Interview de David Adair par Corey Goode et David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 8 épisode 3
David Wilcock : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock. Dans cet épisode, nous revenons avec notre invité spécial, David Adair, un homme qui a pu découvrir la Zone 51.
David, merci d’être avec nous.
David Adair : Ravi d’être ici.
Wilcock : Vous décrivez cette chose qui semble sortie tout droit d’un film d’horreur. Vous avez cette créature extraterrestre, pour ainsi dire, entourée d’os et qui est gigantesque.
Vous n’aviez pas peur, à aucun moment ?
Adair : Vous êtes le premier à me poser cette question (sourire).
Merci, David. Non, je m’amusais.
La seule chose dont j’avais peur était Rudolph, en fait. Cet humain-là est dangereux.
Non, cette chose était juste… J’étais juste fasciné. Car, pour chaque chose que je vois, j’ai 50 questions qui suivent. Et quand la chose a commencé à interagir, avec les ombres et tout ça, j’ai pensé: « C’est quoi ce machin ? ».
Je me suis retourné vers Rudolph : « Je peux monter dessus ? ». Car l’os ressemblait à un treillis. Comme une cage thoracique tombant de chaque côté et se rejoignant au centre. La charpente s’entrelaçait, et elle protège la grande structure en dessous.
Wilcock : Pour monter comme sur une échelle ?
Adair : Oui, c’est ça, vous pouviez. Imaginez un grand squelette de dinosaure. On peut l’escalader. Comme il avait des angles et des structures horizontales et perpendiculaires, il y a moyen de l’escalader.
J’ai regardé Rudolph : « Je peux escalader ce truc ? ». Il a répondu, alors que l’Air Force disait que non : « Oui, vas-y ».
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Et je l’ai remercié. C’est la seule fois que je l’ai vraiment remercié. J’escalade donc ce truc. Alors que j’escalade l’os, là où je touche la structure osseuse, rien. Mais la grande surface lisse encastrée dans cette structure osseuse qui la protège, quand vous la touchez… Je nage… je vais à un endroit où on nage avec les dauphins et tout ça. On aurait dit de la peau de dauphin. Et vous la poussez fort, elle s’enfonce un peu, puis ça devient de la pierre. C’est donc un revêtement organique avec de l’acier ou une sorte d’alliage dedans.
Wilcock : Étiez-vous alors à 7,5 m du sol quand vous êtes arrivé en haut ?
Adair : Ça fait 4,5 m de haut et 6,5 m de large.
Wilcock : OK.
Adair : J’étais à 4,5 m du sol. Environ 1,5 m de plus qu’un panier de basket-ball. Ce qui est plutôt haut.
Wilcock : Oui.
Adair : Mieux vaut ne pas en tomber.
Wilcock : Vous ne vous tueriez pas, mais vous vous blesseriez.
Adair : Exactement. Je grimpe donc jusqu’en haut. Mais quand je m’arrête, je pousse contre la surface lisse et, alors, le machin… il a commencé à réagir. Là où ma peau touchait cette surface, sont apparues autour de ma main, tombant dedans en cascade, ces jolies ondes bleu et blanc. Comme cette machine à ondes pour calmer les directeurs… Cet appareil qu’on peut acheter.
Wilcock : Bleues et blanches, comme de la lumière ? Ou était-ce autre chose ?
Adair : C’était sa propre luminosité. On pouvait la voir en dehors de l’autre matériau. Et elle brillait un peu, en fait, et tombait le long du flanc. Vous retiriez votre main et ça se dissipait depuis l’extérieur, et revenait là où le premier contact avait eu lieu, et c’était le dernier endroit où ça se dissipait.
Wilcock : Avez-vous ressenti une décharge électrique, quand c’est arrivé ? De la chaleur ?
Adair : Pas de chaleur, mais il y avait quelque chose, car les poils de mon bras s’étaient dressés. Mais il n’y avait pas de décharge électrique. Peut-être statique, mais je ne la sentais pas.
Wilcock : D’accord.
Adair : Mais il se passait quelque chose. Je l’ai retirée, et je me suis retourné et ai regardé Rudolph, et j’ai mis ma main dessus, et ils me regardaient tous. Et l’expression de leur visage est… Je les ai regardés et ai dit… J’ai retiré ma main et regardé leur expression. Je remets ma main dessus et ils observent. « Vous n’aviez jamais vu ça, pas vrai ? ».
Wilcock : Ha ha !
Adair : Ça les a énervés. Apparemment, ils n’obtenaient pas de réaction, eux.
Wilcock : Il vous aime bien.
Adair : On dirait, oui.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Un chat aurait ronronné.
J’ai demandé à Rudolph si je pouvais monter jusqu’en haut. Il a dit : « Vas-y. ». L’Air Force : « Non. ». Lui : « Si, vas-y. ». Je vais donc jusqu’en haut. Et je marche sur ce qui semble… C’est très bizarre… On dirait une colonne vertébrale géante, avec ses vertèbres.
