Cas de conscience

Un enfant de 3 ans exclu d’une crèche pour « transphobie »

À peine sorti des couches, déjà pris dans les filets de l’idéologie.

Au Royaume Uni, un enfant de trois ans a été suspendu d’une crèche anglaise pour des faits qualifiés « d’ abus contre l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».

Le chiffre, noyé dans un rapport statistique du Department for Education (DfE) —, équivalent britannique du ministère de l’Éducation —, a été repéré cette semaine par plusieurs médias britanniques : un enfant de trois ans a été exclu temporairement d’une crèche, après avoir été accusé d’un comportement qualifié d’« abuse against sexual orientation and gender identity ».

Aucun détail supplémentaire n’a été donné sur les faits exacts. Rien qu’un constat sec, administratif, comme pour mieux en souligner l’absurdité.


La nature même de la sanction et l’âge de l’enfant ont immédiatement suscité une avalanche de réactions.

À trois ans, l’enfant trébuche encore sur les mots, confond souvent les genres grammaticaux, distingue à peine les nuances du réel. Alors, que signifie l’idée même d’un enfant transphobe ?

À qui appartient cette interprétation ? À une institution tétanisée à l’idée de ne pas être assez inclusive ? La pédagogie cède parfois le pas à la doctrine.

« Tous les citoyens et le personnel doivent se sentir en sécurité et protégés à l’école et ne doivent jamais être confrontés à la violence ou aux abus. »

Cela ressemble à une parodie, mais c’est la vraie vie
Voir la vidéo sur X

Une décision administrative aux conséquences politiques

En Angleterre, le nombre d’élèves sanctionnés pour homophobie ou transphobie à l’école primaire ne faiblit pas : il est même en hausse.


En l’espace d’un an, les exclusions — temporaires ou définitives — pour ce motif sont passées de 164 en 2021-2022 à 178 en 2022-2023. Une progression qui interroge : faut-il y voir un durcissement des comportements ou un glissement des critères de sanction ?

L’affaire du tout-petit suspendu en crèche est la plus jeune occurrence enregistrée à ce jour.

Face à la controverse, le Parti travailliste a tenté de désamorcer la tension. Le porte-parole de Keir Starmer, chef de l’opposition, a réagi avec une prudence calculée :

« Les élèves et le personnel ne devraient jamais être soumis à des abus, mais toute action prise pour lutter contre le comportement doit également être proportionnée. » — The Telegraph, 31 mars 2025

Mais cette déclaration mesurée n’a pas suffi à calmer les critiques.

Tempête médiatique et dérive idéologique

La romancière J.K. Rowling, connue pour ses prises de position virulentes sur les questions de genre, n’a pas tardé à réagir. Sur X, elle écrit :

« Si vous pensez que de jeunes enfants devraient être punis pour être capables de reconnaître le sexe, vous êtes un dangereux fanatique qui ne devrait pas être proche des enfants ou en position d’autorité sur eux. »

Autre voix dissidente, Helen Joyce, directrice de l’ONG britannique Sex Matters, dénonce une dérive idéologique :

« Une fois de temps en temps, les extrêmes de l’idéologie de genre produisent une histoire qui semble trop folle pour être crue, et un tout-petit suspendu de la crèche en est un exemple. »

Ces réactions, bien que polarisées, traduisent une inquiétude croissante : l’idéologie inclusive est-elle en train de court-circuiter les principes fondamentaux de la pédagogie et du bon sens ?

Info rapportée par Frontiere.fr

Ce que nous constatons en Angleterre c’est que la folie du wokisme outrancier, côtoie la protection de l’islamisme et du palestinisme… Avec une pincée de climatisme et vous êtes en plein dans l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial néo-nazi.

Le Quatrième Reich a pris possession de l’UE et du Royaume Uni, de l’Australie et du Canada.  Seuls les États-Unis sont en train de sortir de cette folie qui gangrène l’Occident.


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

Bouton retour en haut de la page