Résonance

Notre Soleil a une autre étoile comme compagnon. Quel rapport avec le noyau de la Terre?

La précession des équinoxes et l'évolution du Noyau..

Les cultures anciennes du monde entier parlaient d’un vaste cycle temporel avec une alternance d’âge noir et d’âge d’or. Platon a appelé cela la grande année. C’est la précession des équinoxes.

Les effets de cette précession, sur l’humanité, sont profonds. Les Anciens l’ont intégrée dans la mythologie des cultures anciennes du monde entier sous forme de métaphore allégorique à travers les âges.

La communauté astronomique a découvert que quelque chose de massif tire sur notre système solaire et la scène est prête pour découvrir le mouvement qui nous fait passer à travers les âges élevés de l’illumination et dans les âges inférieurs de l’obscurité – une obscurité similaire que la psychologie étudie avec des patients souffrant d’amnésie ou d’anxiété. ne sachant pas leur passé – un passé que nous aussi, avons oublié.


L’humanité tout entière a-t-elle subi sans le savoir une dissonance similaire? Et si tel est le cas, cela explique peut-être bon nombre de nos problèmes modernes.

Les systèmes d’étoile binaire sont plutôt communs, si ce n’est la règle, dans notre galaxie.

Le physicien Peter Eggleton cite les recherches de Petrie de 1960 où 52 % des systèmes stellaires ont montré des preuves de multiplicité (le nombre réel étant théoriquement plus grand à cause des limites de précision des mesures).

Il écrit aussi :

« après avoir considéré les compagnons invisibles [par ex, les naines brunes] Poveda et al. (1982) ont conclu que presque 100 % des étoiles sont en binômes, y compris sur des périodes longues comme courtes (Eggleton 2006, p. 14).

Dans son article de 2007, L’incidence de la Multiplicité parmi les Systèmes Stellaires Brillants, Eggleton et al. évaluent le taux de multiplicité de 4 649 étoiles visibles (de magnitude 6 ou moins) à 40 %. Cette incidence observée suggère un vrai taux d’au moins 65 %. Mais, comme le souligne Eggleton, même les 30-35 % qu’il classifie en systèmes « individuels » pourraient bien contenir des compagnons non détectés.


De même, King et al. ont analysé un groupe de 5 amas stellaires (environ 2675 étoiles au total) pour déterminer combien de systèmes binaires ils contenaient (les amas allaient de 7,5 à 50 % de binômes) et quel aurait été le taux de binôme initial après que les étoiles se soient formées et avant que certains systèmes ne « perdent » leurs compagnons. Dans leur modèle, un taux initial de 73 % de binômes explique le mieux les conditions actuelles dans ces amas stellaires, mais seulement pour l’étendue d’orbites qu’ils ont pu étudier dans les 5 amas (62-620 UA), et ils reconnaissent qu’ils ne peuvent écarter un nombre initial bien supérieur si davantage de binômes existent en deçà de l’étendue observée.

Aussi, si McCanney, Poveda, et Eggleton ont raison quant à l’incidence des systèmes binaires…

Sol (notre soleil) devrait en avoir un (s’il n’a pas été perdu à un moment donné dans le passé). Et puisqu’il n’est pas visible, il y a des chances pour que ce soit une naine brune. C’est ce que les Cs (Cassiopéens)  ont suggéré le 3 août 1996 et le 4 juillet 1998.

Mais gardez à l’esprit qu’il existe des avis dissidents. Par exemple, Deepak Raghavan et al. ont analysé un échantillon de 454 étoiles de « type solaire » dans les limites de 25 parsecs du Soleil et ont trouvé que la majorité (environ 54 %) étaient des systèmes stellaires simples. Ils ont trouvé que plus la masse de l’étoile était importante, plus il était probable qu’elle ait une compagne. Clark et al. ont résumé les résultats en écrivant que les étoiles jusqu’à 40 fois la masse du Soleil existent en binômes environ 75 % du temps, contre 20 % pour les étoiles de moins de 0,1 la masse du Soleil (cela inclut les naines brunes).

