Interview de Emery Smith par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 10 épisode 7
David Wilcock : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock, et avec moi, Emery Smith.
Les informations de ces programmes classifiés étant si compartimentées et difficiles à obtenir, comment obtient-on un niveau de connaissance dans ce monde classifié? Comment obtient-on une habilitation de sécurité? Et comment évolue-t-on dans ces étapes et ces rangs pour être là où ça en vaut la peine?
Emery, bienvenue.
Emery Smith : Merci, Dave.
David : Commençons avec une question des spectateurs :
Quelle a été votre formation pour devenir technicien ? Comment l’avez-vous obtenue? Pouvez-vous nous donner plus d’infos à ce sujet?
Emery : Bien sûr. Et il n’y a rien de secret ou de différent de quiconque qui s’enrôle dans l’armée et choisit sa spécialisation. J’ai choisi la technologie chirurgicale.
Après il y a des classifications différentes, car on peut continuer son éducation à l’université de l’Air Force et avec les programmes techniques, comme, après une formation élémentaire qui a duré 2 semaines, grâce à ma formation militaire avant, quand j’étais ado. J’ai dû tout de suite aller à Sheppard Air Force Bases, au Texas. Et là, j’ai eu une formation approfondie en technologie chirurgicale et en infirmerie en chirurgie.
Puis, on vous envoie ailleurs, comme un hôpital aérotransportable, dans mon cas, à England Air Force Base en Louisiane. C’est une de ces bases qui, avec deux C-130, peut déployer tout un hôpital et faire qu’il soit opérationnel en 24 heures n’importe où.
C’était juste ma formation élémentaire en technologie chirurgicale. Où j’ai appris beaucoup, surtout auprès de grands médecins. Après, je suis allé à Kirtland Air Force Base au Nouveau-Mexique, et me suis formé via leur système hospitalier. C’est une formation constante. Il y a toujours des nouveautés, des nouvelles techniques. Un bon exemple est la RCR. La RCR des années précédentes, elle change tout le temps. Le nombre d’expirations peut varier, ou de compressions thoraciques. Vous devez avoir une place fixe et que votre FMC soit agréée, pour les médecins, infirmières et tout ça. C’est un processus continu de formation. J’adorais ça, car j’ai beaucoup d’énergie. Je voulais en apprendre toujours plus, toujours plus. Et l’Air Force me le permettait.
David : Etant donné que c’était une formation visiblement très intensive, vous enseigne-t-on des choses qui ne le seraient pas à des gens qui iraient à l’université?
Emery : Absolument. Ce que j’ai appris grâce au Complexe militaro-industriel et à l’armée, car je travaillais aussi pour les civils en même temps que j’étais en service actif, ce type de formations et d’éducations n’est pas accessible au grand public. En raison des programmes compartimentés sur lesquels je bossais. On doit approfondir sa formation.
On devait suivre différents cours sur l’électromagnétisme et la science, même sur la médecine, qui n’étaient pas encore publics. J’ai remarqué qu’après 5 ou 10 ans, souvent, certains sont divulgués, comme les scalpels harmoniques.
Ils les utilisaient dans les années 1980, et ils n’ont été divulgués qu’au début des années 1990. Puis, ils sont devenus courants.
David : Dans un autre épisode, vous avez parlé d’un programme de lycée que vous avez commencé à l’armée.
Emery : Tout à fait.
David : Pouvez-vous nous décrire… Quel âge aviez-vous à votre entrée dans l’armée? Et combien de temps s’est écoulé avant que vous puissiez participer aux projets secrets?
Emery : J’ai d’abord rejoint la Civil Air Patrol à l’âge de 13 ans. C’est un auxiliaire de l’Air Force. Elle n’est pas secrète. A cette époque-là, j’ai passé le ROTC de l’armée. C’est commun, dans la plupart des lycées. J’avais des affinités avec l’armée. Pendant 4 ans, j’ai fait beaucoup de camps. Certains durent de deux semaines à un mois. Certaines missions de survie pouvaient durer jusqu’à une semaine dans des régions désertiques du monde. Ils vous enseignent des trucs, comme les soins d’urgence et de sauvetage. Ce qui est le plus important. Comment utiliser une radiobalise de localisation des sinistres, située dans la queue de tous les avions et de tous les bateaux.
