Secrets révélés

Palestina, un Ouvrage Historique de 1695

Le livre de Hadrian Relandi, qui remet la vérité à sa place...

Ce livre est écrit en latin. Il date de 1695. Il décrit la Palestine. L’auteur, Hadrian Relandi était géographe, voyageur, philologue, il connaissait plusieurs langues, l’arabe, le grec ancien, l’hébreu. Il a visité 2 500 localités mentionnées dans la Bible.

A une époque où il est de bon ton de remettre constamment en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au 17ème siècle apporte un nouvel éclairage de la plus haute importance.

Ce « Voyage en Palestine », a été écrit en 1695 par Hadrian Relandi et traite de la population qui composait alors le pays. Il n’existait pas de « peuple palestinien », Gaza était alors à 50% juive et à 50% chrétienne.

Hadrian Relandi  a d’abord créé la carte de la Palestine. Il a ensuite désigné chaque localité mentionnée dans la Bible par son nom d’origine. Voici quelques faits :


1) Le pays est essentiellement vide, abandonné, peu peuplé, la population principale se trouvant à Jérusalem, Akko, Tsfat, Jaffa, Tveria et Gaza.

2) La plupart des habitants sont juifs, presque tous les autres sont chrétiens, très peu de musulmans, principalement des Bédouins.

3) À Nazareth, vivaient environ 700 personnes – toutes chrétiennes.

4) À Jérusalem, il y a environ 5 000 personnes, presque toutes juives.


5) En 1695, tout le monde savait que l’origine du pays était juive.

6) Il n’y a aucune colonie en Palestine qui ait des racines arabes dans son nom.

7) La plupart des colonies ont des origines juives, et dans certains cas grecques ou latines.

8) Hormis la ville de Ramla, il n’existe aucune colonie arabe ayant un nom arabe d’origine.

9) Environ 550 personnes vivaient à Gaza, la moitié juive et l’autre chrétienne.

Ce livre réfute catégoriquement les théories sur les « traditions palestiniennes » et le « peuple palestinien » et ne laisse pratiquement aucun lien entre le territoire et les Arabes, qui ont même usurpé son nom latin (Palestine) pour se l’approprier.

Hadrian Reland était un savant, il est également connu pour ses travaux cartographiques, en particulier la Palestine d’après les vieilles cartes et les vieilles chartes géographiques. Il avait été envoyé en 1695, en voyage d’études en Palestine pour recenser plus de 2 500 lieux (villes et villages) apparaissant dans les textes bibliques juifs et chrétiens dans leur appellation originelle.

L’ouvrage contient quinze planches gravées, onze cartes et « recueille tous les renseignements géographiques que les Anciens avaient transmis sur la Terre sainte […] c’est plutôt une compilation qu’une description raisonnée; cependant il faut convenir que l’auteur a tiré le meilleur parti possible des documents qui étaient à sa disposition […] ». À chaque fois, il mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Il y fait également figurer son équivalent en latin-romain ou grec ancien.

Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée, en commençant par des considérations d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors était très peu peuplée, pratiquement déserte.

Le constat établi par le géographe conclut surtout à une présence juive dominante sur cette terre.

Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

  • – Aucune localité d’alors ne propose de nom arabe ou de source arabe
  • – La grande majorité des villes et villages possèdent un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain
  • – Pratiquement aucune ville — qui porte aujourd’hui un nom en arabe – ne le portait à l’époque, ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shkhem), Gaza ou Djénine.
  • – Dans les recherches de Relandi, il n’y a aucune trace de sources historiques ou philologiques établies avec des noms arabes, qui sont beaucoup plus tardifs, comme Ramallah, Al Khalil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)
  • – En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”)
  • Hébron s’appelle « Hévrone » ou « Méa’rat Hamakhpéla » (Caveau des Patriarches). Le nom tardif d’Al khalil correspond au nom donné à Avraham Avinou en arabe.
  • – La plupart des villes étaient habitées par des Juifs, à l’exception de Naplouse (Shkhem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains
  • – Nazareth, en Galilée, est une ville entièrement Chrétienne avec 700 Chrétiens.
  • – A Jérusalem, plus de 5000 habitants, la grande majorité de la population est juive, avec quelques Chrétiens.

Relandi n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.

  • – A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de Chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les oliviers et le blé (Goush Katif). Les Chrétiens s’occupaient davantage de commerce et de transport des différents produits de la région.
  • – Tibériade et Safed étaient des localités juives.
  • – On sait surtout que la pêche sur le Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.
  • – Une ville comme Oum El Fah’em par exemple, était entièrement chrétienne avec 10 familles.

L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un « peuple palestinien ».

On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de « Palestina », ait été repris à son compte par le camp arabe.

La totalité de l’histoire dite « palestinienne » racontée par les arabes aujourd’hui, est une affabulation.


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

Bouton retour en haut de la page