Mystique

Le Sens cosmique et la Mesure sub/cosmique

Guidance des Hathor – Archétype : Malkhout – David

Question : La Conscience sub/cosmique est une conscience plurielle, pouvons-nous acquérir le Sens de la Mesure?

Au delà de « l’onde Temps » et de « la particule Espace », il existe un lieu de Cohérence sub/cosmique, ce Lieu est illustré par la lettre hébraïque Vav (1). C’est la raison pour laquelle de nombreux versets de la Torah commence par Vav. Le Vav étant une continuité du Yod, puisque lorsque le yod descend sur terre il devient un Vav.

Vav est capable de transcender le temps. Il est un médiateur entre la conscience neuronale et la conscience supraluminique. C’est la lettre qui permet l’assemblage et pour cette raison elle était définie comme un crochet.

Dans la science de l’ancienne Égypte, Osiris portait un sceptre à droite et une croix Ankh à sa gauche, le sceptre de droite, en forme de crochet, représentait le bâton de berger, le bâton de Moïse. C’est la lettre Vav.


C’est à l’aide de son bâton consacré par Dieu, que Moïse a ouvert la mer rouge pour laisser passer les hébreux.

Qu’est-ce que cela veut exprimer?

Le lieu de Cohérence sub/cosmique est en vérité la continuité du champ de Cohérence universelle.

C’est le crochet qui nous rattache à l’Akash. C’est par lui que nous avons accès à la mémoire cosmique et pouvons ainsi recevoir des informations intuitives sur différents sujets : nos vies antérieures, les secrets de l’univers, l’histoire des anciennes civilisations, et bien d’autres choses encore.


Le champ de Cohérence universelle est un champ d’énergie reliant toutes choses, il est aussi appelé « champ du point zéro ». Pour les scientifiques aujourd’hui, ce champs n’est plus un inconnu, il est compris comme un « océan de vibrations subatomiques situé dans l’espace entre les objets et reliant tous les éléments de l’univers ».

Il existe une Force au sein du champ de Cohérence Universelle, et cette Force est capable d’engendrements, une continuité de cette Force existe pareillement au sein de la Cohérence sub/cosmique.

Le lieu de Cohérence sub/cosmique est une forme de conscience plurielle d’où émane un partzouf (visage), c’est à dire une figure de cohérence qui est dite stationnaire, car les ondes émises ont toutes une fréquence identique et ne peuvent donc pas s’échapper. Cette figure de cohérence ressemble à une entité unique que l’on peut percevoir.

Qu’est-ce qu’il se passe lorsque nous « pensons/créons », en temps normal?
C’est simple, nous créons un élémental.

Il y a une essence plastique élémentale qui nous entoure, et lorsque l’esprit humain formule une pensée relative à un désir avec une intention déterminée, cette pensée s’empare de cette essence plastique et la modèle instantanément en une entité vivante qui, une fois créée, échappe au contrôle de son auteur.

En vertu du libre-arbitre, cette entité va expérimenter sa propre vie pendant un certain temps selon l’intensité de la pensée ou du désir qui l’a appelé à naître. Plus la force de la pensée est conséquente, plus longtemps sera maintenu l’assemblage. Cette entité se comporte comme un compagnon astral qui va sans cesse nourrir la pensée initiale de son auteur, dans le but de perdurer. Ceci est vrai lorsque les pensées tournent autour de nous-même, mais est aussi bien réel lorsque les pensées sont adressées à un ou plusieurs autres… Le compagnon astral va agir comme une force qui va influencer tous ceux avec lesquels il se trouve en contact.

Dans le cas de mauvais sentiments persistants, de haine ou de colère, contre une personne, l’élémental va opérer afin d’assurer sa continuité et pourrir la vie de la personne concernée, au point, dans certains cas de dépression, de pouvoir la mener au suicide. Nous voyons donc à quel point nos pensées peuvent devenir dévastatrices.

Si par contre, la personne visée a développé une conscience plus élevée, son taux vibratoire va repousser cette influence, l’entité n’ayant aucune possibilité de s’accrocher, va vaquer à d’autres occupations, mais toujours dans le but de survivre.

Ce qui est vrai au niveau individuel devient encore plus réel au niveau collectif.

