Divulgation cosmique

Les clones parmi nous

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 11

George Noory : On a tous entendu parler du clonage. Mais si vous, un ami ou une connaissance était un clone ? Le remarqueriez-vous ?

Bienvenue dans « Divulgation Cosmique », Emery Smith. Bonjour et ravi de vous voir.

Emery Smith : Moi de même, George, merci de me recevoir.


George : Ces clones pourraient être n’importe quoi, toute sorte de vivant. Ça pourrait être des extraterrestres ou des humains clonés. Que sait-on là-dessus?

Emery : Eh bien, le clonage existe depuis bien avant mon arrivée. Ils clonent des animaux depuis un moment déjà.

Dans les programmes d’hybridation auxquels j’étais lié, ils ne clonaient pas seulement des espèces comme les plantes et les animaux, mais ils régénéraient aussi des tissus d’extraterrestres pour les cultiver puis les cloner. Puis ils ont cloné des humains, il y a très longtemps.

C’est intéressant qu’aux infos, après en avoir parlé quelques fois, ils le divulguent maintenant. La Chine le fait depuis des lustres, mais dans leurs centres souterrains, cloner des gens et cloner, bien sûr, vous l’avez entendu, le premier primate.


Et s’ils peuvent cloner un primate… ça confirme ce que je dis, ils peuvent cloner un humain.

Et ils cultivent aussi des humains pour leurs organes. Et ça a créé une sérieuse controverse.

Mais il y a des clones partout. Humains, extraterrestres, ils sont partout.

Certains les appellent des sosies, car ils peuvent cultiver un humain pour qu’il ressemble à quelqu’un, programmer son esprit et lui implanter des circuits et tout ça, et il pense vraiment avoir cette vie et ils l’implantent dans des entreprises ou dans n’importe quelle organisation de leur choix. Et souvent, vous marchez dans la rue, vous entendez les gens dire… on peut voir ça sur Internet : « Mince, cette personne me ressemble beaucoup. »

George : Oui.

Emery : Pourquoi donc ? Comment est-ce arrivé ? Ils n’ont aucune idée qu’ils ont probablement fait partie de ce programme de clonage.

George : Y a-t-il une intention cachée ? Car vous venez de parler d’une chose qui me fait une peur bleue. Si on nous remplace par des clones, qui remarquera la différence ?

Emery : C’est probablement une des seules fois, George, que vous me coincez sur un point négatif, car oui, il y a une intention.

Il y a des centaines et des centaines de personnes qui sont clonées dans des installations souterraines en Australie et dans certaines régions des États-Unis.

Et ils font ça pour une raison quelconque, qui est bien évidemment diabolique, car il n’y a aucune raison de cloner des gens et que ça reste secret et de faire d’horribles expériences sur ces personnes et de leur implanter un esprit.

Le plus grand problème qu’ils ont est que quand ils choisissent le clone pour une expérience et ils feront 20 clones de cette personne, à mesure que ces clones grandissent et qu’ils les entraînent, ce qui arrive c’est qu’ils commencent à se souvenir.

George : Et si on clone le Président et qu’on met ce clone à la Maison-Blanche ? Ou si on le met au Kremlin, en Russie, ou qu’on les met partout ? Et si une entreprise se trouve derrière tout ça et veut contrôler et dominer la planète ?

Emery : Il existe une possibilité que ça puisse arriver. Je pense qu’il est peu probable que ça arrive maintenant. Je crois que c’est plus une question de domination des grandes sociétés que de la position de Président. Vous voyez ?

George : Je vois.

Emery : C’est plus important, le fait que ces entreprises introduisent ces clones qui sont programmés et ressemblent à des gens et qu’elles fassent éliminer, malheureusement, ces gens, ils les éliminent car il faut le faire pour pouvoir les substituer.

George : Qui diable a imaginé ce type de plan ? L’État Profond ? Quelqu’un doit être derrière.

