Secrets révélés

La science nazie de l’hybridation à l’origine de faux extraterrestres – 1/2

Extrait de "Le secret des envahisseurs de Peter Knight"

De l’homme-singe à l’homme nouveau

Les « hommes polaires » du Neuschwabenland

Grâce à la capture des trois plus grands noms du parti nazi, Rudolf Hess, Heinrich Himmler et Karl Dönitz, l’armée britannique a obtenu des informations qu’elle ne partagea pas avec la Russie ou les États-Unis. L’Angleterre savait que les nazis avaient une base secrète.

Les scientifiques et les commandos avaient trouvé deux survivants ayant fait des déclarations à propos d’hommes polaires, d’anciens tunnels et de nazis.

« Les hommes polaires nous ont trouvés » fut le dernier message radio, en juillet 1945. Une expédition se rendit alors à la base de Maudheim. La Grande-Bretagne voulait prendre de vitesse les Américains et les Soviétiques afin de recueillir et de garder pour elle les technologies nazies. L’expédition trouva une ville fantôme et le premier survivant. Arrivé au bunker du second survivant, un militaire y entra et tira, mais un homme polaire s’échappa, laissant le militaire égorgé et un cadavre déchiqueté jusqu’aux os. [255 ]

Ces hommes polaires anthropophages seraient une espèce d’hommes-singes poilus appelée yéti, utilisée par les Allemands en Nouvelle-Souabe ; possible qu’ils aient été génétiquement modifiés par l’ingénierie nazie.

En septembre 2009, la Base antarctique Concordia, station de recherche franco-italienne sise au Pôle Sud, a été sauvagement détruite par des inconnus qui n’ont laissé aucune trace. Les machines et les ordinateurs semblent avoir été écrasés à coups de masse [256 ]. S’agirait-il d’une attaque de l’Agharta menée par des yétis ?


Le tunnel se trouvait dans une des “vallées sèches particulières à l’Antarctique”, ce qui explique pourquoi le groupe britannique l’a trouvé facilement.

« Les trente membres de la base de Maudheim avaient reçu l’ordre de découvrir où conduisait le tunnel » et après l’avoir parcouru pendant des kilomètres, ils étaient parvenus à une sorte d’immense “caverne souterraine anormalement tiède”, comportant des lacs souterrains et mystérieusement éclairée. En l’explorant ils découvrirent l’énorme base nazie avec des quais pour les sous-marins dont l’un fut identifié, et des “hangars pour d’étranges avions” [le terme soucoupe volante n’existait pas encore]. Le survivant de l’expédition raconta comment ses camarades furent capturés et tués un à un. Après avoir assisté à six exécutions, deux survivants tentèrent de s’échapper mais en furent empêchés par l’arrivée des polaires. Ils se séparèrent pour contacter par radio leur supérieur. L’un des deux fut tué par les polaires.

Le survivant révéla par la suite que “ces polaires étaient les produits de la science nazie”

[ainsi les nazis faisaient des manipulations génétiques pendant la guerre comme les Hyperboréens atlantes il y a douze mille ans, d’après Edgar Cayce].

Il supposait que les nazis se fournissaient en énergie d’origine volcanique, la vapeur leur permettant de produire de l’électricité mais “[…] d’après ce dont j’ai été témoin, la quantité d’électricité requise est supérieure à ce que pouvait produire de la vapeur”. » ( Nexus p. 55)


L’épisode Genèse de la série Les Envahisseurs, indique comment opèrent les envahisseurs en installant des générateurs électriques pour la mise en marche de leur machine à énergie libre dans une base maritime. Il leur fallait aussi une énorme quantité d’électricité pour leurs expériences de mutations.

« Les scientifiques de l’expédition rejetèrent la plupart des informations livrées par le survivant, lui reprochant son manque d’objectivité. Le major voulait en savoir davantage au sujet de l’homme polaire. Le survivant lui répondit qu’il allait “attendre, nous épier en se demandant quel goût nous pouvons bien avoir”. Le lendemain, le groupe progressa vers la vallée sèche, lieu supposé de l’ancien tunnel, et ils ,débouchèrent dans un paysage rappelant le Sahara. » ( id.)

S’agissait-il du centre de la Terre ou d’un endroit transformé par des machines de type Tesla? Le professeur Jacques Weber, agent de liaison pour la NASA, (un de mes amis aujourd’hui décédé) m’a révélé il y a une trentaine d’années avoir été emmené avec une expédition dans une base de l’armée au Pôle où il a vu une oasis où toute une flore poussait au milieu de sources d’eau chaude.

Mais le [prétendu] “ancien tunnel” était interminable avec des “murs de granit poli”. Pendant la nuit, « l’homme polaire revint [et] s’écroula sous nos balles. Il était un « humain, certes plus poilu et mieux armé contre le froid. »

Sans le savoir, James Robert est en train de parler de yétis ou d’êtres humains modifiés par une science nazie capables de dévorer des humains.

Selon Jacques Bergier, dans son Livre du mystère, un yéti à face humaine peut passer pour un humain.

Le lendemain, les neuf hommes empruntèrent le tunnel et marchèrent longtemps dans l’obscurité pour aboutir à une “caverne éclairée artificiellement”. Là, un grand nombre d’ouvriers s’activaient (comme les envahisseurs dans des bases secrètes installées dans des mines). Impressionnés par l’énormité des constructions, ils posèrent des mines pour détruire la base mais furent découverts et poursuivis par des nazis et des êtres polaires. Seuls trois membres parvinrent à s’échapper. (p. 56- 57)

À la fin de l’épisode des Envahisseurs, Les sangsues, l’enquête conclut à une attaque par des ennemis inconnus dans une mine disparue, car les envahisseurs se sont sabordés dans une explosion qui n’a laissé aucune trace. Andrew McIntyre et Quinn Martin semblaient au courant de certains dossiers secrets allemands issus de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre froide.

Cette mission britannique n’a jamais été rendue officielle malgré des fuites vers les Russes et les Américains. Le dernier témoin raconte :

«Ainsi, mon dernier Noël de la Seconde Guerre mondiale se passa-t-ilsur e continent Antarctique en 1945 à combattre les mêmes nazis que j’avais combattus tous les Noëls depuis 1940. Le pire, c’est le fait que l’expédition n’ait jamais reçu aucun reconnaissance ni les survivants aucun honneur. »

« Au contraire, les survivants britanniques furent démobilisés, le rapport du scientifique disparut. Cette mission n’a jamais figuré dans les livres d’histoire alors que s’y trouve la mission de 1950, menée par une expédition conjointe de Britanniques, de Suédois et de Norvégiens […] jusqu’en 1952 [année de la rencontre d’Adamski avec un grand blond en soucoupe volante], dont le but était d’enquêter sur certaines découvertes nazies de 1938-1939 en Nouvelle-Souabe. » Cinq ans après, les vols de la Royal Air Force n’avaient pas cessé au-dessus de cette zone. (p. 57)

Nous savons que l’amiral Byrd a rencontré des Aryens aux pôles.

Des documents confirment que, depuis la guerre froide, de nombreuses soucoupes volantes ont été filmées par les Américains aux pôles. Des escadrilles entières ont été photographiées et filmées.

« Aux USA il sera difficile de justifier [auprès de] l’opinion publique et [du] congrès la mort de millier[s] d’hommes en Antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de “guerre des pingouins”, une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il y avait uniquement des pingouins et aucun nazi. Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’opération Deep Freeze. Le résultat sera encore plus dévastateur [que l’opération Highjump] pour l’armée US [qui] se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au Pôle Sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre souterraine. Les USA ont-ils utilisé la bombe sur NeuSchbenland [257 ] ? »

La guerre froide est la guerre polaire qui bloque l’accès du centre de la Terre, cet autre monde avec d’autres continents sous un autre soleil.

Une guerre secrète éternelle aurait lieu depuis au moins 10 000 ans, déclenchée par les Hyperboréens qui détruisirent leur propre monde, provoquant la régression de l’homme au singe des cavernes, tandis qu’eux s’enfuyaient dans l’espace.

« Des investigateurs du Congrès américain exigent de la part du Pentagone une explication au sujet de certaines images satellites de l’Antarctique. Ces images ont été prises par l’un des trois satellites espions des États-Unis se trouvant en orbite secrète au-dessus de l’Antarctique. Les images mettent en évidence une “anomalie” située à trois kilomètres sous la glace. Cette anomalie semble être une structure artificielle. Cette révélation explosive (qui fait curieusement penser au film Alien vs. Predator) fait suite à une observation récente du pôle (en relation avec les activités sismiques enAntarctique). Elle a suscité un démenti immédiat du département de la Défense américain[ 258 ]. »

« Un adjoint de madame Nicole Fontaine, présidente française du Parlement européen, a déclaré : “Si les militaires des États-Unis ont construit quelque chose là-bas, ils violent les traités antarctiques nternationaux. Sinon, il y a quelque chose vieux d’au moins 12.000 ans sous la glace, ce qui en ferait la structure artificielle la plus ancienne de la planète. Le Pentagone doit dire ce qu’il sait”.

Le Congrès devra attendre un certain temps avant d’avoir un aperçu de toutes les images capturées par les satellites, car l’administration Bush a déclaré qu’elle ne présenterait aucune image satellite récente de l’Antarctique, citant des soucis “de sécurité nationale [259 ]”. »

« À noter qu’en marge de cette affaire, le 08/10/2005, une fusée russe transportant un satellite européen d’observation destiné à mesurer l’épaisseur de la glace des pôles (dans le cadre du réchauffement de la planète) a explosé en vol[ 260 ] !!! »

S’agirait-il en réalité d’une guerre secrète des entrées polaires, découverte dont l’amiral Byrd a fait les frais en 1947 ?

Cette guerre a toujours lieu et la conquête de l’énergie libre est le secret de ce qui peut transformer un homme en un dieu.

Les yétis

Les étranges hommes-singes de type « abominables hommes des neiges » seraient des gardiens des bases intérieures de nazis et d’anciens Hyperboréens du centre de la Terre.

En Pennsylvanie, un grand nombre de témoins ont vu des humanoïdes faire descendre, de soucoupes, des êtres ressemblant à l’« homme des neiges ». Les photos prises et montrées au groupe d’études de Marie-Jeanne Koffmann [présidente de l’Association de Cryptozoologie de Russie] font ressortir une ressemblance avec de nombreuses autres descriptions.

« Les humanoïdes semblent indifférents vis-à-vis de l’homme, aussi indifférents que nous à l’égard des fourmis », estime le Pr Feodor Youri Zigel. Ces êtres ne semblent pas rechercher le contact et atterrissent le plus souvent de nuit. Selon des témoignages, les humanoïdes manipuleraient des hommes-singes de race inconnue.

Dans la revue Historia, le professeur révèle à Charles Garreau que « les atterrissages d’ovnis en URSS sont assez fréquents : ainsi, on en a enregistré deux en janvier 1976, dans la région de Volongonsk ; non seulement sur terre, mais aussi en mer et dans le cosmos. On constate également que les ovnis apparaissent à proximité des installations militaires.

Zigel distingue trois grands types d’humanoïdes : des humanoïdes d’environ un mètre avec un aspect extérieur désagréable (grosse tête, épaules larges, petit corps et petites jambes), des humanoïdes de type étrangement européen et des géants de trois mètres possédant une puissance physique étonnante [ 261 ]. »

Leur « aire de répartition se recoupe quelquefois : un être de taille modeste, le “petit yéti” […] vit essentiellement au Népal, au Sikkim et dans le nord de l’Inde ; […] le “grand yéti”, signalé principalement en Chine du Sud ( yeren [hominidé]), en Indochine et en Indo-Malaisie, qui est sans doute apparenté au Gigantopithèque ; enfin un homme sauvage véritable, appartenant sans conteste au genre Homo, dont l’aire de répartition […] couvre une grande partie de l’Asie depuis le Caucase jusqu’à l’Indochine, et englobe notamment le Pamir, l’Indu Kush, le Cachemire, l’Altaï(Mongolie), le Tibet, etc. [ 262 ] ».

Maurice Herzog prétend avoir vu un yéti en faisant l’ascension de l’Annapurna, au Népal.

Frank B. Salisbury, professeur de botanique de l’Université du Colorado spécialiste en exobiologie, dit des occupants des ovnis : « […] il s’agit d’individus souvent de petite taille, mais parfois aussi de géants ressemblant à des hommes-singes mais à visage humain [caractéristique des yétis]. La tête est fréquemment en forme de melon, mais en définitive ceux qui portent une combinaison peuvent passer pour des Terriens.

Certains ont des gestes lents, d’autres sont très agiles. On a noté des exemples de marches à reculons tant à propos des Yétis que des pilotes d’O.V.N.I. […] Les yeux sont souvent obliques, parfois un peu saillants. Quelquefois, la pupille est verticale, comme chez les félins (à rapprocher des fameux hommes-chats d’Amérique centrale) [évoqués dans l’affaire des deux volcans]. […] Les yeux sont parfois fendus à l’orientale. Leur peau est soit sombre soit incroyablement pâle, comme de la cire blanche [ 263 ] […] »

Les Grecs avaient parlé de cette race d’hommes longilignes à la face de chats et les ont peints sur des jarres, une lance à la main. Il est intéressant de constater aussi que les représentations de l’Amérique centrale évoquent souvent ce type d’homme animal comme s’il s’agissait de manipulations génétiques.

Angelo Moretti a remarqué que « les caractéristiques physiques, de comportement et de langage décrites par ceux qui apercevaient de près ou de loin des yétis, correspondaient parfaitement aux descriptions de ceux qui rencontraient des humanoïdes à proximité ou à l’intérieur de soucoupes volantes. La déduction logique est qu’ils’agit d’individus de la même espèce. Le Yéti n’est pas seulement l’homme-singe hantant les solitudes montagneuses du Népal et du Tibet, où l’on a photographié souvent ses empreintes, mais on l’a vu également dans les forêts du mont Shasta au nord de la Californie, sur le Kilimandjaro en Afrique, dans les forêts de la Malaisie et du Caucase [264 ]».

« On l’a aperçu aussi dans l’État de Washington et […] précisément dans la région où, le 24 juin 1947, Kenneth Arnold vit une formation de neuf soucoupes volantes […] Dans cette région, John Green, du journal Advance, a recueilli plus de 250 témoignages sur des hommes-singes du type yéti et Roger Patterson, de Yakima, a même filmé un Yéti femelle tandis qu’à l’automne 1971, Ivan Marx a filmé un Yéti mâle. Quelques photogrammes de ce film ont été reproduits dans un numéro de Sélection, et l’on remarque nettement le fameux crâne allongé vers le haut [265 ]. »

Le « petit yéti », selon les témoignages des montagnards himalayens et des alpinistes occidentaux, est « une créature humanoïde, couverte d’une épaisse toison rousse, dont la taille se situe entre 1,40 et 1,70 m (elle est souvent comparée à celle d’un garçon de 12 à 14 ans). Les bras sont longs, atteignant les genoux lorsque l’animal les tient le long du corps. La caractéristique la plus frappante est toutefois sa tête pointue (en forme de pain de sucre ou d’obus) [ 266 ]. »

« Chez la créature photographiée par Cedric Allingham en 1954, à Lossiemouth (Écosse), la tête en pain de sucre est nettement visible ». D’autres cas les décrivent par les expressions « en coupole », en forme de melon ou de citrouille.