Nous portons l’Akash en chacun de nous et dans chacune de nos cellules. Cette connexion à la mémoire collective est possible grâce à ce fameux « crochet » qui relie notre cerveau neuronal à notre cerveau supraluminique qu’Emmanuel Guizzo appelle à juste titre : Cerveau Vibratoire Quantique, et que les grecs nommaient Médusa…

Tout le monde sait que « la Méduse » n’est pas toujours très sympathique, elle était considérée comme un monstre à la chevelure entrelacée de serpents. Sa perception a évolué au fil du temps, tout en restant une figure de la puissance du féminin, et du pouvoir du regard, elle a engendré la science des talismans…

Le talisman le plus connu contre le « mauvais oeil » étant la « main de fatma », d’origine berbère appelée Khamsa ( qui veut dire cinq).

Lorsqu’un sentiment de haine perdurent au sein d’un peuple, ou d’une ethnie pendant des générations, ce type de patrimoine transgénérationnel va nourrir de façon constante une entité très puissante, produit des mémoires d’obscurité accumulées au fil des générations. Si une ou plusieurs personnes de ce groupe se débarrassent de cette idéologie malsaine, l’entité ne mourra pas pour autant, mais se déplacera, faisant de nouveaux adeptes, et au fil du temps formera une sorte de grille souterraine sur laquelle un pouvoir occulte malsain pourra s’appuyer pour mener des opérations guerrières ou de déstabilisation.

La grille souterraine sombre, lutte et luttera indéfiniment pour garder son autonomie et survivre, quitte à engendrer une sorte de « maladie auto-immune » qui va toucher les peuples qui l’ont engendrée.

Nous ne devons plus penser/créer en temps normal, mais en temps supraluminique…

Comprendre et intégrer le phénomène sub/cosmique, permet d’acquérir le « Sens Cosmique » et d’y adapter sa propre mesure.

La mesure sub/cosmique d’un peuple, d’une nation, d’une religion, se trouve dans son élément confédérateur.

Il est évident que le concept de Conscience Christique ou Conscience Messianique, est l’élément parfait pour homogénéiser les consciences neuronales en perpétuant une fusion des « crochets »….

Les égyptiens savaient qu’il était indispensable de « coiffer » les cheveux serpentesques de Médusa, d’ailleurs, les Hathor nous ont instruits de la véritable figure du Sphinx qui avait la tête d’une femme portant des cheveux tressés en douze pointes, les 12 étoiles de Marie.

Parallèlement, le Talmud, qui est une compilation de secrets codés transcrits par les grands maîtres d’Israël, nous informe que Marie, la mère de Yeshoua Ben Panthera (Jésus) était « coiffeuse pour dame ». Pensez-vous réellement que le Talmud s’intéressait à la profession de Marie? Ce que révèle le Talmud, c’est que Marie était initiée aux mystères de l’ancienne Égypte.

Deux mille ans plus tard, la conscience collective a évolué, et les énergies qui se déversent aujourd’hui sur la terre ne sont plus les mêmes, la grille magnétique tend à devenir de plus en plus cristalline et tous les éléments sont réunis pour que nous puissions agir sans pour autant être initiés aux mystères, puisque ce sont les mystères eux-mêmes qui viennent à nous.

La figure du Christ, en tant qu’archétype de l’Homme Nouveau (fils de l’homme), représente un partzouf idéal pour générer un champ de cohérence stationnaire Unique. Ce champ peut fusionner avec un autre champ plus directement lié à l’omniprésence de Dieu. Les religions peuvent fusionner en une figure de cohérence stationnaire, à partir du moment où elles choisissent l’inclusion et non la séparation. Ainsi la figure du Christ peut fusionner avec celle du Mashiah Ben David ou celle du Mhadi. Ça reste une question de CHOIX.

Comprendre la relation entre les trois monothéismes permet de redécouvrir la sagesse des mystères égyptiens et donc atlantes, c’est revenir à la Tradition primordiale enseignée par Shem fils de Noé sous le nom de Melchitsedeck. C’est aussi revenir à la sagesse d’Abraham. Toute exclusion ne pourra qu’alimenter la guerre et le désastre….