David : A quel moment avez-vous trouvé des informations assez classifiées pour faire halluciner les gens s’ils n’en avaient pas déjà entendu parler?
Emery : Probablement en deuxième licence. On passait tous les examens ASVAB. Ça permet d’avoir un poste dans l’armée. Mais je passais des ASVAB supplémentaires où je devais aller à MacDill Air Force Base et faire un examen tous les week-ends. Mon commandant disait que c’étaient des trucs en plus qu’ils demandent à certaines personnes. Et en fait, je pensais avoir raté l’ASVAB, mais ce n’était pas le cas. J’ai appris plus tard qu’ils testent en plus les enfants pour mesurer leur conscience et leur état collectif.
David : Et à quoi ces examens mènent-ils, si les résultats sont positifs ? Recevez-vous un briefing ? Une pile de documents?
Emery : Il n’y avait rien de bizarre, jusqu’à ce que j’aille à England Air Force Base, ma première mission à Alexandria en Louisiane, à côté de la Fort Polk Army Base. Et de là, c’était très intéressant, genre : « Dis donc, tu es affecté à Kirtland Air Force Base, tout d’un coup. ». Tout le monde est allé ailleurs, tous mes collègues et pilotes. Et c’est là que les choses ont démarré, à Kirtland. Cette affectation m’a donné une bonne sensation. J’étais excité de sortir du trou, d’escalader des montagnes vers les hautes sphères.
David : Vous a-t-on fait un clin d’œil ou une tape sur l’épaule?
Emery : Oui, ils me traitaient bien mieux à Kirtland Air Force Base qu’à England Air Force Base.
David : Hm.
Emery : Je savais qu’ils se passait quelque chose. Car quand je suis arrivé, j’ai tout de suite été en charge, directement et indirectement, de 30 techniciens et spécialistes chirurgicaux différents…
David : Wahou !
Emery : …car j’avais déjà beaucoup d’expérience. Et d’un coup, ils sont venus me voir et m’ont dit… Un des commandants m’a dit : « On a des trucs supplémentaires sur lesquels vous pourriez travailler, si vous voulez des formations supplémentaires. On vous autoriserait à partir plus tôt du bureau pour faire tout ça. J’ai donc accepté. On parle de formation en traumatologie, en évacuation aérienne, en médecine aérienne, des choses dans le genre. Et là, j’ai tout de suite su. Ça va être une super opportunité pour moi, pour avoir plus de prix, mais aussi pour être promu plus rapidement et faire partie de ces autres programmes compartimentés.
Ils sont venus me demander après une formation supplémentaire : « Voulez-vous travailler au noir pour cette nouvelle aile de l’armée qui s’occupe de collecter des organes ? ». J’étais plus que ravi de signer ce document, car je voulais une meilleure stabilité financière. L’armée paie très mal, comme vous le savez. J’avais de l’énergie à revendre. Il m’était donc facile de commencer à 6 heures du soir et de travailler jusqu’à 1h du matin et de me lever à 4h du matin, de retourner travailler à 5h du matin et ainsi de suite. J’étais en grande forme, car je m’entraînais deux heures par jour. Et cet entraînement était génial. Et ce job comprenait beaucoup de voyages sympas, dans différentes bases de l’Air Force, comme Holloman ou le centre de lancement de White Sands, et d’autres dont je ne parlerai pas.
Et ça a ouvert pour moi, je crois, un espace pour pouvoir intégrer ce programme compartimenté. J’ai alors réalisé que je n’allais pas collecter ces organes sur des soldats.
David : Vous avez décrit dans des épisodes précédents que les neuf premiers mois à faire ces autopsies consistaient en de petits carrés ou rectangles barbants de tissu.
Emery : Correct.
David : Vous a-t-on donné un briefing, en fait ? Car beaucoup d’initiés disent… Pour vous donner le contexte : tôt ou tard, on les convoque. Ils voient des films bizarres. Ou on leur dit des choses. Ou on leur donne une grosse pile de papiers à lire. C’est récurrent dans ces histoires. Je me demande : si on vous donne ces petits carrés de tissu, vous a-t-on donné ce type de briefing avant qui a pu vous faire anticiper qu’il y avait là un truc bizarre ?