Guy Tarade évoque plusieurs témoignages portant sur des « hommes abominables ».

Ainsi, « au mois de mai 1966, quatre jeunes garçons du village californien de Fontana, à une centaine de kilomètres à l’est de Los Angeles, alertèrent l’un des adjoints du shérif : ils avaient vu aux environs l’empreinte d’un pied de quarante centimètres de long sur quinze de large ayant toutes les apparences d’un pied humain. Les garçons affirmèrent même qu’ils avaient vu un “abominable homme des cavernes” se balancer dans un arbre aux branches énormes. La police classa rapidement l’affaire dans les dossiers “hallucinations et plaisanteries de mauvais goût”. Mais au mois de septembre de la même année, un rebondissement inattendu vint mettre en émoi les plus fins limiers. Un soir, deux jeunes filles firent irruption en sanglotant dans le bureau du shérif ; elles venaient d’être attaquées par un monstre de grande taille, une sorte de singe poilu et méchant. L’une des jeunes filles, Jerri Mindenhall [NDÉ : âgée de 16 ans ; au nord de Fontana, le 27 août 1966], avait les vêtements déchirés, et des égratignures sur les bras […] elle avait été attaquée par le monstre […] À peu près à la même époque, dans le village de Los Puestitos, dans le centre de l’Argentine, un “homme loup” fut aperçu par un fermier, monsieur Eusebio Ozan, alors qu’il s’attaquait à ses moutons. Les paysans de l’endroit assurèrent que des incidents semblables s’étaient déjà produits dans un rayon de quelques kilomètres à la ronde ».

Tarade note que « cette région ayant été visitée à plusieurs reprises par des O.V.N.I., des atterrissages ayant même été constatés, les paysans du lieu
ont avancé l’hypothèse qu’il s’agirait d’un homme ou d’un animal débarqué d’un engin galactique [ 267 ] ».

Le 8 avril 1971, la revue italienne Panorama a démontré, carte à l’appui, que les apparitions de soucoupes volantes sont particulièrement nombreuses dans les régions du nord-ouest des États-Unis, « là où l’on a signalé le plus fréquemment des Yétis (et où l’uranium est le plus abondant) [ 268 ]. »

« Nombre de yétis ont le corps velu et le visage plutôt glabre. À ce sujet, le professeur Ryn Schen, d’Oulan Bator en Mongolie, qui a fait une étude approfondie sur le Yéti, distingue celui-ci, poilu, de l’Almasi qui l’est peu, et qui se rapproche du type humain. Le poil, quand il est abondant, est souvent de couleur rousse ou châtain sombre, mais il y a aussi des individus blonds à longue chevelure comme les hippies. Dans l’un et l’autre type, le crâne est allongé vers le haut et a un volume supérieur à celui d’un crâne humain. On relève par ailleurs ce genre de crâne sur les monuments de l’ancien Mexique et sur des statues précolombiennes ainsi que le note Qixe Cardinale, dans son livre sur Le retour des civilisations perdues ainsi que sur les momies du musée Pigorini de Rome. De plus, il existe souvent une hypertrichose le long de la colonne vertébrale [ 269 ] […] ».

« De récentes observations laissent à penser que l’Himalaya n’est pas la seule région du monde où subsistent encore des Gigantopithèques. Les pentes et les plus hauts sommets de notre planète abritent encore ces créatures nées dans un autre cycle… ou importées d’un autre monde !

Un alpiniste américain, monsieur Robert Morgan, cherche […] la preuve de l’existence de cet “homme-singe” dans une région montagneuse du nord-ouest des États-Unis dont, il y a deux ans, un habitant de la région, monsieur Roger Patterson, a surpris l’un des spécimens au cours d’une partie de chasse et l’a filmé. Diverses légendes indiennes de cette région évoquent l’existence du “Sasquatch”, un géant aux traits simiesques que l’on rencontre, passé certaines altitudes. Monsieur Morgan et l’un de ses amis vont rechercher le “Sasquatch” dans la chaîne des Cascades Mountains, dans l’État de Washington [ 270 ]. »

Guy Tarade note que « cette créature pèserait environ 225 kilogrammes.

Depuis des années, on parle de ces êtres mystérieux qui vivent dans le nord-ouest du Pacifique et en Colombie britannique [ 271 ] ».

Les yétis vivent nus et « supportent […] des températures glaciales à 7 000 ou 8 000 m d’altitude, c’est-à-dire en atmosphère raréfiée. Leurs empreintes, très nettes sur la neige, ont été maintes fois photographiées [ 272 ]. »

Des traces de pas de bipèdes suivies à plusieurs reprises (Eric Earle Shipton en 1951, l’abbé Bordet en 1955, le Daily Mail 1955, McNeely et al. en 1972, etc.), parfois sur plusieurs centaines de mètres, sont attribuées à un primate inconnu, le yéti.

« Chose étonnante, ces traces ne révèlent que quatre orteils (Ralph Izzard 1955, Tom Slick 1957, Alastair Cram 1960, Peter Taylor 1964,  Akira Namba et Hiroshi Matsushita 1974) : soit que le yeti ne possède réellement que quatre doigts, ce qui serait une donnée capitale pour la primatologie ; soit que les orteils II et III soient si proches l’un de l’autre, disposés sur une même éminence charnue (comme cela existe aussi parfois chez l’homme moderne), que les traces semblent ne montrer que quatre doigts[ 273 ]. »

Ces quatre doigts rejoignent la série télévisée, en raison du cinquième doigt, l’auriculaire, raide comme une prothèse. Dans le roman Les envahisseurs: Le barrage de la peur, l’auriculaire des envahisseurs, déformé et raide, s’écarte des autres doigts et ressemble à une griffe. Les membres de la pure race aryenne possèdent une déformation de l’auriculaire. Certains le coupent parfois, ce qui les fait ressembler à leurs créations hybrides mi-hommes mi-singes. Ainsi, le code Adamski parlerait d’expérimentations, de mutations en vue de produire une sous-race d’humains de type simiesque, dont l’auriculaire serait une prothèse ajoutée ressemblant à l’anomalie des authentiques aryens pour qu’ils ressemblent à leurs maîtres et qu’ils aient l’air humain. Munis d’un émetteur et de stimoceiver pour les contrôler, ils seraient alors envoyés en mission parmi les hommes, rasés et revêtus d’un costume.

Nous avons évoqué, dans La mutation, la corrélation du prénom Vikki avec le peuple viking et son ADN associé à la modification des petits doigts de leurs mains. On attribue la maladie de Dupuytren à un « facteur génétique […] la maladie de Dupuytren survient seulement chez les sujets blancs, européens du Nord (Islande, Scandivanie, Russie, Angleterre) et chez leurs descendants […] Les invasions des Vikings restent le facteur prédominant de la répartition de la maladie dans le monde, et les patients atteints ont d’ailleurs très souvent les yeux bleus [274 ] ! »

Il y aurait donc un lien entre les Vikings et les yétis. Des yétis albinos aux yeux bleus avec une abondante crinière blonde existent.

« L’un des plus célèbres représentants mammifères albinos est Flocon de neige [Copito de nieve en castillan], un gorille imposant albinos originaire de Guinée équatoriale ; il est le seul gorille albinos qu’on connaisse à ce jour [ 275 ]. » Ce gorille unique appartenant à la sous-espèce des plaines occidentales est mort à 40 ans du cancer de la peau (diagnostiqué en 2001) au zoo de Barcelone en 2003. En apparence, ce singe cacherait le yéti, mais il se comportait en parfait gorille.

« Les pistes relevées notamment par l’abbé Pierre Bordet en 1955 sont typiquement bipèdes, et ne peuvent en aucun cas être “expliquées” par des empreintes de pas de langur (un petit singe quadrupède de l’Himalaya), d’ours ou de tout autre mammifère, qu’elles aient été ou non modifiées par des phénomènes de fusion de la neige : on y voit en effet très nettement une alternance régulière pied droit/pied gauche, caractéristique d’une marche bipède, et ce, sur des centaines de mètres.

L’habitat du yéti n’est pas situé dans les neiges, contrairement à une croyance répandue entretenue par son surnom, mais dans les forêts de rhododendrons [cf. René de Milleville] des hautes vallées de l’Himalaya : c’est toujours en bordure de telles forêts qu’il est observé. Leur exploration est des plus difficiles, l’homme ne pouvant y progresser que de 100 mètres à l’heure ! »

Toujours selon Moretti, la meilleure description est celle que donne le Dr Édouard Wyss-Dunant, médecin de Genève.

« Dans la nuit du 17 novembre 1882, des soucoupes volantes furent aperçues au-dessus de plusieurs villes d’Angleterre, et […] les jours suivants, des empreintes de forme bizarre furent observées un peu partout dans la neige. Déjà en 1825, de grosses empreintes non identifiables avaient été relevées en divers endroits à la suite d’une forte chute de neige sur le pays. En 1960 […], des empreintes mystérieuses ont été découvertes sur la neige dans le parc de Yosemite, aux États-Unis, peu après le passage d’un O.V.N.I.

Les empreintes de Castelluccio di Norcia, dont il est fait état dans le quotidien Il Tempo du 24 décembre 1954, sont du même type. Dans la nuit du 23 décembre, vers 22 heures, dans ce village des monts Sibyllins (Apennins), on vit un sillage lumineux s’abaisser sur l’horizon et disparaître derrière la montagne. Au bout de quelques minutes, on observa deux phares lumineux se déplaçant lentement sur la crête. Ils disparurent vingt minutes après […] voyageurs égarés [ ?] […] Le matin suivant, plusieurs habitants se rendirent à l’endroit où les phares étaient apparus. Ils purent observer sur la neige des empreintes très nettes comme celles de “pieds nus appartenant à des personnes de taille moyenne” et d’autres plus petites. À un certain point, les traces cessaient comme si les mystérieux [visiteurs] s’étaient envolés ! Le directeur de l’Association internationale pour la protection de la nature (N.I.C.A.P.), Peter Byrne, qui a effectué des recherches sur le Yéti américain dans les États de Washington et de l’Oregon, a noté […] qu’un des mystères de ces traces “tient au fait qu’on ne comprend pas pourquoi elles partent d’une région donnée et n’y reviennent plus[ 276 ]” … »

L’étude parasitologique des excréments associés à des pistes de yéti a révélé la présence de trois espèces de parasites intestinaux encore inconnues de la science, démontrant que leur hôte est lui-même inconnu (Sanderson 1963).

En 1903, en Himalaya, William Hugh Knight, membre du Royal Society Club, se promène à cheval. Prenant une pause dans un « cirque désolé », il voit à 30 mètres, « un singe formidable au visage humain à la peau blanche, à l’épaisse toison rougeâtre, au crâne en pain de sucre [qui] l’observait, dressé sur ses jambes. Sur le visage à l’aspect humain, Knight crut distinguer comme une infinie tristesse [comme c’est souvent le cas dans les témoignages et comme si le singe se souvenait avoir été autrefois humain]. L’homme et la créature s’observèrent quelques secondes puis avec un glapissement de désespoir, le grand singe s’éloigna. Alors seulement, Hugh Knight remarqua que la « bête » tenait un arc et des flèches[ 277 ]… »

Lors de l’émission Secret défense : ce que les gouvernements nous cachent sur Syfy Universal le 13 mars 2010, le scientifique qui s’est penché sur le cas d’un survivant du crash de Roswell affirme que la petite créature avait l’air triste.

Il est plus que possible que le scénario de l’extraterrestre dissimule l’utilisation d’un petit yéti aux poils rasés pouvant aisément passer pour un petit gris.

Ces cobayes sûrement génétiquement modifiés sont certainement utilisés pour piloter des prototypes spéciaux antigravitationnels de cette caste aryenne-nazie et tout le reste n’est que du folklore extraterrestre créé de toutes pièces par l’armée américaine.

Au Tibet, N. Roerich a également observé un homme très beau à demi nu et portant arc et flèches. Pour A. Tomas, ce Tarzan serait évolué et posséderait de la super-technologie. Il est étonnant de constater que des yétis puissent aussi piloter des engins magnétiques. Tout est sens dessus dessous ! La Préhistoire pourrait avoir été déclenchée par de la super-technologie et ne serait qu’une ère de régression due à la bêtise de guerres entre les dieux et les hommes.

Après une semaine d’ascension, l’expédition du milliardaire américain Tom Slick se retrouve dans la vallée de Barun [d’Arun (Sikkim)] et « c’est à une énigme aussi vieille que la Bible que nous allions nous attaquer.

Aucun théologien n’a jamais expliqué le verset 4 du chapitre 6 de la Genèse :

“En ce temps-là, il y avait des géants sur la terre […] et ce sont ces puissants qui, de tout temps, ont été d’un grand renom”. Ce n’est d’ailleurs pas le seul ouvrage sacré mentionnant l’existence de géants: selon les brahmanistes, une race de bipèdes gigantesques aurait, aux origines de l’humanité, contesté aux hommes la possession de la terre [ ,278 ] » ( Paris Match).

Helena P. Blavatsky écrit :

« Les races aryennes ne cessèrent jamais de lutter contre les descendants des premières races géantes. Cette guerre dura presque jusqu’à la fin de la période qui précéda la Kali Youga [âge de Kali ou âge de fer] et ce fut le Mahâbhârata ou Grande Guerre si célèbre dans l’histoire des Indes[ 279 ]. »

Au centre de la Terre, Olaf Jansen a rencontré une race de géants de quatre mètres de haut, d’une finesse exceptionnelle, parlant le sanscrit et utilisant une supertechnologie à énergie magnétique [ 280 ].

« Peut-être avec le zoologiste Bernard Heuvelmans [ 281 ], doit-on penser que ces géants stupides, repoussés de partout par les humains, se soient repliés petit à petit dans l’Himalaya, la région la plus inaccessible du globe. Là, hors d’atteinte de l’homme, quelques-uns d’entre eux auraient pu parvenir à subsister jusqu’aujourd’hui[ 282 ]. »

Si ces créatures se trouvent dans des régions inaccessibles, elles peuvent vivre aussi au centre de la Terre.

Le père du sherpa Tenzing Norgay, premier vainqueur de l’Everest avec sir Edmund Hillary, observa durant l’entre-deux-guerres un yéti sur le Barun glacier, près du Makalu (un des pics de plus de 8 000 mètres) : « Il ressemblait à un singe de 4 pieds de haut (1,20 m), sauf que ses yeux étaient profondément enfoncés et que sa tête était pointue au sommet. Sa couleur était grisâtre. L’homme comme le singe prirent peur. L’hommedes-neiges se retourna, émit un long sifflement, et disparut. » ( id. )

La couleur grisâtre fait penser aux « gris », ces petits êtres à la peau grise et à la tête disproportionnée qui reviennent dans les témoignages de plusieurs personnes enlevées. Les grands yeux noirs des gris dans leurs soucoupes, seraient en fait des lunettes cachant des yeux enfoncés, comme s’ils étaient âgés, ce qui est le cas dans le rapt de Travis Walton survenu en Arizona en 1975. Dans le film Fire in the Sky (Robert ,Lieberman, 1993), Walton (joué par Daniel Bernard Sweeney) voit des êtres dans des combinaisons d’une seule pièce de couleur grise faisant d’eux des « gris ». Dans d’autres cas de l’ufologie, ils sont couverts de poils gris.