Mais revenons à ce qu’il nous reste de Tradition Primordiale :

Tout est à la fois 4 et 1 , et réengendré dans le 5 …

A l’aube du 8ème jour nous vîmes la rosée. De cette humectation nous pûmes insuffler les narines de l’Androgyne, et ainsi animer le Sens du point 4, le faisant pénétrer au point 1. Et tout cela fut placé dans un jardin tout autour et au milieu. Les Hathor ( Les Secrets de la co-Création )

1 – » Et tout cela « , c’est les 5 sephiroth du centre: Hessed, Gvoura, Tiphereth, Netzah et Hod qui sont les 5 attributs/qualités de l’Homme, 3 qualités individuelles et deux qualités collectives.

2 – » fut placé dans « , c’est l’enferment du 2ème jour, l’Inspir et l’Expir, le voile qui cache le Vortex.

3 – » un jardin « , c’est l’ouverture du 1er Jour, la Lumière, le Dévoilement.

4 – » Tout autour « , c’est Yessod.

5 – » et au milieu « , c’est Malkhout.

La mesure sub/cosmique de l’Homme, c’est la séphira Tiphereth, représentée par le patriarche Yaakov. Il est le Coeur qui bat la mesure et se tient au milieu des 4 autres séphiroth -attributs/qualités.

 Au niveau individuel: nous avons Hessed et Guevoura (la bonté et la rigueur) – Avraham et Itsraq – les bras

Au niveau collectif: nous avons Netza et Hod (la victoire et la gloire) – Moshé et Aaron – les jambes

Jacob fut blessé à la jambe droite (Netzah) lors de son combat avec l’ange de la mort.

II y a bien une force d’annulation à l’oeuvre dans la création…

Cette force est assimilée à la lettre hébraïque Noun et est représentée par le poisson, ça ne vous rappelle rien? La lettre noun est le symbole du Fondement et nous renvoie à Yesod, le patriarche Joseph. Le Noun évoque ce qui est caché ou englouti dans les profondeurs.

~ Yesod c’est la détermination, celle du Juste de l’incorruptible Yossef, celle de Thoth… Le témoin silencieux qui réside au sein du sub/conscient.

~ Malkhout, c’est la Royauté, la noblesse au sein de la détermination, la dignité du fils de l’Homme

~ Yesod et Malkhout vont toujours ensemble… Noun et Noun sofit (final)

Noun et le chiffre 5

« Noun est le serpent d’eau, par extension le féminin mystérieux qui n’appartient pas forcément qu’aux femmes. Noun nous apprend qu’il est possible de vivre dans d’autres dimensions. Que là où il vit nous mourrions aussitôt. Noun est un secret caché au fond des eaux. Il est la part qui sera à jamais étrangère au masculin. » Frank Lalou

Noun a deux formes : une forme fermée quand la lettre est au milieu d’un mot et une forme ouverte quand elle clôt le mot (Noun final)

~ Le Noun fermé est un réceptacle peu profond, un croissant de lune. Le signe Noun s’ouvre vers le bas verticalement. Noun fermé est l’image d’un poisson en colère, borné, fermé sur lui-même, un récipient limité à la capacité définie et mesurable. Conscient de cette pauvreté, il demeure un serviteur fidèle mais borné, une lumière contenue.

~ Le Noun ouvert, est complet, à la fois masculin et féminin. Il n’autorise ni conclusion ni réduction et éclaire dans les deux directions, sans réserve, une Lumière Infinie.

Noun est à la fois la réversibilité et l’émergence.

Le mot Noun désigne la Perpétuation. Sa valeur numérique 50 évoque le MI. Le « Adam » est celui qui porte le nom Mi (QUI?). Ha-Adam = Mi = 50, C’est le Un, quelqu’un.

Noun est le secret de la divine Présence, la « Shékhinah » qui réside dans le Royaume, l’Arbre de Vie, Malkhout.

La Présence réside dans l’Inconscient, la Terre, Et haAretz, Elle est « Shakin Hé », la Demeure du Hé qui vaut 5, la Permanence du Souffle Divin qui planait à la surface des eaux.

Le Zohar insiste sur le coté sombre et démoniaque de la Shékhinah exilée de son Roi, de ce fait Noun est aussi la pourriture et la puanteur du poisson non consommé. Le poisson est fertile, se multiplie et se perpétue facilement, mais il dégénère aussi par la tête et devient pourriture.

