Interview su Dr. Michael Salla par Jordan Sather
Sujet : le livre du Dr. Salla : « Histoire cachée de l’Antarctique », publié le 25 mars 2018
J.S : Commençons par l’ancienne histoire de ce continent. Parlez-nous de Charles Hapgood, de ses découvertes sur le changement des pôles et de l’effet de ce changement sur l’Antarctique.
M. S : Charles Hapgood a été très connu durant les années 50 et 60, à cause des premières recherches qu’il a faites sur les cartographies anciennes, (« Cartes des anciens rois de la mer ») où l’Antarctique est dessinée sans sa couche de glace. Les gens tentaient de comprendre comment cela était possible. Hapgood a énoncé ces théories très intéressantes appelées « Les mouvements de l’écorce terrestre » et « The path of the poles » et il a publié un livre, qui essentiellement, explique les mécanismes des mouvements de l’écorce terrestre. Il a étudié beaucoup de preuves démontrant que c’est un phénomène qui arrive périodiquement, Hapgood mentionne que cela s’étend sur des dizaines de milliers d’années et l’axe de rotation de la Terre change à ce moment-là.
Donc, le pôle Nord et le pôle Sud changent, en termes de pôles géographiques, sur une distance de centaines ou même de milliers de milles. C’est une théorie radicale. Sa théorie a été supportée par Albert Einstein à l’époque et ce dernier a écrit le prologue de son livre « The Earth shifting path ».
C’est significatif, car cela démontre que quelqu’un comme Einstein considérait que cette théorie avait beaucoup de mérite.
Hapgood nous fournit une façon de comprendre comment un endroit comme l’Antarctique aurait pu, à un certain moment, se trouver dans une zone tempérée, avec une civilisation de surface s’y trouvant lors d’un de ces changements de pôle et comment la position de ce continent a changé et ainsi, tout le pôle sud s’est trouvé au beau milieu du continent, avec une couche de 2 à 3 milles d’épaisseur de glace.
J.S. : Nous ne parlons donc pas ici d’un changement magnétique des pôles, dont on parle même dans les médias de masse, mais bien d’un changement géophysique.
M.S : Exactement. C’est un événement vraiment majeur, parce que le pôle magnétique de la Terre change de position sans arrêt, même si nous n’expérimentons pas beaucoup de différence, sauf dans le fonctionnement des boussoles ainsi que dans le domaine de la navigation aérienne.
Dans le cas d’un changement géophysique des pôles, il s’agit d’un événement géologique majeur ayant le potentiel de bouleverser la vie à la surface de la planète. Je pense que ce qu’Hapgood a fait, c’est d’identifier les faits historiques appuyant la théorie que c’est déjà arrivé. Cela révèle aussi les mécanismes qui peuvent produire ces changements de pôles.
La trajectoire de la Terre peut être influencée par sa vitesse de rotation. Si on observe l’Antarctique aujourd’hui, nous voyons qu’un de ses côtés commence à fondre (la région occidentale) et nous pourrons en parler plus tard en termes d’éruptions volcaniques qui font fondre la glace en-dessous d’eux. Le résultat de tout cela est que durant les cinq prochaines années, la glace de cette région fondra complètement.
Cela aura comme conséquence, non seulement une montée majeure du niveau de la mer, mais aussi une redistribution radicale du poids du pôle sud, car ces couches de glace mesurent plusieurs milles … si la moitié du pôle sud disparaît, il y a alors une redistribution majeure du poids. Cela pourrait être le déclencheur d’un changement de pôles. Nous devons prendre cela en considération.
J.S : Parlez-nous du lac Vostok en Antarctique et de son anomalie.
M.S : Ce lac se trouve tout près d’une base russe, appelée Vostok, qui était alors située au pôle magnétique. Les américains se trouvaient au pôle sud physique, où ils ont érigé une base et les russes se sont installés au pôle sud magnétique, où ils ont érigé la base Vostok. Il s’est avéré que cette base se trouvait juste au-dessus de ce lac, qui mesure 250 milles de longueur sur plusieurs centaines de milles de largeur, c’est un très grand lac et vers les années 1989-1990, ils ont fait de la cartographie par radar de la région de Vostok pour se rendre compte qu’il y avait un lac, un très grand lac, gelé sous deux milles de glace.
