Saison 14 épisode 2 – Tony Rodrigues rejoint Adam Riva dans une une émission au cours de laquelle témoignent des dénonciateurs qui affirment avoir travaillé dans divers aspects du SSP.
Vous avez entendu parler des civilisations séparatistes, des programmes spatiaux secrets et du Programme «20 ans et retour».
Extraits de l’émission :
Adam Riva: Bonjour, et bienvenue à la divulgation intrépide… Je suis très excité d’être ici avec mon invité Tony Rodrigues. Nous allons explorer des témoignages de dénonciateurs des civilisations séparatistes et du soit-disant Programme Spatial Secret. Tony, Bienvenue à l’émission.
Tony Rodrigues: Bonjour Adam.
Adam Riva: Tony, Votre histoire est fascinante et si complexe qu’elle est souvent difficile à croire pour les nouveaux auditeurs. Pouvez-vous nous donner, en introduction, un aperçu de votre aventure.
Tony Rodrigues: Il est effectivement difficile de se familiariser avec le concept de « 20 ans et retour », mais il faut savoir que des gens des programmes spatiaux sont capables d’enlever des personnes, de les utiliser pendant 20 ans, grâce à une certaine forme de technologie qui permet de les faire régresser et revenir 20 ans plus tard à l’âge où ils ont été pris, environ 15 minutes avant leur capture, pour les remettre dans leur lit, comme si de rien n’était… Mais pendant tout ce temps, ils ont été utilisés pour travailler, être des soldats ou effectuer d’autres tâches, pendant 20 ans, selon de ce dont les programmes avaient besoin de tirer d’eux gratuitement. Les gens sont choisis en fonction de leur génétique qui fait qu’elles sont qualifiées pour certaines tâches dans les colonies. Certains sont enlevés brutalement pour devenir des esclaves.
Pour ma part, j’ai été pris pendant 20 ans. Je me suis réveillé sans aucun souvenir de ma vie, ni de mes parents et j’ai vécu 20 ans, déplacé d’un projet à l’autre vers plusieurs endroits, et je me suis retrouvé sur Ceres, une planète naine juste au-delà de Mars, où un groupe dissident de l’Allemagne nazie d’avant la Deuxième Guerre Mondiale qui étaient allés dans l’espace et avaient construit une colonie, et où je suis resté six ans avant d’être déplacé vers mars sur un projet horrible qui n’a pas fonctionné et a été annulé. C’était une sorte d’intégration dans un système, un test d’aptitude à être formé pour servir sur un vaisseau. Ensuite, j’ai été expédié, transféré sur une colonie où j’ai vécu le reste de ces 20 ans. Puis j’ai été sur une base, sur la face cachée de la Lune, avant d’être régressé et remis dans mon corps, sans souvenir de ces 20 ans mais avec ma mémoire d’origine.
Le lendemain matin, j’étais une personne changée, je n’étais pas le même, mais je n’avais aucun souvenir de ce qui m’est arrivé.
En mars 2015, j’ai eu des maux de tête. J’avais toujours eu des souvenirs d’être assis dans la base lors de l’abduction par le Grey, donc j’ai toujours su qu’il était extraterrestre et qu’il y avait des choses qu’on ne nous dit pas, mais je ne me souvenais pas du reste. Le 15 mars 2015, je suis allé chez le docteur pour mes maux de tête et elle m’a fait faire un IRM, et je ne sais pas si c’est une coïncidence ou non, mais environ deux semaines après, d’énormes morceaux de souvenirs sont revenus. J’avais eu des souvenirs éclair de ma vie là-bas, mais je les avais rejetés. J’avais ces souvenirs d’être dans un vaisseau spatial mais ça ne cadrait pas avec la chronologie de ma vie ici sur Terre. Lorsque j’ai accepté et compris la composante du voyage dans le temps et ce qu’ils faisaient, j’ai intégré le fait que : « Oh mon dieu, j’ai été là-bas pendant 20 ans. Et c’était réel ».
