La démocratie moderne, même au sein des nations démocratiques, s’est souvent transformée en un spectacle politique où les plus hautes fonctions sont occupées par des individus assez particuliers.
Par exemple, lors des prochaines élections américaines, les électeurs pourraient avoir l’impression de choisir entre une « mauvaise » ou une « très mauvaise » option. Ce sentiment est reconnu par beaucoup, y compris par les dirigeants républicains et démocrates.
La structure politique semble être telle que même des personnalités populaires comme Nikki Haley, soutenue par des partisans influents, ont peu de chances d’accéder à la Maison Blanche. Cela soulève des questions sur la nature de la démocratie alors que les citoyens ordinaires, dépourvus de ce soutien, semblent n’avoir aucune chance.
Du 27 mai au 1er juin aura lieu à Genève un rassemblement qui suscite l’inquiétude de certains.
Ils craignent qu’une personnalité non élue et irresponsable puisse se voir accorder un niveau d’autorité mondiale sans précédent, avec le pouvoir de déclarer des situations d’urgence, d’exiger des vaccins et des passeports vaccinaux.
Ce personnage pourrait également avoir le pouvoir de fermer des usines, de stopper le commerce mondial et de censurer les opinions dissidentes.
Vingt-quatre gouverneurs expriment leurs inquiétudes quant à un accord sur la pandémie qui, selon eux, accorderait au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, de vastes pouvoirs en cas d’urgence.
Dans leur correspondance avec le président Joe Biden, ils soutiennent qu’il devrait s’abstenir d’approuver l’accord car il pourrait permettre à l’OMS de proclamer une urgence sanitaire mondiale, obligeant potentiellement les États-Unis à mettre en œuvre des quarantaines et des mandats de vaccination.
Des négociations sont en cours entre les responsables de la santé des 194 États membres de l’OMS concernant le texte de l’accord, visant à renforcer la collaboration pour lutter contre les futurs agents pathogènes suite aux millions de décès causés par le coronavirus.
Cet accord, qui met à jour les réglementations sanitaires existantes concernant les épidémies et introduit un nouveau traité juridique contraignant, devrait être finalisé lors de l’Assemblée mondiale de la santé prévue du 27 mai au 1er juin à Genève, en Suisse.
Cela pourrait représenter l’expansion la plus significative de l’autorité de l’agence depuis sa création en 1948.
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