Interview de Emery Smith par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 10 épisode 8
Bienvenue sur “Divulgation Cosmique”. Je suis votre hôte, David Wilcock, et je suis ici avec notre invité, Emery Smith. Emery, bienvenue à vous.
Emery Smith : Bonjour, Dave. Merci de m’accueillir à nouveau.
David : Dans un épisode précédent [la fin de l’épisode précédent], nous discutions de certaines choses qui pourraient se produire lorsque quelqu’un est sournois et nerveux, et qu’il regarde autour de lui. Et ils s’approchent de vous et vous disent : “Il y a quelque chose que je veux vraiment que vous sachiez, mais je ne sais pas si je devrais vous le dire”.
Et je vous ai demandé : “Est-ce que ça s’est déjà produit ?”. Et quelle a été votre réponse ? Revoyons cela d’abord.
Emery : Oui, il y avait quelque chose de similaire. Ça ne se passe pas comme ça d’habitude.
Cela se produit habituellement après que vous sachiez que quelqu’un a participé à un projet depuis très, très longtemps, plus longtemps que vous, même. Et ils voient que vous êtes là depuis longtemps, alors ils savent que vous faites quelque chose de bien parce que vous êtes toujours là.
Et, vous savez, à la table du déjeuner, vous pourriez partager des informations. Vous pourriez devenir amis, mais vous n’avez pas le droit de devenir amis avec qui que ce soit, même à l’intérieur de ces programmes compartimentés ou à l’extérieur. Mais cela arrive.
David : Eh bien, attendez une minute. Sur un uniforme militaire typique, il y a un nom, à droite, comme dans l’armée ou les Marines.
Emery : Oui.
David : Avez-vous des noms sur vos uniformes là-dedans?
Emery : Non, non, non. Il n’y a pas de noms. Tu n’as que le groupe.
David : Alors, êtes-vous autorisé à dire aux gens quel est votre nom?
Emery : Oui.
David : D’accord.
Emery : Oui, on a le droit d’avoir une “conversation décontractée”, dit-on. Donc, les gens parlent de leur famille, de ce qu’ils ont fait pendant le week-end, des choses courantes dont les gens normaux parlent : des films et des émissions de télévision et des blagues amusantes, bien sûr. Beaucoup de blagues sont dites pendant le déjeuner que les gens inventent et qui donnent une certaine image des projets sur lesquels nous travaillons. Mais elles ne parlent pas du projet, donc c’est bon.
David : Vous pourriez connaître le nom de quelqu’un, vous en souvenir et leur parler.
Emery : Bien sûr.
David : Aviez-vous aussi à l’extérieur de la cafétéria des aires de loisirs où vous pouviez passer du temps avec ces gens ?
Emery : Eh bien, pas des zones récréatives, mais je suis devenu ami avec beaucoup de commandants et beaucoup de scientifiques qui participaient aux mêmes projets. Et j’ai rencontré illégalement ces scientifiques et ces gens pour des réunions sociales, des dîners et des barbecues.
Vous pensez que, parce que c’est votre commandant qui vous invite au barbecue – et il y est depuis 10, 20 ans de plus que vous –, que tout va bien se passer, n’est-ce pas ? Et ce n’est pas le cas. Ils ont mis en place ces règles pour que ces choses ne se produisent pas et que l’information ne tombe pas entre de mauvaises mains.
Mais l’un des commandants de l’un des projets sur lesquels je travaillais est devenu très proche – un très bon ami à moi. Et nous allions faire du VTT ensemble. Nous avions des motos. Juste un de mes potes, vous voyez ?
David : Est-ce qu’on vous a permis de faire une expédition en vélo de montagne avec le commandant à l’extérieur de la base ?
Emery : Non. Non, on n’a pas le droit.
David : OK.
Emery : Absolument pas. Je me souviens de lui avoir rendu visite, à lui et à sa femme, accompagné de ma petite amie, de nombreuses fois pour dîner. Et nous ne parlerions jamais vraiment de quoi que ce soit en lien avec la base. Nous avons été très bons à ce sujet.
Mais, vous savez, pendant nos heures de déjeuner et pendant les autres heures de formation dans ces installations souterraines, vous parlez parfois. Les gens font des erreurs et commencent à parler de choses. Et l’une des choses dont il m’a parlé, c’est de cette incroyable navette, et il allait tenter de me faire travailler dessus et d’essayer le simulateur de vol d’un véhicule de reproduction extraterrestre.
David : Vraiment ?
Emery : Ouais.
David : Maintenant, aviez-vous déjà vu une embarcation avant ce point ?
