Cas de conscience

La guerre des mondialistes contre la maternité

Pourquoi la gauche veut effacer les mères ?

Les démocrates sont mécontents du fait que le président Donald Trump ait renommé l’ancien golfe du Mexique, mais veulent remplacer le mot « mère » par « personne inséminée ». Cela ne s’invente pas.

La guerre de la gauche contre le langage a atteint un nouveau niveau de folie et, cette fois, elle a jeté son dévolu sur l’une des institutions les plus sacrées et les plus fondamentales de l’existence humaine : la maternité.

Dans le Wisconsin, le gouverneur démocrate Tony Evers et son administration font pression pour que le mot « mère » soit supprimé des documents officiels et remplacé par le terme stérile et déshumanisant de « personne inséminée ».

Si cela vous semble absurde, c’est parce que ça l’est.


Il ne s’agit pas d’un simple changement bureaucratique mineur, mais d’une attaque délibérée et calculée contre le concept même de famille, de genre et de réalité biologique. La gauche mène cette guerre depuis des années, mais elle dit désormais tout haut ce qu’elle veut.

Elles ne veulent pas seulement ce qu’elles appellent « l’inclusivité » ou le « progrès ». Elles veulent démanteler et redéfinir l’essence même de ce que signifie être mère.

Il ne suffit plus à la gauche radicale de contrôler les médias, le monde universitaire et les entreprises américaines. Elle veut désormais contrôler le langage lui-même.

Leur objectif est simple : s’ils peuvent redéfinir les mots que nous utilisons, ils peuvent remodeler notre culture, nos valeurs et notre compréhension de la vérité.


En remplaçant « mère » par « personne inséminée », ils effacent l’amour, le sacrifice et le rôle irremplaçable que les mères ont joué dans la société depuis la nuit des temps. Ils veulent réduire l’expérience humaine la plus profonde – le lien entre une mère et son enfant – à un processus froid et clinique.

Pensez au message que cela envoie aux jeunes femmes et aux mères de tout le pays. Le miracle de l’accouchement, l’instinct nourricier qui a défini la civilisation humaine, est réduit à rien de plus qu’une « insémination ».

C’est offensant, dégradant et profondément anti-femme.

Pendant des décennies, les féministes se sont battues pour les droits des femmes et la reconnaissance de leur contribution unique à la société. Aujourd’hui, ironie du sort, les soi-disant progressistes d’aujourd’hui effacent activement la féminité elle-même.

Ils nous disent que les hommes peuvent devenir des femmes, que le genre est une construction sociale et que la maternité n’est qu’une fonction biologique qui peut être décrite en termes purement mécaniques.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment en sommes-nous arrivés au point où les mêmes personnes qui défendaient autrefois les droits des femmes nous disent aujourd’hui qu’une femme n’est rien d’autre qu’une « personne inséminée » ?

Ce n’est pas un progrès, c’est une régression. Si nous acceptons cette folie, où s’arrêtera-t-elle ?

Si « mère » est offensant, quelle est la prochaine étape ? « Père » devient « fournisseur de sperme » ? « Famille » est remplacé par « cohabitation légale » ?

L’obsession de la gauche pour le démantèlement des valeurs traditionnelles est une voie dangereuse qui mène à une société complètement détachée de la réalité.

En fin de compte, la langue est importante. Les mots façonnent notre culture, nos croyances et notre identité. La gauche radicale le sait, c’est pourquoi elle est si déterminée à la contrôler. Mais les conservateurs – et tous les autres Américains qui croient encore à la vérité – doivent rester fermes.

Les mères ne sont pas des « personnes inséminées ». Elles sont le cœur de la famille, la pierre angulaire de la civilisation et les personnes mêmes qui donnent la vie à ce monde. Aucune gymnastique linguistique de gauche ne changera jamais ce fait.

Evers et ses alliés peuvent essayer de réécrire le dictionnaire, mais ils ne peuvent effacer la vérité. Et la vérité est la suivante : la maternité est irremplaçable, et nous ne resterons pas les bras croisés pendant que la gauche radicale tente de l’effacer.

« L’effacement des mères, du féminisme à la haine de la maternité »

Les femmes, les femmes, les femmes… elles sont partout. À en croire la vulgate actuelle, elles seraient plus fortes que les hommes, elles auraient tout inventé et si elles étaient au pouvoir, nous vivrions dans le meilleur des mondes possibles. Mais qui se soucie des mères ?

Les femmes font de moins en moins d’enfants en France et en Occident en général. L’hexagone a longtemps tenté de résister en s’appuyant sur des politiques familiales structurées (crèches, allocations, congés spéciaux, etc…) mais l’indice de fécondité a fini par chuter nettement.

Encourager les femmes à faire des enfants n’est pas une chose possible à l’heure actuelle pour un homme politique.

Eve Vaguerlant remonte dans ce livre à la source idéologique de ce tabou.