La réaction initiale de la NASA et d’autres groupes de chercheurs a été fantastique, car cela signifiait qu’il était alors possible de faire des tests pour une future mission robotisée sur Europa ou sur l’une des lunes de Jupiter (s’il y a de l’eau à ces endroits sous la glace, de l’eau non gelée en-dessous de cette glace). Ils voulaient utiliser le lac Vostok comme un test précurseur dans le développement d’un type de sondes que la NASA enverrait un jour sur Europa, mais ce qui est arrivé l’année suivante, c’est que la cartographie effectuée peu après a révélé une énorme anomalie, mesurant environ 50 milles de diamètre à une des extrémités du lac Vostok et soudainement tout a changé.
La NASA a alors dit que ce n’était plus faisable … que d’envoyer une sonde là-bas polluerait l’environnement … vous savez … tout le baratin … que cela prendrait une décennie avant de développer une telle technologie pour qu’elle soit utilisable. Essentiellement, Vostok se trouva alors « hors limite », il n’y aurait pas de forage permis, mais ce qui s’est vraiment produit, c’est que Raytheon Corporation, qui avait alors le contrat de support de l’Antarctique, envoyait secrètement des équipes à l’anomalie magnétique pour découvrir ce qu’il y avait là-bas.
Selon Richard Hoagland, qui a fait les premières recherches sur ce sujet en 1991, en fait, ils faisaient des recherches sur une ancienne cité … l’anomalie du lac Vostok était liée à une ancienne cité enterrée sous deux milles de glace et les employés de Raytheon qui allaient travailler à cet endroit en revenaient très, très malades.
Pour Hoagland, c’était un signe que cette anomalie magnétique pouvait démontrer qu’il y avait, dans cette zone, une sorte de technologie utilisant un champ de torsion, se rapportant à une distorsion de l’espace-temps.
Quelqu’un qui n’est pas adéquatement protégé contre cette distorsion peut devenir très, très malade. C’est ce qui est arrivé aux employés de Raytheon. C’est Hoagland qui est le pionnier dans ces recherches. Je pense que si vous étudiez l’anomalie du lac Vostok, cela pourrait être un endroit où pourrait se trouver une cité ensevelie sous toute la couche de glace.
J.S. : Fascinant ! Quoi d’autre a été découvert là-bas ? Y a-t-il quelque chose qui a été divulgué par la science traditionnelle ?
M.S. : Les chercheurs conventionnels trouvent des choses très significatives sur ce qui cause les changements en Antarctique. En 2017, ils ont découvert 91 volcans dans la partie occidentale de l’Antarctique. Si on ajoute ce nombre aux, je crois, 45 autres, nous avons entre 130 et 140 volcans, principalement du côté ouest du continent et ces volcans deviennent actifs. Les volcans devenant plus actifs, ils commencent à faire fondre la couche de glace par en-dessous et cela crée de vastes cavernes chauffées. C’est très important se rappeler de cela, parce que grâce à cette énergie thermale provenant du vaste réseau de volcans, vous pouvez alors obtenir un incroyable réseau de tunnels, semblables à des tunnels de lave s’étendant partout sous la couche de glace et de vastes cavernes, chauffées par l’énergie thermale.
C’est ce qui a été confirmé par la communauté scientifique traditionnelle en 2017, ils ont confirmé l’existence d’un nombre incroyable de volcans, ce qui fait de l’Antarctique l’endroit où il y a la plus grande concentration de système volcanique dans le monde.
Précédemment, c’était dans l’est de l’Afrique, maintenant c’est l’Antarctique. Les chercheurs ont aussi confirmé qu’il y a un vaste système de cavernes, chauffées par énergie thermique et le Mont Erebus, situé tout près de la station scientifique McMurdo (la principale base américaine), a créé des cavernes et un réseau de tunnels s’étendant dans l’Antarctique. Il y fait 25 degrés Celsius, on peut donc supposer que la vie y existe. C’est aussi un endroit idéal pour y établir des bases.
J.S : Alors, selon vous, est-ce que les Allemands ont créé des bases en Antarctique et continué leur exploration?
M.S : Je le crois, oui. Cela a toujours constitué un grand mystère … que font les Allemands là-bas ? Si on se réfère aux anciens documents, ils auraient établi des bases en Antarctique.
En 1939, le président américain Roosevelt a donné l’ordre à l’amiral Byrd de se rendre en Antarctique afin de trouver les bases allemandes, car cela pourrait être en violation avec la doctrine de Monroe, stipulant qu’aucun pays européen n’établirait de colonies dans l’hémisphère ouest et ils considéraient l’ouest de l’Antarctique comme faisant partie de cet hémisphère. Il y a donc eu une expédition qui y a été envoyé pour trouver les bases allemandes.