Emery : Oui. J’ai vu une embarcation avant ce point, mais pas dans cette mesure, et ce n’étaient pas des véhicules de reproduction extraterrestre.
David : Maintenant, qu’est-ce qu’un véhicule de reproduction extraterrestre pour ceux qui ne savent pas ?
Emery : Lorsque nous avons des vaisseaux que nous trouvons ou déterrons, ou que nous abattons ou ramassons à partir de débris spatiaux ou d’un autre endroit dans l’espace, on les amène dans ces installations, et ils essaient essentiellement d’inverser l’ingénierie de ces vaisseaux au mieux de leurs capacités.
David : Donc votre ami commandant… on dirait que vous vous êtes vraiment rapprochés. Vous allez faire du VTT avec lui. Vous dînez avec sa famille.
Vous ont-ils mis une puce ? Pourraient-ils vous avoir introduit un GPS et savoir que vous dîniez avec ce type ?
Emery : Non, pas que je sache. Je me suis fait prendre avec le commandant dans un endroit où je n’étais pas autorisé à me trouver en raison de mon autorisation. Et tout est parti à vau-l’eau à partir de là.
David : Eh bien, c’est une histoire que vous m’avez racontée il y a de nombreuses années, alors déballons un peu. Où étiez-vous avec le commandant lorsqu’il vous en a parlé pour la première fois, et qu’est-ce qu’il a dit que vous pourriez voir ?
Emery : Il y avait une véritable embarcation extraterrestre qu’ils avaient capturée et emmenée dans l’une des salles d’opération du hangar souterrain…
David : D’accord.
Emery : …sous vide. Et à l’intérieur, ils le reproduisaient dans la même pièce, essayant d’inverser l’ingénierie du vaisseau.
David : D’accord.
Emery : Ils ont donc commencé par l’intérieur de l’embarcation. C’était comme si l’embarcation était ouverte et qu’on pouvait la couper en deux.
Et c’était un vaisseau en forme de diamant, et ce n’était pas si grand. Il n’était probablement pas plus gros qu’un 18 roues [grande semi-remorque].
David : Donc, quand vous dites “en forme de diamant”, pourriez-vous être plus précis sur ce que cela signifie ? A quoi cela ressemblerait-il si vous deviez le dessiner ?
Emery : Comme un morceau de fluorite.
David : D’accord.
Emery : C’est un octaèdre.
David : Une pyramide en haut, une pyramide en bas.
Emery : Correct.
David : D’accord.
Emery : C’est vrai, mais allongé. Donc, les points sont en dehors, pas en haut et en bas.
David : Oh ! D’accord.
Emery : C’est donc de cette façon [Emery sépare ses mains pour montrer un arrangement horizontal] et cela s’équilibre parfaitement.
David : Wow !
Emery : Alors ils ont fait ça. C’est ce qu’ils essayaient de faire.
David : Et vous avez dit que c’est à peu près la taille d’un 18 roues ?
Emery : Oui. C’est vraiment petit.
David : Et quelle était la couleur ?
Emery : C’était couleur or.
David : D’accord.
Emery : En fait, il y avait une lumière – une très belle lumière, comme ces lumières qui sont sur notre visage.
David : Alors ça brillait ?
Emery : Très subtil. Très subtil. Et il avait une surface très métallique, donc il réfléchissait la lumière si on l’éclairait.
David : Sans jointure, encore une fois ?
Emery : Sans jointure, sauf pour les bords de l’octaèdre.
David : Mais vous avez dit qu’il avait déjà été disséqué ou quelque chose comme ça.
Emery : Oui, …. eh bien, non. L’embarcation qu’ils fabriquaient à côté était juste… .. Ils essayaient de découvrir comment ça marche et comment ça vole.
Et ils faisaient beaucoup de choses avec l’électromagnétisme. Ils ont donc dupliqué une demi version. Ils ont sectionné une demi-version faite par l’homme, d’accord ?
David : Comme la moitié d’un octaèdre ?
Emery : Juste de la moitié de ….
David : On pourrait le couper au milieu ?
Emery : Oui, exactement.
D’accord. Comment êtes-vous arrivé là si vous n’étiez pas autorisé à y être ? Si vous n’êtes pas autorisé à être là, comment pouvez-vous entrer dans cette pièce ?
Emery : Il y a une stipulation si vous êtes escorté par quelqu’un de haute autorité. Et souvent, pour des raisons d’urgence, il faut se rendre à certains endroits très rapidement. Et cela tant que vous êtes avec quelqu’un qui a une cote de sécurité supérieure à la vôtre, la responsabilité des questions juridiques et de tout ce qui s’y rattache lui revient.