Elle y trouve principalement l’idéologie féministe issue des années 70. Elle montre que, dès son origine, le féminisme n’a pas seulement eu pour vocation de libérer les femmes de l’emprise de leur père et de leur mari, mais de les éloigner de la maternité. Et y a parfaitement réussi : aujourd’hui en Europe, c’est une femme sur quatre qui restera sans enfants. Dans le féminisme moderne, la négation de la différence des sexes a poussé à rejeter en priorité la première caractéristique du féminin, à savoir la possibilité de porter la vie. Simone de Beauvoir, restée elle-même sans enfants, y voyait une réduction de la femme à une fonction biologique.

Aujourd’hui, les arrière-petites-filles de madame de Beauvoir prônent une idéologie qui, à terme, niera purement et simplement l’existence de l’homme et de la femme. La théorie du genre, actuellement en pleine expansion, fait du féminin un choix, un « ressenti », entièrement déconnecté de toute réalité biologique.

A force de nier le féminin, le combat féministe risque de perdre tout sens en ne militant pour aucune des causes qui aideraient les femmes dans leur quotidien, précisément parce qu’elles refusent de les voir comme des mères potentielles.

Ce livre se propose non seulement d’analyser les différentes origines du renoncement progressif à la maternité dans nos sociétés mais aussi de réfléchir à des solutions pour renouer à l’avenir avec la maternité.

Voir sur Amazon

En Angleterre, un tiers des maternités utiliseraient le terme « personnes enceintes » au lieu de « mères »

Les femmes enceintes deviennent des « utilisatrices de services »

Le Daily Mai a enquêté auprès de plus de 120 établissements médicaux gérant des unités de maternité du National Health Service (NHS), le système de la santé publique du Royaume-Uni, afin de découvrir à quel point la terminologie dite « inclusive » préconisée par certaines associations LGBT était utilisée par ces hôpitaux dans leur communication, notamment sur leur site web.

Le résultat est assez stupéfiant : 42 de ces établissements, soit 34 %, ont cédé face à ces injonctions en adoptant désormais des termes tels que « personnes qui accouchent » pour désigner les patientes de la maternité. Ou, poussant le niveau de soumission toujours plus loin, « utilisatrices de services ».

À l’inverse, seulement 29 établissements questionnés ont déclaré n’utiliser que le mot « femme » ou « mère » pour parler de la grossesse. Quinze autres envisageraient d’introduire des termes tels que « personnes enceintes ».

En France, une nouvelle bible woke pour les sages-femmes supprime le mot « mère » et recommande des termes comme « parent gestationnel ».

Selon ce manuel du délire, les termes classiques comme « allaitement maternel » et « maman » devraient être remplacés par des expressions grotesques comme « allaitement thoracique » et « personne enceinte ».

Ce nouveau guide pour les médecins, issu de l’esprit tordu d’un groupe de sages-femmes et d’universitaires progressistes, propose un remaniement linguistique aussi inutile que ridicule pour, soi-disant, être « plus accommodant ».

Dans ce festival d’absurdités, les sages-femmes sont désormais invitées à parler de « parent gestationnel » plutôt que de mère, et à transformer le « père » en simple « membre de votre équipe de soutien ». Comme si la parentalité se résumait à une équipe de foot.

Quant au « lait maternel », il devient « lait humain » ou, plus scandaleux encore, « lait du parent nourricier ». Ces termes ridicules semblent sortir tout droit d’un sketch de satire, mais hélas, c’est la réalité dans laquelle on veut nous plonger.

Le guide, publié dans un journal qui aurait mieux fait de rester dans l’obscurité, prétend vouloir promouvoir la « décolonisation du genre » et la « justice reproductive ».

Autrement dit, un jargon pompeux pour justifier une déconnexion totale avec la réalité. On ne s’étonne pas que certains experts médicaux aient sonné l’alarme, craignant que ce langage absurde déshumanise les mères et crée des attentes irréalistes pour les parents transgenres. Mais bien sûr, dans l’univers woke, la réalité n’a plus droit de cité.

Pour couronner le tout, le guide pousse encore plus loin le ridicule en proposant de remplacer « gynécologue » par « spécialiste en santé reproductive ».

Tout cela soi-disant pour mieux refléter les diversités de genre et de sexualité. Mais au final, ces changements ne font qu’ajouter à la confusion.

Peut-on encore s’étonner que des critiques pointent du doigt l’impact désastreux de ces recommandations sur la santé publique ?

Ce qui est particulièrement troublant, c’est l’arrogance avec laquelle ces militants wokes imposent leurs idées farfelues sous couvert de progrès social.

Le bien-être de l’enfant ? La clarté des communications en matière de santé ? Tout cela passe au second plan dans leur croisade pour dénaturer la langue et réécrire les règles du bon sens. Heureusement, des voix sensées s’élèvent pour rappeler que ce langage « inclusif » pourrait bien causer plus de mal que de bien, en mettant en danger la vie des femmes et des enfants.

Il est grand temps de dire stop à cette dérive idéologique qui prétend tout transformer au nom d’une inclusivité dévoyée. Les mères sont des mères, les pères sont des pères, et l’allaitement maternel n’a pas à être rebaptisé pour plaire à une minorité bruyante.

Toute cette folie n’est qu’une nouvelle étape dans l’effort délibéré pour détruire les bases mêmes de notre société, et il est plus que jamais nécessaire de défendre le bon sens contre l’assaut du wokisme mondialiste déchaîné.


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

Bouton retour en haut de la page