Cas de conscience

Quand la Gauche « démocrate » incite à l’assassinat

par JB Shurk

Je surveille de nombreux forums de discussion de gauche pour voir comment le Borg marxiste traite les nouvelles informations.

Pour info : Les Borgs ou le Collectif Borg sont, dans l’univers Star Trek, des races de créatures cybernétiques — en partie organique, en partie mécanique. Ils sont connus pour être impitoyables et particulièrement difficiles à éliminer.

Patauger dans un égout de psychés fracturées est à la limite de la torture, mais il est utile d’observer l’esprit de ruche communiste en action. Les bêtises auxquelles les « gens intelligents » autoproclamés prétendent croire vous feraient pleurer sur l’état pitoyable de l’éducation publique.

Après la tentative d’assassinat du président Trump, je suis retourné sur la pointe des pieds au Club Xanax pour voir comment se déroulait ce paysage infernal. De loin, la grande majorité des gauchistes étaient en panique parce que le tireur avait échoué.


La lecture de ces boues haineuses se faisant passer pour des pensées supérieures est un rappel effrayant que ces terroristes en formation n’ont aucun scrupule à nous enfermer dans des tombes peu profondes, afin de pouvoir construire leur « utopie » rance sur nos os.

Ce sont des gens malades avec des pensées malades qui expriment leur soutien à des choses très malades. Mais que peut-on attendre d’autre d’une foule de cinglés qui pensent que la pédophilie n’est pas un problème, mais que les mangeurs de viande devraient être pendus pour avoir réchauffé la planète ?

Il n’existe aucun moyen évident de raisonner avec une bande de marginaux psychologiquement endommagés qui s’habillent de sweats à capuche noirs et de masques chirurgicaux avant d’incendier des églises au nom de la « lutte contre le fascisme », car ces idiots ont abandonné la raison depuis longtemps.

Prenons l’exemple des mêmes malades qui ont passé deux jours à se défoncer après que le futur assassin du président Trump n’ait pas réussi à réaliser leurs sombres fantasmes, et qui ont commencé à se plaindre que les conservateurs utilisaient un langage « dangereux » en insinuant que les gauchistes étaient complices.


Que voulaient-ils dire ?

Ils n’aimaient pas que les partisans de Trump disent : « Ils ont essayé de le ruiner, ils ont essayé de l’emprisonner, et maintenant ils ont essayé de le tuer. » « Qui est-ce ? » , hurlait collectivement la gauche déjantée . « C’était un tireur solitaire avec une mauvaise visée », continuaient-ils à hurler.

Les démocrates et leurs troupes de choc Antifa ont appelé Donald Trump « Hitler » et exigé qu’il soit « éliminé » pendant huit longues années, et dès que quelqu’un les écoute, ces tueurs à gages verbaux sont carrément offensés que quelqu’un puisse les tenir personnellement responsables.

Bien sûr, ils emprisonneraient volontiers quiconque oserait « mal genrer » un pervers de cinquante ans qui traîne avec des petites filles, mais pointer un doigt accusateur vers la cinquième colonne de gauche qui encourage la violence contre les conservateurs est inacceptable. Comme je l’ai dit, les communistes ont abandonné la raison depuis longtemps.

Cela donne à réfléchir. En ce moment même, Jack Smith, un assassin de la guerre juridique, plaide devant le juge Chutkan, un tyran en robe noire, pour que le président Trump, qui sera bientôt président, soit jeté en prison pour avoir osé remettre en question la légitimité de l’élection de 2020 et pour avoir « incité » à la soi-disant « insurrection » du Capitole le 6 janvier 2021.

Toute personne dotée d’un cerveau sait qu’il n’y a jamais eu d’insurrection, que le président Trump n’a jamais encouragé la moindre criminalité, et que bafouer le droit à la liberté d’expression d’un président garantit que le reste d’entre nous sera bientôt également poursuivi pour ses propos politiques.

Pourtant, si le ministère de la Justice est prêt à jeter aux oubliettes deux siècles et demi de normes démocratiques en poursuivant pénalement un président pour les mots qu’il a prononcés, alors le président Joe Biden devrait sûrement être tenu au même titre. Ce réprouvé décérébré a qualifié Donald Trump de « dictateur », de « nazi » et de « menace pour l’Amérique » pendant des années.

Dans ses discours, celui qui se décrit comme « unificateur » a condamné Trump et ses cent millions de partisans du mouvement MAGA comme des « séditieux » et des « insurgés » et les a faussement accusés d’avoir assassiné plusieurs policiers le 6 janvier – autant de calomnies scandaleuses et répréhensibles.

Pour un jeune homme impressionnable dont les hormones en pleine croissance encouragent les comportements à risque insensés, les mots de Joe Biden sont une invitation à la violence.

Lorsque le président des États-Unis compare quelqu’un à Hitler, les gens crédules l’écoutent. Lorsque le président des États-Unis accuse à tort son prédécesseur d’être un meurtrier et un agent russe contrôlé par Vladimir Poutine, les esprits influençables se mettent en colère. Lorsque le président des États-Unis soutient que son adversaire politique pourrait facilement détruire non seulement l’Amérique, mais aussi le monde entier, les gens en colère entendent un appel aux armes.

