Le concept de multiculturalisme découle de la philosophie néo-marxiste très imparfaite qui a imprégné la société occidentale à partir des années 1960.
Il a réussi à détruire l’idéal occidental traditionnel de la méritocratie fondée sur l’égalité sans distinction de race, de croyance ou d’origine ethnique, qui était un facteur déterminant de la réussite de la civilisation occidentale.
Racisme contre les Blancs : Ces idéaux ont été remplacés par la théorie de la déconstruction hautement raciste qui juge les individus en fonction de leur classe ou de leur couleur de peau, dans un système apparemment conçu pour tuer la stabilité dans les nations occidentales.
En Europe, les immigrants non occidentaux ont été stigmatisés comme des victimes chroniques, et la discrimination actuelle contre les Européens autochtones par leurs propres dirigeants a commencé. Au lieu d’écouter leurs besoins, ils ont diabolisé leurs opinions et attaqué leur propre population.
On a demandé aux Européens de se retirer et de laisser les immigrants se comporter avec la plus grande impolitesse possible, puisqu’ils venaient de pays pauvres et « ignoraient » ce qui se passait. Ils devaient être exemptés de tout comportement illégal, comme les viols violents, les meurtres ou l’entrée illégale sur le territoire, écrit Hanne Nabintu Herland, historienne des religions, auteure à succès et chroniqueuse au World Net Daily ( WND), le plus grand réseau d’information conservateur des États-Unis. Elle est la fondatrice du Herland Report.
Racisme contre les Blancs : Les exemples sont effroyables. Suède , Royaume-Uni , Pays-Bas, Allemagne, France. En bref, le multiculturalisme a évolué vers un système de racisme contre les Blancs, dans lequel la responsabilité personnelle était fortement exigée des personnes de race blanche, mais pas de celles considérées comme noires ou nées à l’étranger.
J’avais déjà souligné cela en 2007 dans un éditorial paru dans le plus grand journal norvégien : « La forme prédominante de racisme dans la Norvège d’aujourd’hui est le racisme contre les Blancs. »
Le philosophe français, considéré comme le père du multiculturalisme , est originaire du continent africain. Jacques Derrida (1930-2004) est né et a grandi en Algérie.
Bien que salués comme brillants par les élites marxistes occidentales, ses livres sont si difficiles à comprendre que l’interprétation de ce qu’il tente de dire est presque devenue une science à part entière. Quel amalgame de mots académiques, totalement inutile.
Le brouillard mental qui hantait cet homme – ou plutôt l’empoisonnement délibéré visant à détruire la stabilité occidentale et les structures familiales traditionnelles – a depuis été transmis à des générations d’étudiants occidentaux. Depuis des décennies, le multiculturalisme s’attaque constamment aux valeurs conservatrices et a largement contribué à créer le climat actuel de division raciale qui déchire l’Occident.
Le philosophe franco-algérien fut le cerveau de la théorie raciste et misogyne de la déconstruction.
Sa révolte contre la famille traditionnelle et la société occidentale est notoire. Derrida est également décrit comme le père du féminisme marxiste, qui a empoisonné l’esprit de la femme occidentale en lui faisant croire qu’être une femme est sa faiblesse, qu’elle doit combattre l’homme, divorcer et devenir la proie sexuelle de tous. L’idée était que la liberté ultime résidait dans la déconstruction de la foi dans les valeurs historiques et sa substitution par l’absence de frontières, l’hédonisme, la solitude et le nihilisme marxistes.
Le multiculturalisme – plusieurs cultures vivant côte à côte dans une nation où le pays d’accueil n’impose pas ses valeurs aux nouveaux immigrants, mais discrimine la population autochtone afin de favoriser les étrangers – est en train de nous détruire en Europe en séparant les individus selon la race plutôt que selon la méritocratie occidentale traditionnelle. Ce même courant est répandu dans les universités américaines depuis des décennies, suscitant dissidence et haine.
Derrida avait l’idée que les structures de pouvoir fonctionnent par paires, l’une toujours faible et l’autre toujours forte. Par exemple, homme-femme, blanc-noir, majorité-minorité, etc. Ce type de racisme a fini par se traduire par le concept, aujourd’hui largement répandu en Europe, selon lequel l’ « Européen » autochtone est toujours considéré comme l’auteur des crimes , tandis que l’« immigrant clandestin » est toujours la « victime faible et impuissante ».
La faille majeure de la pensée de Derrida réside dans l’hypothèse selon laquelle l’équilibre des pouvoirs demeurerait toujours statique. Il n’a pas pris en compte les fluctuations des structures de pouvoir au fil du temps. Par exemple, la classe héréditaire qui était au pouvoir il y a deux siècles n’est pas nécessairement la même que celle qui règne aujourd’hui. Il est tout simplement remarquable que des générations de professeurs d’université marxistes et socialistes n’aient pas remis en question cette erreur de logique ahurissante.
La pensée de groupe tyrannique socialiste pourrait être en cause, comme je l’ai expliqué à Elisabeth Farah , cofondatrice de WND, lors d’une récente interview en podcast. En Europe, critiquer les gourous marxistes peut facilement entraîner des pertes de financement ou d’emploi dans le monde universitaire.
La plupart d’entre eux restent silencieux, tout comme les intellectuels sous le fascisme nazi ( NAZI est l’abréviation du Parti national-socialiste des travailleurs en Allemagne) pendant la Seconde Guerre mondiale. Quiconque s’exprimait finissait facilement dans les camps de travail.
En légitimant le racisme contre les Blancs, le multiculturalisme a réussi à affaiblir les nations occidentales. Il imprègne désormais la société civile occidentale dans son ensemble.
Le racisme est défini comme l’évaluation d’une personne uniquement basée sur son origine ethnique ou sa couleur de peau.
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