Emery : Ce n’est qu’après six ou neuf mois après le début du programme que j’ai reçu des cours spéciaux, dirons-nous, et des instructions, car pour pouvoir travailler dans une salle d’opération différente ou dans une autre aile, vous devez suivre ces cours de formation professionnelle. Et ils concernaient ces choses. Et j’y ai entendu le terme : « tissu d’une origine autre que terrienne ».
David : Ils ont utilisé ce terme?
Emery : Oui. J’ai ainsi su plus tard ce qui se passait vraiment. Que ce soit vrai ou pas, les trucs sur lesquels je bossais ne ressemblaient à aucun type de matériel corporel humain ou de fluide, de loin.
David : Pouviez-vous poser des questions? Ou y avait-il quelqu’un qui vous racontait des trucs?
Emery : Toutes les deux semaines, on recevait un briefing d’un scientifique en chef ou d’un commandant. Mais la plupart des cours… pour être mis à jour pour aller ailleurs, on doit suivre différents cours, qui sont très courts, de deux à trois heures, sur des trucs sur lesquels on pourrait tomber ou travailler, qui pointaient définitivement dans la direction de la génétique, de l’ADN et des tissus extraterrestres.
David : Je sais que quand j’étais à la fac, le professeur de physique d’un bon ami, le chef du département, lui a dit que la NASA savait qu’on n’était pas seuls, que le crash de Roswell était réel, que les hautes sphères le savaient. Il y a bossé dans les années 70. Mon cerveau débordait de questions. J’ai lu 300 livres pendant mes trois dernières années, donc 100 par an ou deux par semaine, sur ce genre de trucs.
J’imagine… En tout cas, si c’était moi, l’explosion de curiosité qui se serait déclenchée, le désir de vouloir poser des questions, genre : « D’une origine non terrienne? D’où viennent-ils ? Comment sont-ils arrivés? Qu’ont-ils prévu? Veulent-ils nous tuer? Ou nous aider ? Sont-ils les dieux des tablettes cunéiformes sumériennes? ». Avez-vous posé ces questions?
Emery : Absolument pas, car je n’aurais pas fait partie du programme si je l’avais fait si tôt.
David : Vraiment?
Emery : Plus tard, c’était un peu différent. Ils se sont relâchés un peu après trois ans avec eux.
Les choses sont bien plus relaxes, l’équipe partagera avec vous des infos : « On a entendu que ça venait de ce système. On le sait, car on a vu ça dans nos notes d’il y a 10 ou 20 ans, à cause des différents types de rivets. ». C’est juste un exemple… Ou ce type de mécanismes, ou ce type d’énergies.
Les fréquences, c’était vraiment leur truc. Contrôler les fréquences des cellules de l’ADN, et tout ça. Et voilà comment ils ont établi leur encyclopédie de ces échantillons de différents tissus, de ces différents êtres extraterrestres.
C’était captivant. Et oui, pour moi, c’était addictif. J’étais devenu accro. Je voulais bosser, voir le prochain truc, poser des questions, mais je ne pouvais pas. Mais j’espérais pouvoir entrer dans un autre programme en travaillant sur cet être, et ils me montreraient sa navette, ce genre de trucs.
David : Ont-ils déjà commis des erreurs ? Vous ont-ils donné des informations que vous ne deviez pas savoir?
Emery : Toujours. Constamment, oui.
David : Quoi, par exemple ?
Emery : Par exemple, avoir les techniciens à une réunion quand la réunion n’était que pour les managers travaillant sur ce corps, cet appareil ou cette navette. De nombreuses fois, ils ont écourté la réunion, et on a dû quitter la salle. Et les gens qui dirigeaient cette salle d’opération, cet appareil ou l’autopsie d’un extraterrestre étaient informés de bien d’autres éléments, tels que, comme je l’ai appris plus tard, d’où ils venaient, la planète en particulier d’où ils venaient, de quel système ils venaient. Sont-ils dimensionnels ou inter-dimensionnels ? Sont-ils en forme d’étoile et pourquoi ?