Les Gris sont répertoriés en trois races principales :

– les petits Gris d’un mètre vingt environ, sans émotions et responsables des enlèvements.
– les grands Gris (deux mètres dix environ) sont plus rares et très intelligents [remarquons qu’il y a petits et grands gris comme il y a petits et grands yétis].
– les Gris issus de manipulations génétiques ou clonés. Parmi eux, il y a les insectiformes dont la tête évoque celle d’une mante religieuse et aux bras filiformes (à ne pas confondre avec les insectoïdes), les Gris blancs, les Gris orange de type orang-outang et les Gris velus, à forte pilosité, et dotés de ce qui s’apparente à un nez, des oreilles, une bouche très mince [ 283 ].

Des poils attribués au yéti obtenus par René de Milleville ont été étudiés par Michel Tranier, du Muséum national d’Histoire naturelle, à Paris, pourtant très réservé quant à la cryptozoologie : il s’agit de « poils d’un primate roux proche de l’orang-outang », sans qu’ils appartiennent à ce dernier…

Dans les années 50, un cantonnier français a vu ce genre de primate roux piloter une soucoupe volante. Ce cas sera détaillé par la suite.

À Hawaï et aux îles Fidji, le Menehune, observé à la fin des années 40 et en 1975, mesure entre 80 et 90 cm de haut, a le corps velu et trapu, le visage rouge aux yeux cachés sous de longs sourcils, une longue chevelure et le nez large et plat.

En URSS

Alexander Komlev (évadé des camps staliniens à la fin des années 50) a étudié une famille d’homins (ou d’hominoïdes) appelés advoshka près de Novgorod : 2 m de haut, le corps couvert de poils bruns, plus clairs sur l’estomac et sous les bras. Une bande de poils gris le long de la colonne vertébrale. La tête repose directement sur les épaules de trois pieds de large, le visage ressemble à celui d’un homme, comme le yéti. Il a peu de poils sur un visage lisse, les yeux profondément enfoncés sous des arcades sourcilières saillantes, le nez large troussé aux grandes narines, la bouche large et charnue. Les femelles sont plus petites et ont des seins énormes. Malheureusement, les notes du chercheur seraient cachées dans la forêt et le manque d’argent empêcherait leur recherche.

Entre la Crimée et Saint-Pétersbourg, des anciens pays de l’Est jusqu’à l’Oural, plusieurs témoins ont vu des hominidés inconnus, surtout sur le pourtour de Moscou. Certains ont l’apparence d’hommes sauvages, d’autres de géants simiesques de 2,50 à 3 m capables d’écarteler un ours. La région de Moscou serait une zone de transit dans leur migration vers le sud à l’approche de l’hiver.

Des yétis ont été vus aux abords de Moscou durant les terribles incendies de l’été 2010. Probablement vivent-ils dans le monde souterrain.

Alerte au yéti en Sibérie

Des yétis affamés sillonneraient la Sibérie. Pour la première fois, les autorités russes, inquiètes, ont émis une mise en garde officielle appelant à la vigilance, le 16 octobre 2010. En effet, les incendies qui ont ravagé la Russie en été ont contraint l’« abominable homme des neiges » à sortir de la forêt pour trouver sa nourriture. « Ils ont volé des animaux domestiques et n’hésitent même pas à dérober la nourriture des ours », a mis en garde l’administration de l’oblast (unité administrative comparable à une région) de Kemerovo, selon l’Agence télégraphique d’information de Russie TASS (ITAR-TASS).

Les médias locaux ont cité le vendredi (15 octobre) plusieurs habitants de la région, qui prétendent avoir déjà vu le yéti. « Il marchait, étrangement penché en avant, et ce n’était certainement pas un ours. Je jure que je n’étais pas saoul », a déclaré Sergey Karpov, qui chasse dans la région. Asat Chaschijew, un berger, a parlé d’une « créature humaine recouverte de laine noire ».

Après la récente augmentation des rapports sur le yéti, une équipe de crise, composée de membres de l’administration du district et de la gestion des forêts, a été mise sur pied. Même dans la République de Kabardino-Balkarie, il existe des rapports parlant d’un mystérieux homme-singe qui se baladerait dans le Caucase. Des gardes forestiers et des chercheurs ont même été dépêchés pour inspecter la région[ 284 ].

Dans la province d’Astrakan, au nord-ouest de la mer Caspienne, près de l’estuaire de la Volga, on a observé des hommes sauvages vivant dans un milieu de steppes et de roseaux. Ils mesurent 1,80 mètre et ont le corps couvert de poils. Ces Néanderthaliens viendraient de Russie ou d’Asie centrale.

En Sibérie occidentale, vit un hominien de plus de 2 m, au corps velu et adapté au climat rude. Il peut hiberner au fond d’une grotte. Il utilise des outils rudimentaires pour se nourrir, en tuant les rennes…

Au nord de Saint-Pétersbourg, les toungou, descendants de l’ Homo heidelbergensis, utilisent leur mâchoire supérieure pour arracher les écorces des arbres où se trouvent des larves. Certains seraient capables de faire du feu.

L’almasty mesure entre 2m et 2m10 ; son pelage long et brun-roux cache une peau sombre et il a des cheveux abondants et rêches. Ses yeux ont une lueur rougeâtre dans l’obscurité, ce qui rappelle des cas de pilotes d’ovnis aux yeux rouge-orangé lumineux. Selon les recherches de Marie-Jeanne Koffmann, la « démarche voutée [de l’Almasty], très caractéristique de l’espèce, ne l’empêche pas de se déplacer rapidement bien au contraire, mais elle le contraint tout de même à basculer son buste tout entier lorsqu’il veut observer ce qui se passe aux alentours. Son corps, affublé de longs bras qui lui arrivent aux genoux, est, à l’exception de son visage, entièrement recouvert de longs poils grisâtres. De sa grosse tête tombent une cascade de longs cheveux poivre et sel au travers desquels l’on peut voir apparaître un front proéminent surplombant deux yeux ronds, rouges et brillants qui, de par la forme de leur pupille, pourraient être assimilés à ceux d’un chat ainsi que de grandes dents[ 285 ]. »

L’almasty, forme moderne du Néanderthalien ou de l’ Homo georgicus, bénéficiait de la clémence des populations locales, profitant de nourriture et d’abris, jusqu’aux purges staliniennes entre 1944 et 1957.

Au nord du Pakistan, au sein du Pamir, le zoologue catalan Jordi Magraner a étudié, pendant 12 ans, le barmalu, plus petit que l’almasty. Des gravures rupestres remontant à 10 000 ans représentent des silhouettes de géants aux pieds et mains très grands. Son assassinat en 2002 mit fin à la résolution du mystère.

En 1954, le cinéaste chinois Pai Hsin aperçut un yéti à une distance de 1 000 mètres dans le Pamir soviétique. En 1957, le professeur Pronine remarqua sur un éperon rocheux « un singe à face humaine » qu’il revit trois jours après[ 286 ].

En 1980, dans la région du Pamir, au Tadjikistan, Nina Grinyova marchait le long d’une rivière quand elle a vu un personnage debout à environ 25 mètres. Elle a déclaré qu’il était en face d’elle et qu’il perçait son âme du regard. Les yeux grands et lumineux, il avait l’ensemble du corps plutôt brillant, quoique sombre et en même temps un peu argent. Il mesurait environ deux mètres, d’apparence très lourde, carré et droit de l’épaule à la hanche, avec le cou court, la tête mise en avant, les bras qui pendaient librement. Elle tenta d’attirer son attention avec un jouet en caoutchouc en forme d’oiseau, mais la créature se retourna et descendit rapidement la pente vers la rivière gracieusement et très rapidement, contrairement à un homme [ 287 ].

« Là où il y a des humanoïdes, il y a aussi une odeur [ 288 ]. »

Une odeur souvent nauséabonde (qui a valu au yéti l’épithète d’abominable) semble d’une part être une odeur raciale particulière et d’autre part provenir d’un fluide particulier, souvent émis par les soucoupes volantes dans le but d’annihiler la conscience des témoins. Certains témoins évoquent une odeur de gaz. À Flatwoods, les témoins disent avoir été « plongés dans une brume à l’odeur de métal brûlé, qui irrite leurs yeux ». Le journaliste local A. Lee Stewart Jr sent la même odeur « écœurante de métal brûlé ». Jacques Bergier parle d’« odeurs abominables de matières en putréfaction[ 289 ]. »

En 1954 en France, Marius Dewilde se trouve en face de deux petits êtres coiffés de larges casques et revêtus de ce qui ressemble à de lourdes combinaisons de plongée. Ils ont de larges épaules, mais Dewilde ne leur voit pas de bras. Ils mesurent moins de 1,20 m. Dewilde se dirige vers eux dans l’intention de leur bloquer le chemin, mais une lumière aux reflets verts apparaît sur un côté de l’objet sombre qui se trouve sur les rails, et Dewilde est incapable d’esquisser le moindre mouvement. Il peut voir l’engin décoller du sol un instant plus tard, se balançant d’abord légèrement comme un hélicoptère, puis montant à la verticale et disparaissant rapidement avec une luminosité rougeâtre, en émettant un vent chaud et une odeur d’ozone.

Leonard Stringfield a relevé deux témoignages appropriés, non loin de Cincinnati en 1955, après l’incident d’Hopkinsville dans le Kentucky (où de petits êtres avaient dévasté une ferme). Selon l’enquête menée par Ted Bloetcher sur l’affaire du pont de Loveland, le chef de police John Fritz raconte que « le témoin conduisait un camion de la Défense civile. Passant sous un pont dans la région de Loveland, en juin ou juillet 1955, il remarqua quatre petites silhouettes sur le bord de la rivière, sous le pont. Une odeur terrible flottait dans l’air […] » Bloetcher a montré les dessins des petits hommes d’Hopkinsville au témoin, mais les silhouettes qu’il a vues ne leur ressemblent pas. Pour lui, c’était « quatre petits hommes à l’aspect plus ou moins humain, mesurant un mètre et se déplaçant de façon bizarre sous le pont ». Il confirma qu’il y avait alors « une odeur terrible » à cet endroit.

En 1956, T. Bloetcher interrogea un autre témoin, Robert Hunnicutt, qui raconte que « vers 4 heures du matin, en mai 1955, alors qu’il traversait Branch Hill en direction de Loveland, il « avait vu dans la lumière de ses phares […] trois petites silhouettes agenouillées sur le côté droit de la route […] intrigué, il arrêta sa voiture et en sortit […] Quelle ne fut pas sa stupeur de voir des créatures ne dépassant pas un mètre, grisâtres, vêtues de justaucorps tendus sur des torses dissymétriques bombés à l’épaule jusqu’au dessous de bras […] [L’une] avait des bras minces, l’un plus long que l’autre semblait pendre de l’épaule bombée […] Les têtes étaient affreuses, des “têtes de grenouille” avec des bouches en longues lignes minces fendant le visage lisse et gris d’une oreille à l’autre. Les yeux paraissaient très écartés et le nez se voyait à peine ; le visage, peint comme celui d’une poupée en plastique, était formé d’une série de bourrelets de graisse horizontaux sous un crâne chauve. Le personnage du milieu […] apparut […] les bras levés […] [qui] tenaient un bâton ou une chaîne d’où jaillissaient des étincelles bleues et blanches. Les étincelles sautaient d’une main à l’autre. »

Hunnicutt voulut s’approcher mais la créature fit « un mouvement bizarre dans sa direction, comme s’il me déconseillait fortement de m’approcher davantage […] Comme il remontait dans sa voiture, il eut soudain conscience d’une odeur forte et pénétrante [comme] de la luzerne fraîchement coupée… » Cette nuit-là, le Ground Observer Corps avait signalé le passage d’ovni dans la région au centre du filtrage du Commandement de la Défense aérienne à Colombus dans l’Ohio, le 24 mai, la veille de la rencontre d’Hunnicutt ! La nouvelle était parue dans le journal local l’ Herald : “4 ovni en formation au-dessus de Loveland” [ 290] ».

Stringfield conclut que ces histoires correspondent à « l’apparition du “précurseur” du petit homme, […] de nains en costumes de plongée, de petits bipèdes velus au Venezuela, des petits personnages inclassables d’Hopkinsville, de Stockton, de Coldwater et de Branch Hill […] les “contactés” […] ont introduit l’entité “acceptable” à l’aspect humain – laquelle devait apparaître seulement plus tard en costume argenté », qui est une combinaison en aluminium protégeant contre l’électromagnétisme à bord des soucoupes.

On nous a fait croire à une odyssée extraterrestre mettant en scène une kyrielle d’humanoïdes mais, selon moi, il est impensable que ces créatures aient pu construire des soucoupes.

Moretti a fait une synthèse des caractéristiques des pilotes d’ovni : « leur taille varie de 0,90 m à plus de trois mètres. La moitié sont d’apparence robuste et ont des poils abondants sur tout le corps. Ils portent souvent des combinaisons collantes ne laissant libres que les mains et le visage, et des demi-bottes sans talon. D’autres fois, il est question d’une espèce de scaphandre analogue à celui des plongeurs ». Ces hybrides pourraient être des hommes-poissons portant un casque contenant un mélange gazeux ou un liquide transparent.

Les gnomes grotesques

Ceux-ci se retrouvent dans plusieurs cas ufologiques. « Le 24 novembre 1978, un peu avant midi, Angelo d’Ambros, un habitant de Gallio, au nord-est de l’Italie, coupe du bois pour le feu près de Gastagh.

Soudain, il remarque deux effrayantes créatures, comme suspendues à 40 centimètres du sol, qui le regardent fixement. L’une des deux créatures mesure environ 1,20 mètre, l’autre est plus petite. “Ils étaient très maigres, et leur peau jaunâtre était si tendue qu’on voyait leurs veines saillantes sur les tempes et sur les mains”. » (Description typique de certains petits singes dans les zoos, au teint jaunâtre, rougeâtre et même bleuâtre avec leurs veines saillantes ; imaginez-les rasés de tous leurs poils avec un casque sur la tête et ils ressembleront aux critères de
l’ufologie.)

