Jason Rice: Oui, très. Une autre superstition était que certaines régions… et c’était étrange, car certaines zones en dehors des villages, et même certains foyers dans les villes, croyaient qu’il fallait retourner ses chaussures, semelle en l’air, chaque nuit, ou on courait le risque d’avoir un démon dans ses chaussures. Il fallait donc les retourner. C’en était une autre.

Jay Weidner: C’est plus une superstition.

Jason Rice: Oui.

Jay Weidner: Avez-vous rencontré ou parlé à ces leaders religieux?

Jason Rice: Oui.

Jay Weidner: Ah oui, comment étaient-ils?

Jason Rice: Les sages, c’était… comme parler à un professeur de philosophie. Ils avaient les pieds sur terre… sur leur planète, très faciles d’accès, ils avaient une vision à long terme des choses, et oui, ils étaient sympathiques, très accessibles.

Jay Weidner: Ils s’intéressaient vraiment à vous?

Jason Rice: Oui, tout à fait. Avant qu’on révèle ouvertement : « Bon, on vient pas vraiment du Kansas, on est juste des visiteurs. » Ils s’intéressaient donc à la vie dans les villes lointaines. On devait éviter ce genre de questions, car si on va trop loin, on pourrait se mettre en danger. Et exposer notre couverture. Après nos révélations, ils portaient un vif intérêt à nos croyances religieuses. Et bien sûr, on avait un moratoire sut toutes discussions là-dessus. Des gens ont clairement fini par en parler, car ils ont pu trouver des informations sur nos différentes religions.

Jay Weidner: Ca a dû être un choc quand vous leur avez dit que vous leur mentiez.

Jason Rice: Ca l’a été. Et c’est un bon point, car c’est quelque chose qui leur était étranger. Ils ont dit : « Pourquoi n’avoir rien dit? »

Jay Weidner: C’est vrai, pourquoi?

Jason Rice: Pourquoi? Car la mentalité de l’état-major de l’IDARF était : « Non, on va le faire à notre manière. C’est-à-dire en trompant. »

Jay Weidner: Diriez-vous que croire en un créateur originel est une croyance universelle?

Jason Rice: Plus ou moins, oui. Je dirais que croire en un créateur originel, qu’il soit un dieu de la prospérité ou un dieu crétaur universel omniscient, je dirais que oui.

Jay Weidner: Dans les mythologies de ces races aliens, avez-vous trouvé trace de la Terre ou des terriens?

Jason Rice: Non, pas des terriens. Mais certaines mythologies sur Planète Un, Deux et Trois, faisaient référence à un peuple des étoiles. Et c’était ce qui s’en approchait le plus.

Jay Weidner: Ce peuple intervenait-il directement dans ces communautés?

Jason Rice: Les références parlaient juste de visiteurs sur ces trois planètes.

Jay Weidner: je vois.

Jason Rice: Ce que j’ai trouvé très curieux, car c’était une non-ingérence. C’était une visite. Ce n’était pas une mainmise, une prise de contrôle ni un asservissement des gens, ce qui, à première vue, m’indique que : « Ok, c’était sûrement une race d’aliens bienveillants, venue à un moment donné de leur passé. »

Jay Weidner: Avez-vous appris quelque chose de la spiritualité de ces groupes aliens qui vous a été bénéfique dans votre vie?

Jason Rice: L’exemple qui me vient à l’esprit est quand j’ai été fait prisonnier de guerre sur Planète Trois par la race insectoïde.

Les insectoïdes étaient télépathes et communiquaient mentalement ils avaient une petite bouche avec des dents effilées, mais elle ne servait pas à communiquer. Et au cours de l’interrogatoire, j’ai pu prendre le dessus sur l’interrogateur. Et… alors que je maîtrisais et que je m’en débarrassais, il y avait deux autres insectoïdes qui étaient dans la pièce, la grotte, en même temps que moi. Je venais de recouvrer connaissance. Et je ne suivais donc pas tout ce qui se passait. Ma première pensée a été que ces deux là étaient aussi des bourreaux. Je suis donc immédiatement passé à l’offensive psychique en même temps que physique sur eux. C’est seulement 10 ou 15 secondes après le début de mon offensive que j’ai compris que c’était une femme avec sa fille. Et les pensées qui me parvenaient d’elles étaient des prières. Ca m’a donc profondément touché, en ce sens que : « D’accord, observes, réfléchis et agis. » Et là, aucune réaction n’était possible sans pensée. Pour moi, ça a donc été un moment très puissant.

Jay Weidner: Quelle chose essentielle retenez-vous spirituellement de cette expérience, personnellement?

Jason Rice: Je crois que l’idée essentielle la plus importante, personnellement, de loin, est le consentement éclairé. Pour pouvoir prendre une décision éclairée de plein gré, il faut posséder des informations éclairées et transparentes. Sans ça, vous pouvez tomber dans de nombreux pièges, comme notamment, devenir complice de réduire en esclavage d’autres planètes.

Jay Weidner: Merci Jason. ravi de vous avoir reçu.

Jason Rice: Merci à vous Jay,

Jay Weidner: C’était Divulgation Cosmique. Merci de nous avoir suivis.


L’arrivée en septembre 2018 de Jason Rice dans l’émission « Divulgation Cosmique » (sur la chaîne Gaia TV), et ce dans un contexte grandement chaotique, a soulevé la question de la validité de son témoignage.

BEAUCOUP CONSIDÈRENT COMME HAUTEMENT PROBABLE QUE JASON RICE SOIT EN FAIT UN FAUX INITIÉ DES PROGRAMMES SPATIAUX SECRETS ET UN LARPER.

Quoi qu’il en soit, si l’émission Divulgation Cosmique vous intéresse, c’est bien entendu à vous de vous faire votre propre idée sur le cas « Jason Rice », et cette saison 13


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