Dans la région la plus proche de notre Soleil, la seule recherche observationnelle systématique sur le sujet semble avoir été réalisée par RECONS (Research Consortium on Nearby Stars – Groupement de Recherche sur les Étoiles Proches – NdT). Des systèmes d’étoile à l’intérieur de 10 parsecs du nôtre, 29 % ont deux étoiles observées ou plus. Comme le souligne les gens du RECONS, ce nombre peut sembler faible car 73 % des étoiles identifiées sont des naines rouges (moins de la moitié de la masse du soleil et catégorisé en type M dans leur classification). Les naines rouges ont une probabilité moindre d’avoir des compagnons, aussi le chiffre de 29 % n’est probablement pas représentatif de tous les types d’étoile dans notre voisinage cosmique, surtout si l’on tient compte des naines brunes difficiles à détecter.

Des changements dans la formation des nuages peuvent causer un changement de moment cinétique de la Terre, donc un changement de sa vitesse de rotation. Les phénomènes de haute altitude comme les traînées de condensation (contrails) des avions apparaissent de plus en plus bas, pavant la voie à la croyance répandue aux « chemtrails ». En d’autres termes, l’atmosphère (supérieure et maintenant inférieure) semble se refroidir.

Examinons cette réponse des cassiopéens :

R : Climat est influencé par trois facteurs, et bientôt un quatrième […]

  • 1) L’onde approche.
  • 2) Le chlorofluorocarbure [CFC] augmente dans l’atmosphère ce qui affecte la couche d’ozone.
  • 3) Changement d’orientation de l’axe de rotation de la planète.
  • 4) Trifouillage artificiel des forces STS (Service de soi) de 3ème et 4ème densité de nombreuses manières différentes…

Q : (J) Qu’est-ce qui cause le changement d’axe?

R : Par ralentissement de la rotation. Terre se réchauffe et se refroidit alternativement à l’intérieur.

Plusieurs facteurs affectent le moment cinétique de la Terre et donc sa longueur du jour (ou sa rotation) : le moment cinétique atmosphérique (le mouvement de l’atmosphère autour du globe dont différentes vitesses et directions des vents), le moment cinétique océanique (la distribution dimensionnelle en masse des océans de la terre), le moment cinétique hydrologique (estimé sur la base de la distribution de toutes les autres eaux sur les continents, dont la neige, la glace, l’humidité du sol etc.) et le mouvement cinétique du noyau (le couplage électromagnétique du noyau et du manteau).

Des changements dans n’importe lequel de ces facteurs mènent à des changements observés de la longueur du jour et de la « migration des pôles » (la longueur du jour et la migration des pôles sont tous deux régis par la répartition des masses à l’intérieur de la Terre).

Aussi , un « ralentissement de la rotation » est manifestement lié à un changement de l’axe de rotation de la planète (migration des pôles) et la dynamique noyau-manteau semble jouer un rôle.

La topographie, la viscosité, la gravité et l’électromagnétisme du noyau et de l’interface noyau-manteau (y compris les facteurs mentionnés ci-dessus, comme l’atmosphère) peuvent tous agir comme des moments de torsion et sont responsables, à divers degrés, des transferts du moment cinétique terrestre et donc des changements de rotation et de la migration des pôles.

L’Europe a connu l’expérience de la rapidité avec laquelle les températures peuvent plonger à – 40°C.

Et selon le Professeur des Sciences de la Terre d’Harvard Peter Huybers,

« au moins maintenant nous savons avec un degré de confiance de plus de 99 % que les déplacements de l’axe de la Terre sont parmi les facteurs qui contribuent à la déglaciation. »

Comme le dit l’article : « L’idée que de légères modifications de l’axe terrestre puissent avoir été suffisantes pour déclencher des périodes glaciaires remonte à un siècle.

Mais un Professeur des Sciences de la Terre d’Harvard, Peter Huybers, l’a finalement prouvé en utilisant des modèles informatiques pour tester des hypothèses concurrentielles – et a trouvé que celle de l’axe incliné de la Terre est la seule qui fonctionne. Dans un autre article, Huybers déclare :

« Un autre aspect important à considérer est que la configuration orbitale que nous connaissons actuellement est presque exactement celle d’il y a 20 000 ans, lors du Dernier Maximum Glaciaire, mais cette fois nous approchons d’un minimum glaciaire ».