Je pense qu’en 1939, les Allemands avaient commencé le processus d’établissement de bases en Antarctique.
Alors que la guerre progressait, il y a avait des sous-marins qui se rendaient en Antarctique pour l’établissement des bases. William Tompkins, que vous avez interviewé, est une source importante d’informations car il a parlé de groupes d’espions nazis révélant l’existence de bases en Antarctique. Il y a des documents qui ont été divulgués et qui démontrent comment les U-Boats allemands pouvaient naviguer sous la glace de l’Antarctique, dans le but de trouver le système des cavernes. L’amiral Donitz y a établi une sorte de forteresse dans cette région inaccessible du monde.
Plus récemment, nous avons obtenu des informations, suite à la chute de l’Union Soviétique, alors que le KGB a divulgué beaucoup de dossiers qui ont fait leur chemin en Occident.
J.S. : C’est fascinant ! Il faut vraiment repenser toute notre histoire. Maintenant, si les Allemands ont établi des bases durant les années 30 et 40, est-ce que ces bases existent encore aujourd’hui?
M. S. : Ces bases sont devenues les pivots du programme spatial allemand, utilisant différentes technologies.
Ils ont commencé à faire des survols aux États-Unis, durant les années 40. Dans beaucoup de cas d’observation d’ovnis, il s’agissait de vaisseaux allemands. Vous pouvez voir la preuve de ceci dans l’incident de 1947, décrit par Kenneth Arnold, où il a vu une flottille de vaisseaux ayant la forme d’une soucoupe. La forme de ces vaisseaux correspond à celle du Horton Flying Wing Craft. Les Allemands survolaient les États-Unis dans ces vaisseaux, à partir de l’Antarctique.
Il y a aussi le vaisseau-éclaireur que George Adamski a photographié.
Il y a aussi les témoignages de nombreuses personnes à Hawaï en 1956. Le Sergent Willard et d’autres témoins, ont vu une soucoupe volante atterrir, près d’Honolulu et les gens qui sont sortis du vaisseau portaient des uniformes allemands, des uniformes nazis. Le vaisseau arborait une croix allemande, l’identifiant comme un vaisseau allemand.
Il y a donc de nombreuses preuves démontrant que le programme allemand en Antarctique a survécu à la deuxième guerre mondiale et qu’il y a eu des survols aux États-Unis, durant les années 40 et 50.
Des marchés ont été conclus. Des accords ont été faits, qui stipulaient que le complexe militaro-industriel américain travaillerait avec le programme allemand, parce que chaque partie possédait ce que l’autre n’avait pas.
Les Allemands n’avaient pas assez de ressources ni de main-d’œuvre, mais possédaient d’incroyables connaissances technologiques sur le mode de fonctionnement des soucoupes volantes, qu’ils avaient commencé à étudier durant les années 20. D’un autre côté, les États-Unis avaient beaucoup de ressources et de main-d’œuvre, mais n’avaient pas les connaissances scientifiques sur les vaisseaux volants, ni sur le mode de fonctionnement des vaisseaux extraterrestres, puisqu’ils avaient commencé plus tardivement leurs recherches en ce domaine, après la deuxième guerre mondiale.
Ce qui est arrivé, c’est que les bases en Antarctique ont connu une expansion significative, où il était alors possible de développer de vastes flottilles de vaisseaux spatiaux, opérés par le programme allemand et celui du complexe militaro-industriel, dans le but d’établir un futur programme spatial, sous forme d’entreprise, à partir de l’Antarctique.
J. S. : Cela nous donne une bonne vue d’ensemble. Les nazis n’ont pas nécessairement perdu la guerre donc et cela nous amène à comprendre notre histoire moderne. Parlez-nous maintenant de la situation actuelle se rapportant au complexe militaro-industriel et ce qu’ils font en Antarctique maintenant.
M. S. : Ce qui est important de garder à l’esprit c’est que ce sont des entreprises allemandes qui ont construit les vaisseaux pour le programme spatial allemand, en Europe occupée, puis en Antarctique.
C’est un fait historique que plusieurs de ces compagnies allemandes oeuvraient durant la période d’avant-guerre en tant qu’entreprises. Après la guerre, lorsque des accords ont été faits, les compagnies allemandes, qui avaient une compréhension des principes scientifiques de la technologie des soucoupes volantes, sur leur système de propulsion, sur les champs de torsion, sur l’antigravité, toutes ces compagnies étaient les chefs de file dans ce domaine. Les compagnies américaines ont commencé à collaborer avec les Allemands, autant en Antarctique qu’aux États-Unis et à d’autres endroits.
