Cas de conscience

Silence complice des ONG

Les exactions du Hamas sont passées sous silence, les ONG de l'état profond Nazislamiste montrent leur visage haineux et sans âme...

Le 20 février 2025, le Hamas a orchestré une macabre cérémonie de propagande en restituant les corps de quatre otages israéliens, dont deux nourrissons.

Reprenant le narratif du Hamas, Rima Hassan avait affirmé sans preuve que les Bibas avaient été tués dans « une frappe israélienne ».

On apprend ce soir que Kfir et Ariel ont tous deux été assassinés durant leur captivité à Gaza. À la suite du processus d’identification mené par l’Institut national de médecine légale en collaboration avec la police israélienne, il s’avère que Kfir 10 mois et Ariel Bibas 4 ans, ont été assassinés en novembre 2023 par leurs ravisseurs, des civils palestiniens.

Au cours du processus d’identification, il a été déterminé que le corps supplémentaire reçu n’est pas celui de Shiri Bibas, leur maman, et qu’aucune correspondance n’a été trouvée avec un autre otage. Il s’agit d’un corps anonyme, non identifié.

Qu’elle ne parle plus JAMAIS de nos otages !

Ariel Bibas avait quatre ans au moment de sa mort, et Kfir Bibas avait dix mois au moment de la sienne. Ils ont été enlevés avec leur mère, Shiri Bibas, de leur domicile à Nir Oz. Yarden Bibas, le père d’Ariel et Kfir, est sorti pour les protéger et a été enlevé avant l’enlèvement de Shiri et des enfants. Yarden est revenu dans le cadre de l’accord de retour des otages le 1er février 2025.

Voici les pires images de la journée. Des enfants palestiniens qui jubilent devant des cercueils d’enfants israéliens. C’est le cœur du problème de ce conflit qui est ici résumé : tant que la haine islamiste est semée dans les cœurs, alors la paix est impossible :

Les scènes de Gaza sont horribles. Les Palestiniens défilent avec les corps des bébés israéliens dans des cercueils, tout en écoutant de la musique forte et en faisant la fête. Quelle sorte de société malade est-ce là ?!


Je n’ai plus de mots. Et je ne crois plus que cette mise en scène atroce va réveiller nos élites. Même à ce degré d’abjection et de parade dans l’horreur.

– Céline Pina Journaliste

Cette tragédie met en lumière le silence assourdissant des principales organisations internationales de défense des droits humains, qui semblent appliquer leurs principes de manière sélective lorsqu’il s’agit d’Israël.

Depuis l’enlèvement, le 7 octobre 2023, d’Oded Lifshitz, un octogénaire, et de Shiri, Ariel et Kfir Bibas, une mère et ses deux jeunes enfants, ces organisations sont restées étrangement silencieuses. Amnesty International, par exemple, a consacré les 15 derniers mois à publier des rapports accusant Israël de divers crimes, mais n’a pas jugé opportun de dénoncer la captivité de la famille Bibas. Même lors de la sinistre exhibition de leurs dépouilles, l’organisation est restée muette.

De même, Human Rights Watch n’a émis aucune déclaration concernant l’utilisation indigne des otages à des fins de chantage. Bien qu’une mention de la famille Bibas soit apparue dans un rapport en juillet, cette attention ponctuelle semble être l’exception plutôt que la règle.

Des organisations dédiées à la protection des enfants, telles que Save the Children International et l’UNICEF, affichent également une absence de réaction préoccupante. Aucune d’entre elles n’a pris position contre l’utilisation d’enfants comme monnaie d’échange pour la libération de criminels. L’UNICEF, censée défendre chaque enfant, n’a évoqué les enfants Bibas qu’une seule fois, de manière superficielle, lors d’un briefing en septembre.


Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a, quant à lui, publié une déclaration le mardi précédant la cérémonie du Hamas, condamnant les expositions publiques dégradantes de captifs. Cependant, cette déclaration établissait une équivalence troublante entre les otages israéliens et les terroristes détenus. Les experts de l’organisation, dont la Rapporteuse spéciale Francesca Albanese, ont rappelé que le droit humanitaire international interdit les « atteintes à la dignité personnelle », mais n’ont pas spécifiquement dénoncé le traitement réservé aux otages israéliens.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) n’a pas non plus rempli son rôle de manière adéquate. Pendant 500 jours, il n’a pas rendu visite aux otages, ne les découvrant que lors de leur restitution dans des cercueils ornés de slogans de propagande. Bien que le CICR ait timidement protesté contre ce traitement dégradant dans une déclaration la veille, il a néanmoins participé à cette mise en scène macabre.

Cette disparité flagrante dans les réactions des ONG soulève des questions sur leur impartialité. Lorsqu’il s’agit d’Israël, ces organisations sont promptes à formuler des accusations graves, telles que le génocide ou l’apartheid, souvent sans preuves substantielles. En revanche, face aux exactions du Hamas, leur silence ou leurs réactions tardives témoignent d’un double standard évident.

Cette attitude sélective sape la crédibilité des principes universels des droits humains. Si ces principes ne sont invoqués que lorsque cela sert des intérêts politiques particuliers, ils cessent d’être des normes universelles pour devenir des outils de manipulation. Ainsi, en restant silencieuses face aux atrocités commises par le Hamas, ces organisations facilitent, consciemment ou non, l’agenda de ce groupe terroriste et entravent les efforts visant à le contrer.

Il est impératif que la communauté internationale reconnaisse cette partialité et exige des ONG qu’elles appliquent les principes des droits humains de manière cohérente et non biaisée. La défense des droits fondamentaux ne doit pas être instrumentalisée à des fins politiques, mais doit rester fidèle à son objectif premier : protéger la dignité et la vie de chaque être humain, indépendamment de sa nationalité ou de son origine.

Le silence des organisations internationales de défense des droits humains face aux exactions du Hamas constitue une trahison des valeurs qu’elles prétendent défendre. Pour restaurer leur crédibilité et véritablement promouvoir la justice, ces ONG doivent adopter une approche impartiale, dénonçant toutes les violations des droits humains, qu’elles soient commises par des États ou des acteurs non étatiques. Seule une telle démarche permettra de garantir une protection authentique des droits de tous les individus, y compris ceux d’Israël.

Repose en paix petit bonhomme. Pardonne-nous de ne pas avoir réussi à te sauver… Jamais nous ne t’oublierons. Que ta mémoire soit une bénédiction pour toujours.


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