Wilcock : Wow !
Adair : Et il y a une plaque osseuse qui… Je dirais d’environ 1,20 m de large, puis les vertèbres où… Grâce à ça, c’est plus facile pour marcher. Je marche juste sur les vertèbres. Puis je remarque, entre les vertèbres, il y a un grand faisceau de… On dirait de la fibre optique. Ce n’est pas vraiment ça, car un fluide passe dedans. Pour mieux décrire ce fluide, imaginez : quand on était enfant, qu’on tombait, on s’écorchait les genoux. Maman arrivait avec cette bouteille, et on détestait ça, le Merthiolate [en français : le mercurochrome].
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Et ça brûle énormément sur la peau. Mais la couleur du Merthiolate était vraiment unique. C’est d’un vert orange bleuté iridescent. La bouteille en plein soleil, c’était vraiment très joli. C’est donc ça qui passait dans ces tubes.
Wilcock : Étrange.
Adair : Et ils longeaient toute la colonne vertébrale. Je me suis alors penché et ai regardé en bas, et c’était cool. Ces tubes sortent de la cage thoracique chaque… presque à chaque vertèbre, et s’étendent en tombant sur les côtés. Et quand vous reculez, depuis le sol, vous pouviez le voir clairement : on aurait dit le courant synaptique des neurones humains.
Wilcock : Ils ressemblaient donc à de la fibre optique. Ça ne semble pas très biologique.
Adair : Non.
Wilcock : Ça me rappelle les paroles d’une chanson : « À moitié fait, à moitié fiction, une vraie contradiction. ». Ça ressemblait à ça.
Wilcock : Ha ha ha ! C’est comme… Respirait-il ?
Adair : C’est ce que j’ai vérifié. Souvenez-vous, j’ai posé mes mains.
Wilcock : Oui.
Adair : Je me tenais là, silencieusement, et je cherchais une pulsation ou une respiration. Je n’ai rien senti. Mais je n’aurais pas été surpris.
Wilcock : Oui.
Adair : J’aurais sursauté s’il avait éternué.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Je marche donc là. Je me dirige vers… un huit, je crois, un sablier, une forme où ils se croisent. Juste au croisement… Zut, je ne sais pas où sont l’avant et l’arrière… Mais sur le côté face à nous, il y avait un trou profond.
Wilcock : Un trou ?
Adair : Un trou.
Wilcock : Il avait reçu un tir et était endommagé ?
Adair : Comme ça, oui. Et pour ajouter au suspens, imaginez : quelque chose comme une machine avec un trou d’explosion dedans, le métal serait acéré avec des éclats autour de la zone qui a reçu l’explosion. Ça serait très acéré. J’ai vu une photo, un jour, et ça y ressemblait vraiment. Quand on lance un harpon sur une baleine, son explosif explose, Dieu, ça a dû être terrible pour la baleine. Ils ont fait un trou dans la baleine, vous voyez, un grand trou. Et vous voyez sa graisse, n’est-ce pas ?
Wilcock : Oui.
Adair : C’est à ça que ressemblait ce trou. On aurait dit de la graisse, pas des éclats de métal. Et en fait… ça commençait à me troubler, car ça ressemblait à de la chair. Je me suis dit : « Mince, qu’est-ce… ». Je leur demandais : « C’est une machine, non ? Non, c’est organique. Non, une machine. ». Je changeais constamment d’avis, selon ce que j’avais vu.
Je me suis penché sur le côté et ai regardé dans le trou, et j’ai demandé à Rudolph : « Puis-je regarder dedans ? ».
Wilcock : Voyez-vous des lumières ou commandes ?
Adair : Non, il y fait sombre. Pourquoi ai-je voulu y aller ? C’est un peu fou, d’aller explorer un trou sombre.
Wilcock : Carrément. Car c’est presque une scène de film d’horreur (sourire).
Adair : J’ai pensé… qu’à ce stade, peu importe. Je fonce.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Je lui demande donc : « Puis-je ? ». L’Air Force est passée de « non » à « absolument pas ». Rudolph a dit : « Du calme. Oui, vas-y. ». Je rentre donc dedans, et je pensais que ça allait être mou. Que ça céderait. Mais non.
Wilcock : Ça sentait quelque chose ?
Adair : C’est une autre bonne question. Cette chose avait une odeur générale. Ça va paraître très étrange, mais ça sentait la boulangerie.
Wilcock : Vraiment ?