Peut-être que non ? La prochaine période glaciaire arrive plus tôt que plus tard, selon Khabiboullo Abdousamatov, directeur du laboratoire de recherche sur l’Espace à l’Observatoire Pulkovo de Saint-Pétersbourg.

Il pourrait aussi y avoir une connexion soleil-noyau terrestre.

Comme l’a rapporté la NASA,

un « processus externe (par ex. solaire) » peut d’une manière ou d’une autre affecter le noyau et le noyau externe, ce qui explique la corrélation entre les températures de surface à long terme et les fluctuations de la longueur du jour.

Cela peut concorder avec la théorie du champ magnétique terrestre de McCanney : qu’il n’est pas le résultat d’un processus de « dynamo » interne mais d’interactions électriques externes avec le condensateur solaire.

Selon McCanney, le champ magnétique est à la fois permanent (dans le noyau solide ainsi que les poches du manteau et de la croûte) et variable (au-dessus de la surface et y compris les courants électriques qui circulent entre les couches internes de la Terre).

Certains scientifiques conventionnels ont associé les variations de la longueur du jour remarquées par la NASA à des moments de torsion produits par les courants électriques qui circulent entre et relient le noyau au manteau, mais comme l’écrivent les auteurs d’un article :

« On ne sait pas grand chose de [ces] moments de torsion ».

Peut-être que le soleil, et la connexion électrique de la Terre avec le condensateur solaire, est au moins partiellement responsable de ces dynamiques dans le noyau (entraînant peut-être son réchauffement et son refroidissement périodiques). Aussi, s’il y a une relation avec le soleil, peut-être qu’on en saurait plus si ces scientifiques se mettaient à avancer sur la théorie de l’univers électrique ? Et peut-être que nous pouvons ajouter le champ magnétique à notre liste de facteurs en corrélation, à côté de la rotation, l’axe, la gravité, l’atmosphère, le climat, etc.

Aussi, en gardant ceci à l’esprit, lisez ce qui suit du 31 octobre 2001 :

Q : (L) Pourquoi les déplacements des pôles ne peuvent-ils pas être prédits? Ne peut-on pas savoir où le nouveau pôle va atterrir?

R : Fonction chaotique ici.

Q : (L) OK, dans un déplacement des pôles, la lithosphère de la planète glisse-t-elle sur le noyau?

(A) Non. Nous devons être très précis. Trois choses possibles correspondraient au terme déplacement des pôles. Seule l’une d’elle pourrait arriver, ou deux ou les trois, OK?

Et les voici – l’axe de rotation [HK : migration des pôles] en ce qui concerne les étoiles change, se redresse par exemple ; c’est une chose ; tandis que tout le reste suit l’axe, la lithosphère et le champ magnétique. Deuxièmement, l’axe reste où il est, peut-être qu’il se déplace un tout petit peu, la lithosphère reste où elle est – peut-être qu’elle tremblote – mais le champ magnétique change : par exemple il s’inverse. Troisièmement, l’axe reste, le champ magnétique reste mais la lithosphère bouge.

Donc ce sont les trois façons dont un déplacement des pôles peut se produire. Et bien sûr, il y a des choses qui vont ensemble. La plus dramatique vue de l’extérieur c’est quand l’axe de rotation change. La suivante c’est probablement quand la lithosphère change. Et la troisième aux conséquences inconnues c’est quand le pôle magnétique change, OK ? Donc, nous voulons comprendre ce que sera le principal changement.

(L) Bien, je suppose que nous devrions poser une question encore plus basique : envisageons-nous qu’un déplacement des pôles se produise ? Ça part du début. (

A) Très bien.

(L) Dans les dix prochaines années. Un déplacement des pôles est-il possible dans les dix prochaines années?

R : Oui.

