Les médias « idiots utiles » titrent : Poutine prévient l’État profond que la Russie est prête à une guerre nucléaire, en oubliant de rappeler que l’état profond, c’est aussi l’Axe Chine, Russie Iran et cie….
Le leurre bat son plein.
Le président russe Vladimir Poutine a averti que la Russie était tout à fait prête à mener une guerre nucléaire contre l’Occident, qui, selon lui, était initiée par les acteurs de l’État profond.
Je ne pense pas que Poutine soit naïf, il joue son rôle dans la grande parade mondialiste qui vise à présenter deux fronts opposés pour en tirer un maximum de profit et d’assurance de pouvoir mettre en oeuvre leur agenda. Même si quelques « paragraphes » de l’agenda semblent être honnis par Poutine, ce n’est que par pure stratégie.
Il n’est pas nécessaire de pousser le wokisme au sein de pays qui sont déjà des dictatures.
L’avertissement a été lancé lors d’une interview sur la chaîne de télévision Russie 1 avec le journaliste Dmitri Kisselyov, qui a posé à Poutine une question sur les armes nucléaires tactiques avant les élections de vendredi dans le pays.
« Les armes existent pour être utilisées. Nous avons nos propres principes et ils impliquent que nous sommes prêts à utiliser toutes les armes, y compris celles que vous avez mentionnées, si nous parlons de l’existence de l’État russe, en cas de menace contre notre souveraineté et notre indépendance. Tout est écrit dans notre stratégie ; nous ne l’avons pas changé », a déclaré Poutine.
Naturalnews.com rapporte : En 2020, il a signé un décret sur la politique de dissuasion nucléaire qui énumérait les scénarios dans lesquels les armes nucléaires pourraient être utilisées. L’un des cas identifiés est celui de l’agression contre la Russie avec des armes conventionnelles alors que l’existence du pays est menacée.
À la fin de l’année dernière, ils ont revu à la baisse leur participation au Traité d’interdiction complète des essais nucléaires de 1996 après l’avoir ratifié en 2000. Celui-ci interdit « toutes les explosions nucléaires, que ce soit à des fins militaires ou pacifiques ». Il a été signé par 187 pays, même si seuls 178 pays l’ont ratifié. La Russie a déclaré qu’elle réduirait sa participation parce que les États-Unis n’ont jamais ratifié l’interdiction ; parmi les autres pays qui n’ont pas réussi à le ratifier figurent des puissances nucléaires telles que le Pakistan, l’Inde et la Chine.
Poutine a déclaré que la Russie était prête à une guerre nucléaire avec l’Occident
Il a déclaré : « D’un point de vue militaro-technique, nous sommes bien sûr prêts. Nous les avons toujours avec nous, constamment prêts au combat.
Il a ajouté que les États-Unis travaillent également sur les forces nucléaires , notant :
« Ils se fixent désormais des tâches pour accroître cette modernité, cette innovation, et ils ont un plan correspondant. Nous le savons aussi. Ils développent tous leurs composants. Nous aussi.
Il a également prévenu qu’ils considéreraient la présence de troupes américaines sur tout territoire russe ou ukrainien comme une escalade et réagiraient en conséquence, bien qu’il ne pense pas qu’une telle situation soit probable.
« Poutine agite la menace nucléaire pour faire peur », 61 % des Français le considèrent comme une menace pour la France
Quelques jours après le vote par l’Assemblée nationale de l’accord bilatéral de sécurité entre Paris et Kiev, et la déclaration d’Emmanuel Macron sur l’éventualité d’envoyer des troupes françaises en Ukraine, une majorité de Français pense qu’il faut continuer à aider l’Ukraine dans sa guerre face à la Russie. Sans pour autant trop s’engager afin d’éviter un conflit direct.
D’après un sondage de l’institut Elabe pour BFM, 61 % des Français considèrent que Vladimir Poutine est une menace réelle pour la sécurité de la France. Deux Français sur trois craignent aussi que la Russie s’attaque à un pays de l’OTAN, dont les pays frontaliers : Finlande, Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne, dans les prochaines années.
Réelle menace nucléaire ?
Vladimir Poutine a vanté mercredi l’armement nucléaire de la Russie, le jugeant « plus avancé » que celui des États-Unis et assurant que son arsenal était toujours « prêt » à une guerre nucléaire.
« Toute la composante nucléaire est plus moderne chez nous », a-t-il affirmé à la télévision russe, à l’approche du début, vendredi, de l’élection présidentielle qui en l’absence de toute opposition doit voir sa réélection triomphale.
Le président russe a ajouté que son pays était « prêt » à un conflit nucléaire, mais qu’il n’avait jamais songé à utiliser de telles armes en Ukraine.
Guerre en Ukraine : "Régulièrement le président Poutine agite la crainte nucléaire, uniquement pour faire peur", déclare Jean-Yves Le Drian, ancien ministre de l’Europe et des Affaires étrangères et ancien ministre de la Défense pic.twitter.com/Y7W1VQ82sE
— franceinfo (@franceinfo) March 14, 2024
Nous devons rester unis et prudents
Le WEF exige de réduire la population de 94%pour atteindre les objectifs de l’Agenda 2030.
La population mondiale doit être réduite de toute urgence de 94 % pour « lutter contre le changement climatique », selon un contributeur du Forum économique mondial qui a admis qu’il consacre sa vie à faire en sorte qu’il y ait bientôt « moins d’âmes sur la planète ».
Quant à la manière dont l’élite mondiale compte atteindre l’objectif d’un dépeuplement extrême, Sadhguru a laissé entendre que la fin justifie les moyens. Décrivant un récent discours lors d’une conférence, Sadhguru a déclaré : « Ils m’ont posé une question brillante. « Comment réduire l’empreinte humaine ? » J’ai dit : ‘vous devez réduire le nombre de pieds.’
Is there a "horseshoe theorem" for how all those people trying to "warn" everyone eventually get tired of the resistance they receive and subsequently just come to agree with the very people they were warning about?
"ok fine, they CAN'T see it, just go ahead…" pic.twitter.com/7DKc0V7fuf
— Stephen A. Ridley (@s7ephen) July 1, 2023
Selon Sadhguru, tous les problèmes dans le monde viennent du fait qu’il y a tout simplement trop d’humains et ce problème doit être résolu de toute urgence pour garantir un avenir meilleur au petit nombre de personnes qui survivent à la dépopulation massive.
« Je réfléchis à la création d’un prix », a déclaré Sadghuru. « Pour toutes ces jeunes femmes en bonne santé, capables d’avoir un enfant, mais qui choisissent de ne pas en avoir. »
« Parce que, que vous le réalisiez aujourd’hui ou non… le problème, c’est la population. »
Avec une guerre généralisée, les objectifs seraient plus rapidement atteints…
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