Adair : On pense d’habitude à des produits chimiques, du métal, etc., non ? Ce truc sentait les biscuits. Je ne sais pas ce que c’est. Bizarre. Je marche donc sur… sur la chair déchiquetée, la graisse, le métal, ce truc, quoi. Et quand on marche dessus, ça ne cède pas. Vous pouvez sentir que c’est comme du caoutchouc. Du caoutchouc bien dur, comme pour un pneu de tricycle. Et je me suis dit : « Mince, que… De quoi est fait ce truc ? ».
Je m’avance… m’accroupis et je glisse. Et dès que j’arrive dans le trou noir, une lumière s’allume. Une lumière bleue.
Wilcock : Vraiment ?
Adair : Bleu ciel très clair. Et je peux y voir des choses. Je regarde ça et pense : « Mince, quoi que soit ce qui interagit avec ce truc, ce doit être un anthropoïde bipède. ». Car il y a… le sol a une plateforme qui s’abaisse. Il y a une chaise, comme celles-ci [dans le studio d’enregistrement], on peut voir nos pieds. Ça signifie qu’on a les jambes pliées. Donc celui qui joue avec ce truc est bâti comme vous et moi.
Wilcock : De la même taille ? Plus grande ?
Adair : Environ la même taille.
Wilcock : D’accord.
Adair : Un peu plus grande, pour y être assis confortablement.
Je glisse donc là-dedans. Et c’est là que ça devient très intéressant. Il y a apparemment une centrale électrique dans ce vaisseau spatial. Sans nul doute. L’explosion est passée par le trou de l’engin, sur le côté du moteur, pour arriver à cet espace. Et je crois que cet endroit est un centre de diagnostic. Là où le personnel d’entretien ou l’équipage s’asseyait sur cette chaise… Il n’y a pas de chaise, mais on peut en voir quelques restes. Mais l’explosion est passée à travers le mur, et a fait voler la chaise dans ce mur.
Wilcock : Quelle est la taille de cette pièce ?
Adair : Comme entre vous et moi [1,5 à 2 m environ].
Wilcock : Oh, elle est petite alors.
Adair : Comme un cockpit.
Wilcock : D’accord.
Adair : Mais ce mur-là, à droite, où on s’assied, il a une fenêtre d’observation. J’ai trouvé que c’était vraiment cool, car s’il est en marche, on peut voir le plasma passer dans ce machin.
Wilcock : Wow !
Adair : Ça serait génial. Pas vrai ? Mais l’explosion a traversé le mur, puis vous trouvez le blindage électromagnétique, le champ. Ce qui a explosé là, soit le mur, le champ l’a arrêté ou ils se sont arrêtés mutuellement. Car dès qu’il y a eu contact, simplement car ce type d’explosion a eu lieu et le reste est intact, vous auriez dû le fermer en une picoseconde, soit 0,001 nanoseconde. Sinon, l’appareil aurait été pulvérisé par la chaleur dans le champ de plasma, dans le champ électromagnétique. Rien n’aurait survécu. Donc il se ferme avec une sécurité intégrée. Comme lors d’une urgence. Donc, si on a tiré sur ce truc, il savait exactement où frapper.
Wilcock : Wow !
Adair : Au centimètre près. Ils savaient où tirer pour que ce truc se ferme et qu’il reste intact.
Wilcock : Avez-vous cherché une surface de commande ?
Adair : Oui. En fait, je me suis assis sur les restes de la chaise. Et en face de moi, il y avait deux grosses capsules de la taille d’un ballon de volley coupé en deux. Elles avaient des indentations là où vont vos doigts. Pas comme ça, toutefois.
La seule façon de placer votre main, nous, c’est de mettre ces deux doigts comme ça.
C’est ce qu’on a ici. Puis vous les placez et les enfoncez jusqu’à ce que le dessus de la main soit dans le même plan que la surface des capsules.
Wilcock : Vous dites qu’il y avait plus d’espace là où les deux doigts vont ensemble ?
Adair : Oui, juste assez pour les enfoncer jusqu’à ce que le dessus de vos doigts soit au niveau des capsules.
Wilcock : Ah, d’accord.
Adair : C’est visiblement ce qu’on est censé faire.
Wilcock : C’est intéressant, David, car ça ressemble très fort à ce où Arnold Schwarzenegger met sa main à la fin de « Total Recall ». Je me demande s’ils vous ont pris l’idée, car vous avez dû parler de ça avant ce film.
Adair, Oui, je me souviens. Sauf que ce sont ces deux doigts-ci, dans « Total Recall », pas ceux-là.
Mais c’est très similaire.
Adair : Oui. Bon, j’ai fait comme ça.
Wilcock : D’accord.
Adair : Mais dans « Recall », il me semble que le reste n’est pas arrivé (sourire). Je m’assieds. J’ai enfin mes mains en place. Et dès qu’elles sont en place, je me dis : « C’est cool, elles rentrent. ». Et ces anneaux apparaissent et s’emboîtent comme dans… J’ai vu un film de Batman avec la Batmobile et son bouclier. Et ça fait tching, tching, et elle est couverte. C’est ce qui est arrivé, mais plus vite que pour la Batmobile. Ça a fait tching, tching, tching [David Adair prononce cela rapidement], et ils arrivaient aux jointures.