David : Oh !
Emery : Mais tout le monde sait que si vous n’êtes pas dans un projet, il est très peu probable que vous alliez voir quelque chose sans tout savoir à son sujet. Et je ne faisais pas partie de ce projet, j’y ai pris part clandestinement, par l’intermédiaire de mon ami.
David : Racontez-nous ce qui s’est passé.
Emery : Donc nous sommes descendus à cet étage. La porte s’ouvre et nous descendons un couloir d’environ 30 mètres. Et il y a une autre porte à vide normale que nous verrions s’ouvrir, tout comme vous voyez des portes d’ascenseur ordinaires qui s’ouvrent, mais ce sont des portes très épaisses – extrêmement épaisses, environ 60 cm d’épaisseur.
Une fois ces portes ouvertes, il y a une plate-forme, d’accord ? Cette plate-forme se continue sur 30 mètres, avec des garde-corps. Et elle descend dans un abysse dont on ne peut pas voir le fond.
David : Wow !
Emery : Et les murs sont complètement recouverts de roche, comme vous le verriez dans une caverne – juste des murs de roche solide et pure. Et la pièce où je m’apprête à entrer avec la rampe est une pièce avec un dôme où se trouve la navette.
David : Hm.
Emery : Vous avez donc tous ces différents ponts qui se dirigent vers cette salle géante, pressurisée et en suspension.
David : Il fallait donc franchir ces portes de 60 cm d’épaisseur juste pour aller à la passerelle, à travers la grotte avant d’arriver à la partie dôme ?
Emery : Oui, exactement.
David : Wow !
Emery : Donc, vous savez, c’est très sécurisé, c’est sûr. Et je ne sais pas pourquoi cette pièce est suspendue loin des murs, à 30 mètres des murs environ.
Donc vous avez cette chambre géante maintenant. Vous y entrez par plusieurs passerelles, à partir de différentes portes. Et puis on arrive là-bas, et la même chose se répète. Ces portes s’ouvrent…. les mêmes portes que celles que vous venez de voir, de 60 cm d’épaisseur. Et maintenant vous êtes sur le quai.
David : Wow !
Emery : Et c’est là que se trouvaient les deux appareils.
David : Décrivez maintenant ce que vous voyez, et comment l’approchez-vous ?
Emery : C’est une grande pièce ronde avec un dôme qui va très haut. Je ne sais pas exactement à quelle hauteur – plusieurs dizaines de mètres. Et le sol est entièrement refléchissant, avec un carrelage métallique de type miroir. Le carrelage est de forme hexagonale. Et ce sont de très grands carreaux. Ils font peut-être 1,80 m, ces carreaux hexagonaux. Je ne sais pas s’ils sont utilisés pour l’électromagnétisme… Il y a peut-être quelque chose là-dessous. Je me disais qu’ils l’utilisaient peut-être pour envoyer des fréquences jusqu’à cette chose parce que les deux vaisseaux touchent le sol, mais ces trucs pèsent des kilotonnes. Il est donc évident que quelque chose les soutient de façon non naturelle et que nous n’avons pas l’habitude de voir ici sur Terre – une sorte d’antigravité.
Un des engins est l’original, bien sûr. On en a déjà parlé. Et puis le deuxième est juste pour que les instructeurs apprennent à piloter ce vaisseau.
David : Quelle a été votre expérience ? Aviez-vous peur de parler et de dire à quel point c’était génial ? Avez-vous dit quelque chose au commandant ?
Emery : Oui, je l’ai dit. J’ai dit : “C’est incroyable ! C’est génial ! Merci de me permettre de participer à ce projet.” Parce que je n’étais qu’un… Je pensais vraiment que c’était ma première introduction à ce sujet, et maintenant je vais peut-être en faire partie d’une façon ou d’une autre.
David : Je suis vraiment curieux au sujet de ce système de simulateur de vol. Pourriez-vous nous donner un peu plus de détails sur ce qu’est l’expérience réelle ? Vous voyez des étoiles ? Et faites-vous un zoom sur Jupiter et Saturne dans ce simulateur ? Que faites-vous réellement ?
Emery : Exactement.
Il s’agit d’une description complète en 3D de la planète entière et des océans.
David : De cette planète ?
Emery : Oui, de la Terre.
David : Vraiment ?
Emery : Il ne montre rien qui s’éloigne de la planète, au fait, rien de plus que la Lune, je veux dire. Mais à part cela, ils ont des simulations complètes des structures de la Lune, également à l’intérieur de la Lune.