Q : (L) Un déplacement des pôles de l’axe… 

A) Chérie, tu demandes si le déplacement des pôles est possible, bien sûr que ça l’est. Mais suppose que la probabilité soit presque de zéro. « Est-ce possible » n’est pas la bonne question. « Est-ce que ça va arriver ? », ça c’est une question. (

L) Ok, tu demandes, vas-y.

(A) Envisageons-nous un déplacement des pôles durant les dix prochaines années environ avec un haut degré de probabilité?

(A) : Oui. [HK : Remarquez que cette session date d’un peu plus de 10 ans.]

Q : (A) Dans ce concept de déplacement des pôles, quelle serait la principale caractéristique de ce déplacement des pôles de tout ce dont on vient de discuter?

R : Nouvelle orientation axiale et inversion magnétique.

Q : (L) C’est assez dramatique.

(A) Très bien, maintenant, le changement d’axe ou d’orientation de l’axe de rotation : pouvons-nous dire qu’on va se redresser, devenir presque perpendiculaire par rapport à l’écliptique ? Ou l’autre possibilité c’est qu’il va tomber presque parallèle à l’écliptique. La troisième est qu’on va complètement basculer à 180 degrés. Nous savons que c’est hautement imprévisible mais pouvons-nous avoir un indice sur ce qui va dominer, pour ainsi dire?

R : La perpendicularité sera restaurée.

Q : (A) Nous savons que l’axe changera spectaculairement et qu’il y aura inversion magnétique. Vous n’avez pas mentionné de changement ou de déplacement de la lithosphère seule. Pouvons-nous…

R : Le déplacement lithosphérique apparaîtra dans une certaine mesure.

Q : (A) Mais cela signifie finalement que l’équateur ne changera presque pas parce que…

R : Correct.

Q : (A) Donc il se déplacera juste un petit peu mais ne se retrouvera pas à Hawaï ?

(L) Oh zut ! C’était ma théorie ! Bon, c’était une bonne idée.

(A) Et à propos des changements de la lithosphère : pouvons-nous prédire un petit changement de géographie provenant des mouvements de la lithosphère et des changements du niveau d’eau?

R : Caractéristiques chaotiques prédominent mais en général cela sera plus sûr dans les terres et les régions montagneuses puisque moins de plissement se produit dans de tels endroits.

Q : (A) Maintenant, le plus important, le changement d’orientation de l’axe, quel serait le principal déclencheur, force ou activité, ou quel genre d’événement déclenchera ce changement d’axe?

La comète Lovejoy photographiée depuis l’espace.

R : Corps cométaires. [HK : Voyez ma revue du livre de McCanney pour les mécanismes possibles de ce processus ; fondamentalement, la gravité d’une comète de passage tire sur la lithosphère et peut donc causer une précession de la rotation du noyau ce qui modifie donc l’axe de rotation.]

Q : (L) Les planètes du système solaire vont-elles sortir de leur orbite et divaguer ? Est-ce une possibilité?

R : Oui.

Q : (A) A cause des orbites cométaires seules?

R : Oui. Soleil jumeau aussi.

Q : (A) Quand on parle de ces corps cométaires, parlons-nous d’impacts?

R : Certains frapperont.

Q : (A) Quel serait, s’il y en a un, le rôle joué par des phénomènes électriques?

R : Soleil jumeau relie à la masse la circulation du courant à travers tout le système démarrant le « moteur ».

Q : (L) Cela signifie-t-il que tous les différents corps du système solaire sont comme des parties d’une sorte de machine géante et une fois que ce courant électrique circule à travers elles, selon leurs positions relatives les unes par rapport aux autres au moment où ce courant circule, que ça a une certaine influence sur la façon dont la machine fonctionne ?

R : Oui, plus ou moins.

Q : (L) Va-t-il y avoir une gigantesque éruption de méthane dans le Golfe du Mexique aboutissant à un tsunami qui anéantira tout le monde en Floride?

R : Non. Le méthane est un contributeur sérieux au « réchauffement » planétaire, cependant.