A quoi pensait Joe Biden quand il continuait à dire aux Américains que Donald Trump voulait mettre « les enfants en cage » et construire une sorte de dictature « suprémaciste blanche » du KKK ?

Les paroles fausses et incendiaires de Biden ont été la cause immédiate de la tentative d’assassinat de Trump. Il n’a peut-être pas appuyé sur la gâchette, mais sa rhétorique dérangée a certainement fait basculer les balles du tireur dans une haine mortelle.

Je dis que ce qui est bon pour l’un est bon pour l’autre. Si le président Trump doit être mis au banc des accusés pour avoir « incité à l’insurrection » par ses propos, alors le vilain Joe Biden devrait sûrement être mis au banc des accusés pour avoir incité à l’assassinat par ses propos. Après tout, Trump n’a fait que prononcer un discours pacifique sur l’importance d’élections libres et équitables et a encouragé les législateurs à remédier à la fraude électorale par correspondance et à d’autres irrégularités électorales.

Biden a dépeint Trump comme une menace mortelle pour les citoyens américains pendant des années. Inévitablement, quelqu’un allait interpréter ses paroles (et celles de tant d’autres démocrates employant un langage tout aussi incendiaire) comme une demande d’action violente. PINO Joe et sa coalition communiste ont fait passer l’assassinat politique pour une forme tordue de « justice » civile.

Malheureusement, le ministère de la Justice compromis ne cible que les militants pro-vie, les parents qui s’opposent à ce que les enseignants « manipulent » leurs enfants, les vétérans patriotes, les chrétiens fervents et autres conservateurs « dangereux ».

Biden et sa famille de dégénérés peuvent accepter des pots-de-vin de puissances étrangères hostiles et s’en tirer à bon compte.

Et même si quelqu’un suggérait que le langage belliqueux de Joe Biden le rendait responsable de la tentative d’assassinat du président Trump, le ministère de la Justice l’aurait déjà jugé « homme âgé avec une mauvaise mémoire » – en d’autres termes, trop incompétent mentalement pour être jugé.

Il semble que la corruption rampante du ministère de la Justice et la démence évidente de Joe Biden se soient combinées pour fournir à Joe Quid-Pro-Quo une carte de sortie de prison gratuite à vie – même si son vitriol extrême a poussé un partisan politique à commettre un meurtre.

La culpabilité rhétorique de la gauche dans la tentative d’assassinat de Trump est un rappel flagrant de la stupidité de l’accusation d’« incitation » de Jack Smith contre le président. Une forte majorité du peuple américain continue de croire que la fraude électorale par correspondance orchestrée dans les juridictions contrôlées par les démocrates au sein d’États cruciaux a fait pencher la balance en faveur de Joe Biden lors des élections de 2020.

Le président Trump et ses alliés ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour remédier à cette injustice. Ils ont intenté des poursuites devant les tribunaux d’État et fédéraux, mais les juges ont refusé d’examiner ces affaires sur le fond.

Les avocats de Trump ont parlé publiquement des preuves de mauvaise conduite électorale et de fraude pure et simple, et pour leurs efforts, ils ont été inculpés de fausses accusations criminelles, poursuivis en dommages-intérêts civils et radiés de l’exercice du droit.

Des centaines de milliers d’électeurs de Trump se sont rassemblés à Washington le 6 janvier 2021 pour demander au gouvernement de remédier à leurs griefs – comme le prévoit le Premier Amendement constitutionnel – et ils ont été traqués et emprisonnés en tant que « terroristes nationaux » et « insurgés ». Les Américains respectueux des lois et patriotes qui ont essayé de faire ce qu’il fallait ont été traités comme des criminels violents.

Et puis il y a la méchante gauche politique, dont les fantassins antifa incendient des villes et mettent des vies en danger sans crainte de poursuites judiciaires.

Joe Biden et ses démocrates qualifient Donald Trump d’« Hitler » et ses partisans de « nazis » qui ne doivent jamais être autorisés à occuper le pouvoir. Et lorsqu’un homme armé exécute leurs ordres – tuant une personne, en blessant deux autres et assassinant presque le président Trump – ces mêmes gauchistes prétendent qu’ils n’ont rien fait de mal. C’est une « justice » à deux vitesses dans une nation dénuée de raison.

Source

Comme vous pouvez le constater, l’actualité aux États-Unis ressemble étrangement à l’actualité en France. Deux poids, deux mesures. Une justice qui protège les marxistes islamo-gauchistes et reste sans pitié pour les patriotes qui sont qualifiés d’extrême droite. Des élections truquées, des magouilles, des alliances contre nature pour empêcher la droite patriote de gouverner, même quand elle est élue…

C’est là que nous comprenons que le Deep State, le Quatrième Reich, est partout sur cette planète et qu’il s’agit d’être sacrément vigilants quand on écoute les analyses à la con des soit-disant spécialistes de l’information.


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