Le plus cool, c’était les océans ici. Ce sont des choses que vous n’auriez jamais vues avant. Et que ce soit créé dans un programme, je ne le crois pas. Je pense que c’est une réplique exacte de ce qu’ils connaissent déjà. Comme regarder un Google Earth 1000 fois plus précis, avec des lunettes de réalité virtuelle et en pouvant aller n’importe où.
David : Qu’est-ce qui était si cool avec les océans ?
Emery : Eh bien, les océans… Nous ne connaissons les océans que par Google Earth et ce que nous avons appris des encyclopédies. Peu de gens peuvent entrer dans un sous-marin et explorer les océans. Et nous en savons plus sur notre propre espace que sur nos propres océans, et tout le monde le sait.
Et le siège fait partie de l’embarcation. Pas comme de chaise. Il est en fait moulé – je dirais un moule d’un siège – et dans ce…. devant, il y a cet énorme tableau de bord. Et ce tableau de bord contient de nombreux écrans. Il a beaucoup d’images holographiques. Il a des joysticks, mais faits pour vos mains. Vos mains glissent dedans.
David : Wow !
Emery : Alors imaginez un gant inversé où vous mettez vos mains dans cette zone du gant. Et vos paumes s’ajustent bien sur une surface de boule lisse. Et c’est ce qui allume tout.
David : Wow !
Emery : Oui. Il commençait à m’apprendre à piloter le vaisseau.
David : Donc vous devez vous asseoir dans ce cockpit ?
Emery : J’ai piloté le vaisseau.
David : A l’intérieur du dôme ?
Emery : Non. Je veux dire, c’était un simulateur. C’est pour ça qu’il y avait un grand écran.
Ils essayaient de rétroconcevoir le siège et certaines des choses qu’ils ont vues là-dedans. Et ça, c’était faux. C’était un grand écran, un simulateur de l’engin.
David : D’accord.
Emery : Ils formaient donc des pilotes clandestinement à l’utilisation de cette embarcation, avec ces boules où vos mains glissent. Et c’est un siège très confortable, au fait.
David : Est-ce que cette morphologie s’adapte à votre corps, ou était-ce juste une forme agréable et confortable ?
Emery : Je me sentais très…. .. C’était très plastique. Il ne se fondait pas avec votre corps, mais il s’adaptait. Donc vos coudes et tout…. vous deviez être assis dans une certaine position.
Et c’est un peu incliné, et vous êtes assis comme ça, les mains dans ces étranges gants qui font partie du siège, soit dit en passant. Ne pensez pas à des gants. Pensez aux trous dans le siège et que vos mains s’adaptent parfaitement à ces boules qui s’y trouvent.
Et après avoir passé un certain nombre d’heures dans le simulateur – au moins trois ou quatre heures – je me souviens d’avoir entendu ce son horrible de l’ouverture des portes, parce que tout résonne là-bas. Vous entendez la conversation de tout le monde – tout. Il n’y a pas de tapis ou quoi que ce soit. Vous pouvez entendre une épingle tomber à 30m de distance. Il y règne un magnifique silence de mort, avec nos voix. Et puis quand les portes s’ouvrent, elles font ce son très intéressant. Cela ressemble à un ….. Si vous prenez un morceau de plastique… Vous savez, le papier des radiographies?
David : Oui.
Emery : Quand on le secoue, il fait “dah-dah-dah-dah-dah”. Eh bien, ces portes s’ouvrent en faisant ce son vibratoire vraiment bizarre qu’il n’est pas commun d’entendre sur une porte mécanique, je dirais. Et quand j’ai entendu cela, je l’ai regardé, et j’ai dit : “Oh, y a-t-il d’autres personnes qui viennent ?” Il dit : “Non. Personne n’a le droit d’être ici en ce moment.” Et là, les costards-cravates sont arrivés.
David : Qu’entendez-vous par costards-cravates, exactement ?
Emery : Les costards-cravates… Je pensais qu’il était le commandant en chef de tout ce qui se passait là-bas. Personne n’étant plus haut que lui. Alors, comment la sécurité va-t-elle dire quelque chose à ce sujet ? Parce que je pensais sincèrement que ça allait. Et ce n’était pas le cas. Et ces types sont en costume noir, d’accord ? Ce n’est pas une zone propre, soit dit en passant. Donc vous n’avez pas besoin d’avoir vos combinaisons. C’est ce que nous appelons une “zone sale”. Donc vous pouvez juste être dans votre uniforme là-bas. Ils sont donc arrivés, quatre…
David : Les costumes-cravates ?
Emery : Oui, quatre ou cinq d’entre eux. Ils étaient tous plus grands et plus gros que moi.