Emery : Oui, voilà, c’est ce terme populaire, « État Profond », qui pour moi désigne juste les grandes entreprises qui ont leur propre plan et qui pourraient aussi être influencées par une force supérieure.

George : Et ça dure depuis… des années ?

Emery : Oh, grand Dieu, en ce qui me concerne, quand je l’ai découvert, en 1990…

George : Il y a 29 ans ?

Emery : …ils devaient le faire depuis au moins 20 ans.

George : Bon sang ! La technologie est si avancée ?

Emery : Oui. Tout à fait. Ils sont maintenant capables d’imprimer en 3D des individus et des personnes en quelques mois.

George : On se préoccupe principalement des humains clonant des humains pour leurs propres objectifs.

Emery : Oui.

George : Mais si les extraterrestres clonaient les humains et s’injectaient, disons, en eux. Est-ce possible ?

Emery : C’est possible. Je ne suis pas au courant d’extraterrestres qui clonent des humains. Je sais que des êtres extraterrestres collectent de l’ADN sur les humains.

George : Ça fait un moment.

Emery : Pour une bonne raison, pas pour une mauvaise raison. Ils peuvent tout faire, en fait. Ils sont déjà à un niveau avancé de sciences qu’on ne comprendrait pas, pour faire ça, au besoin.

George : Emery, un clone est-il, en gros, un être humain identique à son clone ? Et donc, ils mangent, dorment, font tout ce que fait un humain ?

Emery : Non. Non, car ils doivent toujours subir le processus de croissance. Et c’est un gros travail.

George : On ne peut pas l’accélérer ?

Emery : Ils l’ont accéléré. Mais il y a un problème. Ils peuvent faire un George Noory en environ huit ans, où vous êtes… depuis bébé à vous.

George : OK.

Emery : Le problème est que le cerveau ne peut grandir aussi rapidement que le corps. Donc, tous vos tissus corporels, comme les os, les muscles, les tendons et toutes les choses faites de collagène, peuvent être rapidement accélérées grâce aux technologies qu’ils possèdent. Et l’apprentissage. On peut apprendre rapidement. Mais ils semblent avoir un problème avec leurs cerveaux.

George : Quel est le programme ? Quelle est la mission ?

Emery : Je ne connais pas ce programme. Je peux juste donner mon opinion, qu’ils l’utilisent pour instiller une certaine peur, comme une fausse invasion extraterrestre, pour contrôler, assurément, une armée secrète, un groupe d’assassins, des trucs comme ça, qui sont terrifiants. Juste le fait de savoir qu’ils le font sur un tapis transporteur de production en série est déjà terrifiant. Et on doit prendre soin de cet être. Il faut le nourrir, l’entraîner.

George : Il est vivant.

Emery : C’est une vraie personne.

George : Oui.

Emery : Et comme je disais, certains se souviennent. Et ces souvenirs chamboulent leur esprit. Mais c’est toujours… c’est fait au tout début, mais ça ne réussit pas toujours, je dirais.

George : Qu’arrive-t-il à l’âme humaine, Emery, dans cette situation ? Le clone a-t-il une âme à part ?

Emery : Je crois que le clone a une âme séparée, une personnalité à part. Mais elle est aussi liée à son jumeau, à son clone, son autre clone, car il a déjà été prouvé que quand on prélève de l’ADN dans ce verre d’eau [Emery fait un signe de la main gauche suggérant qu’il tient un verre d’eau imaginaire] et qu’on a de l’eau purifiée ici [même chose avec sa main droite cette fois-ci], elle commence automatiquement à avoir l’ADN dans ce verre d’eau, qu’on utilise un rayonnement laser ou des fréquences sonores.

Donc, si on prend de l’ADN, peu importe de qui, il y a un disque dur dans cet ADN et cet ADN se souviendra de certaines choses.

Voilà comment on contracte parfois des maladies dont nos grands-pères et grands-mères souffrent. C’est dans le lignage. C’est dans l’ADN. Sans parler du fait que la programmation de la personne d’origine pourrait facilement se retrouver dans le clone et avoir des caractéristiques de cette personne.

