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Le IIIe Reich au Moyen-Orient et la fabrication d’un conflit

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Après la Seconde Guerre mondiale, alors que le monde traquait les criminels nazis, certains ont trouvé refuge là où on les attendait le moins : au Moyen-Orient. Égypte, Syrie…

Des centaines d’anciens SS et dignitaires du IIIe Reich ont été recrutés par des régimes arabes en quête de savoir-faire militaire, de renseignement et… de propagande.

Avec un accès inédit aux archives des services secrets allemands (BND) et à d’autres sources internationales, ce documentaire dévoile comment ces hommes, autrefois au service du Reich, ont contribué à la reconstruction d’armées et de réseaux d’espionnage pour lutter contre Israël.


Mais ce n’est pas tout : certains anciens collaborateurs de Goebbels ont exporté leurs techniques de propagande, nourrissant un nouvel antisémitisme dans la région.

Depuis Rome, plaque tournante des nazis en fuite, ils ont été exfiltrés sous l’œil complice de figures influentes comme l’évêque Alois Hudal, avec l’aide du Vatican et de la Croix-Rouge internationale.

Parmi eux : Walther Rauff, architecte des camions à gaz utilisés pour l’extermination des Juifs, ou encore Franz Stangl et Gustav Wagner, bourreaux des camps de Sobibor et Treblinka. Un réseau clandestin, une fuite orchestrée, une impunité glaçante : découvrez cette face cachée de l’après-guerre.

Le IIIe Reich a-t-il survécu au Moyen-Orient ?

1946 : La renaissance des ombres

Rome, 1946. Les nazis fuient, spectres dans la nuit, traqués mais insaisissables. Officiellement, ils s’effacent. En vérité, ils ressurgissent : Égypte, Syrie, Palestine. Le Vatican et la Croix-Rouge, mains tendues dans l’ombre, leur glissent des passeports vierges, des vies réinventées. Walter Rauf, l’homme qui a conçu les camions à gaz pour étouffer des milliers de Juifs en Europe de l’Est, pose ses valises à Damas. C’est là qu’il sculpte les services de renseignement syriens, redessine la police secrète sur le modèle de la Gestapo, avec le feu vert du régime. La machine de mort redémarre, silencieuse.


« Un espion israélien, l’oreille collée à une radio clandestine, capte une onde. C’est le choc : des unités syriennes marchent sous les ordres d’officiers allemands. »

En 1948, Israël naît dans le sang, encerclé par la guerre. Un espion israélien, l’oreille collée à une radio clandestine, capte une onde. C’est le choc : des unités syriennes marchent sous les ordres d’officiers allemands. Alois Brunner, bras droit d’Eichmann, l’architecte de la déportation de 100 000 Juifs, se terre à Damas. Il murmure à l’oreille des services secrets : surveiller, torturer, briser.

« l’Islam doit stopper la conquête juive »

Au Caire, Johann von Leers, disciple de Goebbels, débarque en conquérant. Sous le nom d’Omar Amin, il s’incruste au ministère de l’Information de Nasser. Sa plume venimeuse ressuscite les Protocoles des Sages de Sion, hurle sur les ondes que « l’Islam doit stopper la conquête juive ». À ses côtés, Louis Heiden et Franz Büchner, vieux loups de la propagande du Reich, inondent les journaux d’État de théories conspirationnistes. Leur credo ? La lutte contre Israël prolonge le combat nazi.

« Au Caire, Johann von Leers, disciple de Goebbels, débarque en conquérant. Sous le nom d’Omar Amin, il s’incruste au ministère de l’Information de Nasser. »

Pendant ce temps, les années 50 s’ouvrent sur un marché macabre. Égypte et Syrie recrutent à tour de bras : dizaines d’officiers SS et de la Wehrmacht traversent la Méditerranée. Wilhelm Voss, maître des usines d’armement du Reich, dope l’arsenal égyptien. Artur Schmitt, vétéran de l’Afrika Korps de Rommel, rêve d’une armée panarabe pour rayer Israël de la carte. Wilhelm Fahrmbacher entraîne des unités d’élite, Gerhard Mertins forme des parachutistes et trafique des armes dans l’ombre. Le blitzkrieg nazi inspire, les stratégies s’affinent, la guerre se prépare sous un nouveau drapeau.

Un héritage toxique

La haine nazie mute, se fond dans l’antisionisme, s’enracine. 1956, la crise de Suez éclate. Nasser expulse les Juifs d’Égypte, les désigne comme une « cinquième colonne » au service d’Israël. Dans la presse, les caricatures antisémites rappellent Der Stürmer, le torchon de Julius Streicher. Les slogans du Troisième Reich résonnent dans les manuels scolaires, les discours officiels, les radios d’État. Le Juif, ennemi éternel, devient une obsession gravée dans le sable.

« L’antisémitisme qui ronge une partie du monde arabe ne naît pas seulement du conflit avec Israël. Il s’abreuve à la source nazie, un héritage récupéré, poli, intégré dans les machines d’État. »

Ce passé reste tapi dans l’ombre, une page qu’on évite de lire.

Pourtant, ses cicatrices sont là, profondes. L’antisémitisme qui ronge une partie du monde arabe ne naît pas seulement du conflit avec Israël. Il s’abreuve à la source nazie, un héritage récupéré, poli, intégré dans les machines d’État. Ces criminels de guerre, recyclés pour une nouvelle croisade, ont semé un poison durable. Une vérité dérangeante, occultée, qui continue de hanter les mentalités et les politiques, tapie sous la surface du présent.

Le Quatrième Reich … une continuité…

Union Européenne, ONU, UNRWA, OTAN, Islamisme, Wokisme, Climatisme, Palestinisme, Grand Remplacement …

ÉTAT PROFOND INTERNATIONAL … juste une suite …


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