Interview de Emery Smith par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 10 épisode 12
David Wilcock : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock, et voici notre invité, Emery Smith.
Dans cet épisode, nous passerons une journée entière dans une base souterraine top secrète.
Emery, bienvenue.
Emery Smith : Bonjour, Dave.
David : Nous avons pas mal parlé de votre expérience en termes d’autopsies. Vous nous en avez donné un aperçu.
Nous avons maintenant un tableau très intrigant. Il serait difficile de passer du temps dans ce monde pour après le quitter. Êtes-vous déjà resté dans ce monde ? Avez-vous déjà passé une nuit à la base ?
Emery : Oui, oui. J’ai souvent dû passer la nuit à la base. Environ 60 fois en tout, je pense. Pour différentes raisons.
Il se peut qu’on y passe une nuit pour différentes raisons. Ils verrouillent parfois la structure pendant qu’on travaille. Et on en ignore parfois le pourquoi. Mais ils ferment bel et bien les trappes, et je sais que je vais devoir passer du temps supplémentaire là-bas, en plus du temps de travail pour lequel on me paie, d’ailleurs.
Et ils ont des complexes très agréables où passer la nuit, un peu comme une caserne. J’ai ma propre chambre avec salle de bains, il y a même de petites zones communes, où les gens peuvent vivre. On pourrait vivre indéfiniment dans cette base.
Mais revenons-en au verrouillage des trappes. Il se peut qu’une personne connue ou qu’une entité réussisse à ouvrir une brèche dans la base. Ils la verrouillent pendant un certain temps. Je me souviens avoir entendu une fois une énorme explosion, si puissante que je pouvais ressentir la vibration de cette arme électromagnétique. J’ignore d’où ça provenait, mais une partie de la base, un demi-hectare peut-être, a été complètement détruit par cette explosion. J’ai entendu dire qu’ils s’entraînaient à utiliser une sorte d’arme électromagnétique, qui a complètement désintégré une énorme sphère de la base. Il n’y a pas eu de radiations, ou de choses comme ça, ils essayaient juste de calmer les incendies causés par le gaz qui s’est enflammé suite à l’explosion, car ils utilisent beaucoup de gaz inflammables et de produits chimiques. Donc les polluants étaient le problème. Il fallait verrouiller les systèmes de traitement d’air, toutes les valves dans les différentes zones, etc. Ça leur a pris une vingtaine d’heures. Je crois que j’étais là cette fois-là.
Quand de telles choses se produisent, on vous donne de beaux quartiers, et vous attendez les nouvelles. On vous les communique via un interphone, un répertoire ou votre brassard. Ça fonctionne comme ça.
David : Quand vous parlez de « beaux quartiers », à quel point est-ce conventionnel ? Cela ressemble-t-il plus à une chambre d’hôtel ou à quelque chose d’étrange comme dans « Star Trek : La Nouvelle Génération » ?
Emery : Oui, eh bien… Les chambres ne sont jamais parfaitement carrées. Elles ont plus une forme trapézoïdale. Elles ont des formes très différentes. Tous les meubles sont en réalité encastrés dans les murs, et sortent des murs si vous avez besoin d’une chaise ou d’un bureau. Il y a un énorme écran interactif sur le mur. C’est un écran tridimensionnel. Il permet de surfer sur Internet, de lire des livres, regarder des films, ou ce que je préfère : commander des repas.
C’est une dynamique intéressante. Quand on entre dans la chambre, on pense : « Mon Dieu, ils m’ont donné une chambre sans lit ! Cette pièce est vide ! ». Mais tout est en fait encastré dans les murs.
Il ne s’agit pas de lits rabattables ou d’armoire-lits, ceux-ci sont vraiment magnifiques. Le design est parfaitement lisse, comme celui des vaisseaux. Ils sortent du mur pour économiser de l’espace. Ces pièces ont aussi d’autres fonctions. Donc un jour, elle est réservée à quelqu’un qui va y passer la nuit, le lendemain, elle servira de pièce de rangement. Ou elle servira à accueillir différentes races extraterrestres, car elles sont toutes différentes. Elles nécessitent des meubles différents, différents types d’installations, différentes salles de bains, etc.
David : Il y a quelque chose qui m’intrigue. Si, comme vous le dites, le lit jaillit du mur, est-il doté d’un drap bizarre en caoutchouc, ou de draps comme ceux que l’on retrouve dans un lit normal ? Je veux dire : les draps apparaissent-ils comme avec un plateau coulissant, ou se matérialisent-ils instantanément ?
Emery : Non, c’est plus industriel. Ils jaillissent du mur ou du sol. Ils s’élèvent du sol ou jaillissent du mur. Et il y a toujours une couverture très légère à tirer vers soi. La literie est toujours appropriée à la race. Pour nous, ce serait des draps, etc. On peut aussi régler la température de la pièce, ainsi que l’humidité, car certaines races dorment dans des conditions différentes. Il y a tout ça. On peut aussi y régler l’éclairage. Au besoin, on peut mettre une lumière ultraviolette dans la pièce, pour une quelconque raison. Beaucoup d’extraterrestres sont habitués à des éclairages différents. Ils n’aiment pas notre lumière. Ils la trouvent gênante. Ils pourront donc retirer leurs lunettes protectrices et se reposer.
