Ultime semaine avant l’élection présidentielle américaine. L’avenir de notre monde se joue sous nos yeux. Et nous pouvons avoir peur… !
Effectivement, lorsque nous parlons avec les gens nous comprenons que la propagande du Quatrième Reich a fonctionné. La guerre du Bien contre le Mal, se heurte à l’incompréhension des masses facilement influençables. Il y a même des gens très intelligents qui manquent totalement de discernement.
Donald Trump savoure le succès du Madison Square Garden, le candidat républicain espère réduire l’écart avec Kamala Harris dans certains États du Blue Wall. En parallèle, Jeff Bezos souhaite orienter le Washington Post avec un angle plus conservateur.
Qu’est-ce que le « Blue Wall » que Trump souhaite détruire ?
Nul besoin d’être bilingue en anglais pour comprendre la signification du « Blue Wall » qui se traduit littéralement en français par « le mur bleu ». Cette expression a été inventée en 2009 par le journaliste américain Ron Brownstein. En somme, il s’agit d’États américains qui sont acquis aux idées du parti démocrate.
Ainsi, les Républicains ont peu de chance de percer ce mur dans le cadre des élections. En tout, ce sont 19 États qui composent le célèbre «blue wall», donnant aux démocrates un avantage certain pour le scrutin. En effet, la totalité des grands électeurs de ces bastions représentent 238 grands électeurs. Parmi les plus connus figurent la Californie, New York ou encore l’Illinois.
Toutefois, cet état de fait n’a pas toujours existé dans l’histoire politique américaine. En effet, les deux élections du candidat républicain Ronald Reagan en 1980 et 1984 ont entraîné deux vagues rouges qui se sont abattues sur la quasi-intégralité des États américains. À cette époque, le parti démocrate était en déroute. Notamment à cause du mauvais bilan de Jimmy Carter qui a donné l’impression aux Américains que leur pays avait basculé dans une forme de décadence.
Trump vs Harris : le point d’une élection sous haute tension
Dans quelques jours seulement, les Américains seront appelés aux urnes pour élire leur prochain président. Le duel opposant Kamala Harris à Donald Trump atteint son point culminant dans un contexte de forte polarisation politique. Ainsi, une question demeure : Qui a les meilleures chances de remporter la Maison-Blanche ?
Il convient d’abord d’analyser les sondages, bien qu’il faille les prendre avec précaution. Selon le site FiveThirtyEight, qui agrège les sondages à l’échelle nationale, Kamala Harris se situe actuellement à 48,1 % d’intentions de vote, tandis que Donald Trump la suit de près avec 46,7 %. Cependant, avec une marge d’erreur de 2 %, ces chiffres pourraient basculer d’un côté comme de l’autre.
Cependant, il ne faut pas oublier le fonctionnement particulier de l’élection présidentielle américaine, un suffrage indirect où les électeurs votent pour des grands électeurs. Si un candidat remporte la majorité des voix dans un État, il gagne tous les grands électeurs de cet État : c’est la fameuse règle du Winner Take All. Ce système, conçu par les pères fondateurs qui ne faisaient pas entièrement confiance au vote populaire, peut parfois mener à des résultats inattendus. Ainsi, il est possible de remporter le vote populaire sans accéder à la présidence, comme l’a vécu Hillary Clinton en 2016 face à Trump.
Walz jouait à un jeu vidéo pendant que Trump organisait le meeting de New York
Une opération de séduction pour attirer les électeurs masculins avant le scrutin, le colistier démocrate Tim Walz et la représentante Alexandria Ocasio-Cortez ont opté pour une stratégie peu conventionnelle : jouer à Madden NFL, un jeu de football américain, sur la plateforme de streaming Twitch.
« Les dimanches sont faits pour le football ! En route, AOC », a tweeté Walz.
Le duo s’est connecté à Twitch dimanche après-midi, lors des matchs de la NFL, pour discuter de l’élection imminente. Ocasio-Cortez a révélé qu’ils avaient planifié ce live-stream quelques semaines auparavant, lorsque Walz a exprimé son désir de jouer ensemble. Ils ont choisi Madden, un jeu de football américain. Vêtu d’une casquette camouflage, Walz a rejoint la diffusion après 30 minutes, juste avant de se rendre à un rassemblement électoral au Nevada.
Cependant, cette approche légère masque l’inquiétude des démocrates.
Durant le live-stream, Walz n’a pas hésité à proférer des attaques contre l’ancien président Donald Trump, tout en insistant sur la nécessité pour les démocrates de reprendre le contrôle de la Chambre des représentants et de maintenir la majorité au Sénat.
« Nous ne partageons pas tous les mêmes idées, mais la nécessité de vaincre Trump cette année est ma priorité absolue », a déclaré Ocasio-Cortez.
Cette fixation sur Trump, plutôt que sur des questions tangibles, soulève la question : les démocrates sont-ils vraiment en mesure d’offrir des solutions concrètes aux défis actuels, ou se contentent-ils d’une rhétorique anti-Trump pour masquer leur manque de vision ?