Q : (L) Le pétrole fuit-il du plancher de l’océan dans le Golfe du Mexique à d’autres endroits en dehors du puits?

R : Oui mais cela arrive aussi bien ailleurs. Fait partie du phénomène « d’ouverture ».

Q : (L) Aussi, vous voulez dire que ce qu’on a spéculé sur les dolines et fissures dans la terre… Qu’est-ce qui cause cette ouverture?

R : Désalignement ou plutôt glissement de couches de la croûte de la terre dû au ralentissement de rotation.

Q : (L) OK, qu’est-ce qui cause ce ralentissement de rotation?

R : Nous avons mentionné l’approche de l’étoile compagne et sa tendance à « relier à la masse » le système.


Q : (L) OK, maintenant j’ai cet autre livre ici Lost Star of Myth and Time – et sa théorie est à propos d’une étoile compagne et le fait que la Terre ou le système solaire tourne autour d’un centre commun de gravité, en tandem avec cette étoile compagne.

Il est dit que c’est cette orbite qui crée la précession du zodiaque. Il dit que la précession n’est pas une grande oscillation que la Terre traverse, comme elle poursuit une trajectoire assez directe à travers la galaxie, mais plutôt que c’est cette rotation autour de ce centre commun de gravité avec l’étoile compagne qui produit l’effet de précession. Maintenant, est-il sur quelque chose avec sa théorie aussi à propos de la précession du zodiaque?

R : Absolument !

Q : (L) Il y souligne certains effets intéressants. Tout d’abord, il a mentionné l’enregistrement de la vitesse de rotation de la Terre. Ils avaient un télescope fixe avec des réticules et ils avaient une horloge connectée à une sorte de super horloge extrêmement précise, et ils enregistraient exactement combien de temps prenait la Terre pour tourner par rapport à Sirius, Sirius étant un point fixe.

Ces chercheurs ont découvert que pendant la période de temps où Sirius B (la compagne de Sirius qui est une naine) éclipsait Sirius A, cela ralentissait en fait la rotation de la Terre. Maintenant, c’est ce que leurs mesures ont montré. Quelque chose comme 50 secondes d’arc. Le ralentissement a commencé une semaine avant l’éclipse puis après l’éclipse, la Terre a en fait accéléré. De 50 secondes d’arc. Ainsi, il y a deux semaines d’effets sur la rotation de la Terre, causés par l’éclipse de Sirius A à cause de son compagnon Sirius B, si je me souviens bien quoique j’ai pu me tromper sur la période de temps exacte.

Maintenant, la conclusion qu’il a tiré de ceci est que nous sommes affectés par le fait d’être gravitationnellement liés à Sirius d’une façon ou d’une autre. De toute façon, la conclusion qu’il tire est… et il souligne aussi qu’il semble que Sirius se dirige dans notre direction, nous nous rapprochons de Sirius – aussi, il théorise que Sirius est notre étoile compagne. A-t-il raison là dessus?

R : Non, compagnon de Sol ; mais regardez dans cette direction pour des indices de votre propre petit frère.

Q : (L) Est-ce vrai comme il le spécule que quand le système solaire approche de son compagnon, que ça aura un effet psychique?

R : Oui, vous ressentez déjà son approche.

Un signe de chargement en poussière cométaire et d’une atmosphère qui se rétrécit et se refroidit, pas de machinations gouvernementales pour épandre des agents chimiques ou biologiques afin de réduire la population. Le résultat pourrait être cependant le même à cause de la possibilité accrue de dangereux pathogènes voyageant sur les débris cométaires.

Q : (L) Bien, il y a une chose que ce type, James McCanney, a dite. Il a dit que ce dernier cycle solaire – le maximum – était si long, si intense que c’était la preuve que quelque chose de vraiment gros avait pénétré le condensateur solaire.

Ça déchargeait le Soleil. Et si c’est le cas, il y a probablement une circulation de courant et ça signifie qu’il est possible qu’à un certain moment la Terre, et peut-être la Lune et plusieurs autres corps astronomiques, s’aligneront le long de la ligne de cette circulation qui se produit entre le soleil et son compagnon. Et si c’est le cas, est-ce que ça pourrait être problématique?