Noun » est aussi le prétendant au trône, le futur roi ou prince, le second qui se prépare à régner.

Il est le serpent nahash qui devient messie Machia’h, ainsi qu’il est dit: « Avant le soleil, son nom est Yi-non [de noun] » (Psaumes 72:17).

Il correspond au 8ème mois: ‘Hechvan ( octobre/novembre selon les années) qui est celui du Machia’h, parce que le chiffre 8 signifie la révélation éternelle du surnaturel.

De même que le 8 transcende le 7, le 50 (la valeur numérique de noun) transcende le 49,9 qui représente l’orbite de Sirius.

Noun correspond au sens de l’odorat…

Les Maîtres d’Israël enseignent que l’odorat est le seul et unique sens que « l’âme apprécie » : Le sens du Machia’h est celui de l’odorat.

« Et il sentira avec la crainte de D.ieu » — « il jugera par l’odorat » (plutôt que par la vue ou l’ouïe. Isaïe 11:3 ; Sanhedrin 93b)

Noun est un écoulement de la lumière originelle. Signe de la Connaissance primordiale oubliée.

Comme ce qui coule du Nez (1), et sort par les narines (2)… Le 1 qui se divise en 2… Car le monde est créé sur la base de 2.

  1. Le monde de la création ne pu initier l’univers qu’après la séparation de Daath en deux consciences, l’une spirituelle et l’autre animale.
  2. Le nez est l’organe de la respiration : Inspir et Expir…

La continuité entre l’Âme Primordiale et l’Androgyne se fait Par le nez et Dans les narines.

Tohou va Bohou – ce qui veut dire : Par LUI (Tav) « Vé » (et), Dans LUI (Beth). Tav (400) représente la multitude du UN et Beth (2) Sa double Nature.

La Loi d’Annulation

« La réalité multidimensionnelle est soumise a une force unificatrice qui veut tout indifférencier. C’EST LA LOI DE L’ANNULATION. TOUT CE QUI SE CREE S’ANNULE, S’IL N’EST PAS VIVIFIE DANS LE LIANT DE L’AMOUR, LA LIGATURE DU FEMININ DIVIN. Il existe une force masculine de rejet de cette ligature, qui va participer au chaos. (…) Les Hathor

Le chaos, c’est Bohou qui se réalise en Behom dans le temps horizontal de l’histoire. Le chaos c’est le libre-arbitre ou la non/organisation et la liberté de circulation hors de tout contrôle dans l’espace vie et ses Lignes-temps.

Le Tohou se réalise tout de suite en Tehom dans le temps vertical, le temps de l’Homme.

Le Temps Absolu vertical, préexiste au temps relatif horizontal.

Il y a simultanéité de ces deux temps dans le fils de l’Homme, et cela est la Croix.

La Force d’annulation à l’origine de la Création est un système de NON. Reconnaissance, d’inertie, dont nous devons apprendre à nous servir. Cette Force d’annulation, créée des ondes à notre portée, elle peuvent aussi bien guérir que tuer. Lorsqu’il y a simultanéité des deux dimensions contradictoires de la matière, il y a obscurité et silence.

Lorsqu’il y a deux trains de lumières qui se chevauchent il y a une zone d’obscurité. Lorsqu’il y a deux trains d’ondes qui se chevauchent il y a une zone de silence Lorsque le Silence se tait, la Présence se manifeste, pourquoi ? parce qu’elle est déjà là…

Et la Terre était tohou Va bohou., le Vav conjonctif exprime simultanément Tohou et Bohou.
Ve toshékhé al-pnéï téhom, l’obscurité régnait sur la face du Tehom, en un état altéré de la vigilance caractérisé par l’abolition du mouvement, et l’absence de réponse. Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mayim. Et le Souffle des Elohim était en mouvement sur la surface des eaux »… Il était déjà là …

C’est ainsi que sont produites les ondes scalaires.

Le temps est une énergie, et de ce fait, l’espace/temps est sujet aux énergies émises par les ondes scalaires produites par le Vide, lui-même plein de pression d’ondes scalaires qui le remplissent d’énergie…. L’énergie n’est pas perdue, mais transformée en ondes qui représentent des lignes de pression dans le continuum espace temps.