C’est devenu la fondation sur laquelle s’est formé le programme spatial international, sous forme d’entreprise, dont le centre d’opérations était en Antarctique.
Donc, le programme originel allemand en Antarctique continue son développement. Ils demandent aux entreprises impliquées de fournir des informations sur les récents prototypes, modèles ou vaisseaux. Ils accordent des contrats, de l’argent est échangé, d’autres vaisseaux sont construits. Le programme allemand porte plusieurs noms (l’un d’entre eux est la Flottille Noire, que Corey Goode a décrit). Le programme d’entreprise est celui qui construisait les vaisseaux pour le programme allemand en Antarctique. Avec le temps, c’est devenu une entité individuelle pour devenir ensuite un programme spatial séparé.
Donc, aujourd’hui, en Antarctique, il y a un programme corporatif qui utilise des technologies d’avant-garde reliées à l’antigravité, aux champs de torsion et à toute autre technologie qu’ils ont pu développer depuis la deuxième guerre mondiale, incluant les performances des soucoupes volantes et autres vaisseaux spatiaux.
Tout cela se passe en Antarctique et a été réalisé par ce réseau international d’opérations … et c’est ce qui arrive en ce moment, sous la couche de glace de l’Antarctique.
N’oubliez pas que les Allemands ont utilisé, depuis presque le début, des esclaves comme main-d’œuvre lors de la guerre, par manque d’autre source de main-d’œuvre et l’idéologie allemande dictait que les femmes ne devraient pas travailler. Ils ont vraiment utilisé des esclaves. Cela leur permettait aussi de continuer leurs opérations. C’est encore le cas en Antarctique aujourd’hui.
L’esclavage est quelque chose que les entreprises allemandes ont établi en Antarctique.
Lorsque les entreprises américaines sont arrivés, ils ont constaté que c’est ainsi que les choses se font en Antarctique et ils ont donc fait la même chose. Je pense que beaucoup d’entreprises américaines se trouvent dans la position inconfortable d’avoir travaillé secrètement avec les entreprises allemandes durant des décennies et d’avoir utilisé l’esclavage, autant dans les programmes, que dans des expérimentations humaines.
J. S. : Ce sont de sombres propos, mais c’est logique et cela amène à se demander où ils se procuraient tous les gens qu’ils utilisaient comme esclaves.
M. S. : Originellement, en Europe occupée. Ces gens étaient relocalisés par force vers ces programmes secrets allemands, soit en Europe ou en Antarctique. Lorsque le complexe militaro-industriel a commencé à travailler avec les Allemands, il y a eu un apport dans la population … les sans-abris peuvent facilement être enlevés et personne ne s’en rend compte. C’est quelque chose dont nous sommes témoins à chaque année.
Plusieurs milliers de personnes, spécialement des enfants qui, simplement « disparaissent » partout dans le monde.
La population ne s’en inquiète pas trop … pensez au nombre d’enfants qui vivent dans la rue en Inde, au Brésil, dans différentes parties de l’Asie, en Afrique … les gens disparaissent et personne n’y prête guère attention.
Concernant la main-d’œuvre spécialisée, la méthode est plus sophistiquée. Plusieurs personnes possédant les talents recherchés par ces entreprises à des endroits comme l’Antarctique, sont recrutés et trompés pour faire partie de ces programmes.
J. S. : Cela m’amène à me demander … avec toute la divulgation actuelle … il y a beaucoup de choses qu’on attend de savoir, en espérant que nos élus nous les diront … mais il semble aussi que de nombreux élus, qui tentent de garder tout cela secret, ont fait un voyage en Antarctique. Il y a eu John Kerry, le jour même des élections américaines, ce qui est très bizarre et Newt Gingrich … Pourquoi ces personnes vont-elles là-bas?
M. S. : L’Antarctique est un endroit où se trouvent des technologies très avancées, utilisées par les programmes spatiaux secrets et ce sont des entreprises de cet endroit qui les gèrent.
Nous pouvons les décrire comme étant la cabale … quel que soit le terme que vous utilisez pour les décrire … ce sont des gens très puissants qui gèrent ces programmes en Antarctique. Je pense que la visite de John Kerry en juillet 2016 avait pour but d’annoncer aux « perdants » que leur plan visant à faire élire Hillary Clinton avait échoué, que le pronostic était que Trump gagnerait et qu’ils devaient se préparer pour cela. Ensuite Newt Gingrich y est allé. Ce dernier est l’émissaire de Donald Trump, il travaille encore de près avec lui et sa compagnie s’appelle Callista. Je pense qu’il est allé en Antarctique pour négocier avec l’élite.