David : Est-ce qu’on parle de “Men in Black”, comme avec le chapeau et les lunettes de soleil ?
Emery : Non. Pas de chapeau et de lunettes de soleil, juste des mecs normaux, des gros, mais à l’air très professionnel.
David : D’accord.
Emery : Pas non plus des gardes sécurité, mais ils pourraient l’être. Et je me souviens qu’ils l’ont attrapé par les bras et l’ont sorti de ce truc. Et puis ils m’ont dit de me lever du siège, ce que j’ai fait. Puis ils m’ont attaché les mains dans le dos et m’ont bandé les yeux. Et c’est la dernière fois que je l’ai vu.
David : Vraiment ?
Emery : Oui.
David : Dans toute votre vie ?
Emery : Oui.
David : D’accord. Racontez-nous tout ça maintenant. Je sais que cette partie est très douloureuse, mais dites-nous. Vous avez donc une sorte de sac sur la tête. Vous êtes menotté. Combien de temps avant d’arriver dans la pièce ? Qu’avez-vous vécu en cours de route ? C’était dans un véhicule ?
Emery : C’était une longue marche. Il y a eu trois ascenseurs différents. C’était une très longue marche, et j’essayais de retracer mes pas jusqu’à l’endroit où ils m’emmenaient, mais ils m’ont ensuite mis dans une de ces voiturettes électriques au sol qu’ils ont. Et elles sont très petites, mais elles peuvent contenir quatre personnes. Pensez à ces trucs pour toboggan, mais doublez la taille.
Et ils parlaient une langue que je ne connais pas. La dernière chose dont je me souviens …
David : Cela ne ressemblait à aucune langue terrienne que vous connaissez ?
Emery : Non.
David : Wow !
Emery : J’ai pensé que c’était peut-être du navajo ou une autre langue amérindienne. Cela sonnait juste comme une sorte de navajo bizarre. Je la connais un peu parce que j’ai vécu au Nouveau-Mexique, mais je ne la comprenais pas. Et ils la parlaient très couramment. Ils s’interrompaient pour me parler en anglais.
David : Et sinon, est-ce que ces gens avaient l’air de venir de la Terre ?
Emery : C’étaient des humains génétiquement modifiés, c’est sûr. Ils devaient être génétiquement modifiés parce qu’ils étaient tous un peu trop gros. Ils se ressemblaient tous un peu trop. Et ils avaient l’air très professionnels et intelligents et très, très forts.
David : De quel type de race de gens sur Terre viendraient-ils ?
Emery : Ils étaient blancs. Leur race était blanche. Ils avaient les yeux bleus. Ils avaient des cheveux de couleurs différentes. Ils étaient très bien habillés.
David : Et extrêmement musclés ?
Emery : Extrêmement musclés et très grands, oui.
David : D’accord. Donc c’est intimidant dès le départ.
Emery : J’avais très peur, vraiment.
David : Est-ce qu’ils portaient quelque chose comme une arme ou quelque chose sur eux quand vous les avez vus pour la première fois ?
Emery : Non, pas du tout, mais ils me manipulaient avec force. Et j’obéissais, mais ils me malmenaient tout de même très vigoureusement.
David : Et que se passe-t-il ensuite ?
Emery : Ils m’emmènent de ce véhicule vers une petite pièce, parce que… Ils ont fini par m’ôter le bandeau des yeux à la fin. Voilà pourquoi je peux décrire ça. Mais j’avais les yeux bandés. Mes bras étaient attachés dans mon dos. Et ils m’ont dit de m’asseoir sur une chaise. Et il y a trois chaises et une table dans une pièce de 3 mètres. Ils m’ont frappé à l’arrière de la tête plusieurs fois, dans la nuque, et aussi dans le ventre, avec une sorte d’instrument, comme une matraque peut-être ou quelque chose du genre. Et j’ai perdu connaissance. Je saignais, à l’arrière de la tête, mais rien dans le visage.
Ils se sont ensuite assis et m’ont posé beaucoup de questions. Sur depuis combien de temps j’étais au courant du projet, sur ce que le commandant m’avait dit. Vous savez, j’ai admis avoir une amitié avec lui à l’extérieur avec sa famille, ce qu’ils savaient déjà. Mais on n’en avait jamais parlé.
J’ai demandé à voir un médecin, parce que j’avais l’impression de perdre beaucoup de sang. Une personne est entrée. Et ils ont exercé une pression directe sur moi. Et ils m’ont dit de rentrer chez moi, et qu’ils me contacteraient.
David : Avez-vous eu des contusions ou une commotion cérébrale après ?
