Le Parlement européen enverra une mission d’enquête en Hongrie à la mi-avril pour évaluer les derniers développements concernant l’État de droit, et 19 États membres de l’UE sont déjà prêts à retirer le droit de vote à la Hongrie.
L’ EUobserver affirme que « l’État de droit en Hongrie continue de se détériorer », ce qui explique pourquoi les institutions de l’UE envisagent d’accélérer les sanctions en vertu de l’article 7 du Traité.
Cette affirmation intervient alors même que Marine Le Pen est interdite de se présenter aux élections en France sur la base d’accusations forgées de toutes pièces, et que le favori à la présidentielle roumaine, Călin Georgescu, est interdit de se présenter à l’élection présidentielle et fait l’objet d’un procès-spectacle.
Parallèlement, l’Allemagne s’emploie à interdire le principal parti d’opposition du pays, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) , ce qui constitue une violation flagrante des droits démocratiques fondamentaux.
Selon une source européenne au Conseil européen, 19 États membres sont déjà prêts à aller de l’avant pour retirer le droit de vote à la Hongrie. Toutefois, toute mesure concrète nécessiterait l’accord des 26 autres États membres, peut-on lire dans l’article.
L’auteur suggère que, dans un premier temps, quatre cinquièmes des pays pourraient établir qu’il existe un risque clair de violation grave des valeurs fondamentales de l’UE en Hongrie.
Le Parlement européen enverra une mission d’enquête en Hongrie à la mi-avril pour évaluer les dernières évolutions de l’État de droit dans le pays.
L’eurodéputée verte néerlandaise Tineke Strik a appelé la Commission européenne et le Conseil de l’UE à prendre des mesures fermes face à la prétendue détérioration de la situation de l’État de droit en Hongrie.
Depuis son retour au pouvoir en 2010, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán mène une politique qui déplait à l’UE
En 15 ans, les institutions européennes ont multiplié les procédures pour les faire respecter dans le pays. Le chef d’accusation :
Une situation contraire aux valeurs de l’Union européenne, inscrites dans les traités, comme le « respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’État de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités ».
La victoire, la prise de fonctions et les premières décisions de Donald Trump donnent des ailes aux illibéraux partout dans le monde, et surtout en Europe. À Budapest, à Bratislava ou encore à Rome, certains caressent l’espoir d’une révolution illibérale sur le Vieux Continent, comme une réplique au séisme Trump.
La dernière provocation de Viktor Orban a été la visite de Benyamin Netanyahu.
Une manière de symboliser le rapprochement toujours plus fort entre Viktor Orban et Benyamin Netanyahou, deux dirigeants partageant les mêmes dérives illibérales dans leurs pays respectifs. Le Premier ministre hongrois est par ailleurs un soutien sans faille du régime israélien depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023, refusant de signer la moindre résolution remettant en cause l’échelle de la riposte de l’Etat hébreu, et ce à l’Union européenne ou aux Nations unies.
Il faut dire que si la Hongrie est le premier pays européen à franchir le Rubicon en recevant Benyamin Netanyahou sur son sol, d’autres dirigeants du continent ne sont pas loin de partager la même opinion.
L’UE fulmine et tous les coups tordus seront permis ! Après tout ce Quatrième Reich est d’inspiration Nazie et le totalitarisme fait partie intégrante de son ADN.
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