« Leur crâne était haut et allongé, comme une poire. Ils étaient chauves, avec d’énormes oreilles qui se dressaient en pointe. Ils avaient de grands yeux blancs, très enfoncés et sans paupières, au-dessus d’un nez crochu qui retombait à hauteur de leur bouche, et de grandes lèvres relevées sur des crocs impressionnants. Une combinaison noire les couvrait des genoux à la tête, ne laissant libres que les mains et les pieds, qui étaient disproportionnés par rapport au reste du corps. Leurs doigts très longs se terminaient par des griffes[ 291 ]. »

Si les nazis ont utilisé ces êtres simiesques, ils leur ont rasé les poils de façon à leur donner une apparence de « Martiens » et, en ce qui concerne les griffes, soit qu’ils leur ont laissé pousser les ongles, soit qu’ils leur ont ajouté des prothèses ressemblant à des griffes de métal pour qu’une ressemblance typiquement « martienne » s’en dégage, suffisamment terrible pour effrayer les témoins et pour que naisse dans l’ufologie une aura de crainte, qui est caractéristique de la façon de penser nazie : recherche d’une super-technologie, utilisation de cobaye, expérimentations, greffes et mutations, et conquête du monde par la peur et la guerre.

Timothy Good poursuit : « La plus petite des deux créatures commence à glisser dans les airs en tournant autour d’Ambros, sans bouger ses longues jambes » (Cette mise en scène était-elle censée faire croire au témoin qu’il est en face d’un être angélique extraterrestre ?) « Le témoin lui demande ce qu’ils lui veulent, mais n’obtient pour toute réponse que des sons inintelligibles [ 292 ]. » (Ces créatures ne semblent pas posséder le verbe.)

Nous assistons à un manque de communication flagrant de la part d’une civilisation extraterrestre avancée !

Timothy Good parle d’une créature semblable : « Les quatre créatures, de sexe indéterminé, mesurent entre 1,40 et 1,50 mètre. Leur visage est fin et délicat. Elles sont vêtues de combinaisons moulantes faites d’une sorte de caoutchouc, qui les enveloppent complètement à l’exception du visage, des mains et des pieds […] Leurs jambes sont grêles mais, à la façon dont ils avaient bondi sur la charrette, on peut supposer qu’ils s’en servent aussi bien que de leurs bras [ 293 ]. » C’est typique des singes d’user ainsi de leurs bras et de leurs jambes. En plus, « leurs doigts et leurs orteils, reliés par de fines membranes, ressemblent à des palmes de plongeur. Ils ont de grosses têtes, le teint olivâtre et les pommettes saillantes qui leur donnent un air asiatique ». Il s’agit encore sans doute d’êtres génétiquement modifiés.

La teneur de ce témoignage nous renvoie aux créatures d’Hopkinsville, mi-simiesques mi-insectoïdes et mi-grenouilles. Cela résulte sûrement d’une manipulation génétique et de l’utilisation de xénogreffes par cette caste d’hommes nazis.

Au-delà de la série Les Envahisseurs qui révèle que ces êtres opèrent des mutations, le code nous indique que ces nazis allemands sont capables de fabriquer des créatures et de manipuler leurs gènes. L’armée utilise des singes déguisés pour une mise en scène.

Les archives du NICAP relatives au cas d’Hopkinsville, le soir du 21 août 1955, évoquent des yétis aux « bras très longs, doigts à griffes, crâne volumineux par rapport au corps »« La créature portait une combinaison brillante et métallisée et marchait à la façon des singes en s’aidant presque de ses mains. […] Dans certains cas, on a vu ces êtres cueillir des plantes, des fleurs et surtout prélever des échantillons minéraux (recherche d’uranium ?) […] leur langage est généralement à base de sons gutturaux [ 294 ]. » À Flatwoods, Kathleen May décrit la créature avec des bras courts terminés par des serres pointées droit devant elle.

Aimé Michel a réalisé un journal traitant de la « vague » de 1954 en France.

Stringfield parle d’« invasion par des nains débarqués d’ovni ». Ainsi, Marius Dewilde a vu de petites créatures en tenue de plongée autour d’un grand engin sur la voie ferrée et, frappé par un faisceau aveuglant de lumière, se retrouva étourdi et paralysé un certain temps. D’autres témoins ont souffert de brûlures ou de « curieuses lésions » sous l’influence parfois d’un double rayon lumineux. Trois autres ont vu un petit être à grosse tête et aux yeux énormes, dans un vêtement de plongée « brillant et étincelant comme du verre »…

Jacques Vallée évoque le cas du 18 octobre 1954, à 20 h 40, à Fontenay-Torcy, en France : « Monsieur et madame Lherminier [ou monsieur et madame Vasseur, roulant à bicyclette] aperçurent un objet rouge, en forme de cigare plonger vers eux laissant derrière lui une traînée rouge et atterrir près de la route. Une fois arrivés au sommet d’une colline, [les témoins] se trouvèrent face à face avec une silhouette humaine, épaisse, haute d’environ 1 mètre. Cette créature portait un casque et ses yeux émettaient une lueur orange [ 295 ] [NDA : il est possible que cette luminosité provienne d’une technologie secrète numérique à fibre optique incrustée dans des casques, des lunettes ou des lentilles.]

D’après Charles Garreau et Raymond Lavier, l’être porte une veste de cuir avec plastron à reflets brillants. Son visage est noir. Il est coiffé d’un casque et est trapu. Madame Lherminier passe à moins de dix mètres du petit être. Elle reçoit comme une décharge électrique au moment où elle se voit fixée par deux yeux lumineux. Ses jambes lui semblent soudain paralysées. Elle a beaucoup de mal à continuer à pédaler pour s’éloigner [296 ].

Un des témoins s’évanouit. Quatre autres personnes ont vu cet objet en vol dans des lieux différents. Un troisième groupe de témoins, habitant Saint-Samson-la-Poterie, le vit s’envoler à une vitesse extraordinaire vers l’ouest et illuminer la campagne sur deux ou trois kilomètres[ 297 ].

Selon Jean Sider, l’humanoïde portait un casque très curieux qui paraissait rentrer dans les épaules [cf. en 1956, dans le film Les soucoupes volantes attaquent, des créatures portent ce genre de casques] et de ses yeux s’échappait un faisceau lumineux de couleur orange dirigé vers les témoins. Ilse réfère à L’Oise-Matin de Compiègne du 20 octobre 1954 (page 10), qui cite des effets et des noms de témoins différents [298 ].

Après l’Europe de l’Ouest, l’Amérique du Sud subit l’invasion de petits êtres velus. Ce n’est pas étonnant puisque plusieurs milliers de nazis se sont installés en Amérique du Sud après la guerre.

L’anthropologue américain Brian Stross, de l’University of California, Berkeley, rapporte les étranges légendes des Indiens Tzeltal au Mexique. Ces derniers rencontrent fréquemment les Ihk’als ou Ikals, des petits êtres noirs, velus en même temps qu’apparaît une étrange lumière dans le ciel.

« En 1948 (date du crash d’Aztek au Nouveau-Mexique), un homme voulut abattre une sphère qui le suivait avec une massue. Elle se désintégra laissant une sorte de cendre. Ces êtres sont observés depuis longtemps. Ils vivent dans des caves, volent, attaquent. Plus récemment, ils ont été vus avec une fusée dans le dos, paralysant et enlevant des Indiens[ 299 ] […] »

Peut-être sont-ils issus d’une race appelée Nittaewo qui a existé au Sri Lanka jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, de féroces homoncules (entre 0,90 et 1,20 mètre) couverts de poils, aux bras courts et puissants, aux mains courtes aux ongles longs et tranchants. Ils communiquaient entre eux par un gazouillis, vivaient en petits groupes dans des grottes ou sur des plates-formes surélevées dans des arbres ( Homo floresiensis). « Voleurs, ils n’hésitaient pas à s’attaquer aux humains, les éventrant de leurs ongles » (cf. les Hombrecitos du Venezuela). Les Vedda les ont exterminés en les enfermant dans leur grotte. Cette race a très bien pu être repérée par les nazis et utilisée pour faire voler des engins expérimentaux.

Ainsi, au Venezuela, les créatures sont petites, velues, plus agressives et animales comme à Hopkinsville. Elles sont d’une force incroyable comme si elles étaient entourées d’un champ de protection magnétique, provenant du vaisseau spatial non loin de là.

À Petaré, banlieue de Caracas, « Gustavo Gonzales, perdant tout contrôle, s’est cramponné au nain […] le nain, tirant sa force de quelque source inconnue, l’a envoyé rouler sans peine à quinze mètres de là ; Gonzales s’est relevé et a ouvert un couteau [… qui] a dérapé sur une surface dure ».

À Carora, un jeune garçon raconte : « un des petits êtres essaya de me tirer avec une force extraordinaire » dans l’ovni. Son ami, voulant l’aider, donna un coup de crosse sur l’épaule du nain mais « le fusilse cassa en deux ».

Dans l’État de Zulia, Jesus Paz a surpris un nain qui l’a griffé sur toute la longueur du dos. À Valencia, le jockey Jose Parra surprend des nains « au moment où ils arrachent des blocs de pierre […] et les chargent sur leur étrange engin ». Alors qu’il part en courant, un nain « a émis une sorte de rayon qui l’a atteint dans le dos, le jetant à terre […] ».

Hopkinsville

L’affaire d’Hopkinsville de 1955, à laquelle Jacques Bergier fait référence, avec de petits humanoïdes aux caractéristiques de yétis (comme les Hombrecitos du Venezuela), montre le parallèle entre une technologie d’avant-garde et une attitude quasi animale d’intrus paraissant extraterrestres.

Les êtres sortis de la soucoupe ressemblaient à des lutins, avec la tête disproportionnée, deux gros yeux jaunes très écartés, de grandes oreilles pointues et une bouche fendue. De longs bras terminés par des mains griffues nous font penser à des singes.

Pourquoi le phénomène ovni se rapproche-t-il, dès la fin des années 40 et pendant les années 50, d’êtres semi-préhistoriques de petite taille?

Il semble que l’intelligence qui a créé les disques volants se paie notre tête en dissimulant une autre réalité. Si nous allons dans leur sens de cette
guerre psychologique, nous pourrions croire qu’ils viennent vraiment d’une autre planète car ils ne nous ressemblent pas. En effet, ce genre de créatures préhistoriques, vêtues d’une combinaison brillante ressemblant à celle de l’USAF, suggère qu’ une race supérieure se dissimule derrière la construction de ces machines rendant esclaves des hommes-singes pour ne pas être identifiée en cas de crash. Ces sortes de spectacles à caractère hollywoodien visent à nous faire oublier l’existence de l’énergie libre.

Le code Adamski de la série Les Envahisseurs tente de nous prévenir justement que « ceux » qui sortent des soucoupes sont comme nous. La mise en scène créée par des services spéciaux de l’armée américaine a égaré la majeure partie des ufologues et aujourd’hui, personne ne cherche à faire le lien entre les épisodes les plus importants en matière d’atterrissages ou de crashs d’ovni qui ont eu lieu à travers le monde.

Le cas Botta en Argentine

En 1950, Enrique Caretenuto Botta, alors architecte, se trouvait en Argentine pour des constructions dans La Pampa, à Bahia Blanca. Expilote de guerre, ingénieur en aéronautique, il roulait dans une région isolée lorsqu’il a vu un disque métallique et brillant de 10 m de diamètre, posé au bord de la route. Il s’en approcha et trouva que la matière était élastique comme du caoutchouc. Dans l’engin, où régnait une odeur d’ail et d’ozone, il découvrit trois petits êtres de 1 m 30 assis, vêtus de survêtements collants gris foncé, à la chair rigide. Leurs visages, à l’aspect humain, étaient noircis au charbon (probablement carbonisés) ou naturellement noirs, les cheveux étaient courts châtains gris. Devant eux, des rayons se mouvaient sur un écran et au-dessus pivotait un globe transparent. Puis, avec deux amis, Botta s’est rendu de nouveau sur les lieux mais ils n’ont trouvé « qu’une montagne de cendres très chaudes » que Botta a photographiée.

(Dans l’épisode L’ennemi, un envahisseur désintègre une soucoupe volante qui s’était écrasée au sol.) L’un d’eux en a ramassé une poignée et sa main est restée violette pendant plusieurs jours. Un cigare et deux disques les survolaient. Botta les a pris en photo, puis les ovnis sont rapidement entrés dans le cigare qui devint rouge sang avant de disparaître en quelques secondes. Pendant plusieurs semaines, Botta souffrit d’une étrange fièvre, sa peau était gercée et il portait la marque de ses lunettes de pilote autour des yeux.

Stringfield suggère que ces petits êtres pourraient être les véritables « hommes de l’espace » appartenant à un univers « écrou boulon ». Pour moi, il s’agit souvent d’espèces à griffes donc proches de l’animal. On devine que des êtres hybrides servent de cobaye et utilisent l’énergie libre et même des armes à rayon paralysant.

Les trois créatures qu’a vues le docteur Botta nous renvoient au crash de Roswell comme s’il y avait un lien entre les deux affaires. L’une a eu plus de retentissement que l’autre, mais les petits êtres trouvés dans les soucoupes indiquent que les engins étaient encore en période d’essai et qu’ils ont subi des avaries comme lors de l’expérience de Philadelphie en 1943.

Il est toujours question de ces tests de champs d’énergie électromagnétique.

En 1954, Paris Match no 287 dit que les créatures de Roswell étaient carbonisées.

En 1951, à Mexico, le général George Marshall a révélé au Dr Rolf Alexander que l’armée américaine avait découvert des vaisseaux extraterrestres accidentés. « À trois reprises, des engins non identifiés ont effectué des atterrissages aux conséquences catastrophiques pour leurs occupants : le contact avec l’atmosphère terrestre les aurait comme “brûlés de l’intérieur” [ 300 ]. »

Il s’agissait donc d’essais ayant mal tourné, l’énergie électromagnétique ayant foudroyé les occupants.

Le mystère Botta trouve sa version similaire dans un autre accident relaté pour la première fois dans la revue Top Secret [301 ]. Il s’agit du témoignage du légionnaire de 2e classe P. José, de la 8e Cie, parti au Venezuela (déposition officielle du gendarme Rxxx du poste prévôtal à S.P.53 481 B) en 1947. En 1951, il explore la Guyana jusqu’à la Gran Sabana, traverse l’Orénoque jusqu’à un ancien volcan (cela nous rappelle le mont Rainier et le centre de la Terre). Son regard est attiré par un « reflet lumineux » d’ovni posé dans le cratère. L’engin de couleur « or pâle » mesurait 6 ou 7 m (diamètre), avec 2,50 m de hauteur, et reposait sur quatre roues.