Jeff Bezos souhaite plus de journalistes conservateurs au Washington Post
Jeff Bezos, propriétaire du Washington Post, aurait donné pour mission au journal d’ajouter davantage de journalistes conservateurs à sa section opinion, marquant une étape significative vers une diversité idéologique.
Selon un rapport du New York Times, le fondateur d’Amazon, qui est la deuxième personne la plus riche au monde avec une fortune évaluée à 211 milliards de dollars, souhaite que son journal atteigne un public plus large en intégrant des perspectives de droite.
Bezos a choisi de rester discret concernant la controverse entourant la décision de ne pas soutenir un candidat lors de l’élection présidentielle de 2024.
Bien que certains membres influents du personnel aient exprimé des inquiétudes, cette démarche vers un journalisme plus diversifié est saluée comme une nécessité dans un paysage médiatique majoritairement à gauche de l’échiquier politique américain.
Marty Baron, ancien rédacteur en chef du journal lors de l’achat par Bezos, a critiqué cette décision. En engageant Will Lewis, ancien directeur du Wall Street Journal, Bezos cherche à renforcer l’équipe de direction avec des professionnels reconnus.
La décision d’ajouter des voix conservatrices pourrait également permettre aux lecteurs de mieux comprendre les positions adverses et d’encourager un débat plus ouvert sur les questions qui comptent vraiment pour l’avenir du pays.
Selon les simulations informatiques, le candidat républicain gagne 54 duels sur 100. Il a donc toujours plus de chances de remporter le scrutin.
Pourquoi Donald Trump va non seulement devenir le futur président des Etats-Unis dans 2 semaines, mais va écraser cette élection comme aucun autre candidat .
- Évolution des soutiens : De nombreux groupes qui jouent un rôle clé dans les élections, tels que les syndicats de travailleurs et les syndicats des forces de l’ordre, ont manifesté leur appui pour Trump. Ce soutien est significatif, car il provient de secteurs qui influencent largement l’opinion publique et mobilisent les électeurs.
- Perte de confiance envers les minorités : Nous constatons une baisse de l’engagement de certaines communautés, y compris parmi les électeurs afro-américains, latinos et musulmans dans des États stratégiques comme le Michigan, où le vote des minorités avait pourtant été déterminant en 2020.
- Prédictions de figures influentes : Des analystes de renom, comme Nate Silver, estiment aujourd’hui que Trump a de fortes chances de sortir victorieux. Ce genre d’analyse, fondée sur des données et non de simples impressions, renforce l’idée d’un véritable élan vers une victoire écrasante. Silver est un statisticien, sabermétricien et écrivain américain spécialisé dans les calculs statistiques des résultats de la Ligue majeure de baseball et des élections.
- Climat économique et politique : La baisse de confiance dans l’économie, l’immigration, la politique étrangère et le désenchantement vis-à-vis de l’administration actuelle traduisent un besoin de changement chez les Américains, en quête d’un leadership solide.
- Un soutien grandissant parmi d’anciens Démocrates : Des figures importantes, autrefois affiliées aux Démocrates, comme Tulsi Gabbard et Robert Kennedy Jr., se sont détournées de leur parti pour manifester un soutien implicite ou explicite à Trump. Ces ralliements marquent une désillusion de la part de certains Démocrates et envoient un message fort à un électorat en quête de changement.
- Des voix influentes du secteur technologique : Elon Musk, avec sa plateforme X (anciennement Twitter), joue un rôle décisif dans la campagne actuelle en faveur de Donald Trump. X est devenue la plateforme de réseaux sociaux la plus influente au monde, offrant aux partisans de Trump un espace pour partager et défendre leurs idées sans les restrictions de censure souvent imposées par d’autres géants de la tech. Contrairement aux autres plateformes où les algorithmes limitent ou bannissent certains types de discours, X permet aux supporters de Trump de critiquer ouvertement les politiques adverses, de dénoncer les éventuels biais médiatiques et de soulever des inquiétudes sur des questions sensibles, comme la fraude électorale. Cette liberté, rarement tolérée sur d’autres réseaux, permet aux partisans du Trumpisme de se mobiliser, d’échanger librement et de contrer la désinformation, tout en communiquant directement avec une audience massive.
- JD Vance, le joker : Vance est un atout majeur pour Trump, grâce à ses origines modestes en Ohio, un État clé. Son parcours de self-made man lui permet de connecter directement avec la classe ouvrière, renforçant la base de Trump dans la région. Contrairement à Tim Walz, perçu comme issu de l’establishment, Vance incarne un outsider proche des préoccupations des Américains ordinaires. Son authenticité et sa popularité locale apportent un avantage crucial pour attirer les électeurs dans des États décisifs pour la victoire.