Puis tous les souvenirs sont revenus ensemble, je fus inondé pendant une période de trois à six mois avec des morceaux géants de souvenirs. J’ai contacté des personnes pour obtenir de l’aide, je voulais un conseil. J’ai contacté des chercheurs bien connus dans le domaine des OVNIs ,et j’ai écrit un calendrier des événements, et nous sommes allés an arrière sur des choses dont je me souvenais. Certaines choses ne collaient pas avec d’autres témoignages, mais personne n’était allé sur la colonie de Ceres. Je fus donc témoin de choses et d’un mode de vie que d’autres ayant été sur un programme spatial n’ont jamais vues. Il y a donc des choses que j’ai dites qui ne correspondaient pas, mais d’autres qui correspondaient parfaitement avec les témoignages d’autres dénonciateurs. Je devais accepter les choses dont je parlais pour que ça soit crédible pour le public, mais je n’y croyais pas moi-même. Je venais juste de recevoir tous ces souvenirs et j’avais vraiment besoin de conseils. je ne voulaient pas accepter ces choses que j’ai vues, mais lorsque je suis allé au Pérou pendant presque trois ans, d’autres souvenirs sont revenus et je me suis remémoré certains endroits.
Je suis allé sur Google Earth et j’ai vu ma maison à Seattle où je me suis finalement rendu. Je connaissais mon chemin, je connaissais les routes, je connaissais l’itinéraire à suivre, et je me suis rappelé du ferry dont j’avais parlé à mes parents lorsque j’étais enfant après le 20 ans et retour, ils s’en souviennent, on a toujours plaisanté à ce sujet. Ce sont des choses qui m’ont permis de me prouver à moi-même que ce ne sont pas des souvenirs d’une vie antérieure, et pas un rêve non plus, car dans un rêve lorsque vous vous retrouvez dans un café, vous ne savez pas comment vous y êtes arrivé, vous n’avez pas le souvenir d’être monté dans la voiture pour aller jusqu’au café ou se réveiller en quittant le café pour retourner dans son lit. Dans mes souvenirs, je me rappelle m’être levé le matin et être passé par la douche, je me rappelle des choses que j’ai faites pour arriver au vaisseau spatial. Puis le retour à la maison, je me souviens que j’avais des amis, une famille aimante et une vie avant ces 20 ans où j’étais adulte. J’ai vécu de l’âge de 9 ans jusqu’à 29 ans dans ce « là-bas » et j’avais une vie pleinement développée avant de partir et revenir à l’âge de 9 ans, sans être le même, en étant un peu déboussolé avec des réflexes d’adulte. Même mon père disait : « Qu’est qui t’es arrivé, tu n’es plus un enfant. »
Donc en quelques mots, j’ai fait un « 20 ans et retour » et pendant 20 ans, j’étais un esclave. Pas parce que j’étais qualifié pour ça, mais parce que j’ai rendu fou quelqu’un qui avait accès à cette technologie. J’avais irrité et intimidé un enfant de l’école dont le père était haut placé dans ces programmes et avait un accès qui lui a permis de me punir, et ça a fonctionné parce que je suis devenu très humble, avec une très faible estime de moi-même, depuis cette sanction.
Adam Riva: OK. Vous n’êtes pas le premier à présenter des informations sur ces soit-disant « 20 ans et retour ». Maintenant cela peut être nouveaux pour certains, mais d’autres dénonciateurs ont témoignés d’expériences similaires et même de contrats similaires avec le SSP. Vous avez dit que votre expérience était involontaire, mais d’autres lanceurs d’alertes ont parlé de leur implication dans différents aspects du SSP, ils sont passés par la hiérarchie du secret, ils avaient besoin de savoir et ont gravi les échelons grâce à leur compétence, leurs aptitudes et la diligence et la ponctualité, faisant ce travail en gardant la bouche cousue. Vous avez donc une histoire très différente et nous avons commencé à en parler.
Ensuite Adam Riva demande à Tony Rodrigues de raconter ce qui s’est passé avec ce camarade de classe…
Tony Rodrigues: Dans le cours, il y avait des enfants plus intelligents que moi, et c’était dur. L’un d’eux était un gamin qui avait un QI du genre 200. On aurait dit un adulte, et il disait au prof comment enseigner. J’étais frustré de ne pas être le plus intelligent. Je l’étais chez moi, et j’étais le boss là-bas. Et voici ce gamin qui est intelligent et mature, à battre, mais un peu bizarre. On ne s’entendait pas et je l’embêtais. On était rivaux, j’étais méchant avec lui. Le prof donnait un boulot. On était à la bibliothèque pour consulter des livres.
Un jour il s’est assis et il dit : « Mon père est un Illuminati. Et ton père? » Très méprisant. Je ne savais ce que c’était un Illuminati. « Mon père travaille chez General Motors. Il a un super travail. » Je n’ai pas pensé plus loin, mais il se démarquait, car son comportement était très loin de tout ce que j’avais connu à ce stade.