Emery : Oui, j’ai eu une commotion cérébrale et un gros hématome à l’arrière de la tête. J’étais terrifié de les en informer. Je croyais que ça… Je crois qu’ils me testaient. Que c’était le test suivant. Ça l’était. Car je n’ai rien dit. J’ai pu ainsi récupérer mon travail, car j’ai su me taire.
Et ce secret m’a fait du mal [Emery baisse la tête et essuie les larmes qui lui montent aux yeux].
David : Qu’est-ce que ça fait d’être dans cet endroit où l’on se sent complètement impuissant, où l’on est menotté, où l’on ne voit rien et où l’on se fait sauvagement battre ? Qu’est-ce qui vous a traversé l’esprit ? Vous pensiez qu’ils allaient vous tuer ?
Emery : Oui, c’est ce que j’ai cru. Je n’ai même rien dit, car… je connaissais le contrat. Et on ne rigole pas avec le contrat. Même si on m’avait induit en erreur, je ne savais pas ce qu’il… Car c’est une situation très délicate.
Tellement délicate, car Smith l’avait-il fait intentionnellement ? Tentait-il intentionnellement d’endommager les installations ? Il allait à des endroits où il n’avait pas d’habilitation, avec quelqu’un avec plus d’habilitation, ce qui est parfois permis. Mais pas cette fois.
Ce n’était pas… Je suppose que ça n’a pas plu à qui dirige vraiment cet endroit. Il ne rendait pas compte… Ou peut-être que si. Il ne me l’a jamais dit. Je ne l’ai pas vu comme ça. C’était définitivement compartimenté et civil, mais dirigé par les militaires qui étaient là.
Donc, ai-je fait quelque chose de mal ? Tout ce que je sais, c’est que j’ai fait quelque chose de mal. Je suppose que oui. Je me suis dit : “Eh bien, évidemment, je suis maintenant en très mauvaise posture. Je vais probablement être tué, et c’est tout.” J’acceptais donc cela. Je veux dire, j’étais déjà bien démoli, quand ils m’ont ôté le bandeau.
Je me rappelle d’avoir levé les yeux vers eux. Et ils ont juste dit : « Ne répète jamais ceci. Si tu dis ou fais n’importe quoi, tu sais ce qui se passera. ». Et à ce moment-là, j’ai su qu’ils n’allaient pas me tuer. Mais pourquoi m’en parler ? Pourquoi me regarder, alors que je le regarde, et me donner une autre chance ?
J’ai donc été renvoyé chez moi. Ils ont dit : “Nous te contacterons. Ne viens pas travailler demain.” Et je ne voulais pas rentrer chez moi, car ça devait vouloir dire que je n’allais pas revenir. C’est ce que je pensais.
David : Comment êtes-vous rentré chez vous si vous êtes dans une partie inconnue de la base ?
Emery : Oh, non. Ils m’ont escorté dehors. J’étais déjà de retour dans ma partie. Ils ont fait un prélèvement d’ADN de moi, un frottis de joue. Et ils m’ont prélevé du sang, ce qui est normal quand les choses deviennent bizarres. J’ai déjà entendu dire qu’ils font cela à quiconque est pris dans d’autres endroits. Et on m’a interdit d’essayer de contacter le commandant, lui ou sa famille, “pour toute la durée de ma vie sur Terre”, je cite.
David : Wow ! Alors, vous êtes rentré chez vous comme vous l’auriez fait normalement.
Emery : Oui. Oui, sans retard. Rien. Je paniquais complètement. J’ai croyais vraiment que j’avais tout perdu. Je pensais avoir perdu ma carrière et mon emploi avec eux. J’ai entendu tellement d’histoires horribles de ce qui est arrivé à d’autres personnes et je croyais que cela ne m’arriverait jamais parce que je respectais les règles. Et ils n’ont pas aimé cette règle. Ce qui s’était passé.
Et la dernière chose qu’ils ont dite, c’était de rentrer chez moi : “Nous te contacterons.” J’ai cru que j’étais au chômage. Je pensais avoir perdu toutes mes habilitations.
Je pensais que tout allait s’effondrer pour moi. Je pensais que même ma carrière dans l’armée… Je pensais que ça l’affecterait d’une façon ou d’une autre. Et c’est là que je suis rentré chez moi. Et je suis quand même allé travailler le lendemain pour mon travail militaire.
David : Le “travail de couverture”.
Emery : Le travail de couverture. Et puis le lendemain, j’étais intrigué et suis allé en VTT, je voulais mener ma petite enquête et faire le tour de la montagne, près de cet endroit où on avait parlé et où le commandant avait fait allusion à certaines choses incroyables qui s’y passaient.
