Je viens de publier sur mon site Terre Promise, cet article : « De la Conférence de la PEUR à celle de la HONTE » qui nous rappelle des événements qui auraient dû marquer les consciences. La conférence d’EVIAN en 1938, et ce qui a suivi…
L’article ci-dessous de Céline Pina nous rappelle comment les lâchetés, le collaborationnisme et l’antisémitisme peuvent aveugler les « bien-pensants ».
Je sais que vous y avez tous pensé. L’état des derniers otages libérés fait penser à la sortie des camps de la mort. Et ce n’est pas un hasard. C’est parce que c’est la même haine qui revient et qui est à l’œuvre.
Ce n’est pas pour rien si Nazis et Frères musulmans (la maison mère du Hamas) ont été alliés dans les années 40. L’antisémitisme est au cœur de leurs matrices respectives. L’idéologie du Hamas, comme sa Charte, ne cache rien de son antisémitisme, de son refus de l’égalité, de sa glorification de la violence et de la mort, de sa haine de l’altérité et de sa volonté d’esclavagiser ou de détruire tous ceux qui ne pensent pas comme eux.
Les Gazaouis, dans leur immense majorité, ont applaudi, soutenu et participé à un crime contre l’humanité.
Radicalisée et conditionnée par le Hamas, cette population dans sa majorité adhère à une idéologie violente et fascisante et soutient le fait d’exécuter un pogrom et de se servir en esclaves. Pour elle c’est légitime. Elle participe d’ailleurs à la prolongation du crime originel du 7/10 en maltraitant les otages en famille si on peut dire.
C’est pour cela que le crime est toujours en cours. Tant qu’un seul otage sera torturé par ces barbares, le 7/10 ne sera pas terminé.
Les libérations au compte-goutte des otages prolongent ce crime, comme l’horreur que constitue la proposition d’échanges de corps d’otages morts contre celui de terroristes vivants. Dernière preuve du nihilisme et de la haine des Gazaouis: outre les images de leurs tentatives de lynchage d’otages terrifiés, la mise en scène sordide consistant à faire défiler les otages sur une estrade où les slogans promettent d’autres 7 octobre.
Le Hamas a été vaincu, mais à cause de la lâcheté de nos dirigeants, il parade.
Ces images, nos dirigeants et nos représentants les ont vues. Ils peuvent constater que les terroristes sont gras et les otages, squelettiques.
Pourtant ces imbéciles ont fait pression sur Israël et uniquement sur Israël, les forçant à procurer de l’aide à ceux qui les massacrent.
Or ils savaient pertinemment qu’il n’y avait pas de génocide à Gaza, que c’était un mensonge du Hamas. Mais ils se sont tus. Résultat, les Juifs ont subi de graves agressions dans nos propres pays et l’antisémitisme a explosé en Europe.
Si l’extrême-gauche a inoculé le poison, c’est le silence de nos gouvernants qui l’a rendu crédible.
Aujourd’hui, quand on voit ces images et que l’on pense que certains veulent aider à la reconstruction de Gaza, pour que le Hamas et les Gazaouis puissent commettre d’autres 7 octobre, on se pince.
Nous n’avons pas à subventionner des gens qui se comportent comme des Nazis. Nous devons les combattre.
Alors comment se fait-il que la communauté internationale se taise face à ces images !?! C’est parce qu’elle compte continuer à cautionner l’horreur?
Les Etats-Unis, eux, ont acté le fait que les Palestiniens ont toujours refusé de se constituer en Etat car la volonté de détruire les Juifs est plus importante pour eux que de donner un avenir à leurs enfants.
Prenons-en acte, arrêtons le mythe de la solution à deux états et ce statut absurde de réfugié à vie et laissons ceux qui n’ont que leurs « frères palestiniens » à la bouche accueillir ces gens qui ont refusé toutes les solutions.
Or les pays arabes ne le veulent pas. La seule utilité des Palestiniens pour eux c’est le danger qu’ils représentent pour Israël. Des réfugiés, ils se lavent les mains car ils ne se font aucune illusion sur leur violence et leur dangerosité. L’exemple du Liban et de la Jordanie les a instruit.
Pour nous, démocrates, humanistes et européens, notre place est à côté d’Israël et nous n’avons pas à soutenir les Nazis du XXIème siècle que sont le Hamas et le peuple qu’il a éduqués. On peut le regretter et cela est regrettable car les enfants pourraient connaître un meilleur destin en échappant à cette idéologie, mais aujourd’hui le statu quo est mort : personne n’a envie d’avoir le Hamas et ses sbires pour voisin ou concitoyen, même pas les régimes islamistes. En continuant à soutenir ce simulacre de « solution à deux états », nous mettons en danger Israël, la démocratie et nos sociétés car le délire palestinien est utilisé comme une arme de déstabilisation massive des sociétés occidentales.
Alors regardons en face ce qui nous menace car les islamistes rêvent de répéter le 7 octobre et pas qu’en Israël.
Plus vite nos dirigeants l’admettront plus vite ils cesseront de financer l’UNWRA et le mensonge palestinien.
© Céline Pina
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