En ce qui concerne l’âme et l’esprit, j’ai toujours du mal à comprendre. Mais ces clones ont des sentiments. Ils ressentent des émotions. Ils ressentent la même chose qu’une personne normale. Et ils peuvent choisir de prendre une direction spirituelle, s’ils veulent devenir une personne de foi ou des trucs du genre.

George : Ont-ils la mémoire de la personne dont ils sont le clone ? Ou ont-ils aussi la leur ?

Emery : Ils ont la mémoire de leur propre expérience de vie. Et la plupart d’entre eux, 80%, ont des souvenirs de qui ils étaient avant.

George : Savent-ils qu’ils sont des clones ?

Emery : Certains, oui, le comprennent. Certains sont en fait des soldats du clonage. Ils sont formés pour certaines missions.

George : Si un clone d’Emery Smith arrivait là maintenant et vous regardait, ce clone penserait-il qu’il est vous ?

Emery : Il pourrait peut-être penser cela. Vous savez, j’en ai rencontré deux, à l’armée, deux individus, et j’étais très choqué de les voir face à face, car ils étaient moi. Et…

George : Oh ! Vous vous voyiez, vous ?

Emery : Oui, et c’était très intéressant. Et les gens l’ont vu. Et ce n’était pas une chose très classifiée dans les projets. C’était en surface à la base de l’Air Force de Kirtland.

George : Intéressant.

Emery : On est devenus amis, disons, pendant une brève période. Puis il a disparu ou a été transféré. Mais c’était très intéressant que les gens remarquent ça et voient des similitudes exactes. Et il y a une possibilité que ça ait lieu. Mais il avait une personnalité opposée à la mienne.

George : Pourquoi avoir un clone de vous ? Dans quel but ?

Emery : Je ne sais pas. Je ne sais pas si c’était aussi… c’est possible que l’univers aussi, avec des sosies, que ces personnes soient nées dans des régions éloignées du monde. Ça pourrait juste être un truc énergétique qu’elles soient nées au même moment avec la même énergie et le même alignement des étoiles. Et il y a aussi un clonage naturel de ce que j’appelle des sosies, qu’on voit.

George : Veulent-ils vous remplacer ?

Emery : Je ne crois pas qu’ils me clonent pour une raison particulière. Je n’ai pas de…

George : Bon, s’il y a deux autres vous…

Emery : Je n’ai aucune intuition de ça. Mais voir quelqu’un identique à vous, c’est très surprenant. Et j’étais très jeune, bien sûr, à peine 20 ans.

George : Les clones s’accouplent-ils, ont-ils des enfants ?

Emery : Un clone, c’est comme quand on clone un primate, un cochon ou une vache. Ils ont toujours les mêmes organes, tout ça.

George : Donc ils peuvent.

Emery : La seule différence, c’est que certains ont des implants et qu’ils utilisent des circuits et des bio-circuits pour peut-être être contrôlés mentalement ou pour mener une mission sans retour, comme on dit. Ils mourront de toute façon lors de la mission, mais ils accompliront cette mission.

George : Combien de labos secrets y a-t-il sur cette planète faisant du clonage?

Emery : J’en connais six. Il y a…

George : Sur toute la planète ?

Emery : Il y en a probablement au moins le double.

George : Emery, les clones extraterrestres sont-ils courants ?

Emery : Les clones extraterrestres sont très courants. C’est ce qu’ils font. Ils le font depuis toujours. C’est intéressant de voir combien de races extraterrestres se ressemblent, ha ha !

George : C’est vrai. Ils sont remarquables.

Emery : Mais bon, pourquoi ? Perfectionnaient-ils leur super programme de création d’une personne plus forte, peut-être ? Prenaient-ils de l’ADN et le manipulaient-ils pour que l’humain ait des super pouvoirs et qu’on soit tous cette super créature formidable qui ne tombe pas malade, vit 500 ans et peut…

George : Ça serait top.