Quand on recherche sur Google la base aérienne de Kirtland, ou si vous la survolez pour atterrir à l’ABQ [Albuquerque International Sunport], vous verrez ces montagnes… vous savez, tout le monde connaît les montagnes creusées là-bas.
Et il y a ces portes géantes dans la montagne où ils avaient l’habitude de garder toutes les ogives nucléaires à l’époque. Et maintenant, ils y stockent d’autres choses.
Et il me l’avait mentionné – le commandant – lors d’une de nos excursions. Et je savais qu’il se passait quelque chose là-bas, mais je n’avais pas l’habilitation pour être dans ou près de cette installation. Cependant, comme je suis un membre en service actif, il y a une piste cyclable qui fait le tour de cette installation. Il y a aussi quatre ou cinq clôtures, des chiens de garde et des PM [policiers militaires] à toutes les entrées entrant dans la zone des montagnes. Et ces routes de service sont ce que j’utilise pour faire du VTT deux fois par semaine.
Mais j’étais jeune et curieux. Et j’ai pensé que si je montais là-haut, je pourrais peut-être apercevoir quelque chose et voir ce qui se passe, ce qui y entre et en sort. De plus, en utilisant des lunettes spéciales, vous pouvez voir les différentes fluctuations d’énergie, et j’en avais à l’époque.
Bref, je suis monté et ai fait le tour. Et je faisais du VTT autour de cette installation et je regardais probablement l’installation plutôt que de regarder ma piste cyclable, je présume. Et aux trois quarts de mon inspection, je suis devenu gravement malade. Comme si on m’atomisait de l’intérieur. Et j’avais encore un peu plus de 12 km à faire pour retourner à ma caserne. Et j’ai réussi à revenir. Et quand je suis revenu, je me suis recroquevillé en boule et j’ai prié pour mourir, parce que c’était la douleur la plus atroce que j’aie jamais eue.
David : Alors que pensez-vous qu’il vous soit arrivé, sur la base de ce que vous savez maintenant ?
Emery : Je pense que c’était une arme scalaire. C’est comme si tout votre intérieur était en feu et que vous ne pouvez rien faire pour atténuer la douleur. Vous êtes en position fœtale, et vous avez l’impression que quelqu’un se contente de prendre vos entrailles, de les tordre et de les enflammer. Et c’était tellement horrible que j’ai perdu connaissance et que j’aurais peut-être pu mourir à ce moment-là. Je n’en sais rien.
David : Pour que ce soit clair, pensez-vous qu’il y a une sorte d’émetteur, comme une arme à rayon, qu’ils ont pointé sur vous pendant que vous étiez à vélo ?
Emery : Bien sûr. Plus tard, j’ai découvert qu’ils ont une technologie scalaire qui est tout à fait précise. Ils peuvent le faire ici, à travers la Terre, et toucher une seule personne en Chine – juste une personne en particulier – pour la neutraliser. Combustion humaine spontanée… Ben voyons ! Pas du tout. C’est le type d’armes qu’ils utilisent. Donc, ces choses arrivent vraiment.
David : Êtes-vous tombé de votre vélo quand ils vous ont frappé avec ça ?
Emery : Non, je me suis senti de plus en plus mal à mesure que je descendais la montagne.
David : Oh, je vois.
Emery : Mais j’y suis arrivé. J’aurais dû aller à l’hôpital ou quelque chose comme ça, mais je savais où je me trouvais, en fait. J’ai entendu parler de ces histoires. C’étaient des légendes chez les gens qui travaillaient là. Mais c’était tout. Maintenant, je sais.
David : Vous m’avez dit avant qu’une conséquence d’être touché est que vous avez développé un stress post-traumatique.
Emery : Oui.
David : Pourriez-vous nous expliquer un peu ce qui s’est passé ?
Emery : Eh bien, chaque fois que je ressens une sensation bizarre provenant d’énergies ou de quelque chose du genre, il peut se déclencher. Certaines situations de la vie… peuvent le déclencher. C’est… Vous entrez en mode angoisse totale. Vous pouvez ne pas vous rappeler ce qui est arrivé l’heure d’avant. Vous pouvez même parfois vous évanouir. En fait, je me suis juste évanoui et je me suis réveillé dans le lit en disant : “Wow.” Et c’était… C’était très fort.
David : Donc vous êtes couché dans votre lit maintenant. Vous aviez eu des blessures à la tête récemment. Vous avez dit que vous aviez un hématome. Vous avez eu une commotion cérébrale. Vous avez eu cette attaque choquante à l’arme à énergie dirigée. À ce moment-là, saviez-vous si vous alliez pouvoir travailler à nouveau ? Ou qu’est-ce qui vous a traversé l’esprit ?