Wilcock : Wow !
Adair : Et ce truc vous avait attrapé. Et les anneaux se sont resserrés. J’ai cru qu’ils allaient me couper les doigts. Je n’ai… J’ai commencé à crier à l’aide. Et c’est… L’interaction avec ce truc était… c’est pour ça qu’il a été créé. Les mécaniciens mettaient leurs mains dedans. Je ne l’ai pas construit. Je ne connais pas le vocabulaire. Je ne sais rien. Je me demande juste ce qu’ils en faisaient. Mais c’était conçu pour la maintenance. Et avec cette fenêtre sur le champ de plasma, ils devaient faire des alignements.
J’ai vu autre chose dans le champ de plasma. J’ai ces plaques très spécialisées qui font bouger le champ électromagnétique pour que… pour plus d’efficacité.
Wilcock : Oui.
Adair : Ils avaient une sorte de tétraèdre retourné. Ils étaient alignés le long des murs, mais tous en ligne de vue directe entre eux. Je crois que c’est comme ça qu’ils… Je ne sais pas. C’était juste…
Wilcock : Vous y avez vu des tétraèdres ?
Adair : Oui.
Wilcock : Pourquoi retournés ?
Adair : C’est une façon… Vous connaissez les étoiles de Moravie ?
Wilcock : Oui.
Adair : D’accord. Imaginez que vous prenez cette étoile et la retournez, la pointe irait dans ce sens et elle irait dans l’autre [David Adair fait des gestes montrant une pointe allant vers la droite et une autre allant vers la gauche].
Et je voyais… C’est comme une sorte de matrice inversée, inconnue de l’homme. C’est peut-être en lien avec la polarité des champs électromagnétiques. Je ne sais pas, je ne l’ai pas conçu.
Wilcock : C’est vrai, ha ha !
Adair : Je peux vous garantir, ils étaient plus intelligents que moi. J’ai mémorisé certains designs que j’ai vus dans cette chose, par contre. J’ai donc triché quand j’ai assemblé ma propre version. C’était leurs idées. Elles étaient meilleures.
Wilcock : Donc, vous devez avoir peur. Cette chose… « prrrrt » ! elle a recouvert vos mains.
Adair : Oui, j’ai commencé à paniquer et j’ai crié à l’aide. Et il… J’entends une voix. Et on aurait dit Lauren Bacall, ha ha !
Wilcock : Vraiment ?
Adair : Une voix féminine et sensuelle, et elle… Comme Jessica Rabbit, je crois.
Wilcock : Ha ha !
Adair : Elle a dit : « Calme-toi. ». Et ça a suffi. Et j’ai dit : « OK ». (sourire)
Moi, genre : « Bon sang ! Je suis bête ou quoi ? Je suis entré dans un engin extraterrestre, ai mis ma main là, et il me retient [par les mains], Dieu seul connaît la suite. ». Je me suis dit que je n’allais pas analyser la situation. C’était trop.
Cette phrase me revenait constamment : « La curiosité est un vilain défaut. ». Il y avait définitivement un échange d’informations.
Je me rappelle, cette chaleur intense remontait le long de mes bras. Et au niveau de mon cou, de la carotide, soudain, vous avez une tête au-dessus de la vôtre.
Wilcock : Oh, Wow !
Adair : Et les images que vous voyez sont incroyables. Je n’y comprenais rien. J’ai vu différents systèmes stellaires. Ce que j’ai retenu, ce sont les impressions. Ils nous parlent comme ça, d’une certaine façon. Car on ne parle pas leur langue, comment communiquer, sinon ? Eh bien, nous ressentons des émotions. C’est un autre monde, une autre façon de communiquer, comme le langage corporel. Ce sont des émotions et des impressions.
Wilcock : Avez-vous vu des hiéroglyphes ou des écritures inhabituelles ?
Adair : Non, mais j’ai vu des civilisations entières, des mondes avancés.
Ce truc est une centrale énergétique qui… Il se connecte à un appareil plus grand. Puis il y a l’équipage. Tous les trois sont des êtres conscients. Imaginez que la centrale est vivante. Votre navette est vivante, ainsi que votre équipage, et vous évoluez en symbiose les uns avec les autres.
Wilcock : Wow !
Adair : Ça, c’est du voyage dans l’espace !
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Ça élimine presque le besoin de limiter les dégâts. Pensez-y. Vous avez des ennuis, vous êtes percutés, vous êtes le capitaine, sur le pont. Personne ne doit vous dire où le… Vous savez où vous avez été touché, car vous le sentez. Vous en êtes conscient. On vous a fait un trou dans le flanc. Vous le savez. Même si vous n’avez pas de visuel, vous savez où se trouve l’ennemi autour de vous.