Emery : …être né avec toute la technologie déjà intégrée. Je crois donc qu’il y a des races qui viennent du même clone juste car les corps que j’ai vus étaient bien trop identiques.

George : Je connais des jumeaux identiques. Ils jouaient quand ils étaient enfants. Ils jouent à l’âge adulte. Ils ont tenté de duper les petits copains. Les clones ont-ils une personnalité comme ça ? Je veux dire, jouent-ils et s’amusent-ils ?

Emery : Oui, ils ont cette connexion, bien sûr, comme les jumeaux. Je suis heureux qu’on en parle. Je connais très bien les jumeaux. J’en ai connu beaucoup. J’ai étudié ça en profondeur, il y a une connexion énergétique, grâce à cette même fréquence vibratoire. Cependant, leurs gènes et code génétique peuvent changer.

Un bon exemple de tout ceci, c’est un rapport récent sur cet astronaute qui avait un frère jumeau, et il a été envoyé dans l’espace et y a vécu pour une certaine durée, est revenu, et ils ont mesuré son ADN et ont trouvé des différences.

George : Étrange.

Emery : Comment peut-on modifier l’ADN ?

George : Différences de taille et tout ça.

Emery : Oui. Donc, l’ADN peut être manipulé par des champs électromagnétiques et par des radiations, et en vivant dans différentes parties de la planète. Il peut être manipulé, donc.

George : Quel est le but du clonage, à part son côté sinistre ? Je veux dire, je ne vois rien de logique à vouloir cloner quelqu’un.

Emery : Eh bien, actuellement, la Chine tente de pousser au clonage, car ils veulent développer des gens pour leurs organes, car 33 personnes par jour là-bas meurent dans l’attente d’un organe.

George : Ne peuvent-ils pas cultiver l’organe seul ?

Emery : Eh bien, ce qu’ils font, c’est de tenter de trouver des espèces, comme les cochons, très similaires à… Voilà pourquoi on utilise des cœurs de cochon en chirurgie cardiaque. Ça a à voir avec le rythme de croissance des cellules, croyez-le ou non. Donc, en ce qui concerne l’objectif, je crois que pour le monde des entreprises ici en surface, c’est de faire pousser des gens clandestinement et de collecter leurs organes pour les vendre sur le marché noir ou utiliser des cochons pour cultiver des organes humains puis de prendre un organe et le greffer sur une personne.

George : C’est une chimère, s’il a des parties humaines.

Emery : Une chimère, oui, absolument.

George : Le grand joueur de baseball Ted Williams, il est décédé.

Sa famille a fait conserver sa tête dans une chambre cryogénique. Ils espèrent pouvoir cloner un jour le corps et télécharger la mémoire de son vrai cerveau, qui est congelé actuellement, pour l’implanter dans le cerveau du clone. Et voilà Ted Williams de retour, car on est la mémoire. C’est ce qu’on est.

Emery : Oui, on est composé d’énergie. On est une structure atomique cristalline qui peut être réorganisée et réimplantée dans un autre être vivant. C’est une sorte de clone qui n’a pas été mis sous tension, comme on dit dans les projets. Donc, on peut avoir un corps à maturité, qui a été cultivé, qui a des muscles et qui peut se mettre debout directement après huit ou dix ans ça dépend, et on lui implante la mémoire d’une personne ou…

George : Ça serait remarquable.

Emery : Ils le font déjà.

George : Mince alors !

Emery : Oui, et c’est incroyable ! C’est un peu comme dans Avatar.

George : Vraiment, oui.

Emery : Le film.

George : Mais c’est toujours sinistre, Emery. Je ne vois rien de positif dans tout ça.

Emery : Je ne suis pas d’accord non plus. Je trouve ça mal. Un truc cloche, je trouve. Je pense qu’il y a d’autres façons de faire ça, comme l’impression 3D des organes. Mais ils ne divulguent pas cette technologie.