Les ondes scalaires sont absorbées par la matière, qui en réémet à son tour; et ainsi sont échangées à chaque instant par toute particule, créant donc une énergie qui circule comme une forme de respiration. Ce sont des ondes gravitiques. D’ailleurs, nos mains produisent des ondes scalaires. La main Yad est le prolongement du Divin Yod..

Pour en revenir à la lettre noun, le rav Ginsburgh nous livre un secret :

« Dans notre réalité présente, le noun est replié, astreint aux limites de la nature. Avec la venue du Machia’h, le noun « se redressera » (pour atteindre la forme du noun final) et échappera aux limites de la nature, tout en descendant (« en dessous de la ligne ») dans le domaine souterrain de la réalité afin d’y révéler la lumière infinie de D.ieu qui englobe tout. »

Et que faisons nous de cela?

Nous savons que la technologie des ondes scalaires est connue depuis longtemps et sert à fabriquer des armes … Et alors !… Avons-nous besoin de technologie pour en produire, individuellement et collectivement ?

Eux se sont mis au travail pour découvrir des moyens de détourner l’Énergie libre à leur profit, et nous, sommes-nous en position de les critiquer alors qu’on ne fait rien, absolument rien, pour éventuellement générer un esprit de collectif ? En voila une bonne question…!

Chacun est encore et toujours dans son coin, insupportant la moindre différence qui pourrait le remettre en question et générant des relations de clan visant à satisfaire son inassouvi besoin de reconnaissance.

Tout d’abord, sachez que la gente que vous appelez reptilienne, s’est énormément débarrassée de plusieurs facteurs qui poussaient à oppresser volontairement la population incarnée. Cette gente représentée en votre monde existe aussi dans les mondes supérieurs, car vous le savez, vous existez tous en plusieurs mondes simultanément. » Les Hathor (Message d’un Gardien du Temps).

Nous sommes ces âmes, car l’âme, notre âme, a plusieurs dimensions: Nephesh, Rouah’, Neshamah, H’ayah et Yeh’idah… et sous dimensions, dans les quatre mondes, ça en fait des morceaux!… 288 étincelles chacun… mais beaucoup rechignent à le comprendre car ils sont persuadés qu’être UN, c’est être tout seul…!

Interconnectés passe encore, mais mélangés … C’est une notion qui n’est pas encore acceptée. Et pourtant nous sommes mélangés et paradoxalement, nous sommes également unique…

La Création n’est qu’une « matrice » holographique « intelligente », une réalité « virtuelle » et nous en avons fait quelque chose qui nous coupe du fondamental pour en faire une prison enchantée.

Nous vivons avec cette lancinante sensation qu’il nous MANQUE quelque chose. Et c’est ça la Miséricorde Divine qui nous donne les moyens de Retour. Si il n’y avait pas cette matrice et ses occupants, aurions-nous besoin de « spiritualité ». Non, car nous aurions l’Esprit ! Par notre adhésion consensuelle à une réalité individuelle ou lobbyistes, nous renforçons sa puissance et son existence puisqu’elle n’a pour seule éthique que sa survie.

Des entités générées par cette matrice se sont incarnées pour nous contrôler, nous influencer et au besoin nous réprimer, ne sont-elles pas des autres dimensions de nous-même? Ne pensez-vous pas que vous ayez la possibilité de vous démultiplier matériellement et que vous le faites déjà en partant d’un autre plan?

Notre modèle du monde doit refuser l’idée d’esprits « à identité » extérieures à l’homme, nous sommes créateur d’une infinité de mondes parallèles dans lesquels se trouvent, nécessairement, des répliques, semblables et différentes à la fois, de nous-même, des Soi multiples.

Des univers parallèles sont générés à chaque instant, un nombre infini de nos Soi dont nous n’avons pas conscience est pourtant à notre disposition en permanence, pour acquérir des informations.

La lumière environnante, OR Makif est partout, c’est le corps qui est à l’intérieur de l’âme, l’homme est dans sa bulle comme dans le ventre de sa mère.

La double humanité, et alors ?!!!

L’homme vit dans un ventre énergétique qu’on appelle OR makif, qui est l’âme supérieure H’ayah (âme groupe) pour les portails organiques et Yeh’idah (êtreté) pour les adamiques.