R : Oh, en effet ! Oui cela se produit déjà. Ne voyez vous pas les preuves tout autour du globe?

Q : (L) Bien, sur ce point, McCanney dit que quand la Terre se retrouve dans ce genre de situation où il y a une décharge en cours entre le Soleil et un autre corps et que la Terre y est impliquée, que la Terre elle-même devient comme une comète pendant ce temps et qu’elle commence aussi à attirer ce qu’il appelle des événements polluants.

Elle commence à ramasser toutes sortes de poussière et de trucs du cosmos – et même le volume d’eau sur la planète augmente à cause de ce précipitant, parce que la planète ramasse des trucs de l’espace. Elle grossit en accumulant des trucs, en acquérant des trucs. Et si c’est le cas, nous pourrions attirer de la poussière qui se charge dans l’atmosphère supérieure – indépendamment du fait que nous passions ou non à travers des nuages de poussière cométaire.

Toutes ces choses dont nous avons remarqué la présence dans l’atmosphère supérieure – les nuages étranges, les traînées de condensation durables, le refroidissement extrême – pourraient être exactement ce qu’il décrit. Il pourrait aussi y avoir des effets atmosphériques de ces nappes électriques car il dit qu’il y a différentes sortes de chemins de courants et de couches de courants. Il a comme un modèle à cinq couches de la façon dont le champ magnétique de la planète se présente et il dit que c’est la cause de El Niño, la cause des tremblements de terre, des volcans, des tempêtes, du changement du jet stream et simplement de tout un tas de choses : ce sont tous des phénomènes électriques. Il dit que l’électricité du Soleil crée et dirige les ouragans et que ça n’est pas la température de l’eau. Car il a dit que si ça avait à voir avec les températures de l’eau, un ouragan viendrait, aspirerait toute la chaleur – alors il serait impossible qu’un autre ouragan se forme pendant un moment. Et pourtant on voit très souvent, ouragan après ouragan. Alors, est-il sur quelque chose avec cette théorie?

R : Oh, tu paries !

Aussi, si le soleil compagnon, et n’importe quelles comètes capricieuses qu’il a catapultées dans le système solaire, pénètre et décharge le condensateur solaire, cela pourrait avoir nombre d’effets sur terre, y compris : atmosphériques, chargement en poussière de l’atmosphère affectant peut-être la formation des nuages, hydrologiques, rétroactions positives et négatives quant au réchauffement et au refroidissement des températures menant à des changements d’évaporation et de précipitation, électromagnétiques, climat extrême et autres effets influencés électriquement (émissions ELF, bruits étranges, explosions de transformateurs, échauffement du noyau, etc), gravité : anomalies gravitationnelles dues aux changements consécutifs dans le noyau et le manteau, anomalies de la croûte (comme le volcanisme et peut-être les dégazages et les dolines), changements dans le champ magnétique, à peu près tout ce qui peut avoir un effet sur la rotation et l’orientation axiale.

De manière intéressante, le Pr Elchin Khalilov, Président du GNFE (Global Network for the Forecasting of Earthquakes – Réseau Planétaire de Prévision des Séismes – NdT) a annoncé le 15 novembre 2011 que de multiples stations de prévision sismique ATROPATENA ont enregistré simultanément « une impulsion gravitationnelle très puissante » du type qui signale habituellement des tremblements de terre imminents.

Une analyse détaillée de tous les enregistrements des stations a mené à la conclusion que cela ne pouvait être possible uniquement si la source des ondes de contrainte se situait dans le noyau terrestre. Selon le scientifique, une telle impulsion pourrait être due à une salve énergétique puissante à l’intérieur de la Terre, dans son noyau. Ce processus pourrait aboutir au mouvement accéléré des plaques lithosphériques, et par conséquent, à de forts séismes, éruptions volcaniques, tsunamis et autres cataclysmes géologiques.

Le Pr Khalilov a plus tard été interrogé à propos des bruits étranges entendus partout dans le monde.