Ils ont récemment, en fait, publié un truc, après que j’aie parlé l’an passé de l’impression 3D d’organes. Ils ont imprimé des oreilles. Ils ont imprimé en 3D des oreilles.

Mais ce qu’ils ne racontent pas, c’est quel tissu conjonctif a servi à les imprimer. Ils enthousiasment tout le monde car le secret est de savoir comment on fait tout ça, car on a besoin d’un treillis, d’un tissu conjonctif, pour tout organe qu’on développe. Je l’ai vu à de nombreuses reprises quand ils cultivent des cœurs ou des foies pour les élites et les gens qui avaient besoin… des gens de style VIP.

George : Ils ont tout ce qu’ils veulent.

Emery : Ils utilisaient une structure protéique à base de collagène qu’on trouve dans le sang pour ce faire. Et ils utilisaient aussi parfois, selon la partie du corps qu’ils développaient, ils utilisaient des matériaux synthétiques, ce qui est un peu effrayant, disons.

Mais à nouveau, il y a l’oséointégration. On a déjà démontré l’intégration du titane avec les tissus. On peut imprimer en 3D de très petits éléments et structures spongieux dans de multiples matériaux synthétiques biocompatibles, pas juste en métal, pour faire un nez ou un…

George : Ils le font pousser dessus, non ?

Emery : Oui, dessus. Je vous prends un morceau de peau. Et j’imprime en 3D un treillis, un tissu conjonctif en collagène ou en plasma riche en plaquettes et je l’active.

George : On injecte les cellules.

Emery : J’injecte les cellules là. Et on le fait pousser et on le place dessus.

George : Et ils ont un nouveau nez ou je ne sais quoi.

Emery : Un nez neuf.

George : Si un clone s’accouple avec un clone, qu’est-ce que ça donne ? Un clone ?

Emery : C’est une bonne question, car quand on y pense, ce clone numéro un était-il… avait-il un lignage de l’autre clone ? Car mâle ou femelle, il faut le considérer comme ça : d’où venait ce clone ? De quel lignage ADN ? Vous savez, c’est comme pour une famille, bien sûr, dont les membres ne devraient pas se reproduire entre eux, car cela crée des anomalies.

George : Oui, absolument.

Emery : Et je ne sais pas pourquoi ils le feraient. Mais oui, c’est tout à fait possible. Ils ont tous les organes sexuels pour procréer.

George : Ils sont opérationnels.

Emery : Complètement opérationnels. La question est, dans un projet, s’ils voulaient le faire, ça serait pour faire une super race ou un super être. C’est la seule raison…

George : Vous imaginez un peu ce qu’Hitler aurait fait avec cette technologie s’il l’avait perfectionnée ?

Il en aurait abusé.

Emery : Oui, c’est une pensée effrayante.

George : Très. Oui, et comment sait-on que les extraterrestres n’en abusent pas ainsi ?

Emery : Eh bien, l’Allemagne a une longue expérience avec les extraterrestres. Et vous savez, je crois qu’ils en ont rencontré.

Et je sais qu’Hitler savait probablement certaines de ces choses. Mais ça devait rester secret. Et ils ne pouvaient s’en servir pendant la guerre, c’était l’accord, d’après ce que j’ai pu entendre. C’était une chose très intéressante, se rendre compte qu’il avait la technologie, mais ne l’a pas utilisée contre nous pendant la guerre, et contre l’Europe. Mais qui dit qu’il ne l’a pas utilisée sur lui-même ? Et sur ses hommes de confiance, autour de lui?

George : Il est cloné quelque part. Il ne manquerait plus que ça, hein ? Et certaines personnes veulent vivre éternellement. Ces multimillionnaires, s’ils ont la capacité de faire ce dont on parlait : télécharger la mémoire dans des corps clonés… Ils s’offrent un nouveau corps tous les 20 ans.

Emery : Oui, et imaginez s’ils avaient une mèche de cheveux de Marilyn Monroe ou…

George : De n’importe qui, de John Kennedy.

Emery : Voilà, oui. Ils peuvent facilement reproduire un clone à partir de cette petite quantité d’ADN.