Peu de temps après j’ai été surpris dans mon sommeil par des extraterrestres gris…
Lire cette histoire racontée par Tony dans cet épisode de Cosmic Disclosure
Un voyage douloureux commence pour un nouvel initié: Tony Rodriguez
Tony Rodrigues précise que cette entrevue avec le Grey n’a jamais été effacé de sa mémoire.
Tony Rodrigues: Cette partie a toujours été claire. Lorsque je me suis réveillé, j’au vu un médecin et une infirmière, tous les deux humains, et je n »avais aucun souvenir de ma famille, je ne savais pas qui j’étais.
C’était dans un désert, sur une base aérienne, et j’ai retrouvé ces bâtiments.
J’ai été pendant environ six mois dans cet endroit et c’était une torture. On vous oblige à regarder des films avec des messages sublimiaux, on vous force à prendre de la drogue, puis c’est carrément la torture par électrochocs. C’était un entraînement psychique au cours duquel on pouvait nous priver d’oxygène. Et ils communiquaient avec d’autres êtres, je ne sais pas trop qui ou quoi, mais ils ont obtenus des informations à travers nous sur des événements futurs ou passés dont personne n’avait rien su. Nous étions toute une classe d’enfants, une douzaine,
Adam Riva: OK. J’ai une question au sujet de l’enlèvement initial, avec le Grey, et les reptiliens dans votre chambre. Maintenant vous dites que vos parents n’ont pas bougé cette nuit là, alors qu’il y avait des lumières et des sons. Nous avons entendus ça dans d’autres histoires d’enlèvement. Pensez-vous qu’ils étaient paralysés?
Tony Rodrigues: Absolument…. Donc, faire un saut de 20 ans et revenir comme on était avant de partir, et se réveiller le lendemain matin sans aucun souvenir de cette période, Parce qu’en réalité ces 20 ans n’ont duré que 15 minutes de notre temps. Mais ils peuvent entrer en vous et vous faire passer 20 ans, 30 ans, 40 ans, selon votre génétique. J’ai vu des gens qui parlaient de 20 ans et encore 20 ans, ils peuvent vous prendre tout ce temps et vous remettre à l’âge que vous aviez avant de partir et si vous aviez regardé la montre, avant de partir et après être revenu, il ne s’est passé que 15 minutes. Et on efface votre mémoire pour que vous ne sachiez pas ce qui est arrivé.
Ils avaient du travail pour nous, selon nos aptitudes et ce dont ils avaient besoin et ils pouvaient nous former. Et lorsque je me suis réveillé avec la mémoire effacée, j’avais pourtant cette impression d’avoir été formé pour être un esclave et cela dura jusqi’à la puberté. Quand vous pensez à ces corporations qui utilisent le travail d’esclaves, c’est une technique très efficace puisqu’on ne s’en souvient pas. Pourquoi ne le feraient-ils pas?
Mais je me souviens qu’ils me battaient toujours sur la tête et chaque fois que je me suis plaint, pendant ces 20 ans, ils disaient que de toutes façons je ne m’en souviendrais pas. C’était voulu que je ne sache rien, d’un point de vue karmique.
Adam Riva: Vous avez dit qu’ils avaient reçu votre permission d’emprunter votre conscience. Pensez-vous que c’est quelque chose qui à trait à une composante karmique, ou doivent-ils réellement obtenir votre permission d’abord.
Tony Rodrigues: J’ai dû accepter, mais ils ne m’ont pas donné de compte-rendu exact sur ce que j’allais traverser, ils m’ont simplement posé la question. Mais quand je me suis réveillé sur la table avec les extraterrestres, j’ai pensé que c’était une forme de premier contact. Je savais que ces gars étaient réels et j’étais heureux à l’idée de rentrer à la maison et raconter ça. J’étais content, je voulais coopérer, j’étais ravi d’apprendre qu’il y avait d’autres vies extraterrestres intelligentes, comme un enfant en pleine science-fiction.
De retour le lendemain matin, quand nous avons pris le petit-déjeuner, mes parents étaient silencieux et mon père était en colère, je pense qu’ils ont senti quelque chose, et ma soeur a dit : « Il y avait beaucoup de lumières brillantes, la nuit dernière. Vous avez vues ces lumières vives? » Et j’ai dit : « Je me sens comme si je ne vous avait pas vus depuis des années, j’arrive pas à le croire, mais c’est comme si je n’avais pas été là pendant des années. » Et c’était le sentiment que j’avais vraiment, le sentiment légitime d’être de retour dans ma vie. Combien de films ont raconté cette histoire du retour du fils prodigue. J’étais sous le choc avec l’impression d’être plus vieux. Je ne savais pas pourquoi mais j’étais une personne différente, je n’étais pas le même enfant. Je n’étais pas comme le jour d’avant, et mon comportement a changé, tout a changé.