David : La forme humaine : la tête, deux bras, deux jambes.
Emery : Et si non, pourquoi ? Car ils étaient peut-être développés par ces extraterrestres.
Beaucoup d’extraterrestres avaient des animaux de compagnie, des animaux extraterrestres, qu’on a plus tard désignés et à qui on a tenté d’attribuer une espèce, une séparation. Et ils viennent du même système.
Et des extraterrestres avaient une espèce qui transportait des êtres grands. Mais ils n’étaient pas extraterrestres. On trouvait des éléphants et des trucs comme ça, et qu’ils ne venaient pas de leur système. Ils les braconnaient peut-être, ou ils les ramenaient. Je ne peux pas en dire plus. Car pour arriver à ce niveau où vous savez presque tout, vous devez y être là depuis très longtemps. Et je suis parti, malheureusement, très tôt.
David : Explorons un peu plus, si vous voulez, la hiérarchie dans un lieu comme Kirtland Air Force Base, où les choses sont devenues intéressantes. Vous finissez par être vraiment absorbé dans ce système d’habilitation, de classification, d’accès, quelle porte ouvre votre carte, et toutes ces choses qu’il y a là-bas. Pouvez-vous nous détailler quels sont les différents degrés, niveaux d’habilitation ? Pourrait-il y avoir des gens sur la base qui n’ont aucune idée de ce qui se passe vraiment ?
Emery : Tout à fait. Il faut comprendre… Sur la base, quand on dit : « Il est à Kirtland air Force Base »… et Sandia Lab Base [où a travaillé Emery Smith, à l’intérieur des programmes de recherche situés dans les niveaux souterrains] est sur Kirtland Air Force Base.
Elle a sa propre sécurité et tout. Et tous les sous-niveaux là-bas travaillent aussi pour beaucoup de corporations différentes du complexe militaro-industriel. Ce n’et pas l’United States Air Force. On est la sécurité de ce bâtiment. Et l’armée est la sécurité des bases de l’armée. Ils ne savent rien de ce qui se passe. Ils savent que c’est top secret. Que ça pourrait être dangereux, si des informations filtraient. Ça pourrait être préjudiciable pour les Américains. On pourrait perdre un gros programme de missiles simplement si les infos filtraient à nos ennemis. Il y a donc des classifications différentes quant à qui possède ces différents types de niveaux pour les laboratoires et les différents essais en cours.
Revenons à ce que vous disiez, pendant trois à quatre mois, vous travaillez sur ce type de programmes, et mon expérience n’est que médicale, et vous devez alors respecter vraiment les règles et règlements qui sont très simples au départ. On ne peut parler à personne. On ne peut rien raconter. On ne peut prendre aucun type de drogue ou d’alcool. On subit un test toutes les deux semaines.
Il y avait ces restrictions à cette époque qui tombaient vraiment à pic, car je n’avais rien à faire. Je devais juste y aller. Juste aller travailler et partir. Et tous les quatre mois, vous montez d’un. On dit « monter d’un ». Ça signifie que vous recevez une nouvelle habilitation s’ils font un rapport sur vous confirmant que vous avez fait ce que vous deviez. Et des contrôles d’antécédents constants. Si on vous arrête pour excès de vitesse, vous avez intérêt à les en informer. Vous devez les avertir dans les six ou huit heures si… vous avez fait quelque chose de mal, ou reçu une amende, le plus petit truc, ou si ça ne va pas avec votre commandant, avec votre job du service actif, n’importe quoi, ou si des membres du service actif vous harcèlent, ce qui a été mon cas, car ils ne comprenaient pas pourquoi je ne faisais que 75% des quarts. Mais on me mettait dans d’autres programmes compartimentés.
Parfois, ils mettaient ça sur le coup d’une blessure, pour les commandants. Car ils étaient très stricts, mais les commandants ne savaient rien. Ils savent juste…comme un de mes amis. Il y est entré, car il parlait quelques langues. Son excuse pour ces programmes était qu’il était un linguiste expert. Ils faisaient tout ça. En fait, ils mentaient à mon sous-officier militaire. « On a besoin de lui, car il doit déchiffrer ça, car il est Polonais, ou Allemand, ou Russe. ». Ils y sont très doués. Puis plus personne ne pose de question, au bout d’un moment.