George : Vous avez un bagage scientifique. Avez-vous participé à des pratiques de clonage ?

Emery : Je n’ai qu’indirectement pris part à ces projets. Et je ne suis au courant que parce que j’étais dans la même zone où ils clonaient des plantes, des animaux, des extraterrestres et où ils les mélangeaient. Ce n’est que plus tard que j’ai appris, par mes auxiliaires et aussi grâce à la bibliothèque spéciale, comme je l’appelle, comment ils s’y prenaient et y parvenaient très bien.

George : Je ne comprends toujours pas le motif du clonage en dehors… Je veux dire, les organes, je comprends. Mais on tue un corps, un humain pour prendre son foie, ses reins, son cœur.

Je ne suis pas d’accord avec ça. C’est horrible. L’enjeu ici semble plus grand. Qu’est-ce que c’est ?

Emery : Je pense qu’ils tentent, diaboliquement, de créer une sorte d’armée ou un truc dans le genre. N’oubliez pas : ils peuvent cloner toutes sortes de trucs effrayants, pas seulement des humains. Pour les utiliser contre nous, comme sorte de méthode de contrôle ou mode de contrôle.

Et sans parler comme un conspirationniste, je pense qu’on ne peut pas imaginer un autre type d’objectif. Pourquoi vouloir remplacer… Ou pourquoi vouloir lâcher 100 000 clones au milieu du grand public ? Pour créer quoi ?

George : Ils ont un plan secret…

Emery : Il se passe quelque chose…

George : …pour faire quelque chose. Ils seront peut-être tous comme dans Un crime dans la tête. À tout moment, ils appuient sur un bouton et les clones font tout ce qu’ils veulent.

Emery : Oui, ils utilisent le clonage dans des exercices, aussi.

George : C’est-à-dire ?

Emery : Eh bien, ils ont de grands centres souterrains avec des villes qui imitent différents types de villes ou de pays dans le monde. Et ils utilisent des gens de type clone à qui on a implanté des souvenirs pour tester des systèmes de combat biologique, des armes de différents types, des armes à fréquences scalaires.

George : Pour voir s’ils peuvent survivre à une catastrophe.

Emery : Oui, mais c’est aussi pour voir comment le public réagirait à une catastrophe dans une région, disons, Washington DC.

George : D’accord.

Emery : On aura des installations de simulation plus réelles qu’à Hollywood, vous savez. Et les gens, en gros, se réveillent sur un banc ou chez eux, et sachant déjà qu’ils doivent aller travailler ou… Ils ont une tâche prédéterminée… Ils croient vraiment qu’ils sont tombés endormis en lisant le journal.

George : Oui.

Emery : Puis une catastrophe quelconque survient, ou une épidémie, une épidémie virale, disons. Et ils veulent voir comment les gens réagissent. Et ils veulent l’enregistrer aussi, car ils vendront ces informations à d’autres entreprises, ces horribles armes, en disant : « Voilà ce qu’on peut faire. On a fait une simulation. Et voici le résultat. »

Et donc, ils le vendront à ce pays, puis retourneront leur veste pour le vendre à tel groupe terroriste.

Et j’ai vu ces endroits.

George : Pensez-vous que ces clones, Emery, ont déjà été introduits dans la société ? Mélangés avec nous ?

Emery : Je crois… Je crois à 100% qu’il y a des clones parmi nous qui ne savent pas qu’ils sont des clones et qui sont placés à des postes qui, pour une raison quelconque…

George : Et qu’est-il arrivé au vrai humain que le clone remplace ?

Emery : Eh bien, s’ils remplacent quelqu’un, généralement c’est que la personne a été éliminée ou qu’elle va peut-être subir…

George : Une disparition ?

Emery : Oui, une disparition ou autre. Mais il y a aussi des clones qui se baladent, qui sont des travailleurs qui…

George : Il pourrait…

Emery : …ne suivent pas de plan…

George : …y avoir deux moi. Moi et le clone quelque part.

