Les 33 arches de résonance de l’âme – 22ème arche

Vingt-deuxième arche : Temps Fractal Globalement Incorporé et Rétroaction Trans-temporelle

L’univers unique méta-temporel méta-singularité qui englobe toutes les possibilités, probabilités, actualités de l’espace-temps, toutes les singularités individuelles.

La ligne temporelle originale de l’évolution de la Terre, oubliée depuis longtemps sauf dans les mythes les plus anciens.

Un ensemble de lignes temporelles alternatives principales de la Terre qui se développent.

De nombreuses alternatives régionales intégrées dans chaque ligne de temps terrestre globale alternative.

De nombreuses lignes alternatives locales intégrées dans chaque ligne régionale.

De nombreuses lignes alternatives individuelles intégrées dans chaque ligne locale.

De nombreux individus créent de concert de nouvelles lignes temporelles de réalité locale à globale.

À des moments critiques de l’histoire temporelle créative, un événement majeur de regroupement de plusieurs lignes temporelles se produit.

La période actuelle du deuxième millénaire sur Terre, dans l’histoire temporelle de l’univers, est probablement l’un des plus grands événements de regroupement de lignes de temps jamais observés.

Cette chronologie et cette histoire actuelles sont un projet majeur de reconstruction et de régulation temporelle en cours de la part de nombreux groupes différents de voyageurs du temps.

Beaucoup de Terriens ont migré plusieurs fois la conscience de leur âme vers des lignes temporelles alternatives globales différentes, et la ligne temporelle de la réalité terrestre actuelle dans laquelle nous nous trouvons, produit et produira une explosion de singularités alternatives.

De nombreuses lignes temporelles qui « meurent » sont simplement abandonnées. Moins il y a de parties de co-création conscientes impliquées, moins un univers contient et préserve d’énergie évolutionnaire quantique. La singularité s’affaiblit.

Par rapport à une nouvelle ligne temporelle et à une nouvelle dimension, s’il n’y a plus de sensibilité consciente dans une ancienne ligne temporelle, la réalité se rétracte relativement à sa vitesse instantanée de probabilité future attendue comme une propagation dans le trans-temps, et un nouveau modèle se reflète.

Par rapport à notre point d’actualisation quantique consciente du « temps présent », la vue de notre onde stationnaire, la causalité massique-quantique antérieure se « dé-crée » de manière relativiste, dans le sens où son point de focalisation conscient « précédemment expérimenté » est maintenant passé et subsumé sous le rêve du soi « actuel ».

Relativement parlant, l’énergie de l’âme consciente quantique actuelle, tachioniquement présente, n’est plus concentrée à cet endroit, de sorte que la ligne de temps diminue en puissance d’attracteur quantique, en effet, elle devient encastrée quantiquement. L’histoire et la croissance de l’âme qui se sont produites dans ces domaines, au moment où elles se sont produites, de manière relativiste, ne sont pas du tout abrogées.

Mais du point de vue de l’évolution de l’âme, dans un futur optimal, l’accessibilité à la réalité globale « antérieure » et les niveaux d’énergie quantique co-créative inhérents sont atténués. D’un certain point de vue, la seule différence entre le rêve et la réalité est la « probabilité » et l' »actualité » quantique relativiste.

C’est à son tour la différence entre l’enveloppement quantique de l’ordre implicite de Bohm (après un événement de manifestation post-explicitation). C’est la différence entre les champs morphiques qui n’atteignent pas ou atteignent notre potentiel d’explication physique relativiste.

L’histoire de la manifestation se replie dimensionnellement par rapport au temps présent ultérieur, elle existe comme information de rêve mais n’est plus le centre de gravité de la force vitale. Le temps et l’espace, qu’ils soient passés ou futurs, sont repliés de manière relativiste.

Selon les charges d’apprentissage quantique de l’âme en évolution, la torsion scalaire générée par la conscience dans l’espace-temps peut propager l’information instantanément, n’importe où, à n’importe quel moment. Toute conscience propage l’information morphique et la causalité, en dehors du temps linéaire, dans une réflexion non-locale, trans-temporelle.