Emery : Ce n’est que le lendemain, quand je me suis réveillé dans mes quartiers, après avoir perdu connaissance à cause de cette arme à rayon, que j’ai eu un message. Que je devais prendre mon service à ce moment-là. Et je l’ai fait. À nouveau, j’ai rencontré trois personnes, mais ce n’étaient pas ces types en costume. C’étaient les gens avec qui je travaillais. Et ils ont juste dit : “Que ça ne se reproduise pas.”. Et j’ai répondu que bien sûr. Et c’était tout.
David : Wow !
Emery : J’ai récupéré mon travail.
David : Comment cet événement vous a-t-il changé au niveau de…. Car vous disiez que vous aimiez votre travail. Comme si vous étiez dans un parc d’attractions presque – un parc d’attractions extraterrestre. Ça a-t-il changé ?
Emery : Il y a eu une sorte de rupture, je crois. Je ne croyais plus en eux. Je ne croyais plus à la structure. Qui diable se cache derrière tout ça ?
Qui tire les ficelles? Qui donne vraiment les ordres ici? Qui étaient ces types en costume noir?
J’ai commencé à devenir fou, vraiment fou. J’essayais moi-même de le découvrir, et là, je ne peux en parler à personne. Même à mes collègues, je ne pouvais rien dire.
David : Je sais qu’on ne peut pas être trop précis, mais où se situait ce commandant dans la hiérarchie militaire américaine, disons par rapport aux Chefs d’état-major interarmées, qui rendent compte au président des États-Unis et qui sont les chefs de chaque branche de l’armée ?
Où se situerait-il dans cette relation ?
Emery : Tout est basé sur les habilitations. Vous pouvez être capitaine et avoir la même habilitation qu’un général ou un colonel. Vous pouvez être sergent et avoir la même habilitation qu’un capitaine ou un colonel.
Souvenez-vous, ce sont les tâches que vous accomplissez et ce qui est nécessaire pour y arriver qui importe. Ce n’est pas le… Ils n’utilisent pas le système militaire de hiérarchie pour ces positions, d’accord ? Ils se basent sur les connaissances et le niveau d’éducation des gens élus pour gérer ces projets.
David : Donc, pour autant que vous le sachiez à l’époque, ce n’est pas comme si ce commandant pouvait être un membre du Comité des chefs d’état-major interarmées ou un autre grand ponte dans l’armée. Mais à l’intérieur de votre écosystème classifié, il était aussi haut qu’on puisse l’être, d’après vos informations.
Emery : Il était le plus haut placé.
David : Le plus haut placé ?
Emery : Le plus haut placé que j’ai connu là-bas. Et je ne crois pas qu’il y avait quelqu’un avec plus d’habilitations que lui pour aller n’importe où dans cette base.
David : Wow ! Et il ne vous a jamais donné l’impression qu’il y avait quelqu’un comme ça ?
Emery : Non.
David : Wow ! Eh bien, quelle histoire ! Tragique, mais aussi, je pense, très révélatrice des sacrifices que vous avez dû faire pour arriver là où vous en êtes aujourd’hui pour nous raconter cela. Comment vous sentez-vous après avoir partagé cette histoire avec le monde entier maintenant ?
Emery : Je veux juste que les gens sachent ce qui se passe vraiment.
Et je veux me soulager de ce poids, pour que d’autres personnes puissent s’avancer et partager, et pour qu’elles se sentent comprises… parce que je sais qu’elles souffrent aussi. C’est une chose difficile à saisir et à comprendre, sauf si vous l’avez déjà vécu. Et je sais qu’il y a plein d’autres Emery, juste comme moi, et ils ont juste besoin du petit coup de pouce d’une interview comme celle-ci pour qu’ils viennent nous rejoindre afin de faire savoir aux gens qu’ils ont le droit de savoir toutes ces choses étonnantes qui se passent et qui peuvent aider l’humanité.
Et en même temps, où va tout cet argent pour les impôts que nous payons et d’autres choses du genre? Il y a beaucoup de corruption. Même si ces choses ont l’air cool pour certaines personnes, comme un film de science-fiction, ce n’est pas le cas. Ça devrait être réprouvé. Et du bien devrait en sortir, pas du mal.
David : Eh bien, je veux vous remercier d’être venu témoigner, et j’espère que d’autres initiés viendront.
Merci d’avoir suivi « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock, avec notre invité, Emery Smith.
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