Adam Riva: Vous avez fait beaucoup de recherches, au cours de ces dernières années, depuis que vos souvenirs ont commencé à revenir, vous avez identifié des endroits spécifiques et connecté certains de ces points. Avez-vous pensé à faire des recherches sur la famille du garçon qui est à la base de tout ça et sur son père. Vous rappelez-vous leur nom de famille?
Tony Rodrigues: Oui, je les ai trouvés, au moins par leur présence dans les réseaux sociaux. Ils sont ces gens vivant dans les endroits où j’ai vécu pendant deux ans avec un milliardaire sataniste, j’ai découvert sa nécrologie après sa mort. Ils étaient six, mais lui et sa femme ont pris soin de moi à Seattle. Ils ont une famille survivante et pour des raisons évidentes, je tairais leur nom, je ne cherche pas à me venger, et, très important, je ne cherche pas à percer le nid de frelons. Les gens m’ont questionné sur ce dont je me souviens, et j’en ai parlé, mais je pense que je serais en danger si je devais contacter le gars, le médecin qui m’a mis dans une base de contrôle mental basé sur des traumatismes. je l’ai trouvé, c’est un personnage public, et je ne veux pas mentionner son nom. J’ai pensé à le contacter en disant : « J’étais l’un des enfants et je me souviens de vous. » J’aurais bien aimé parler avec lui, mais honnêtement, je pense que ce serait comme piquer un nid de frelons. J’ai une famille, j’ai une vie normale, et j’ai envie d’être heureux comme je suis.
Je veux que les gens sachent ce qui s’est passé là-haut, et dans le futur, ils le sauront tôt ou tard, il y aura d’autres gars qui vont parler, et il y aura de plus en plus d’infos pour les gens.
Voici une image qui montre notre trajet depuis la base :
Il y a une série de bases sous la surface de la planète Ceres. Il y a environ un quart de million de personnes, 225.000 personnes y vivant en permanence. Ce sont des citoyens.
Il y avait deux autres races qui vivaient à coté des Allemands. Voici une photo de l’une d’elles :
Il y avait une gravité artificielle couvrant des milliers de mètres carrés. Ils arrivent à obtenir moins de gravité avec le placage anti-gravité et les E.T. venant de planètes plus lourdes, étaient plus petits. Les reptiles étaient plus petits car il venaient d’une planète à la gravité plus lourde, donc ils étaient très forts, très solidement construits et les plus grands, ceux qui venaient de planètes à la gravité moins lourde, avaient une sorte de bracelet pour abaisser la gravité, et marcher là où elle est normale pour nous.
Ceres est une petite planète de 580 miles de diamètre (environ 930 km), et il y a des trains à l’intérieur. Vous pouvez passer d’une petite ville souterraine à l’autre.
Adam Riva: Tony, beaucoup de gens vont se demander combien de temps vous y êtes resté. Je crois que vous avez passé les huit premières années de votre « 20 ans et retour » sur Terre, puis les douze suivantes sur Ceres. Qu’est-ce que vous avez fait pendant tout ce temps. Quel était votre rôle, votre responsabilité? Quelle était la mission?
Tony Rodrigues: La toute première chose que j’ai expérimenté, le premier jour, quand je suis arrivé là-bas était un test médical d’orientation. Nous étions des esclaves, et il y avait des milliers d’esclaves vivant dans une prison sans portes. J’avais une cellule avec un petit lit et une commode à tiroirs attachée au mur, et pas de porte, juste trois murs. Et ils étaient cinq dans chaque box, un grand espace, et il y avait des rangées de gars. C’était comme une prison avec une seule porte principale de sécurité, et je pouvais aller et venir comme je voulais mais je devais aller travailler le lendemain matin au hangar. Et le premier jour, je me suis trompé. Ils m’avaient attribué un poste aux mines qu’ils exploitaient, et je cherchais de l’eau et j’ai ouvert un espace supplémentaire. Ils n’avaient pas assez d’espace alors qu’ils voulaient continuer l’exploration minière et faire jaillir l’eau afin de pouvoir construire des villes, là-bas. Il y avait une lourde construction en cours. Et j’avais fait une erreur. La sécurité m’attendais au retour des mines. J’avais été formé à la réparation des vaisseaux, et je savais que si quelque chose n’allait pas quelqu’un d’autre aurait eu des ennuis.