Wilcock : Exact.
Adair : (sourire) La Marine ne voudrait pas avoir ça ?
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Donc, j’ai pensé… Ça m’a paru des heures. Ça n’a sûrement été que quelques minutes, car les gens en bas ne semblaient pas être inquiets que ça dure ou que j’y sois resté trop longtemps.
Je sors de là. Dès que j’arrive à l’ouverture, la lumière s’éteint. Comme ça, simplement. Avec une sorte de senseur.
Wilcock : Ça m’intrigue.
Avez-vous vu, dans ces visions, à quoi ressemblaient ces gens avant ou leur civilisation ? Les édifices…
Adair : Oui, quelques trucs me sont restés en mémoire.
Cette société symbiotique est visiblement… Elle est vraiment très ancienne. On ne parle pas de milliers d’années. Ou de millions d’années. Elle a huit ou neuf milliards d’années.
Wilcock : Vraiment ?
Adair : C’est ce qu’il y a de plus ancien dans l’univers. C’est juste… C’est la toute première espèce de l’univers.
Pas de la galaxie, de l’univers.
Wilcock : Wow !
Adair : Et ils vivent dans l’espace entre les galaxies.
Wilcock : Ah oui ?
Adair : Comme une baleine dans les grandes profondeurs. C’est là que ces choses vivent, je suppose.
Ils sont un mélange d’une espèce de… Maintenant nous le savons… une espèce de Borg. Ils sont un mélange de vie et de structure, en même temps, tout en même temps.
Wilcock : Avez-vous senti s’ils étaient des êtres positifs ? Pas une race maléfique ?
Adair : Non. Mais apparemment, je ne peux… Juste des images, des impressions. Cette chose a dû participer à un combat long et destructeur. Et elle a été blessée. C’est bien le mot. Elle a été blessée lors d’un conflit et elle a cherché un endroit où atterrir. Pour se réparer ou se soigner. Je ne sais pas lequel des deux.
Wilcock : Hum.
Adair : Où sommes-nous, en tant que planète dans notre galaxie ? Où sommes-nous ? Nous sommes juste à sa limite.
Wilcock : Oui.
Adair : Elle est entrée dans notre galaxie. La première planète à la vue, la première de classe M étant la nôtre. Elle s’y pose, donc. Ils ont peut-être trouvé cette chose. On ne pourrait pas abattre ce genre de chose. Non.
Wilcock : En effet.
Adair : Non, ils l’ont déterrée. Ils ont peut-être construit la Zone 51 pour ça, car ils y ont trouvé un trésor, ce qui signifie que la navette est quelque part et elle est grande. Si vous suivez cette matrice, l’équipage ne pas être loin.
Wilcock : Pensez-vous qu’un réacteur comme ça pourrait alimenter… pourrait avoir assez d’énergie pour alimenter une ville entière comme Los Angeles ?
Adair : Oh, pas seulement la ville. Toute la planète.
Wilcock : Vraiment ?
Adair : Vous savez, les porte-avions arrivent. Un de nos porte-avions était à Beyrouth, ils ont fait marcher les réacteurs dans la ville, et ils ont alimenté tout Beyrouth en énergie jusqu’à ce que fonctionne l’infrastructure. La ville avait été bombardée entièrement.
Cette chose a pu atterrir ici. Cette centrale peut facilement être extraite. Elle a seulement quatre points de déconnexion. On pourrait donc l’extraire et alimenter toute la planète avec.
Wilcock : Wow !
Adair : C’est juste… Je ne connais pas la puissance de ce truc. Imaginez, pas juste une étoile jaune comme la nôtre, de taille moyenne. Vous y mettez un million de Terres, car c’est grand. Ce machin a la puissance d’une géante bleue.
Wilcock : Wow !
Adair : Il n’a pas de limite. Et imaginez l’armement de quelque chose comme ça. Mais il semble n’en avoir jamais eu besoin. Peut-être pour se défendre.
Je sors donc de ce truc, et mon attitude avait changé. C’était une très bonne question, savoir si j’avais peur.
Je n’ai jamais eu peur de cet appareil ou d’autre chose dans la Zone 51. Arthur Rudolph était le plus terrifiant.
Je sors de là, mais je suis furieux quand j’en sors. Car j’avais vu beaucoup de choses. Et je me rends compte que personne ne sait tout ça. Personne n’a le droit de cacher ce type de savoir à personne.
Je m’arrête et m’adresse à eux, les types de l’Air Force et Rudolph. J’ai… Ils me posent des questions, et… Oh, ils voulaient savoir si j’avais appris quelque chose sur son fonctionnement. Ça a été la goutte de trop. Je leur ai crié : « Écoutez, cette chose n’est pas à nous. Ce n’est pas aux Soviets. Et en fait, ça n’est pas du coin, pas vrai ? ». Je continue : « C’est vieux ? Vous l’avez depuis longtemps ? L’avez-vous abattue ? Je ne crois pas. Vous l’avez déterrée ? ».