Cette âme « supérieure » contient beaucoup d’âmes, comme un organe qui contient des tissus fait eux même de cellules. Toutes les « H’ayah » (H’ayoth au pluriel) se rattachent à la composition de leur Yeh’idah respectives. Et en définitive, toutes les Yeh’idoth rejoignent l’Unité en En Sof.

Les portails organiques sont des personnes dont l’âme (car ils en ont une, contrairement à ce qui peut être dit), n’est composée que de quatre dimensions : Nephesh, Rouah’, Neshamah, H’ayah., comme la totalité des animaux. Seul l’humain adamique est couronné d’une Yeh’idah.

Les portails organiques sont des âmes intermédiaires dues à la multiplication des âmes en vue du Tikkoun (réparation). Au moment de Tryat Hametim (la résurrection des morts) ces âmes intermédiaires seront réintégrées au sein de leur Yeh’idah respectives, l’âme principale. Les âmes principales pourront alors fusionner en l’Âme Unique de l’Adam primordial androgyne.

Il y a des gens très bien, et des êtres merveilleux parmi les portails organiques. Ils ne sont pas tous psychopathes, bien au contraire. Sachez que la figure sub/cosmique du Christ est venue pour anticiper l’évolution de ces âmes et les faire passer au niveau adamique. En 2000 ans, ils sont passés de 90% de la population mondiale à moins de 50%, nous avons passé le seuil… Et les énergies de notre époque accélère la transformation.

Les dimensions d’âmes sont comme des roues dans les roues. Yeh’idah contient H’ayah et toutes les autres, et ainsi jusqu’à Nephesh. Nos Nephesh et nos Rouah’ sont démultipliés, plusieurs personnes peuvent donc partager la même âme. Chacun va développer une facette différente. L’Étincelle de nephesh de l’un peut être l’opposé de l’Étincelle du même nephesh de l’autre… C’est un imbroglio à n’en plus finir.

Au lieu de voir les religions comme des idéologies et réfléchir en mode Vision/Attraction/Répulsion, il convient aujourd’hui de se baser en mode Sub/Cosmique et comprendre le jeu des dieux que nous créons.

Nous n’existons que par les énergies de la lumière environnante, OR Makif (féminin) que nous recevons de cette membrane, de ce ventre. Nous ne sommes pas seuls dans ce ventre, et ensemble nous sommes tous reliés par un cordon ou canal par lequel passe l’énergie de vie, un Kav (masculin) qui est notre libre-arbitre.

Nous sommes à un niveau de la création comparable à la grossesse, c’est pourquoi la Délivrance est comparée à une naissance multiple.

Cette conscience de la multiplicité doit nous amener à une conscience plurielle. Comment pourrait-on imaginer s’en sortir si l’on reste confiné dans un objectif de transmutation personnelle.

« Changes toi et tu changera le monde », oui, c’est vrai, mais qu’appelles-tu CHANGER?

« Connais-toi toi-même », oui, mais sais tu ce que toi-même veut dire?

Nous avons réussi à assoir la grille cristalline, et il existe des chemins de traverse, entre cette grille et la grille souterraine de l’ombre qui ne cesse de gronder.

Nous devons nous faufiler dans ces chemins de traverse et augmenter la puissance de la figure sub/cosmique de l’Unité Divine et de son Unique suprématie, car il n’y a rien d’autre que LUI.

Il n’est pas question de se réfugier dans une a/conscience Absolue, notre mission est ici, dans ce monde de la matière.

La matière est Tohou Va Bohou, Absolu et A Venir – Tehom Vé Béhom.

Le Tohou se réalise tout de suite dans le terme de Tehom qui signifie aussi le Vide, l’Absolu. Alors que le Bohou, le chaos, est en cours d’histoire jusqu’à sa complexité évolutionniste jusqu’à la Délivrance. L’Un ne va pas sans l’Autre, ils sont simultanés, un Vav les relie depuis la Genèse et jusqu’à la Fin des Temps.

(1)Note sur le Vav :

Originellement la forme du Vav désignait une cheville permettant de réaliser des assemblages. Il était surmonté d’un petit cercle. Puis le cercle s’est progressivement ouvert vers le haut, qui évoque ainsi un soutien.

La cheville de bois permet d’assembler, d’édifier, de construire, elle est l’outil du charpentier.

Miléna@OR


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