En 2010, un avion en partance du Canada pour l’Australie a soudainement disparu des radars au-dessus de l’océan Pacifique.
La communication avec les pilotes a été perdue. La situation a dégénéré. Selon diverses estimations, cela aurait pu être dû à une panne d’équipement ou à une situation d’urgence, notamment un crash au-dessus de l’océan.
Conformément au protocole d’urgence, plusieurs avions et hélicoptères ont été dépêchés sur place. L’avion de ligne disparu n’a pas été retrouvé. Après 17 heures d’absence totale, il est réapparu sur les radars et a décollé de l’Antarctique au-dessus de l’océan Austral.
Le pilote a atterri sans encombre à Sydney, après quoi lui et tous les passagers ont été conduits au centre médical le plus proche pour examen et évaluation de leur état. L’enquête a alors commencé.

Les passagers, au nombre de 183, ont raconté à peu près la même histoire.
L’avion aurait percuté un nuage et survolé une terre inconnue. Ce n’était ni l’Australie, ni la Nouvelle-Zélande, ni aucun État insulaire. En contrebas se trouvait un continent aux paysages époustouflants : d’immenses étendues vallonnées couvertes de forêts verdoyantes.
Au même moment, la connexion téléphonique était complètement coupée. Les hôtesses de l’air ont demandé aux passagers de ne pas s’inquiéter, promettant de leur fournir des informations sur la localisation prochainement. Le pilote lui-même n’en croyait pas ses yeux. Les indicateurs de l’appareil s’affolaient, et il est passé en mode manuel.
Les forêts laissaient place à une vallée de réservoirs aux formes inhabituellement carrées, comme artificiels. Autour d’eux se dressaient des structures rondes ou ovales en matériau blanc. Leur taille était surprenante, car même vues d’en haut, elles semblaient gigantesques. Quel genre d’endroit était-ce ? Il ne pouvait y avoir de grandes îles dans l’océan Pacifique, surtout sous ces latitudes.
Après avoir traversé un complexe étrange ou une ville étrange, des pyramides de la même matière blanche apparaissaient devant les passagers. Une rivière coulait devant elles, et une route menait à chacune d’elles, empruntant des transports semblables à de petits trains monorails.
Ce morceau de terre inhabituel ne pensait même pas à se terminer. 99% de son territoire était constitué de forêts denses, et on aurait pu supposer que l’avion survolait quelque part la jungle amazonienne ou africaine, si ce n’était pour les structures qui surprenaient tous ceux qui regardaient.
Seuls les stades ou les plus grandes usines du monde pouvaient rivaliser avec eux en taille, tant leur envergure était grande. Le pilote communiquait avec le personnel et ne pouvait expliquer ce qui se passait. Au lieu de l’océan, ils survolaient une terre inconnue. Les tentatives de contact échouaient à chaque fois. Heureusement, il restait suffisamment de carburant dans les réservoirs pour voler un bon bout de temps.
Certains passagers ont commencé à photographier le paysage à travers les hublots. Lorsque l’avion a finalement atteint Sydney et que l’enquête a été ouverte, tous les supports numériques ont été confisqués aux passagers, car cela était nécessaire pour recueillir des données et comprendre la situation dans son ensemble.
De nombreuses photographies montraient effectivement la jungle, des lacs carrés et des bâtiments colossaux.
Le fait que l’avion soit apparu au-dessus des eaux de l’océan Austral laissait penser que les photos montreraient un paysage enneigé, mais ici, des motifs tropicaux étaient plus probables.
Après une semaine d’enquête, le pilote a été placé en garde à vue. Tous les supports numériques des utilisateurs ont été réinitialisés aux paramètres d’usine et leur mémoire a été effacée.
Les personnes concernées se sont retrouvées sans aucune preuve matérielle de ce vol inhabituel. Les autorités ont déclaré l’incident de l’avion clos.
La version officielle est la suivante :
« Le pilote a pris les commandes de l’avion et a éteint les équipements de communication. Pour une raison inconnue, il n’a pas suivi la route prévue, mais l’a modifiée et a survolé la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Par manque de respect des règles et par des actions non autorisées, le pilote a mis en danger la vie de l’équipage et de tous les passagers de l’avion.
L’enquête a révélé des anomalies psychiques et psycho-émotionnelles chez M. R. Hodges. »
Après l’incident, beaucoup ont affirmé qu’il ne s’agissait certainement pas de Papouasie-Nouvelle-Guinée, et que de telles structures et lacs n’existaient nulle part sur Terre. Les chercheurs ont tenté de trouver une information similaire sur Google Maps, mais en vain.
De ce fait, une version est apparue selon laquelle il existerait en réalité d’autres continents inconnus ou spécialement cachés hors de l’Antarctique.
Une autre hypothèse parle de mondes parallèles.
La troisième, la plus répandue, affirme que de tels événements n’auraient pas pu se produire et qu’il s’agissait d’une action planifiée. J’ignore si c’est vrai, mais des messages de passagers de cet étrange vol faisaient parfois état de phénomènes inexpliqués sur les forums.
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