Ils sont maintenant irrités et furieux. Mais à ce point, je m’en fiche et je leur dis alors : « Personne, président ou chef d’Etat, n’a le droit de cacher ce type de savoir à toute la race humaine. ».
Wilcock : Vous leur avez dit ça ? (sourire amusé)
Adair : Oh, oui, tout à fait ! Un bon endroit…
Wilcock : En pleine Zone 51 ?
Adair : Oui, l’endroit rêvé… Ha ha ha ha !
Wilcock : Ha ha ha ha !
Adair : Je n’y avais jamais pensé avant. Je devais être en train de prêcher.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Et regardez d’où je le faisais, ha ha !
Adair : Je ne sais pas… J’ai eu ce… D’habitude, je suis décontracté. Mais là, j’étais tout simplement furieux. Je dis toutes ces choses et j’ai pensé : « Tu leur as vraiment dit ça ? ». Et je suis furax.
Bon, ils sont fâchés. Ils me disent de descendre de ce foutu machin. Je descends et pose ma main sur la partie lisse de l’intérieur de ce truc. Dès que je le touche, tombant sur 9 à 9 mètres le long du truc, bien plus long que les ondes bleu et blanc, ce sont maintenant des flammes rouges et oranges, à mi-chemin du corps de ce truc, où je le touche. Je retire ma main et la plaque de nouveau. Et ça y est.
Alors que je m’émerveille à ce qui se passe, sa réaction diminue. Et il redevient bleu et blanc, car je me suis calmé. Ce n’est pas un alliage à reconnaissance thermique. C’est à reconnaissance émotionnelle. Cette chose me ressent. Elle sait quand je suis détendu et quand je suis énervé. Comment est-ce possible ? Elle interagit.
Bref, on descend du moteur. Ils me disent juste : « Monte dans le kart. Monte à l’arrière. ». Très sèchement. Je monte à l’arrière et suis tourné vers l’extérieur, et ils conduisent tout droit. Et on revient sur la voie principale, on remonte dans l’ascenseur vers le toit, l’autre étage. Et j’entends ces gars chuchoter, car le vent vient dans ma direction. Je les entends, ils ne le savent pas, mais j’entends tout. Ils disent : « On doit faire en sorte qu’il trouve comment le moteur marche ou qu’il reproduise un autre moteur », comme le mien, pour en avoir un démontable et l’autre qui marche.
Comme ça, ils ont un cycle complet et ils peuvent produire en masse. Ils ont dit que c’était pour la flotte de premier rang [David a une expression de surprise]. Je me dis : « Bon sang. Combien veulent-ils en construire ? ». Combien d’ogives nucléaires avions-nous en 1971 ? 4000 ?
Wilcock : Hum.
Adair : Ils veulent ma vitesse.
Wilcock : Exact.
Adair : Comment gagner la DMA ? DMA, Destruction Mutuelle Assurée. C’est ce que nous avons vécu depuis l’essai Trinity.
La seule manière de gagner la DMA est la vitesse. Celui qui frappe le premier et le plus vite gagne.
Wilcock : Exact.
Adair : Et je leur ai donné le véhicule dont ils ont besoin.
Wilcock : Oh, Wow !
Adair : Et je me dis : « Je tente de vous construire une centrale. Vous voulez anéantir la moitié de la planète… Ils ne pensent pas. Si vous lâchez la bombe sur les Soviets, qui sera le suivant ? La Chine. C’est 50% de la population de la planète. Vous parlez d’un coup d’Etat militaire mondial et on sera les rois du monde. C’est horrible.
C’est pire que l’Allemagne. [David approuve de la tête]
Et là, je m’énerve encore plus, car je tente de vous donner une énergie illimitée, propre, pour l’empreinte carbone. Je ne suis pas un écolo, juste un scientifique. Je construis des choses. Mais c’est bon pour vous, vos enfants et petits-enfants. Vous enrayerez l’empreinte carbone.
Le moteur fait autre chose. Vous pouvez aller à Yucca Mountain [zone de stockage de déchets radioactifs], brûler ses déchets dans mon réacteur, produire de l’énergie et vous débarrasser des déchets à vie. Ça pourrait vraiment changer les choses.
Wilcock : Oui.
Adair : Et ils veulent en faire une arme pour pouvoir… Ils pensent à ça quand ils découvrent l’énergie nucléaire. Que font-ils ? Une centrale nucléaire ? Non, ils font un trou dans le sol, vous savez.
Wilcock : Ha ha !