Nous avons analysé les enregistrements de ces sons et trouvé que la plupart de leur spectre se situe dans le registre des infrasons, c-à-d qu’il n’est pas audible pour les humains. Ce que les gens entendent n’est qu’une petite fraction de la puissance réelle de ces sons. Ce sont des émissions acoustiques de basse fréquence du registre de 20 à 100 Hz modulées par des ondes infrasoniques ultra basses de 0,1 à 15 Hz.

En géophysique, on les appelle ondes de gravité acoustiques ; elles se forment dans l’atmosphère supérieure, en particulier à la frontière atmosphère-ionosphère. Il peut y avoir tout un tas de causes à l’origine de la génération de ces ondes : séismes, éruptions volcaniques, ouragans, orages, tsunamis, etc. Cependant, l’échelle du bourdonnement observé, à la fois en terme de région couverte et de sa puissance dépassent de loin celles qui peuvent être générées par les phénomènes cités ci-dessus.

Dans ce cas, qu’est-ce qui pourrait causer ce bourdonnement dans le ciel?

La comète NEAT amenant le soleil à se décharger lors de son survol en 2003.

A notre avis, la source d’une telle manifestation puissante et immense d’ondes de gravité acoustiques doit être des processus énergétiques à très large échelle. Ces processus comprennent des éruptions solaires puissantes et les énormes flux d’énergie qu’elles génèrent qui foncent vers la surface de la Terre et déstabilisent la magnétosphère, l’ionosphère et l’atmosphère supérieure. Donc, les effets des éruptions solaires puissantes : l’impact des ondes de choc dans le vent solaire, des jets de corpuscules et des salves de rayonnement électromagnétique sont les principales causes de génération d’ondes de gravité acoustiques à la suite d’une activité solaire accrue . […]

Mais vous avez dit que la cause du « bourdonnement céleste » peut se trouver tout autant au sein du noyau de la Terre, qu’est-ce que cela veut dire ?

Il y a une cause possible de plus à ces sons et elle peut se trouver dans le noyau terrestre. Le fait est que l’accélération du glissement du pôle Nord magnétique de la Terre qui a plus que quintuplé entre 1998 et 2003 et se situe au même niveau aujourd’hui, indique une intensification des processus énergétiques dans le noyau terrestre puisque ce sont les processus dans le noyau interne et externe qui forment le champ géomagnétique de la Terre.

Entre temps, comme nous l’avons déjà annoncé, le 15 novembre 2011, toutes les stations géophysiques ATROPATENA, qui enregistrent les variations tridimensionnelles du champ gravitationnel de la Terre, ont enregistré presque simultanément une impulsion gravitationnelle puissante. Les stations sont déployées à Istanbul, Kiev, Baku, Islamabad et Yogyakarta, la première et la dernière étant séparées d’environ 10 000 km. Un tel phénomène est seulement possible si la source de cette émanation se trouve au niveau du noyau terrestre. Cette énorme libération d’énergie provenant du noyau de la Terre à la fin de l’année dernière était un certain genre de signal de départ indiquant la transition de l’énergie interne de la Terre vers une nouvelle phase active.

L’intensification des processus énergétiques dans le noyau terrestre peut moduler le champ géomagnétique, ce qui, par le biais d’une chaîne de processus physiques au niveau de la frontière atmosphère-ionosphère, génère des ondes de gravité acoustiques dont le registre audible a été entendu par des gens sous la forme d’un son de basse fréquence effrayant dans diverses partie du globe.

Dans les deux cas, même si les causes des ondes de gravité acoustiques sont d’une nature géophysique assez compréhensible, elles indiquent l’augmentation significative attendue de l’activité solaire et l’activité géodynamique de notre planète.

Il n’y a aucun doute que les processus dans le noyau gouvernent l’énergie interne de notre planète, aussi, nous devrions nous attendre d’ici fin 2012 à une nette augmentation de forts tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis et événements météorologiques extrêmes avec des apogées en 2013-2014.

Extrait de : Le Palmarès des Cassiopéens n°6 – Dansons le twist planétaire sur l’air des Frères Héliopolis


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