Cette boucle de rétroaction super-temporelle fournit une réflexion trans-temporelle « post-événement » « en arrière » dans le temps linéaire. La boucle de rétroaction trans-temporelle future se couple autour d' »événements précurseurs » quantiques initiateurs qui sont des projections de signaux quantiques « en avant » du présent linéaire relatif.

Ce système de transmission de signature hyperspatiale est le moyen par lequel la phase de l’univers quantique conjugue la mutualité co-créative appropriée, la création, l’accommodation, l’économie, le moindre effort, en réponse efficace au libre-arbitre quantique humain et à l’évolution créative.

La nouvelle ligne du temps est une probabilité émergente dans l’existence physique actionnée. L’ancienne ligne temporelle est une réalité une fois investie, retournée à une simple probabilité d’existence. De la simple possibilité à la probabilité à l’actualité, et de nouveau à la possibilité. C’est la migration de l’âme des lignes temporelles moins évoluées vers des lignes temporelles plus évoluées. Les lignes de temps sont abandonnées ou complétées.

L’actualité revient à la probabilité et finalement à la simple possibilité. Les composants de l’âme migrent vers d’autres singularités universelles d’existence et d’évolution plus utiles.

C’est le sens des choses à long terme. C’est la structure du rêve physique par et entre les humains et la création causale mutuelle.

Toutes les réalités « une fois créées » existent dans leur propre temps, espace et phase, avec toutes leurs énergies résidentes, mais dans le temps de l’évolution. Dans le temps de l’évolution relativiste, les réalités qui réussissent génèrent et développent plus d’énergie que celles qui sont abandonnées.

La perception de la vie dans une ligne de temps est fonction des lignes de temps à partir desquelles on regarde.

Chaque individu voit la ligne de temps globale dans laquelle il est intégré, mais ne semble généralement pas pouvoir l’influencer consciemment.

Dans la mesure où vous influencez réellement la ligne globale, vous pouvez soit vous déplacer vers une Terre alternative qui existe déjà avec vous dedans (vous y êtes arrivé plus tôt dans une scission antérieure), soit générer une ligne de temps entièrement nouvelle de singularité quantique globale à un certain niveau d’échelle.

Il suffit d’un nombre suffisant de participants volitifs pour générer un univers ou une singularité macro-quantique spatio-temporelle distincte.

Si de nombreux agents volitifs individuels ont une symétrie d’intention évolutive ensemble, alors ils s’associent ou se joignent morphiquement pour partager les conséquences de manière co-créative. Il s’agit de la loi du moindre effort, de la duplication minimale de l’inclusion universelle du semblable qui attire le semblable.

Les lignes de temps globales sont des accrétions collectives volontaires, des réalités consensuelles. Différentes Terres globales alternatives, reflètent différents bassins d’accord de consensus, différentes réalités de co-création de consentement mutuel et d’implication d’un groupe d’êtres sensibles opérant en symétrie.

Encore une fois, l’économie de la création d’une ligne de temps est un regroupement d’êtres sensibles conscients en évolution le long de chemins d’accord mutuel aux vecteurs différents. L’accord mutuel entre de nombreux individus génère un courant global de temps qui se dirige vers un futur distinct.

Pensez au méta-temps comme à un océan, et chaque ligne temporelle alternative comme à un courant différent mais proche, presque autonome, contenu dans son propre verrouillage de phase à la méta-singularité, chacun existant dans une position de phase différemment couplée dans l’hyperespace englobant. Il existe de petites zones nulles, ou nœuds, entre les principaux courants d’activité, ou antinœuds.

En poursuivant l’analogie avec l’océan, les vagues régionales et les molécules d’eau individuelles se rejoignent toutes pour produire un courant principal.

Si l’énergie d’un courant est suffisamment réduite, il peut finir par s’arrêter ou se désintégrer, ses énergies constitutives étant absorbées par des courants plus forts à proximité, dont l’action des vagues et le mouvement de l’eau entraînent l’énergie restante dans la cohérence homéostatique du système.

Dans la carte temporelle de la méta-histoire, la Terre du début du 21e siècle est le sujet d’un tsunami énergétique temporel multidimensionnel.