Adair : Donc ça me révolte. Et je remonte à la surface avec l’ascenseur et je me dis : « Je dois faire sauter ma fusée. C’est vraiment nul. J’ai mis 26 mois à la construire. Je l’ai créée. C’est comme mon bébé. Et à cause de leurs conneries, tu vas devoir tuer ton propre enfant. Ça craint. ».
Et donc, je reviens dans le hangar et…
Wilcock : Curtis LeMay était un des chefs d’état-major sous l’administration de John F. Kennedy.
Adair : Exactement.
Wilcock : Oui, donc on parle des plus hauts échelons du commandement américain qui veulent l’utiliser pour lancer la première frappe.
Adair : C’est correct. Et je vous vois venir. (sourire) Que voulez-vous ? Je suis un type ordinaire. Je réalise que tout est dénaturé. Ils veulent juste détruire. [Adair secoue la tête dans un signe d’incompréhension] Qu’avons-nous appris de toutes ces guerres ? Rien du tout, sauf à tuer efficacement.
Mais voici le problème : comment détruire une fusée dans une base secrète de l’Air Force, et que vous n’avez rien sur vous à part vos vêtements ? Que faites-vous ? Je tente de réfléchir. Je me dis : « Bon sang, pense à un truc. Ils ne vont pas s’en tirer comme ça. ». Et puis, j’ai vu la réponse.
On s’arrête… L’ascenseur va jusqu’en haut. On est de retour dans le hangar. Je marche vers les portes du hangar et regarde le volant, près du moyeu. Je me penche de manière à être assis contre la porte et je prends une poignée de graisse graphitée.
Que se passe-t-il quand le graphite rencontre le deutérium ? Une réaction violente. Je hurle et je braille : « Je ne la reverrai jamais. Vous allez me la voler. ». Juste un sale geignard, car Rudolph ne le supporte pas. (sourire) « Au moins laissez-moi la voir encore une fois avant… ». Il dit à deux gardes de m’y emmener avec le kart. « Je dois voir ce moteur-là de toute façon. ».
On y va donc, juste les deux gardes et moi. On arrive là. Je leur dis : « Vous pourriez rester ici ? Ce truc peut avoir des fuites. ». Ils ne bougeront pas.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Je monte dans la fusée. J’ouvre la chambre d’aspiration et glisse le graphite. Il sera aspiré dans les cyclotrons et le cycle débutera dans 90 secondes. J’espère avoir le temps.
Wilcock : Oh, wow !
Adair : Je le règle sur 90 secondes, ferme la porte, et on entend le soufflement. Je regarde les gardes : « Il y a une fuite ! Vous entendez le bruit ? ». « Oui. ». « Ça va exploser. ».
On monte dans le kart et ils sont penchés en avant, ha ha ! Pour essayer d’aller plus vite. On touchait à peine le sol.
Wilcock : Oh, mince.
Adair : Et il me pose une très bonne question : « La distance de sécurité ? ».
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Je suis assis et dis : « Mon dieu, si ça devient nucléaire : Chicago. ».
Wilcock : Ha ha ha ha !
Adair : Les gardes se regardent et se penchent un peu plus. On volait presque. On avait plus de chance de mourir dans ce damné kart que dans l’explosion.
On arrive aux hangars et, bon sang, Pitholem a explosé. Elle a fait un trou de la taille d’un terrain de foot et de 30 m de profondeur.
Wilcock : Wow !
Adair : Ça n’a pas été nucléaire.
Wilcock : Oh, wow !
Adair : Juste normal. Mais le plus grand morceau retrouvé faisait la taille de mon pouce.
Wilcock : Avez-vous eu des lésions auditives ?
Adair : Oh… En fait… (sourire) vous posez de fantastiques questions ! Oui, j’ai des lésions permanentes dans chaque oreille et à vie.
Wilcock : Wow !
Adair : Plutôt pratique, en fait. S’il y a un criquet dans ma chambre, je ne l’entends pas. Tout le monde dirait : « Oh non, un criquet. ». « Un criquet ? Quel criquet ? ».
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : On entend les moyennes et basses fréquences, moi aussi. Mais pas les ultrasons.
Wilcock : Wow !
Adair : Personne ne me l’a jamais demandé. Et c’est réel. C’est vraiment arrivé. De vraies lésions permanentes, de vraies réactions. Même quand le suis allé chez l’audiologiste, il m’a dit : « Qu’est-ce qui vous a frappé ? ». « Pourquoi ? ». « Comme vos oreilles internes et étriers… ça a dû être une très grande… ça a dû être une explosion énorme. ». Oui, c’est ça.
Bref. Je reviens là-bas, et je vais vous montrer à quel point Rudolph est intelligent. Il regarde ce mini nuage nucléaire là-bas. Il regarde les gardes et demande ce qui s’est passé. « Il y avait une fuite. ». Il sait que c’est impossible. Alors il me regarde, prend ma main et l’ouvre, et il regarde la porte du hangar. C’est rapide.