« Il était constitué de deux parties distinctes, l’une “luisante comme du cristal” et l’autre pourvue d’une ouverture. Dans l’engin, il voit quatre sièges arrondis et, sur l’un d’eux, “un être est assis, inerte. Il ressemblait à une personne”. Dans le compartiment avant, deux autres corps sont inertes dont l’un “était muni d’une sorte de masque qui lui recouvrait le haut du visage”. Des bruits étranges, des rumeurs sourdes, des voix d’hommes inintelligibles […] se font entendre sans qu’il puisse découvrir leur provenance [s’agit-il d’émissions radioactives ?]. Il voit “une image paraissant être une carte toute composée de dessins et de signes incompréhensibles, de marques et d’inscriptions” inconnues et dessous, des “boutons, manettes et plusieurs objets étranges que je ne puis nommer” […] Le passager est “en état de décomposition assez avancée. Ils’agissait d’un être mesurant près d’un mètre de hauteur. Son visage était d’un teint verdâtre que j’attribuai à son état cadavérique. Il était vêtu de deux pièces de coton”, l’une blanchâtre et l’autre gris clair […] Cet être était du sexe masculin. Il avait des testicules d’une grosseur démesurée qui lui pendaient presque jusqu’aux genoux. [NDA : comme les attributs sexuels de gros singes tels des orangs-outangs]. Il était pieds nus. Ses mains étaient munies de six doigts chacune, très longs, et ses pieds de six orteils également longs. Il n’était pas très poilu. Ses cheveux étaient blancs et longs jusqu’aux épaules. Il n’avait ni barbe ni menton. Sa bouche était proéminente et se terminait sensiblement en forme de groin. Les quatre incisives de chaque mâchoire étaient soudées entre elles et ne formaient qu’une dent. »

Je pense qu’ils’agissait en réalité de deux longs crocs qui se rejoignent sous les lèvres de ces créatures hybrides.

La seule chose que P. José ait emportée est un des casques « munis d’un dispositif visuel » et il s’aperçoit qu’il peut voir la nuit comme en plein jour. De retour à La Guaira, il raconte son aventure à un ami et, pour lui prouver sa bonne foi, lui montre les lunettes. Avant de repartir sur les lieux du crash, il constate leur disparition et pense que son ami veut le tuer. N’ayant plus confiance, il s’enfuit en Espagne puis rentre chez lui, à Orense. Là, le curé le prévient qu’une personne le cherche. Il s’enfuit en France et est incarcéré à la prison de la Santé en 1953. En se rendant deux fois au tribunal, il aperçoit un homme qui le photographie. Au bout de 15 jours, il est libéré et doit se rendre à Toulouse. Mais il part à Caen, reconnaît celui qui l’a photographié à un bal et s’enfuit, puis s’engage dans la Légion étrangère en septembre 1953.

Le protagoniste de l’affaire a été suivi sur une longue période, car ces êtres ne veulent pas qu’un seul être humain puisse voir un équipage génétiquement modifié piloter des soucoupes à énergie libre, car cela les démasquerait.

Il semble que l’histoire du légionnaire ait été reprise différemment par Botta pour dissimuler la véritable histoire du légionnaire dans le but de cacher l’existence d’êtres hybrides et de matériel comme des lunettes en fibre optique, car en 1951 personne ne devait connaître le secret que cachent les ovnis. L’histoire des soucoupes prend donc un aspect mystérieux, voire dangereux, et révèle que ces créatures sont des êtres mi-humains mi-animaux.

La race que le légionnaire a vue dans la soucoupe, ces monstres mi-hommes mi-singes dont les crocs inférieurs, terriblement longs, jaillissaient pour toucher la mâchoire supérieure, est décrite dans les aventures de John Carter, un ex-capitaine virginien de l’armée confédérée . À compter de février 1912, Edgar Rice Burroughs [ 302 ] mentionne des véhicules martiens à rayon antigravité et des dieux qui mangent des êtres humains.

Dans le tome 1, John Carter demande : « Est-il vrai que vous mangez de la chair humaine ? » « Elle me regarda d’un air apitoyé par mon ignorance: – Mais oui, nous mangeons de la chair des espèces inférieures […] Ne le faites-vous pas ? »

Or une dépêche de l’United Press International (UPI) datée du 26 juin 1991 relate ceci : « Durant l’été 1996, des êtres étranges terrorisèrent le nord de l’Inde. Ces créatures avaient une tête évoquant celle d’un porc, avec des yeux globuleux, et se déplaçaient dans un véhicule ressemblant à un van de couleur blanche, mais capable de s’élever dans les airs pour franchir les obstacles. On les vit souvent dans le centre et l’est de la région de l’Uttar Pradesh. Selon les témoignages, ces créatures attaquaient les jeunes enfants pour les dévorer, elles marchaient aussi bien comme des êtres humains que comme des animaux, à quatre pattes, et étaient capables de franchir une distance de 200 mètres d’un seul bond, ou encore de voler. Une vingtaine d’enfants auraient été attaqués par ces monstres venus d’ailleurs. »

Il y a donc des êtres hybrides mangeant de la chair humaine, se déplaçant dans des engins fournis par leurs maîtres avec des armes à rayons laser pour découper les corps.

Toutes sortes de facteurs (drogues, manipulations génétiques…) peuvent faire régresser l’homme à l’état de singe. Une planète basculant sur son axe entraînerait l’effondrement du champ magnétique, créant ainsi une dégénérescence de l’ADN pouvant transformer l’homme en singe des cavernes, lui faisant perdre la parole.

La caste nazie est au courant, elle qui veut empêcher tout bond quantique de l’évolution en créant régulièrement des catastrophes.

Dans l’Antiquité, les cataclysmes antédiluviens déclenchés par les guerres nucléaires (Crète, vallée de l’Indus), de dieux à bord de vimanas, ont pu faire régresser des peuples à l’état de singes. Les yétis pourraient être des rescapés d’anciennes civilisations.

Il y a lieu de penser qu’un black-out complet, un silence imposé, a été déclenché par des autorités gouvernementales à propos de l’existence d’une autre création au sein même de notre Création.

La découverte de l’énergie libre et la construction de vaisseaux unipolaires donnent obligatoirement accès à des sanctuaires cachés, toujours existants, de peuples précataclysmiques.

Tout se passe sur le plan physique. L’aventure ne fait que commencer si on exploite à fond le potentiel énergétique de cette création. Sa diversité, au niveau de la flore et de la faune, pourrait expliquer la présence du monstre du Loch Ness et la simultanéité de tous les temps, transcendant la théorie fumeuse de l’évolution des espèces.

Manipulations génétiques

Tout cela semble étrange mais correspond aux descriptions et surtout à l’idée d’êtres primitifs, des « astronautes du paléolithique » selon Aimé Michel, pouvant être employés de force par une tierce personne ne tenant pas à se montrer.

N’est-il pas étonnant de découvrir que des créatures simiesques préhistoriques peuvent piloter des disques volants à lévitation magnétique? S’il existe une création de type simiesque pouvant piloter des soucoupes, nous sommes à même de découvrir que le film La Planète des singes ( Planet of the Apes, réalisé par Franklin J. Schaffner, sorti en 1968) n’est pas une fiction. D’ailleurs, l’aile volante triangulaire utilisée représente un prototype allemand de la Seconde Guerre Mondiale.

S’agit-il des restes d’une ancienne guerre mondiale millénaire créée de toutes pièces par des hommes-dieux pouvant contrôler génétiquement la Création et, à la fin de chaque cycle, créer artificiellement un gigantesque cataclysme pour faire régresser l’homme à l’état d’homme-singe mi-yéti, mi-homme. Ceux-ci manipuleraient génétiquement d’anciennes races d’hommes-singes ou des êtres humains modifiés et, au moyen d’implants, les obligerait à effectuer certains travaux dangereux tels que la récupération d’uranium, ou la cueillette de plantes.

Peut-être aussi que les Aryens et les Hyperboréens habitant sous la terre créent ces êtres simiesques hybrides.

Ces créatures serviraient la cause d’une caste qui manipule la Création depuis des millénaires et, de nos jours, seraient associés à une caste d’hommes nazis préparant l’avènement d’un Quatrième Reich, et utilisant tous les êtres disponibles pour parvenir à leur fin.

Les demi-dieux antiques, à force de faire cela, paraîtraient immortels, et à chaque fois ils planifieraient la Création en y insérant la théorie de l’évolution des espèces qu’on attribue à Charles Darwin. Ils se joueraient ainsi de l’évolution naturelle spirituelle, affirmant pour l’éternité que l’homme descend du singe alors qu’en réalité, le singe serait une version déchue de l’homme que des guerres cataclysmiques ont transformé en
primate.

Le Popol Vuh maya raconte que le singe serait un descendant du premier homme [ 303 ].

La théorie de l’évolution n’est qu’un masque voulant nous faire oublier que nous descendons des dieux et non du singe. Le singe descend de l’homme par des processus de manipulations monstrueuses.

« Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et les Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Cholula et allèrent jusqu’à Tabasco. Un personnage miraculeux, appelé Quetzalcoatl par les uns, Huemac par d’autres, parut à cette époque et enseigna aux hommes la civilisation et la morale. Quand il vit que le peuple ne voulait pas recevoir son enseignement, il s’en retourna vers l’Est, leur prédisant la destruction du monde par des tempêtes et la métamorphose des hommes en singes, et tout cela arriva [ 304 ]. » […]

« Sur les hauts plateaux du Mexique, il a donc survécu quelque chose de la civilisation tertiaire et parmi des hommes qui ont su que cette civilisation était terminée, puisqu’ils rapportent la destruction d’après Quetzalcoatl et la dégénérescence des hommes en singes ou en sauvages [305 ]. »

Robert Charroux présente dans un de ses livres une fraction du manuscrit tibétain ancien Touen-Houang, découvert en Chine, qui révèle l’existence d’anciens dieux et de créatures simiesques.

« Or, le Dieu Ide-bla guin-rgyal venait enlever au ciel le roi DRIGum, lorsque Io-nam tira de son aisselle l’Ancêtre Singe, lequel rejeta Ide-bla guin-rgyal au sein des neiges du Ti-che (Kailasa). Le roi Dri-Gum alors fut tué […] » Ces êtres venus du ciel sont assimilés aux maîtres du monde de leur époque. « Le voyage extra-planétaire est encore accrédité dans le paragraphe III mentionnant qu’Idé Nag-Khri bean-po (un des fils des dieux qui régna sur le pays des hommes) retourna corporellement au ciel, ce qui ne put se faire qu’en utilisant un moyen aérien de locomotion [ 306 ]. »

L’être singe dont il est question montre encore que ces dieux faisaient des expériences génétiques et pouvaient créer toutes sortes d’hybrides. Les yétis à face humaine seraient-ils d’anciens êtres humains transformés ? On les aurait manipulés génétiquement dans le but de les faire ressembler aux créatures simiesques ou semi-reptiliennes des aventures imaginées par Edgar R. Burroughs ( Le Cycle de Mars). C’est comme si les manipulateurs imitaient l’imaginaire humain en puisant les idées dans des romans de science-fiction.  Depuis le début du XXe siècle, Burroughs, dans Tarzan, parle de races reptiliennes habitant la terre creuse et d’êtres martiens de type yéti et reptilien dans John Carter de Mars.

D’ailleurs, ces manipulations fusionnent l’imaginaire avec la réalité, mais en fait c’est un cauchemar et un monde tyrannique que crée cette caste d’hommes nazis grâce à une technologie sans égale. Les manipulateurs transforment la Création en monstres qui ne peuvent ni parler ni témoigner. Ainsi le plus grand secret des dieux est conservé.

Souvenez-vous des rumeurs d’expériences qui auraient été menées dans le monde pour réaliser des hybrides dès le début du XXe siècle.

Viatcheslav Ivanovitch Ivanov aurait tenté de créer une armée de guerriers-singes pour imposer la grandeur de l’Union soviétique. La jeune nation révolutionnaire avait alors grand besoin, pour les travaux à la dure des goulags, d’un peuple esclave pour asseoir sa puissance tout en détruisant la croyance en Dieu.

« Le dictateur soviétique Joseph Staline avait ordonné la création de super-guerriers par le croisement d’humains avec des singes anthropoïdes, selon des documents secrets récemment dévoilés. Des archives de Moscou montrent qu’au milieu des années 1920, le principal scientifique de la Russie, Ilya Ivanov, avait reçu l’ordre de s’y atteler.

Selon des journaux de Moscou, Staline a dit au scientifique : “Je veux un nouvel être humain invincible, insensible à la douleur, résistant et indifférent à la qualité de nourriture qu’il mange.” En 1926, le Politburo [bureau politique] à Moscou transmit la demande à l’Académie des sciences avec l’ordre de construire une “machine de guerre vivante”. […]

Ivanov avait établi sa réputation sous le tsar quand, en 1901, il établit le premier centre au monde d’insémination artificielle de chevaux de course. Ses idées étaient douces aux oreilles des planificateurs soviétiques et, en 1926, on l’expédia en Afrique de l’Ouest avec 200 000 $ pour conduire sa première expérience de fécondation de chimpanzés. Par la même occasion, on fixa un centre expérimental en Géorgie – le lieu de naissance de Staline – afin d’y élever les singes. Les expériences de monsieur Ivanov furent un échec.

Une dernière tentative de persuader une héritière cubaine de prêter une partie de ses singes pour des expériences supplémentaires arriva jusqu’au New York Times et plaça monsieur Ivanov en disgrâce. Ses expériences ne furent pas les seules à mal se terminer : le plan de collectivisation des fermes s’est terminé par la famine de 1932, dans laquelle au moins quatre millions de personnes trouvèrent la mort. Pour son échec coûteux, il fut condamné à cinq ans de prison, qui furent commués plus tard en cinq ans d’exil dans la république d’Asie centrale du Kazakhstan en 1931. Un an plus tard il est mort, dit-on, après être tombé malade alors qu’il se tenait sur une plate-forme ferroviaire glaciale [307 ]. »

En 1927, le journal émigré russe Russkoye Vremya a publié des articles sur des expériences choquantes dans lesquelles Ivanov aurait essayé d’inséminer artificiellement des femmes et des singes anthropoïdes femelles avec le sperme d’autres espèces. Quelques personnes ont cru ces rapports. Beaucoup en Occident à ce moment-là soutenaient la République soviétique « progressiste ». Des preuves sortirent après la chute de l’Union soviétique, selon Alexander Potapov.

Ce dernier publia son étude dans le journal Na Grani nevozhmozhnogo [308 ] après la découverte, dans les archives d’État de la Fédération russe, de documents signalant l’existence en 1929 d’une commission spéciale d’évaluation des expériences d’Ivanov en hybridation interspécifique d’anthropoïdes. Ces expériences d’insémination artificielle de femmes avec du sperme de singe anthropoïde, et réciproquement, étaient alors considérées d’une « grande importance scientifique » et le rapport indiquait qu’on devait les continuer dans la Colonie de singes de Soukhoumi, un centre de primatologie soviétique. Le protocole exigeait un minimum de cinq femmes par unité de test. Ces femmes maintenues au secret devaient préalablement signer un accord dont les termes signifiaient qu’elles acceptaient les risques et s’engageaient à ne jamais rien révéler de l’expérience.

S’agit-il de rumeur? De désinformation?

Toujours dans l’esprit de L’Île du docteur Moreau, ce roman que le génial H.G. Wells avait écrit en 1896 (sous le titre The Island of Dr. Moreau), des documents déclassifiés des archives soviétiques rapporteraient les expériences que l’endocrinologiste Sergey Voronov aurait conduites en Italie sur de grands singes dans les années 20.

Voronov a notamment publié un livre au sujet de la transplantation des cellules sexuelles de grands singes aux humains. Ces informations sont certes très difficiles à vérifier, mais comment ne pas faire alors le lien avec les nazis, un temps alliés de l’Italie et des Soviétiques ?