Le lendemain, j’ai pris un train séparé pour aller au hangar et je n’avais jamais vu de vaisseau. Je suis sorti du train et j’ai marché dans un long couloir et il était en bas, dans les étages inférieurs, un vieux vaisseau spatial reconverti qui ressemblait à un sous-marin. Imaginez un sous-marin comme ceux que nous avons, avec des portes, des gros tuyaux, et il y avait un grand écran industriel. Et j’étais avec deux gars, nous avions des colliers avec lesquels ils pouvaient nous envoyer un choc pour nous punir.
Et chaque matin on allait là-bas. On montait dans le train, on prenait une douche, on enfilait une combinaison, on allait faire un rapport au moniteur et la porte se fermait.. On était sur le navire et le moniteur voyait notre numéro et nous disais quoi faire. Il y avait un numéro avec une liste détaillée sur ce qu’on devait faire. C’était pas compliqué. Toutes les étapes étaient inscrites. Nous avons assuré la maintenance de vaisseau pendant des années.
A la fin de la journée, après 8 ou 10 heures de boulot, selon les cas, le navire atterrissait, la porte s’ouvrait, c’était terminé. J’allais récupérer mon train, je retournais dans ma chambre. Parfois entre le train et la chambre, il y avait du nettoyage à faire. Vous savez, ils ne plaisantaient pas, il y avait toujours des trucs à faire pour nous. On était des esclaves. Et enfin quand je retournais dans ma chambre, je retournais dans mon trou, là où je menais une vie misérable, et je m’en souviens. Je me souviens que je voulais mourir. Avant ça, j’ai connu des moments où ma vie était menacée, mais je voulais vivre. J’ai toujours voulu rester en vie même dans les plus durs moments que j’ai traversé. Je me rappelle de cette histoire où je me suis retrouvé pris au piège par un Mantis, mais je voulais vivre. Mais dans cet état d’esclave, misérable, je voulais tout simplement mourir.
Finalement, ce vaisseau est tombé en panne, et ils l’ont amélioré. Je me suis retrouvé promu ingénieur cargo sur un autre vaisseau, plus grand, plus moderne. Il y avait un ascenseur, un équipage plus important, et là, j’ai fait des missions de fret, on est allés partout sur des missions intergalactiques. Seuls 2% de nos missions couvraient la gamme des étoiles visibles de la Terre ou de Ceres. Plusieurs fois, le vaisseau est revenu seulement quelques minutes avant son départ. Ils prenaient un portail pour quitter la base vers un autre système solaire et le portail les ramenait seulement quelques minutes avant qu’ils soient partis. Ceci leur permettait d’accomplir une mission interdite, leur donnant une échappatoire.
Je suppose qu’il y a des êtres supérieurs dans l’univers qui forment un corps de police du voyage dans le temps. En d’autres termes, si quelqu’un veut exploiter le voyage dans le temps à son profit, ces êtres supérieurs et avancés, surveillent et peuvent intervenir et punir, car il y a des règles pour voyager dans le temps. Alors ce qu’ils font, c’est aller le plus loin possible de Ceres et revenir cinq minutes avant leur départ, de l’autre coté. De cette façon, même si la mission est un échec, ils pouvaient se garer quelque part sans être repérés. C’était leur manière de détourner la loi interdimensionnelle du voyage dans le temps contrôlée par des êtres supérieurs plus avancés dont ils avaient très peur, car ceux qui contrevenaient à cette loi pouvaient recevoir des punitions très graves. Donc c’était un très grand secret, à la fois entre eux, et avec les autres colonies.
Adam Riva: OK. Cette technologie de portail, de régression d’âge, de voyage dans le temps, tout ça c’est fascinant, et nous y reviendrons dans le prochain épisode, en allant plus loin avec Tony, au sujet du temps passé à bord du vaisseau de la Flotte Noire.
Merci de nous avoir suivis.
Texte traduit et adapté par Miléna pour Elishean777
Note: Compte tenu de la politique du site Gaïa TV de ne pas traduire les vidéos en français, il ne m’a pas été possible de retranscrire la totalité… Cette saison (que j’ai surnommée 14) comporte peu d’article et de ce fait, va comprendre des interviews (hors émission Cosmic Disclosure), trouvées sur Youtube…, et qui retransmettent les mêmes informations.
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