Wilcock : Wow !
Adair : Il me regarde et dit : « Très intelligent. ». Puis il m’a frappé si fort que mes dents se sont enfoncées dans ma lèvre. Je suis tombé. Et je crache du sang partout. J’ai une belle cicatrice là à l’intérieur. Et j’entends les armes s’armer. Et je me suis dit : « Bon, au point où on en est, allez-y, tirez. ». Peu importe. Je me retourne, regarde, et où sont pointées les armes ? Vers Rudolph.
Wilcock : Vraiment ?
Adair : Ils font partie de l’Air Force. Lui est un nazi. Il vient de frapper un gamin du Midwest, de l’Ohio devant ces types de l’Air Force.
Je le regarde et je dis… je suis en train de saigner… je le regarde et je dis : « Eh bien, Rudolph, vous n’êtes pas en charge, finalement. ». Ces types n’avaient pas l’air d’avoir fini la 2ème Guerre mondiale, en fait.
Wilcock : Ha ha ha !
Adair : Il avait des hommes en noir là, qui m’ont attrapé. Et on est partis. On passe par le hangar, des bureaux puis dans un couloir. Ils me mettent dans cette pièce sans fenêtre. Juste une porte, une ampoule au plafond. C’est tout. Et ils claquent la porte en sortant. Et je me dis : « Je suis dans un sale état. ».
Rudolph, en descendant là, voulait gagner des points. « Une minute. Je veux que tu voies une chose. ».
On rentre dans une sorte de labo. Il y a un cadavre étendu. Il retire le drap et me dit : « C’est un sujet mâle de 17 ans. On va modifier son dossier dentaire pour correspondre au tien. On va le réduire en cendres et l’envoyer à tes parents en disant que tu as brûlé dans un accident à White Sands, et toi, tu resteras ici pour le reste de tes jours. ». Là, c’est le sociopathe qui parle.
Wilcock : Wow !
Adair : Et là ils m’ont mis dans cette pièce et j’ai pleuré. Je n’ai que 17 ans. C’était la fin. Qui va venir me sortir de là ? Le Colonel Bailey avait été enfermé dans ses quartiers à White Sands.
Mais j’ai appris qu’il s’était échappé, avait maîtrisé les gardes et appelé LeMay. LeMay est en route pour la Zone 51 à ce moment-là. Et la zone 51 est sous le commandement du SAC, du Strategic Air Command.
Wilcock : Oui.
Adair : Donc, qui a désigné tous les officiers ? LeMay, bien sûr.
Il ne pose pas de question. Il vient directement. J’entends beaucoup de raffut dans le couloir, la porte s’ouvre et je vois une silhouette. De grandes épaules carrées et qui fait ça avec son gros cigare [geste du cigare tenu et bougé entre deux doigts]. Et si vous avez déjà vu des photos de lui, vous savez que c’est Curtis LeMay.
Il tient une cravate. Qui est autour d’un colonel de l’Air Force qu’il n’arrête pas de balancer. C’est ce que j’ai entendu. Il faisait valser ce colonel commandant la base. Et il est tellement furieux. Il a nommé ce commandant. Tous les commandants savent, civil ou non, que c’est un chef d’état-major interarmées avec quatre étoiles qui te tient.
Il me regarde, et je fais peine à voir. Il regarde le colonel, qui dit rapidement : « On n’a rien à voir avec ça. Ce sont Rudolph et ses gars. ». « Où est-il ? ». « Il est parti. ». « Trouvez-le. Et nettoyez-le [désignant David Adair] et mettez-le dans mon avion. ».
On a volé de Groom Lake à la base Air Force de Wright-Patterson.
Ils m’ont mis dans la voiture du général et m’ont ramené chez moi à Mount Vernon, Ohio. C’étaient donc les vacances d’été de ma Première.
Wilcock : Ha ha ha ha !
Adair : Quand on m’a demandé de décrire ça… Je rentre en Terminale maintenant…
Wilcock : On ? Qui ça ?
Adair : Au cours de littérature : « Racontez vos vacances d’été. ».
Wilcock : Oh, ha ha ha !
Adair : Je ne vais pas dire que j’ai créé la fusée la plus rapide sur Terre, et rencontré un criminel nazi fou, et que je travaille avec un général quatre étoiles, et que je suis sur une base secrète de l’Air Force, et ai fait exploser un missile et vu une centrale extraterrestre.
J’ai raconté : « J’ai travaillé chez Pizza Hut. ».
Wilcock : Ha ha ha ha !
Adair : Que dire d’autre ?
Wilcock : Très bien. C’était tout le temps dont nous disposions pour cet épisode de « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock, avec notre invité spécial, David Adair. Merci de nous regarder.
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