- Les poursuites judiciaires contre Trump et les tentatives d’assassinat : Elles sont vues par beaucoup comme injustes, ont renforcé sa popularité, même chez certains Démocrates. Ces attaques, perçues comme motivées politiquement, ont suscité de la sympathie pour Trump, solidifiant son image d’outsider et de défenseur du peuple face à l’establishment. Cela a accru son soutien et renforcé son attrait comme candidat du changement. De plus, ces attaques alimentent son récit de lutte contre le système établi, tout en maintenant son image au centre de l’attention médiatique. Dans un climat politique déjà polarisé, ces événements renforcent les divisions et incitent ses partisans à le défendre encore plus, ce qui peut expliquer son soutien croissant.
En fin de compte, au-delà des sondages, ce sont les soutiens d’anciens Démocrates, l’appui de figures majeures comme Elon Musk, et des changements profonds dans les dynamiques électorales qui indiquent que Donald Trump n’est pas seulement sur le chemin de la victoire, mais pourrait bien l’emporter de manière décisive.
🚨 À sept jours des élections américaines🇺🇲, le @nypost révèle que @Tim_Walz a eu une liaison amoureuse avec la fille d'un responsable du Parti communiste chinois🇨🇳 pendant son séjour d'enseignement à Foshan.
Cette liaison a été si orageuse qu'elle l'a poussé au bord du suicide. pic.twitter.com/DRnzV1pvlS— Trump Fact news 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) October 28, 2024
Trump est-il raciste ?
Les images et les faits parlent d’eux-mêmes.
Pendant plus de huit ans, les médias et une partie de la classe politique, en particulier du côté des démocrates, ont dépeint Donald Trump comme un raciste, islamophobe et antisémite. Cependant, les faits montrent qu’il a souvent agi en sens contraire de ces accusations en travaillant pour l’unité du peuple américain et pour la paix au-delà des frontières.
Premièrement, il est essentiel de reconnaître que les accusations de racisme ne se limitent pas à des déclarations isolées, mais s’étendent à des politiques et des comportements perçus. Cependant, les sondages des dernières élections montrent une tendance surprenante : un nombre croissant de membres de ces minorités commence à soutenir Trump. Des études et des sondages indiquent que le soutien des Afro-Américains et des Latinos pour Trump a augmenté, remettant en question l’idée selon laquelle ces communautés seraient systématiquement opposées à lui.
Cette évolution peut être attribuée à plusieurs facteurs.
1: D’une part, certains électeurs minoritaires voient dans les promesses économiques de Trump, comme la création d’emplois et la réduction des impôts, un moyen d’améliorer leur condition de vie.2: D’autre part, les politiques de Trump sur l’immigration et la sécurité peuvent résonner différemment au sein de ces communautés, qui aspirent à la sécurité et à la stabilité.
En parallèle, les démocrates, qui ont longtemps considéré ces minorités comme leur bastion électoral, semblent perdre leur emprise. De nombreux électeurs expriment un sentiment de déception envers les promesses non tenues et les résultats jugés insuffisants des politiques démocrates. Ils cherchent peut-être des alternatives qui répondent mieux à leurs préoccupations économiques et sociales, ce qui les amène à reconsidérer leur allégeance.
Loin d’encourager la division, Trump a mené des initiatives en faveur de la paix et de la coopération entre diverses communautés. De plus, il a promu des accords de paix historiques entre des pays arabes et Israël, cherchant ainsi à renforcer la stabilité au Moyen-Orient et à encourager le dialogue entre cultures et religions différentes.
Ainsi, il est crucial de dépasser les stéréotypes simplistes et de reconnaître la diversité des opinions au sein des minorités. Le soutien croissant envers Trump témoigne d’un désir de changement et d’une réévaluation des priorités politiques. La dynamique actuelle souligne que le débat sur le racisme et les préjugés est complexe et que les allégeances politiques ne sont pas figées.
Les électeurs, qu’ils soient Afro-Américains, Latinos, Juifs ou Musulmans, cherchent des solutions concrètes à leurs défis quotidiens, et il est impératif que les partis, démocrates comme républicains, prennent en compte cette réalité mouvante.Plutôt que de diviser, Trump a donc cherché à fédérer et à promouvoir la prospérité pour tous, prouvant par ses actes qu’il n’était pas l’homme dépeint par ses détracteurs. Ses initiatives montrent qu’il a poursuivi une vision de l’unité et de la paix, tant pour les Américains que dans ses relations internationales.
🚨🇺🇲Opinion @Trump_Fact_News
Trump est-il raciste ? Les images et les faits parlent d’eux-mêmes.Pendant plus de huit ans, les médias et une partie de la classe politique, en particulier du côté des démocrates, ont dépeint Donald Trump comme un raciste, islamophobe et… pic.twitter.com/6psUqLxq5a
— Trump Fact news 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) October 29, 2024
🚨Une information dont les médias n'ont pas fait état.
Récemment, Donald Trump a fait un don de 7 millions de dollars à Samaritan's Purse pour aider les personnes touchées par la catastrophe en Caroline du Nord.
C'est un autre exemple des bonnes actions de Trump dont on entend… pic.twitter.com/Oj8SyFuCEv
— Trump Fact news 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) October 28, 2024
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