La théorie de la « race supérieure » impliquait forcément pour ces esprits déviants l’idée « d’une race inférieure », race esclave idéale, servile et docile, créée génétiquement à partir du singe et de l’homme, pour servir le maître aryen.

C’est le roman de Pierre Boulle, La planète des singes (Paris, Le Cercle du nouveau livre, 1963, 274 pages) ; c’est aussi l’histoire des faux dieux de Sumer créant, à partir d’un bipède primitif et de leurs propres cellules, l’homme pour « travailler au jardin », c’est-à-dire pour leur servir d’esclave.

Quoi qu’il en soit, notons qu’on a observé les fameux yétis au Tibet, où les Allemands étaient implantés dès les années 20, et que le Bigfoot ou Sasquatch est apparu après la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis, qui importèrent de nombreux scientifiques nazis dans le cadre de l’opération de l’OSS appelée Paperclip (et originellement Overcast).

On sait également que ces « hommes-singes », les « gardiens des portes du monde souterrain d’Agartha », ont été vus aux commandes de soucoupes. Jacques Bergier n’a-t-il pas fait écho de la présence de sortes d’hommes-singes de différentes tailles (entre 90 cm et 3 mètres) rapportée par les témoins d’observations d’ovnis ? [309 ]

En 1974, le zoologiste belge Bernard Heuvelmans et le scientifique soviétique Boris F. Porchnev ont publié un fascinant livre intitulé L’homme de Néanderthal est toujours vivant. Ce livre contient le récit d’un docteur russe qui s’est échappé des goulags et qui, en 1952 ou 1953, a rencontré un ami en qui Heuvelmans avait confiance. Le docteur a prétendu qu’on l’avait appréhendé parce qu’il refusait d’obéir aux ordres de ses supérieurs. Il devait conduire une insémination artificielle de femmes orientales par le sperme de gorilles mâles. Les expériences furent conduites dans le département médical des camps de travaux forcés soviétiques. Le docteur a prétendu qu’une race d’hommes-singes avait été créée. Ils étaient extrêmement forts et couverts de fourrure, travaillaient sans fatigue dans les mines de sel, et avaient une croissance plus élevée que les humains – mais ils ne pouvaient pas se reproduire.

Les Soviétiques ont-ils créé un homme-singe dans leurs laboratoires secrets, une créature quis’est plus tard échappée pour être confondue en Russie et en Eurasie avec un « homme des neiges », ou un humanoïde relique [310 ] ?

En Italie, l’article « Une nouvelle race “d’esclaves” à moitié singe pensée pour être possible » paraissait dans l’édition du 14 mai 1987 du Houston Chronicle. Brunetto Chiarelli, doyen d’anthropologie à l’université de Florence, a déclaré qu’il a eu connaissance d’une expérience secrète dans laquelle un ovule de chimpanzé fut exposé à du sperme humain avec le résultat qu’un embryon apparemment viable fut créé. L’expérience a été interrompue au stade embryonnaire à cause de considérations éthiques. « L’information scientifique est abondante mais réservée. Peut-être qu’à la fin de l’année nous aurons une idée de ce qui a été atteint », a dit Chiarelli. Apparemment, la cellule s’est mise à se diviser ; c’était le commencement d’un processus routinier de développement qui pouvait potentiellement engendrer un hybride humain-chimpanzé.

Revenons au document fascinant déclassifié confirmant que l’éminent endocrinologiste Voronov a mené des expériences sur les grands singes dans les années 20. Voronov vivait dans une installation spéciale à Grimaldi en Italie, un centre qu’il a établi, connu sous le nom de « Château simien ». Cette réserve animale pouvait contenir une centaine d’animaux. Voronov cherchait une formule en vue de ralentir le processus du vieillissement. Il a aussi conduit des expériences pour accroître la virilité masculine et il a étudié la transplantation d’organes. Et il y a ce fameux livre publié sur la transplantation des cellules sexuelles…

Vintimille est une petite ville sur la mer Ligure et la Riviera italienne, près de la frontière française. À Grimaldi, à proximité, se trouvent des grottes dans lesquelles furent trouvés des restes préhistoriques. L’ Uomo gorilla di Voronov a été observé en 1996-1997 : une créature ressemblant au croisement d’un homme primitif avec un gorille. Les individus étaient nus, mesuraient deux mètres, portaient de longs cheveux sur des têtes à l’aspect humain, avec de grands yeux hypnotiques et une peau ridée. Voronov a-t-il créé des créatures chimériques dont des descendants rôdent dans la nature autour de la Riviera italienne ? Il y a peu d’informations disponibles au sujet de l’énigmatique chirurgien russe.

Connaissait-il Ivanov et ses recherches ? Des sources italiennes déclarent que le scientifique russe a essayé de « greffer des corps d’animaux sur
des humains », sortes de xénogreffes.

Il se pourrait que ces expériences aient été effectuées parallèlement par les nazis, les Soviétiques et les Américains, qui travaillaient sur les mêmes projets de disques volants et de manipulations génétiques. Prélevant divers fluides et sangs, ils ont opéré des mutations.

Edgar Cayce disait que les Atlantes élaboraient des hybrides par manipulation génétique.

Les victimes d’enlèvement font probablement partie de ce programme. Ilse pourrait que cela serve à la création d’êtres hybrides et que le sang des animaux et les fluides nourrissent des êtres hybrides à bord de soucoupes.

Les nazis, dans leur quête fanatique des secrets des civilisations disparues, ont-ils rencontré des êtres d’un autre monde (souterrain) ou d’une autre dimension et pactisé avec eux ? S’appuyant sur un savoir « exotique » aussi bien que sur leurs sordides expériences dans le domaine de la génétique, auraient-ils pu se servir de singes à l’aide d’un implant ou en modifiant leur ADN pour piloter des soucoupes ?

La villa russe

Une magnifique maison sur la Riviera française peut parfois cacher le pire.

Certaines personnes, dites de la haute société, se permettent des choses que beaucoup ignorent… Des gardes du corps et un bras droit portant des lunettes de soleil en permanence, de jour comme de nuit, du sang retrouvé au bord d’une piscine intérieure, une fille qui disparaît et qu’on ne retrouvera sans doute jamais… On se croirait en plein polar et pourtant la réalité a dépassé la fiction depuis déjà bien longtemps… Mais qui sont ces gens, d’où viennent-ils ? Comment leurs crimes peuvent-ils rester impunis ?

Voilà retranscrite la terrible et sanglante histoire que m’a racontée l’un des témoins, et que je livre à la mémoire de la disparue :

Jet privé à leur disposition, ils débarquèrent sur la côte incognito, comme toujours ; un couple en guise de gardes du corps et quelques amis qui sont simplement d’autres gardes du corps, avec plusieurs grosses voitures de grand luxe aux vitres teintées qui les attendaient. Pendant ce temps, les personnes attachées à leur service effectuaient les dernières mises en place dans la villa romaine bourrée de symboles suspects uniquement destinés à une certaine catégorie d’initiés. Les bouquets de fleurs exotiques parsemaient les salons et les chambres, boisson fraîche à volonté ainsi que du champagne hors de prix et des canapés de toutes sortes, confectionnés le matin même par un chef professionnel, tapissaient les tables extérieures. L’argenterie et l’or scintillaient au soleil. Les voitures de location (Lamborghini dernier modèle, Ferrari et autres prototypes) étaient exposées dans le parc de stationnement et attendaient, flamboyantes, leurs futurs conducteurs. Tout ceci, dans un cadre dit « de rêve », entouré d’un jardin exotique, d’une piscine olympique, d’une piscine atlantéenne intérieure, d’un sauna, d’une salle de billard, etc.

Je faisais partie, avec une de mes amies, des personnes à leur service. À leur arrivée, rien d’anormal sinon les tee-shirts noir et blanc qu’arboraient deux d’entre eux, avec des signes symboliques surprenants (pyramide avec un œil à l’intérieur, phénix, dragons ailés). Ils ne portaient aucune valise, seulement quelques bagages à main. Leur conseiller, qui devait répondre à leurs moindres désirs en plus d’assurer leur sécurité, arriva plus tard dans la journée… Une chose nous frappa en premier lieu :sa taille impressionnante, dans les 1 m 90 ou même 95 ; ensuite sa froideur ainsi que sa démarche très… glissante. Il n’enlevait jamais ses lunettes de soleil. Il les portait en permanence, de jour comme de nuit, les jours nuageux comme les jours pluvieux, pendant toute la durée du séjour, à l’instar de deux des gardes du corps chargés de protéger deux jeunes hommes… dont l’un était le fils d’un homme important et très riche. Nous ne savions rien de l’autre.

Un jour, une femme de chambre nous signala qu’une des chambres était fermée à clé. Le conseiller vint nous voir plus tard pour nous annoncer qu’une femme s’y trouvait et qu’il ne fallait le dire à personne, car c’était une surprise pour le fils de cet homme important… Il a juste demandé à mon amie d’apporter des croissants et de lui remettre la clé une fois la porte refermée. Je décidai de monter à l’étage avec elle et de voir qui occupait cette chambre. Les volets étaient clos, la jeune femme était allongée à plat ventre sur le lit. À côté d’elle, une seringue et un flacon étaient posés! L’amie déposa la corbeille de croissants sur la petite table et nous avons ensuite refermé la porte à clé… Nous pensions qu’elle avait pris une drogue… nous ne savions pas exactement ce que cela signifiait… Une « surprise », cela voulait peut-être dire que c’était une call-girl ! Parce qu’une amie à eux dans cet état, qui plus est enfermée, cela semblait plutôt louche ! Le conseiller nous rattrapa dans le hall et nous demanda la clé ainsi que le double… Étrange!

Ce soir-là, l’un des gardes du corps nous précisa qu’il fallait partir vers 23 h 30, en tout cas avant minuit… mais une fois le travail terminé, mon amie s’aperçut qu’elle avait oublié son sac et sa sacoche de CD dans une des chambres de service se trouvant au dernier étage de la villa. Nous décidâmes de prendre l’ascenseur pour vite les chercher. Cet étage avait une terrasse rectangulaire à ciel ouvert entourée de plusieurs chambres pour les employés de service lorsqu’ils logeaient dans la villa, ce qui n’était pas le cas pour ce séjour, puisqu’ils rentraient chez eux le soir ; seul un chef de la sécurité, employé par une société de sécurité à l’externe, restait sur les lieux. J’attendais mon amie sur la terrasse et je regardais les étoiles. Soudain, mon attention fut attirée par un bruit de tuile sur le toit et je me tournai. Là, je vis parfaitement une forme humanoïde très grande avec des yeux jaune fluo… ce n’était absolument pas un chat… Mon amie, m’ayant rejoint, le vit aussi et m’attrapa par le bras pour courir vers l’ascenseur où elle me poussa en vitesse…

Nous étions très effrayées. À notre arrivée en bas, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et quelle ne fut pas notre surprise de voir le garde du corps, les bras fermés sur la poitrine, les jambes écartées, ses lunettes de soleil vissées sur le nez… Il s’exclama sur un ton autoritaire : « Ne vous avais-je pas dit de quitter les lieux avant minuit? » Je pris mon amie par la main et lui répondis : « On est parti on n’est plus là » et nous courûmes jusqu’à la voiture. Une fois installée, je dis à mon amie : « Tu n’as pas eu l’impression que le truc sur le toit c’était… » Elle me coupa net et répondit « …que c’était le garde du corps ? Si, j’ai pensé la même chose… Mais comment a-t-il fait pour arriver si vite avant nous ? »

Nous n’avons jamais trouvé d’explication. Mais cette nuit, ou plutôt ce matin-là, le chef de la sécurité m’appela pour me dire qu’il avait entendu de drôles de hurlements et parfois même des grognements ; il pensait qu’il y avait eu une orgie… Une fois leur soirée terminée, il était allé faire un tour de garde et là, au bord de la piscine, il avait découvert du sang… beaucoup de sang… Il ne savait pas quoi faire. Je lui répondis qu’il devait appeler son chef et que nous reviendrions sur les lieux vers 5 h. Une fois arrivées, le gars de la sécurité nous expliqua que son chef lui avait dit de patienter jusqu’au lendemain… mais en fait ils n’ont pas cherché plus loin ! On lui demanda ensuite de nous montrer les taches de sang… mais il n’y avait plus rien. Mon amie trouva juste un peu de sang sur l’un des peignoirs de bain, mais rien de plus.

Le lendemain, tout semblait normal mis à part que la fille avait disparu de la chambre… Nous demandâmes au conseiller s’il y aurait une personne en plus pour le repas et, d’un air dégagé, il répondit par la négative. Je lui demandai alors si la fille était partie et il répondit froidement : « Quelle fille ? » Puis il nous laissa là sans voix ! Je voulus en savoir plus et j’allai trouver le gars de la sécurité pour savoir s’il avait vu la fille repartir. Il me répondit que non. J’insistai et je lui demandai de me montrer les caméras de vidéosurveillance : aucune voiture, personne n’avait quitté la villa… Alors où était-elle passée ? Mystère !

Le lendemain, ils devaient repartir plus tôt que prévu… Le couple de gardes du corps attendait, assis sur un muret au bord du jardin. Un petit sécateur était posé à côté de l’un d’eux qui s’en empara, tandis que de son autre main, il baissait ses lunettes de soleil. Pendant une fraction de seconde, nous avons très bien distingué, mon amie et moi-même, ses yeux qui changeaient de forme et de couleur, jaunes et rouges comme un chat… [Cette caractéristique nous renvoie au début du chapitre sur les yétis ; l’exobiologiste Frank Salisbury donne la description de certains yétis dont les yeux présentent une pupille fendue à la verticale comme ceux des chats.] Puis il remit ses lunettes et passa le sécateur le long de sa gorge en signe de nous couper la gorge, tout en souriant ! Je tapai sur le bras de mon amie pour le lui montrer et elle me murmura : « Tais-toi, on verra une fois qu’ils seront partis. » Après leur départ, nous allâmes dans le jardin… et là, nous fîmes le point sur ce que nous avions vu et toutes les deux, nous avions bien vu la même chose… Même le chef cuisinier avait trouvé leur attitude étrange, mais il n’avait pas voulu nous en dire plus, il était juste content qu’ils soient partis… Nous aussi!… J’ai quitté ce métier tout de suite après cette histoire!

Dans cette villa, située à Villefranche-sur-Mer entre Nice et Monaco, la jeune femme a-t-elle été témoin de la préparation d’un sacrifice rituel? L’étrange géant aux yeux jaunes pourrait être un yéti (type génétiquement modifié) employé comme garde du corps fidèle, garant de la sécurité de ses employeurs. N’affuble-t-on pas ce genre d’individu de la désignation de « gorille » ?