David : Ça me fait justement penser à autre chose. Si des soldats de l’armée et de l’Air Force travaillent essentiellement à la sécurité, et savent qu’il se passe quelque chose de top secret, mais sans en savoir plus, y a-t-il eu une quelconque désinformation qu’on leur a exposée pour satisfaire leur curiosité, mais qui est loin de s’approcher de la vérité ?
Emery : Ils le feraient s’ils suspectaient quelqu’un de faire fuiter des informations, tout à fait. Si une info fuite, ou s’ils voient les gardiens de sécurité en train de parler par radio, téléphones mobiles ou portables, ils créent immédiatement une campagne de désinformation et, à la fin de la semaine, disent : « Oh, c’était juste pour ça et ça. ». Puis l’énergie de tout le monde serait : « Oh, mon Dieu, ce truc était là. On l’a vu, il s’est échappé. ». Mais pas vraiment, en fait, car c’était le tigre domestique de quelqu’un qu’on avait pour faire des tests des médicaments. Il y avait des trucs bizarres tout le temps. Ils tentaient de le cacher. Si une personne voyait vraiment quelque chose, elle finissait par être tuée.
David : Pensez-vous que ce personnel de l’armée et de l’Air Force pouvait imaginer ce à quoi ils assistaient vraiment ?
Emery : Non, non. Ce sont de jeunes soldats, des cadets qui attendent que leur quart soit fini pour pouvoir aller à la salle de sport ou s’amuser. C’est comme ça pour une bonne raison. Ils ne recevaient aucun briefing, ces soldats qui vous accueillent, ceux qui vous laissent passer la porte. Aucun.
David : Vous avez dit que les habilitations « montaient d’un » tous les quatre mois. Pouvez-vous expliquer ce que sont ces habilitations ? Et entrons un peu dans les détails. Est-ce un code alphanumérique ? Portent-elles un nom ?
Emery : On voit plein de trucs dans la culture pop en ligne, les gens qui parlent de plein de choses, ou disent que j’avais une « classification umbra », ce qui est un vieux terme qu’on n’emploie plus.
Maintenant, ce sont plus des niveaux numériques, comme Alpha 22, Bêta 17. Ils en ont toute une flopée. Et ils font référence à différents types de bases et de tâches que vous faites. Je suis arrivé au niveau Alpha 22, et c’est tout ce que je sais. Il n’y avait pas de terme de la culture pop, alors. J’étais juste A22.
David : Les lettres correspondent à une base en particulier?
Emery : À une unité particulière dans la base.
David : Oh, d’accord.
Emery : Ça peut être des essais d’énergie, des essais aéronautiques, ou biologiques, toutes ces différentes choses. La première lettre ne veut rien dire. C’est la lettre de votre arrivée, là où en est le programme. Et elle peut changer et passer à une autre lettre et à un autre nombre si vous êtes transféré à une autre base ou sur un projet différent.
Moi, j’étais plutôt consolidé, car tous mes trucs étaient médicaux. Et je suis resté là. Je n’ai pas travaillé sur une navette, mais prélevé des échantillons dessus, je n’ai pas appris ses systèmes de propulsion.
David : Donc, un A22 sur une base peut être totalement différent d’un A22 sur une autre.
Emery : Non, c’est standard en Amérique du Nord.
David : OK.
Emery : C’est différent en Europe et en Australie, ils ont leurs codes. Mais il y avait des cliniciens, des médecins et des extraterrestres sur votre base qui venaient de ces bases. Ils avaient des signalisations, des codes et des noms différents.
David : Portiez-vous quelque chose indiquant A22 ?
Emery : Non. Non. C’est sur votre bracelet. Vous vous souvenez?
David : Vous en avez parlé avant.
Emery : Tout y est.
David : Donc ils ne veulent peut-être pas qu’on sache dans la base votre rang.
Emery : En effet. C’est une mauvaise chose, car vous pourriez duper quelqu’un pour qu’il vous dise un truc s’il pense que vous êtes habilité. Ça serait grave, et c’est déjà arrivé.
David : Wow.
Emery : Ils n’ont pas survécu.