Beaucoup de gens parlent contre Trump mais c’est un homme d’affaires, il fait des accords, il est fier de dire qu’il passe des accords avec les gens, peu importe qui sont ces gens. Il a beaucoup de pouvoir et de ressources. Il aurait été approché et on lui aurait demandé de faire un accord avec les personnes en Antarctique. Ces derniers se sont trouvés face à un président des États-Unis qu’ils ne peuvent pas secrètement contrôler et ils doivent donc négocier avec lui. S’il était une marionnette, ils pourraient facilement le contrôler et lui faire faire ce qu’ils veulent. Mais avec quelqu’un comme Trump, qui veut négocier … vous savez.
Le vrai pouvoir derrière Trump est celui des militaires américains. Ce sont eux qui sont aux commandes en coulisses.
Trump est la figure de proue des militaires américains. C’est une nouvelle situation. C’est ce que Gingrich a donné comme message là-bas. Notez aussi que c’est la raison pour laquelle la Compagnie Callista et Newt Gingrich ont été choisis par Donald Trump comme ambassadeur au Vatican. Vous pouvez constater que c’est une union très puissante et ils ont beaucoup d’influence sur ce qui se passe en Antarctique et sur ce qui sera révélé.
J.S. : Quelles sortes d’accords ont été conclus, selon vous?
M. S. : Je pense que Trump est intéressé par les technologies qui se trouvent là, pour les divulguer de façon à faire avancer son plan de relancer les industries américaines.
Les militaires ont leur propre but et ils veulent avoir accès à ces technologies. Les militaires américains sont obsédés par cette idée de domination et, les États-Unis étant la super puissance mondiale majeure, les militaires veulent garder leur suprématie sur les autres pays. Ils ne veulent pas la technologie développée en Antarctique qui ne dépasse que de peu ce qu’ils ont maintenant, ils veulent avoir accès à toute la technologie qui a été développée en Antarctique. Ils veulent une position de contrôle.
C’est une grande partie des négociations.
Ils veulent que les compagnies américaines et les multinationales en Antarctique travaillent de concert avec les militaires.
Ils veulent aussi que tous les artéfacts qu’ils ont trouvé soient révélés au public, parce qu’ils comprennent que lorsque ces programmes seront divulgués, les militaires ne seront pas laissés derrière.
Donc, ces technologies permettront, non seulement d’améliorer l’industrie américaine, mais aussi de créer une révolution technologique où tous les moyens utilisés pour améliorer la santé des gens, tous les moyens de propulsion, tout cela sera révélé et développé ouvertement aux États-Unis, ce qui leur permettra de garder leur suprématie.
J. S. : C’est une situation très complexe. Beaucoup de gens n’ont pas l’Antarctique dans leur esprit, mais c’est une pièce cruciale pour tout ce qui se passe actuellement. Décrivez ce que vous présenterez dans votre livre sur l’Antarctique.
M. S. : Eh bien, il y a beaucoup de preuves, en termes de données scientifiques qui ont été publiées, démontrant la correspondance entre les volcans de l’Antarctique et la fonte de la couche de glace en surface.
C’est très important car cela démontre que la glace de l’Antarctique fond, non pas à cause du réchauffement climatique, mais à cause de toute cette activité volcanique sous la glace.
C’est important aussi à cause de toutes les bases qui s’y trouvent.
Il y a aussi tous les documents qui ont été publiés par l’Union Soviétique et ces documents donnent des renseignements sur ceux qui ont construit les soucoupes volantes et le lien entre les compagnies allemandes et américaines qui ont travaillé conjointement en Antarctique depuis de nombreuses décennies, dans la construction de ces vaisseaux.
Vous trouverez aussi les témoignages de différents lanceurs d’alerte qui ont eu accès, soit directement à l’Antarctique ou qui ont été en contact avec des chercheurs allemands qui ont travaillé en Antarctique. Donc le livre donne un aperçu des documents historiques qui démontrent ce qui est arrivé en Antarctique.
Présentement, c’est l’été en Antarctique et nous espérons en apprendre plus durant les mois qui viennent et je ne pense pas que nous aurons à attendre longtemps avant que ces secrets soient révélés publiquement.
https://youtu.be/a67Ukzg63u8
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