Jacques Bergier raconte que « [l]es Mahoni qui errent à travers le pays de la Peel River dans le Yukon du Nord sont d’énormes géants velus aux yeux rouges qui mangent de la chair humaine […] Les Sasquatch, prédateurs des cavernes des montagnes de la Colombie britannique, ont une taille de 2 m 50 […] Il y en a d’autres, tous apparentés à ceux-ci : le terrible Homme des Broussailles des Loucheaux du Mackenzie supérieur, avec sa face noire et ses yeux jaunes, qui fait sa proie des femmes et des enfants […] [311 ] »

Pour moi, ces créatures ont été répertoriées par les nazis, qui les ont rasées, ont effectué des greffes et des manipulations génétiques… Des hybrides à l’air humain existent. Des êtres aux yeux rouges ou jaunes qui portent sans cesse des lunettes noires certainement composées de silice, des ordinateurs miniaturisés dont l’interface se situe dans la partie intérieure du verre de lunette. Ainsi, la créature est connectée en permanence avec le poste de contrôle d’une base. Cette dernière leur transmet tous les renseignements et les téléguide par impulsions électroniques dans le cerveau et le système nerveux central.

Déjà, dans les années 50, des êtres simiesques, les Hombrecitos du Venezuela, ont jailli de leur vaisseau spatial avec des casques à lunettes lumineuses, certainement une technologie à fibre optique reliée à distance à l’engin, par ordinateur interposé.

Ces créatures semblaient dotées d’une super-force probablement due au champ magnétique de haute intensité électronique du vaisseau qui recouvrait leur corps comme une cotte de maille ou une combinaison.

Un lien existe entre les gardes du corps, les chauffeurs des grosses voitures de marque qui portent des lunettes noires et les fameuses espèces simiesques au poil rasé de couleur grise, dont les verres fumés cachent les orbites creusées au fond d’arcades sourcilières plissées. Ces lunettes sont similaires aux « lunettes « connectées » sur lesquelles travaille une équipe de chercheurs d’une université (projet UlArt). Ces lunettes projetteront une image transparente affichant les informations en surimposition du champ de vision. N’est-ce pas finalement la technologie qui se cache derrière les fameuses lunettes noires portées même par temps de pluie par les gardes du corps [ou gorilles] de nombreux chefs d’état [312]. »

Autres mutations

Il y a 30 ans dans les Everglades, Chuck (l’oncle de Fabien Boitière, membre du Centre de recherche ufologique niçois ou CRUN à Nice) et son ami Harry ont vu un homme-singe de type Bigfoot de deux mètres de haut, couvert d’un pelage sauf sur le visage aux traits humains assez primitifs. Il courait le long de la rivière en balançant ses longs bras et il sortit une loutre de l’eau, dont il éclata la tête d’un coup de poing. Un des témoins ne put s’empêcher de crier, la créature se retourna et le regarda droit dans les yeux, comme si elle se demandait : « Je les laisse ou je les tue. » Les deux hommes étaient tétanisés et la bête poursuivit son chemin. Il n’y avait pas d’agressivité dans son regard, mais une profonde réflexion. Le lendemain, ils se rendirent à 25 personnes sur les lieux et installèrent une caméra et des pièges pour y enfermer des loutres.

Lorsqu’ils y retournèrent plus tard, tout était saccagé, le matériel détruit, les cages d’acier pliées comme si elles avaient été en bois ! Le sol était maculé de sang et Chuck en a prélevé un échantillon. Les deux traumatisés, Harry a tout quitté et Chuck a ensuite sombré dans la dépression. Il s’est fait hypnotiser et a pu réaliser le portrait de l’homme-singe de façon très réaliste.

Un an après, un homme l’a contacté prétextant des informations. Au rendez-vous l’attendaient des hommes en noir qui, en lui montrant le yéti (une femelle) sur une table, lui ont demandé le sang prélevé sur les lieux du carnage et le portrait de la créature. Puis ils lui ont conseillé de n’en parler à personne. Quand il est parti, Chuck a senti qu’il s’était fait avoir. Il ne possédait plus rien des deux preuves qu’il avait dû leur donner.

Le directeur du CRUN, Philippe Mazo, révèle que sur la base aéronavale de Pensacola ( Naval Air Station Pensacola ou NAS Pensacola, code IATA : NPA) en Floride, la plus grande base américaine aux États-Unis, il y aurait des manipulations génétiques d’homme/grand hominien à des fins militaires et un institut médical, Naval Air and Operational Medical Institute (NAOMI), qui forme les psychologues spécialisés[ 313 ].

Il semble qu’une caste d’hommes nazis réalise des programmes noirs et fabrique des pilotes singes génétiquement modifiés pour leur aviation magnétique.

Le mystère des petits êtres et des grands singes en soucoupe est donc lié à la construction de bases secrètes américaines. Ces êtres ont été vus dans le monde entier, habillés en cosmonaute ou seulement rasés.

Par exemple, l’hibagon du Japon serait une créature simiesque, observée dans le parc national Hibayama et au sud de l’île près du mont Hiba : 1 m 50 de haut, le visage comme un triangle inversé couvert de poils, le nez retroussé, les yeux féroces profondément enfoncés, une forte odeur. Le folklore local évoque des mutations de personnes exposées à l’explosion de la bombe d’Hiroshima.

À ce sujet, une curieuse information est tombée le 27 décembre 2000. Une radio de Malabo annonçait la naissance d’un « sosie du diable » dans un village reculé de la Guinée-Équatoriale, deux jours avant. Le bébé mort-né « ne pesait que 500 grammes pour une taille de 20 centimètres, présentait une tête déformée avec deux petites cornes […] n’avait ni oreille, ni yeux mais à la place, deux petits trous rouges ». Le corps « recouvert de poils » ne présentait pas non plus de cordon ombilical et se trouvait dans un état de putréfaction avancée. [NDA : cette description correspond aux petits yétis et même les yeux rouges ont été observés par des témoins. On peut penser qu’une manipulation génétique d’envergure est pratiquée sur tout le genre humain afin de dégénérer l’ADN chimiquement.] Selon Catalina N., la mère, rien d’anormal ne s’est passé pendant les sept mois de grossesse. [NDA : peut-être a-t-elle été enlevée par un yéti ?] « De nombreux ufologues seront tentés de croire que Catalina a été victime d’un “amant insolite” du type chupacabras. Dans une région […] aussi isolée et à l’abri des investigations scientifiques modernes, cette hypothèse pourrait tenir.

Cependant, l’affaire est sans doute plus importante et ce simple fait divers doit nous faire réfléchir. Un changement insignifiant dans la composition de l’hémoglobine peut avoir pour conséquence un nouveau développement de l’organisme. Toutes les races humaines et les chimpanzés ont, aujourd’hui, la même hémoglobine. Telle est la constatation d’un prix Nobel : Dr Butenandt, qui poursuit des recherches dans le domaine de la biologie moléculaire, a découvert qu’un tel changement se produit tous les 10 millions d’années. Selon ses calculs, les chevaux et les hommes avaient le même ancêtre, il y a 80 millions d’années. Si cette étude était étendue à différents types de mammifères, bien des surprises pourraient nous attendre quant à la promiscuité de nos origines.

Les lois de la génétique sont encore très mal connues, mais un fait paraît cependant établi : une sorte d’involution se manifeste actuellement dans le règne humain et des monstres envahissent la Terre. Ces mutations seraient attribuables aux retombées radioactives. Ces dernières ne seraient d’ailleurs pas les seules responsables des mutations enregistrées sur les cinq continents.

À l’hôpital d’Hanoï, on peut voir une collection de fœtus conservés dans le formol : tous ces petits êtres monstrueux sont nés de mères ayant été en contact avec les défoliants que l’aviation américaine a déversé à hautes doses sur les forêts du Viêtnam pendant plusieurs années ». (Source : Union Européenne des Chercheurs en droit de savoir [ 314 ])

« Les physiciens japonais, particulièrement bien placés pour en juger, révélèrent en 1962 que 200 000 naissances d’enfants anormaux étaient imputables aux expériences atomiques, dont 15 000 à la superbombe des Russes. Le césium 137 résultant de ces explosions est très fortement tératogène et provoque l’engendrement d’enfants à quatre ou dix doigts, à mains palmées ou directement rattachées aux épaules. En abîmant les gènes, on fait pire que tuer : on crée de la mauvaise vie [ 315 ]. »

Le cas Dewilde

Le vrai contact de Dewilde avec ces hybrides est en relation avec la mutilation animale et cache une sombre horreur.

« Le lendemain du premier atterrissage : le 11 septembre 1954, un marchand de bétail et un fermier vinrent m’avertir qu’une mortalité anormale de bovins était survenue […] ces bêtes avaient été vidées de leur sang et de leur moelle épinière, elles étaient totalement exsangues : aucune trace de blessure, ni de piqûre [316 ]. » Les cadavres de bovins ont été découverts à 300 mètres de l’endroit où l’astronef s’est posé, et après leur crime, ces êtres osent parler d’amour !

En 1978, Marius Dewilde est dématérialisé pour venir sur la base. «On m’a emmené dans un laboratoire pour la régénération des cellules et l’immunisation contre certaines maladies […] tout comme moi, les humanoïdes passaient à la désinfection et à la régénération. »

Ces êtres donc se régénèrent comme dans la série les Envahisseurs.

Puis ces êtres lui proposent de remplacer un des bras qui lui manquait. Lorsqu’il a demandé « Qui sera le donneur ? », ils lui ont montré, dans une base spatiale, une sorte de morgue avec des corps humains allongés, dans des bacs transparents sans liquide, dépourvus de vie. Ils étaient de race blanche, sauf un Noir, avec les yeux fermés. Il y avait aussi de petits corps de 1 m 20 dont certains membres étaient amputés. [NDA : s’agissait-il de petits yétis ou d’êtres hybrides mihommes mi-poissons ou mi-serpents ?] Il a constaté que « les corps avaient la tête reliée par une sorte de fil, à une “machine” qui se trouvait dans le fond de chaque logement […] » Avec horreur, il constate : « l’un des corps avait été décapité mais la cicatrisation était “belle” [ 317 ] ! » [NDA : cela n’est pas sans rappeler les mutilations animales réalisées au laser avec notamment la vague de 2002 en Argentine.]

« Je remarquai aussi différentes cicatrices sur maints endroits des corps comme si on avait soigné ou prélevé des organes. À propos de ces corps, mon impression était la suivante : ils étaient morts, mais on les maintenait en état de “servir” à des greffes. On m’expliqua alors – Il y a des corps qui sont en hibernation depuis dix ans, et même davantage… S’interrompant un court instant pour désigner mon donneur, le chef poursuivit : – Cet homme a les mêmes caractéristiques que toi, groupe sanguin, morphologie, etc. Selon moi, l’âge de cet homme se situait entre trente-cinq et quarante ans. Ayant demandé la provenance de ces corps, il me fut répondu : – L’origine est la Terre. Pour nous ils peuvent servir. On ne m’a pas précisé si ces corps étaient arrivés sur la base spatiale morts ou vivants, ni de quelle manière on les avait récupérés. [NDA : on sait que des milliers d’enlèvements ont lieu chaque année et beaucoup pour le prélèvement d’organes.]  Dans un laboratoire voisin, j’aperçus – de loin – ce qui me parut être des animaux, enfermés dans de grandes cages, des singes notamment [318 ]. »

Ainsi ma thèse de l’emploi des singes se confirme, alors qu’à l’époque, nombre de victimes d’enlèvement n’étaient pas en mesure de comprendre ce quise passait. Si des nazis étaient capables d’enlever des gens sans en demander la permission, ils se donnaient aussi le droit de marquer, comme du bétail, et d’implanter des puces dans des personnes pour les obliger à travailler pour eux, entre autres pour piloter leurs engins, ou pour servir à enfanter des hybrides, mais aussi pour greffer des corps animaux sur des êtres humains et vice versa.

Dewilde a été accusé de trahison, a été implanté, a subi des « électrochocs, penthotal, séances d’hypnose ».

« On m’éveille en pleine nuit, on m’emmène jusqu’au fourgon qui, à l’aube, stoppe au bord de la mer. Laquelle ? Je n’en sais rien… On me pousse vers des marches que je descends : me voici devant un blockhaus surveillé […] » À travers les meurtrières, on lui demande de regarder à l’intérieur. « J’obtempère et, tétanisé, je n’en crois pas mes yeux… – Est-ce bien cela que vous avez vu ? Dans une grande pièce… je vois un énorme engin de forme lenticulaire, long d’environ dix mètres et parfaitement éclairé. Je l’observe tandis qu’il se situe en contrebas de mon angle de vision […] »

Dewilde ne peut répondre que sur « la forme approximative de l’engin » qu’il a aperçu de nuit. Une demi-heure après, on le ramène chez lui.

À la lecture du cas Marius Dewilde, il n’est nullement prouvé qu’il soit entré en contact avec une race extraterrestre, mais plutôt avec cette même caste d’êtres nazis utilisant des êtres hybrides pour piloter leurs engins. Pour lui, et pour de nombreux contactés d’ailleurs, le simple fait de voir une soucoupe volante signifiait systématiquement qu’elle était extraterrestre. Ces êtres lui ont dit résider dans une immense base cachée dans l’espace.

L’affaire semble donc liée à l’armée qui, elle aussi, possède ces engins. On le comprend d’autant mieux si les nazis en fabriquaient pendant la Seconde Guerre mondiale. Les Alliés, après la capitulation des Allemands, ont probablement récupéré des soucoupes entières avec leurs plans.

Les Français avec le cas Dewilde, les Américains, les Anglais, les Japonais, puis le monde entier ont eu le temps jusqu’à nos jours d’assimiler cette technologie. Maintenant, grâce à cela, ils peuvent bâtir le Nouvel Ordre Mondial.

Quoi qu’il en soit, ne soyons pas naïfs et demeurons vigilants, car cette invasion pour la conquête du monde cache la guerre de tout un système solaire.

À l’avenir, nous ne pourrons nous permettre de perdre notre identité cosmique à l’échelle individuelle, chaque être humain de cette planète doit comprendre le sens de son incarnation et savoir que c’est dans, ce que j’appellerais son « propre pensant vivant » qu’il touche l’infini car en réalité, une pensée est vivante. Elle s’intègre au corps physique et peut s’incarner puisque justement nous sommes des êtres incarnés. Il s’agit là du réel programme de la création que nous devons intégrer depuis l’aube des temps. Le corps fini de chaque être humain incarné est l’antenne qui permettra, dans ce monde, d’émettre sa propre longueur d’onde pour s’unir au géon magnétique terrestre permettant d’illuminer la matière de sa présence au niveau physique électromagnétiquement.

« ILS SONT PACIFIQUES ET LEUR BUT EST DE FRATERNISER AVEC NOUS », explique Dewilde [319 ].

Il a été subjugué par la haute technologie, les leçons de morale concernant la paix dans le monde ainsi que les discours bien-pensants. Il n’a pas vu le
leurre. Pourtant il n’a jamais eu son nouveau bras. Pour moi, ces êtres sont de véritables sauvages qui ne pensent qu’à leur race, des prédateurs.

