Certains historiens rejettent complètement la vision académique de l’existence. Beaucoup d’entre eux soulignent qu’il existe un grand nombre de découvertes archéologiques et anthropologiques qui prouvent la présence de représentants intelligents de la civilisation il y a des dizaines de millions d’années.
Autrement dit, tous ces artefacts de l’archéologie interdite sont, à un degré ou à un autre, des preuves.
Sans entrer dans les détails, ni décrire où, qui et quand ces découvertes ont été faites, nous pouvons juste spéculer sur ce sujet sans fournir de faits. Les publications de Michael Cremo ou du chercheur russe Alexander Koltypin parlent de ce sujet. Ils décrivent des dizaines et des centaines de cas où des découvertes ont été faites qui ne correspondent pas à l’histoire traditionnelle.
Au cours des deux siècles passés, des chercheurs ont trouvé des os et des artefacts indiquant qu’il existait sur terre, voici plusieurs millions d’années, des populations qui nous ressemblaient étonnamment. Mais l’establishment scientifique a gommé, ignoré ou perdu de vue ces faits extraordinaires. Pourquoi ? Parce qu’ils sont en contradiction avec la thèse qui prévaut aujourd’hui sur les origines de l’humanité, selon laquelle les humains se sont développés au cours des cent mille ans écoulés à partir d’ancêtres à l’aspect plus simiesque. Fossiles portant de curieuses incisions, pierres taillées anormalement anciennes, objets attestant d’une culture avancée en des temps reculés, restes humains étonnamment modernes retrouvés dans des couches géologiques demeurées intactes pendant des millions d’années… L’Histoire secrète de l’espèce humaine remet en pleine lumière ces découvertes dérangeantes, qui n’ont cessé de se confirmer ces dernières années. Déployant un nombre impressionnant de faits convaincants, éclairés par une analyse critique très pertinente, Cremo et Thompson nous mettent au défi de reconsidérer notre conception des origines et de l’identité de l’humanité.
Qu’est-ce que la vie ? C’est une lutte éternelle, une rivalité entre le fort et le faible. On peut le retracer tout au long du parcours évolutif. Des bactéries aux personnes intelligentes. Ce n’est que si au début de leur cheminement rationnel les hommes ont affronté les animaux sauvages que la lutte a désormais atteint un nouveau niveau – non pas entre les espèces, mais entre elles. Même avec l’avènement d’une intelligence supérieure à toutes les autres sur Terre, l’homme est resté le même combattant.
On pense que la transition de l’animal sauvage à l’homme moderne s’est produite de manière évolutive sur une période de 2 à 2,5 millions d’années. Mais certaines découvertes indiquent l’existence de créatures ressemblant à l’homme il y a des dizaines de millions d’années. Par exemple, les mêmes chaînes dans les veines de charbon. Ils ne peuvent pas être créés avec des griffes ou des ailes, ils ont besoin de mains. C’est la preuve qu’une créature humanoïde a vécu il y a des dizaines et des centaines de millions d’années.
Il existe une opinion selon laquelle la vie intelligente sur Terre ne s’est pas formée récemment, mais à l’époque des dinosaures.
Et en fait, il y avait deux civilisations dominantes : l’analogue des hommes modernes et les reptiles et dinosaures intelligents. Il existe de nombreuses légendes et mythes autour de cette confrontation. On dit que deux groupes biologiques sont apparus comme chefs de file de l’évolution et ont créé un monde bipolaire, il y a environ 90 millions d’années.
Cette bataille a duré jusqu’à une époque récente – environ jusqu’au 20e millénaire avant J.-C.
Les sites de bataille les plus anciens peuvent être identifiés grâce à des « indices » géologiques, des cratères et des zones soumises à des bombardements à grande échelle. Par exemple, l’Amérique du Sud, l’Asie centrale, l’Australie, la Sibérie et la Carélie. L’élite académique estime qu’il ne s’agit pas de traces de bombardements, mais plutôt de sites de chutes de météorites à différentes périodes historiques.
C’est peut-être vrai, mais aujourd’hui nous envisageons une version alternative.
Les civilisations ont atteint le sommet de leur développement et ont tenté de détruire la puissance de l’ennemi. À cause de cela, des villes surgirent et périrent. De temps à autre, des initiatives de paix ont également émergé entre les blocs opposés.
Si nous étudions les légendes et les mythes anciens, par exemple, dans la culture indienne, cette lutte se reflète dans la bataille des hommes contre les nagas. Les tribus indiennes font la distinction entre les dieux reptiliens et les dieux à sang chaud. Et ils organisaient aussi des batailles. Dans la culture arabe, les serpents, les filles-lézards, les dragons et autres reptiles étaient considérés comme l’armée de Satan. Les Russes ont de nombreuses histoires sur la lutte des dieux blancs avec les dieux reptiliens.
Autrement dit, des histoires similaires existent chez des dizaines de peuples. Les batailles finales se présentent comme des guerres des dieux et ont englouti presque le monde entier. C’est pourquoi une civilisation est tombée (reptilienne). Et l’autre dégradé à l’âge de pierre. Les restes de reptiles se sont répandus dans le monde entier.
Les survivants étaient des dragons qui ont vécu mille ans et des serpents sages qui se cachaient dans des donjons et des marais. Les gens, ayant pris le dessus, ont commencé à restaurer la civilisation. Selon une version, il s’agirait de la véritable histoire de ce monde.
Il est important de comprendre qu’il s’agit d’une vision alternative qui combine de nombreuses découvertes archéologiques, des mythes, des légendes, des preuves indirectes et bien plus encore.
Il semble que cette version comporte de nombreuses lacunes et un manque de preuves directes, mais si nous en parlons comme d’une hypothèse, alors c’est une assez bonne option.
Au cours de centaines de millions d’années, plus d’un être intelligent aurait pu se développer. On peut donc admettre que dans les temps anciens, il y avait déjà des civilisations, et il y a très probablement eu une lutte entre elles.
« L’hypothèse silurienne »
L’hypothèse silurienne remet en question notre compréhension de la civilisation humaine, nous mettant au défi de remettre en question tout ce que nous pensions savoir.
Des scientifiques russes ont fait une déclaration sensationnelle : « une civilisation surdéveloppée existait sur la Terre avant l’humanité ».
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