Emery : Oui.

George : Genre en Angleterre, par exemple.

Emery : Oui, voilà. Mais c’est qui « ils » ?

Emery : J’en reviens toujours au seul et unique qui a le pouvoir et l’argent pour le faire, c’est-à-dire ces gigantesques entreprises, vous voyez, le top 10 des entreprises mondiales qui récoltent tous les bons trucs. Ils ont les meilleures technologies, car ils reçoivent tout des extraterrestres. Toujours en premier.

George : Oui.

Emery : Et qu’elles soient utilisées à bon escient, c’est très rare. Mais beaucoup… toutes nos avancées technologiques viennent de ces sociétés. Je vois donc ça d’un bon œil aussi, grâce à beaucoup de trucs utilisés en chirurgie pour sauver la vie des gens, on les utilise dans les camions de pompiers, dans les services de police et pour des trucs qui prolongent la vie. C’est juste…

George : Les clones, Emery, ont-ils leur propre personnalité ? Je veux dire, agissent-ils par eux-mêmes ?

Emery : Oui, en fonction de l’objectif de ce clone ou pourquoi il a été créé ou comment il a été élevé, le clone a pu être implanté dans une famille quand il avait trois ans et élevé avec une vie normale.

George : Et il a grandi comme un être humain.

Emery : Comme un être humain et guidé vers un certain poste, disons, dans un gouvernement, pour faire quelque chose, et plus tard, on lui a peut-être dit qu’il était un clone. Ou pas. Et donc, tout le monde peut avoir sa personnalité. Mais ce n’est pas le cas pour tous. Et certains clones peuvent être contrôlés mentalement. Ils peuvent être placés dans une famille et activés plus tard, un peu comme dans Un crime dans la tête. Et soudain…

George : Pour agir.

Emery : …cette personne a basculé sans raison, a tué des gens, n’a aucune idée de pourquoi, mais elle l’a fait. Et finit en prison.

George : Oui.

Emery : Et beaucoup de choses sont comme ça. Des guerres recommencent car ils pensent que quelqu’un leur a volé quelque chose ou a fait quelque chose aux membres de leur famille ou…

George : Des gens réclament que le cloneur chinois soit arrêté. Et vous ?

Emery : Je ne suis pas ici pour juger. Je peux juste partager mon opinion. Je ne crois pas… Je crois que ça doit être réétudié et que plus de scientifiques et d’universités doivent participer. Et les Nations Unies doivent participer. Et dire ce qui est éthiquement… ce qui est éthiquement correct pour ça.

Car quand on commence à se rebeller, c’est là que tout peut partir en vrille. Et il faut prouver aux gens sur la planète et aux dirigeants pourquoi c’est positif et en quoi ça peut être utile à la population.

C’est ce que je dis à tout le monde, quand on me pose des questions sur des trucs en lien avec la personnalité : en quoi cela peut être utile à tout le monde ?

Clone-t-on les baleines à bosse car on doit, par la suite, pouvoir les recréer, parce qu’il n’en restera aucune ? Pour ce qui est des humains, c’est quelque chose de délicat, à cause de l’esprit. Et qu’en est-il de l’âme ?

Et, vous savez… Fait-on grandir cette personne en état de stase jusqu’à un certain âge, sans la réveiller, et en la gardant dans le coma, pour qu’elle n’ait pas une vraie vie ? Cultive-t-on ce clone sans cerveau ? Vous savez, utilise-t-on uniquement la structure d’un tissu ?

Il y a tant de questions auxquelles répondre, le grand public et les leaders mondiaux doivent se pencher sur le cas de cette personne et peut-être la guider dans une direction différente. On doit attendre que la science avance et penser à ce qui est éthique et comment l’utiliser dans un but de préservation.

George : Emery, merci de participer à « Divulgation Cosmique ».

Emery : Merci à vous, George.

George : Je suis George Noory. Merci d’avoir suivi « Divulgation Cosmique ».


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