Plus loin, Dewilde écrit : « J’ai cependant appris qu’une équipe de recherche scientifique procédait à des manipulations génétiques sur la base spatiale. Quand je leur ai demandé comment ils avaient acquis Science et Sagesse, il me fut répondu : “Notre race ayant subi de grandes catastrophes provoquées par nous-mêmes, nous avons décidé de prendre une nouvelle orientation, ce qui nous amena à nous pencher sur les origines de la Vie. Notre but vise désormais une amélioration constante de notre race [notons qu’ils ne parlent que de leur race !], à des fins nobles et justes : humanitaires, pourrait-on dire. Nous procédons à une meilleure évolution de l’individu sur tous les plans, sans pour autant modifier son psychisme par des ‘appareillages’ [à mon avis, c’est tout le contraire !]  […] Dans le seul domaine de la biologie, nous avons sur vous une avance supérieure à mille ans. En biologie, les Terriens balbutient encore.”

Dans le laboratoire […] sur la base spatiale, le modernisme des appareillages médicaux est sans comparaison avec les nôtres. Un simple exemple : un diagnostic est établi par un ordinateur qui conserve en mémoire les données reçues, une simple introduction de plaque perforée permet la reprogrammation du sujet qui obtient également tous les renseignements qui lui sont nécessaires [ 320 ]. »

Cette histoire de plaques perforées dans un ordinateur n’est pas si avancée pour des extraterrestres et paraît complètement dépassée aujourd’hui avec les mini-disques ; donc on peut contester cette avance de mille ans ! Les petits êtres que Dewilde a rencontrés étaient certainement d’anciens hybrides créés par une caste d’Hyperboréens après le Déluge, et les nazis de la Seconde Guerre mondiale se seraient joints à eux.

Dewilde poursuit : « En prélevant une cellule d’un individu ou d’un animal, mort ou vivant, ces scientifiques d’un autre monde peuvent reconstituer un autre spécimen : ils nomment cette opération fantastique : EXONAZE ou CLONAGE [NDA : à ce sujet, voir les expérimentations de Volotov en 1920.] À partir de ce procédé, ils ont pu recréer un mammouth sur leur planète [NDA : plutôt dans une base secrète ou au centre de la Terre] en laquelle, je le précise, je ne suis jamais allé. Ils travaillent sur une expérience qui a déjà connu des succès : ils veulent pouvoir évoluer dans l’eau, à de très grandes profondeurs, sans appareillage respiratoire. Des équipes de plongeurs sont constamment entraînées pour cette expérience [ 321 ]. »

Ils auraient pu demander des conseils au commandant Jacques-Yves Cousteau, qui lui-même travaillait sur l’ Homo aquaticus. Comment un simple garde-barrière a-t-il obtenu une information dont Steven Spielberg fera un film ( Jurassik Park) plusieurs années après, en 1993, parlant du clonage d’un Tyrannosaurus rex ?

Le cas Dewilde est une manœuvre de cette caste nazie possédant des soucoupes ; les petits êtres sont certainement des expériences nazies de yétis mêlées avec celles de l’ Homo aquaticus. Si les enquêtes ufologiques avaient été plus poussées, nous aurions alors découvert qu’un empire nazi se tenait derrière. Leurs initiations aux sectes tibétaines qu’ils implantèrent leur ont permis de créer une genèse extraterrestre.

Si nous ouvrons les yeux en faisant, dans la recherche ufologique, les liens nécessaires, nous découvrons alors une vérité plus terrible encore que celle dite « extraterrestre ».

Et cela nous amène naturellement à nous questionner au sujet de notre propre place dans l’univers pour nous accomplir en tant qu’être sidéral sans avoir à passer par une quelconque hiérarchie ou gouvernement qui cherche à voler au peuple son identité réelle et son énergie.

Cela signifie aussi qu’aujourd’hui, chaque individu se trouve mêlé, qu’il le veuille ou non, à cette guerre secrète.

Voici la question que pose le magazine Nexus quant au comportement de ces “visiteurs” : « Le plus souvent paisibles, il arrive qu’ils agissent avec dureté voire violence. Leur niveau technologique élevé n’aurait donc pas comme corollaire un niveau élevé de conscience ? »

Jean-Gabriel Greslé [NDÉ : commandant de bord pendant 20 ans chez Air France et membre de la commission technique de la société savante 3AF] répond :

« Personne ne peut répondre sur le degré de conscience qu’ils possèdent. On sait de toute façon si peu de choses sur eux qu’il serait bien hasardeux d’affirmer quoi que ce soit. [Je pense que c’est faux, sinon on aurait pu établir de nombreux liens depuis longtemps.] On constate parfois des attitudes dures vis-à-vis des humains. Que l’on se souvienne des témoignages d’interventions dans le nord du Brésil où des chasseurs humains se sont retrouvés traités comme des proies, devenant la cible de vaisseaux non terrestres. Mais cela n’implique pas pour autant qu’il s’agisse de comportements émotionnels ou racistes. Après tout, nos législateurs font aussi preuve de sévérité lorsqu’il est question de punir tel ou tel comportement. Pourquoi nos visiteurs n’auraient-ils pas cette même attitude avec nous ? L’homme est bien parfois cruel avec les dauphins qui lui sont si proches […] On a dénombré aussi une quantité assez importante de pannes sur les réseaux électriques, des interventions sur les sites nucléaires […] Mais, dans tous les cas, cela ressemblait à des coups de semonce tirés à blanc, puisque l’on constatait un retour à la normale après le passage des engins incriminés dans ces affaires. Juger des qualités morales ou éthiques d’inconnus est toujours très hasardeux. Peut-être n’ont-ils aucune éthique ou se situent-ils au-delà de ce que l’on appelle éthique sur terre… Ne dit-on pas, dans le bouddhisme par exemple, que le Bien et le Mal ne sont au bout du compte que des repères et que l’état de Bouddha se situe au-delà du Bien et du Mal[ 322 ] […] »

N’est-ce pas justement la philosophie nazie qui utilisait dès les années 20 la philosophie du bouddhisme tibétain ? N’est-il pas curieux de constater qu’à partir du moment où l’on pense que ces êtres sont extraterrestres, nous pouvons accepter leur comportement étrange?

Par association d’idées, il est obligatoire de penser que soucoupe volante renvoie à extraterrestre. Cela veut dire aussi que kidnapper des gens dans de mystérieux vaisseaux, leur implanter une puce dans laquelle est certainement inséré un numéro électronique, faire des expériences sur eux est le fait d’une super-civilisation sage venue de quelque lointaine galaxie s’octroyant tous les droits. Notons au passage que les expérimentations sur des êtres humains se faisaient allégrement dans les camps nazis.

Dans une lettre que Walter B. Smith, directeur de la CIA, adressa au directeur du Psychological Strategy Board (« Département de recherches stratégiques ») américain, il demande : « […] Que dire des mutilations de bétail ? Effectuées avec une précision effrayante, elles sont en général associées à des apparitions d’ovnis. Que cherche-t-on à dissimuler? Essaie-t-on sur ces bêtes de nouvelles armes biologiques? Les mutilations sont-elles destinées à effacer toutes traces de ces expériences ou prouvent elles tout simplement que les recherches ne sont pas encore au point [323 ]? »

Mutilations animales en Argentine

Entre avril et juillet 2002, l’Argentine fut le théâtre d’une vague de mutilations de bétail. Le journaliste Alejandro Agostinelli de VSD affirme ceci :

« Simultanément, il y a eu des lumières étranges, des herbes roussies et même des “nains à longues oreilles”. Le fermier Ibarra a découvert “un cercle d’herbe jaunie de 20 mètres”. Il déclare : “J’ai vérifié s’il y avait des traces de gens, ou de voitures, mais rien !… On avait dû y entrer en volant.” Au total, plus de 500 animaux mutilés en presque quatre mois, dans dix provinces (10 000 animaux morts aux États-Unis en 1975) : organes et parties molles manquants (lèvres, langue, peau et muscles de la mâchoire, yeux, oreilles, queue, glandes mammaires et organes génitaux) : peau découpée présentant des bords nets, circulaires, ou comportant des angles précis (ce qui réfute la thèse officielle de la souris rousse par le SENASA) ; cas de corps vidés de leur sang ; aucune trace humaine dans la périphérie et, enfin, une étrange attitude d’évitement de la part des autres animaux vivants.

“Ces coupures ne peuvent être faites qu’à l’aide d’un rayon laser très évolué”, déclare Jorge Dubarry, professeur de pathologie à l’université de La Pampa. Il rejette l’hypothèse extraterrestre mais sans réussir à cacher son étonnement : « [Ces effets] ne pouvant être attribués à aucun agent biologique connu et ne ressemblant en rien à ce que l’on est habitué à voir, on a donc besoin d’une hypothèse inhabituelle [ 324 ]. »

Les nazis ont choisi l’Argentine après la Seconde Guerre mondiale. Il ne serait donc pas étonnant qu’avec leurs prototypes ils en profitent, en passant pour des extraterrestres, pour faire des expérimentations sur les humains et les animaux. Voilà une hypothèse inhabituelle. Et ce qui est inhabituel, c’est qu’il est donné à une élite aryenne triée sur le volet, celle constituée des membres dont la pureté de la lignée remontant aux anciens Vikings est indiscutablement liée à une déformation de l’auriculaire, la marque des dieux, de piloter des engins antigravité pour perpétuer la mémoire de la race des dieux lesquels, il y a des millénaires, pilotaient des vimanas.

Nous voyons que le phénomène OVNI est lié à l’apparition d’étranges animaux, à des êtres poilus pilotant des vaisseaux magnétiques et possédant des armes à rayon paralysant. Ceux qui, avec de beaux discours « galactiques », prétendent que de grands esprits descendent des confins de l’Univers n’ont pas résolu les guerres et n’ont rien à voir avec ce qu’ils prétendent faire.

Tout n’est qu’un gigantesque spectacle qui nous empêche bêtement d’accéder à l’énergie libre de cette planète sur le plan physique. Tout a été dit sur le plan psychique, nous devons maintenant agir.

Depuis l’apparition du code-barres au nombre 666 de la bête biblique, nous assistons à l’installation sur terre d’un univers supertechnologique lié à la manipulation génétique de la race humaine.

On a tué des milliers d’animaux prétendument atteints d’un virus (fièvre aphteuse des moutons, maladie de la vache folle, grippe aviaire, grippe porcine puis chevaux, abeilles…) ; des personnes ne veulent plus qu’on soigne les animaux et l’on crée des virus en laboratoire pour transmettre les
maladies à l’homme. Cette attaque vise l’ensemble de la Création en vue de la cloner, mais aussi d’observer sa dégénérescence. Or ces recherches ont été menées par les nazis qui utilisaient les humains comme du bétail pour leurs expériences inhumaines.

En cela, ils ressemblent aux envahisseurs de la série : indifférence, « masques de fer », ils n’ont pas de cœur… La Terre est-elle devenue un camp à ciel ouvert de prisonniers marqués par la puce, un vaste champ d’expérimentations en tous genres avec les irradiations, les chemtrails, les OGM, les virus… ? Cette guerre secrète contre l’humanité a pour but de détruire le génome galactique humain. Le singe descend de l’homme et l’homme descend des anciens dieux.

Charles Berlitz, dans son livre Sans traces, a écrit : « Une autre des activités insolites qui ont été imputées aux OVNI serait l’élevage ou la dispersion d’animaux étranges en diverses régions du globe ; la présence des bizarres créatures aurait été remarquée après le passage d’OVNI dans les parages. Dans cet ordre d’idées, on signale des formes archaïques de vie sous-marine et des variétés de raies non identifiées dans le Triangle des Bermudes, des spécimens anthropoïdes gigantesques dans les parties boisées de la côte Pacifique des États-Unis, la Floride et même le New Jersey et la Pennsylvanie, des chats géants s’apparentant aux pumas en Angleterre et un échantillonnage de divers monstres à travers le monde dont aucun ne devrait se trouver logiquement en ces lieux [325 ]. »

Cela ressemble aux expérimentations en laboratoire des nazis sur des hommes et des animaux, avant de relâcher leurs créatures dans la nature avec un implant en vue de les surveiller à distance. Ces nazis pourraient faire régresser la Terre et l’humanité aux anciens temps de la Préhistoire, devenant ainsi pour des milliers d’années les maîtres de la création. Les félins géants pourraient être d’anciens machairodus, plus communément appelés « tigres aux dents de sabre ». De même, des mammouths auraient été clonés à partir de sang séché.

Le célèbre écrivain Philip José Farmer, dans La Saga des Hommes Dieux qui s’étend sur sept romans, a écrit qu’un des anciens seigneurs, quasi immortel, créant des univers de poche et parlant le moyen haut allemand du Drachenland [326 ], a créé une terre synthétique parallèle où il a cloné des machairodus et des mammouths.

Berlitz fournit une explication au sujet d’univers cachés sur notre Terre.

« La transition d’une phase à une autre équivaudrait au passage d’un plan d’existence à un autre – sorte de métamorphose interdimensionnelle. En d’autres termes, il pourrait y avoir “des mondes à l’intérieur des mondes”.

On a longtemps soupçonné le magnétisme d’être un agent dans des changements aussi absolus[ 327 ] […] »

Or des mammouths ont été vus en Russie… des chasseurs ont observé des machairodus en Afrique et l’amiral Byrd, vraisemblablement parti à la recherche des nazis, a rencontré de grands blonds aryens de l’Hyperborée, qui auraient pu, depuis leurs bases, transformer la faune et la flore. Ces expérimentations ne s’arrêtent sans doute pas là, car ils sont capables de faire régresser l’humanité à l’âge des cavernes. Car tel est leur ultime projet pour la fin des temps (ou d’un temps) et le commencement d’un ordre nouveau qui a toute l’apparence d’une superproduction hollywoodienne, à laquelle nul ne pourrait croire. Or, justement, nous serions dans l’erreur. Car leur technologie peut même faire basculer la planète.

« L’institution du programme Rancœur marque le début d’une période [… de] scepticisme [envers] tout ce qui se rapportait aux OVNI […] d’importants changements furent apportés à la composition du personnel de service, dont furent évincés tous les techniciens qui avaient été trop favorables aux “soucoupes volantes”. C’est probablement au  groupe des nouveaux venus au sein de l’ATIC que l’on doit cet étrange communiqué publié le 27 avril 1949 […] : “La possibilité de l’existence de certaines espèces d’animaux extraterrestres a été sérieusement examinée puisqu’il apparaît que de nombreux objets décrits par des témoins ont des comportements plus proches de celui de l’animal que de n’importe quelle autre chose. Cependant, il existe peu de rapports contenant des éléments convaincants au sujet des animaux extraterrestres.”

Voilà une bien curieuse déclaration ! […] À notre connaissance, aucun rapport ne traite de ce problème. Mais ilsemblerait que l’ATIC possède de tels documents. Ce qui est absolument sûr, en tout cas, c’est l’existence de certains “animaux terrestres” […] dont un bon nombre appartiennent au personnel de l’ATIC où ils se dissimulent sous les apparences de techniciens pleins de dignité [ 328 ]. »

A suivre pour la 2ème partie

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Extrait de « Le secret des envahisseurs de Peter Knight »
Le Testament d’Andrew J. McIntyre.
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