David : Ce que vous décrivez ici est de toute évidence si fantastique que pour la plupart des gens regardant l’émission, ce ne serait envisageable que comme science-fiction. Ils voudraient vous croire, mais quelque chose les empêche de vraiment accepter cette vérité. Pour moi, tout ce que vous dites, la complexité de tout ça, c’est à ça que je sais que c’est la vérité. Car ça ne s’invente pas… C’est trop dense.
Ce dont vous parlez ici… Manifestement, vous renoncez à certaines choses. Vous sacrifiez certaines choses. Vous sacrifiez la capacité à en parler aux gens. Vous ne pouvez avoir d’amis. Vous ne pouvez pas poser de questions. Pouvez-vous exposer les sacrifices que vous faites dans cet incroyable environnement ?
Emery : La technologie sur laquelle je travaillais et les différents projets dont je faisais partie peuvent résoudre le problème mondial de l’eau. Ils peuvent nettoyer Fukushima en sept jours.
Ils peuvent retirer tous ces déchets des côtes chinoises et japonaises, des centaines d’hectares de trucs. Et personnellement, moi-même, avec ma famille touchée par le cancer, imaginons… ma mère. Tout ça aurait pu être évité s’ils avaient révélé ces informations.
Et donc, je suis arrivé à un point où, après avoir travaillé sur les appareils à énergie du point zéro et réussi qu’un fonctionne, et soit validé par quelques laboratoires, ma vie a été menacée.
Et pas à cause des extraterrestres. Mais parce que peut-être… ils pensaient que j’allais révéler quelque chose au public sans qu’ils le sachent.
J’ai beaucoup de compassion pour la vérité. Et j’ai vraiment pensé et senti que ma vie est un peu en danger, avec toutes ces menaces, les appels et le harcèlement constant. On ne peut pas avoir une vie normale. Votre famille est en danger. Votre femme est en danger. Vos amis sont en danger. Personne ne veut rien avoir à faire avec vous.
Mes collègues, de mes nombreuses corporations, m’ont tourné le dos, car ils ne… même si je possède à 50% une société, ils ont fait marche arrière en disant : « On ne veut pas que ça influence le système de pensée de la corporation »… que les extraterrestres existent, et l’énergie du point zéro et tous ce trucs fous, sauf s’ils en tirent des milliards de dollars.
Ça prouve que ce sont des gens vraiment pas intègres qui veulent juste gagner de l’argent avec certaines choses et ne veulent rien savoir. Et il y a des gens qui ont… Ils pensent que si on les associe à moi, leur vie sera en danger.
Donc c’est un sacré poids sur les épaules. Mais je n’arrêterai pas juste parce qu’on me harcèle ou qu’on tente de me tuer. Ou qu’on me fait tous ces commentaires en ligne.
Certaines personnes ne sont pas d’accord. Et c’est normal. Ce n’est pas mon but. Je raconte mon histoire. En toute sincérité. Allez vérifier par vous-même, menez votre enquête, car c’est la seule façon de vraiment y croire. C’est ce que j’ai fait.
David : J’aimerais vous remercier pour votre courage ici.
Une chose m’est venue à l’esprit quand on parlait, et c’est en lien avec la base. On parlait de sacrifices. Je suis curieux : si un jour, imaginons, par exemple, un type venait vous voir, et qu’il ne devrait pas vous parler. Il est très nerveux. Et il vous dit une chose qu’il ne devrait pas. C’est déjà arrivé ? Ou est-ce impossible ?
Emery : Eh bien, après avoir été là pendant tant d’années, les gens commencent à parler. On commence à savoir. « OK, celui-là est ici depuis autant d’années. ». Ils ne diront pas un truc mal. Ou ils garderont un secret. Et on ne peut toujours fraterniser avec personne, d’aucun… On ne peut avoir d’amis, ou ne peut sortir avec personne de ce labo. C’est vraiment très strict.
David : Emery, un grand merci pour ce que vous faites ici. La promesse d’où cette technologie peut mener notre monde fait que ça vaille le coup que vous et moi risquions notre vie dans cette émission.
Merci de nous avoir suivis. C’était « Divulgation Cosmique », avec David Wilcock et Emery Smith.
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