Il y a beaucoup de choses dans une pièce aussi petite. C’est comme avoir son propre vaisseau spatial. On peut aussi modifier le bruit de fond. Et il y a toujours un mur où est projetée une scène provenant de l’extérieur, comme l’océan ou le sommet d’une montagne. Psychologiquement, cela nous aide à accepter notre environnement et cela diminue le stress et l’anxiété présente dans le corps. On peut aussi visualiser des photos et des vidéos pré-sauvegardées provenant d’autres endroits ou planètes.
C’est très bien pensé car certains extraterrestres n’ont peut-être pas envie de regarder une plage.
David : Ça a l’air vraiment attrayant, je dois dire. Tout dans cette pièce a l’air vraiment cool. Avez-vous réussi à dormir ou étiez-vous tellement excité de voir tous ces mondes et cette technologie que vous êtes resté éveillé toute la nuit ?
Emery : Eh bien, oui. C’est comme un écran de veille, comme ces images qui apparaissent sur un écran d’ordinateur. Quand on les a vu toutes, on est un peu blasé.
David : Ha ha !
Emery : On s’y habitue. « Qu’est-ce que ce sera aujourd’hui ? Quel écran choisir ? ». Ce qui est chouette, c’est que le lit est aussi autonome.
Il y a par exemple… sur les flancs, une paroi apparaît en spirale. Une sorte de petit globe qui recouvre le lit.
C’est surtout pour les autres races, dont le corps nécessite un environnement pressurisé. Ce qui est bien, c’est qu’à l’intérieur, il y a une sorte d’éclairage d’ambiance, un peu comme dans un restaurant. L’intérieur du lit comporte des petits diagrammes en haut à droite, sur le côté.
C’est un petit écran qui permet de choisir l’humidité ou encore l’éclairage d’ambiance. On peut aussi choisir d’activer une brise. J’ignore d’où ça provient, d’en-dessous du lit, peut-être, car je n’ai jamais aperçu de ventilateur. Mais on peut sentir l’air circuler, ce qui est agréable.
Et on peut régler la température interne en fonction de la chaleur externe. C’est donc hermétique, on peut y créer un vide.
David : Parlons plus en détail du verrouillage des valves. Comment savez-vous qu’ils avaient tout verrouillé ? Le communiquent-ils par interphone ?
Emery : N’oubliez pas que dans la salle d’opération, un système de casques leur permet d’être en contact permanent avec vous. Ils vous informent de ce qui se passe. Ils vous diront : « On verrouille tout. ». D’accord. Je ne peux pas répondre ou leur demander comment et pourquoi. C’est pour des raisons de sécurité, vous comprenez. C’est une chose normale. Ils font souvent des simulations pour nous habituer aux alarmes, aux lumières rouges, nous habituer à tous ces signaux pour ne pas paniquer. « Oh, ce n’est qu’un test. ». C’est comme quand on vérifie le fonctionnement des alarmes incendie dans un hôtel, un hôpital ou un aéroport. C’est parfois nécessaire. On finit par s’y habituer, car on sait que ça a lieu une fois par mois. Donc quand ça se produit réellement, on se rend vite compte que ce n’est pas une simulation. On pense : « Il se passe quelque chose. Je ne rentrerai pas chez moi ce soir. ».
David : Quelqu’un vous a expliqué en quoi ça consiste et le danger que ça implique ? Comment ces informations vous ont-elles été transmises ?
Emery : Il y a une formation. Une partie de cette formation trimestrielle… Comme les tests de dépistage de la tuberculose dans les hôpitaux, ou le renouvellement annuel d’une accréditation. C’est pareil dans les installations de test et dans les vraies installations. On vous explique ce qu’il se passe quand ils verrouillent les trappes : « Restez où vous êtes. Vous ne bougerez que quand on vous le dira. ». Quand le verrouillage continue au-delà de vos heures de travail, vos heures de service, on vous dirigera vers une certaine partie de l’installation où vous pourrez vous rendre dans votre chambre, manger quelque chose à la cantine, ou simplement attendre que ça se termine.
David : Parlez-nous de cette cantine.
Quand je pense au mot « cantine », je pense à des plateaux où on se sert des portions de nourriture. Ou bien quelqu’un le fait à votre place. Puis on se rend à une table, après avoir pris des couverts et payé à la caisse. Cette cantine est-elle similaire à cela ou différente ?
Emery : Leurs cantines ne ressemblent en rien aux nôtres, ici, à celles où nous avons l’habitude de manger.
Vues de l’intérieur, elles sont très simples. Tous les murs sont dotés d’un revêtement interactif transparent où il suffit de toucher le mur pour commander quoi que ce soit.
Disons que vous avez envie d’une salade au poulet grillé. Ils en auront. C’est comme quand on prend votre commande. Vous passez votre commande via ce mur.
David : Ça ressemble à un iPad, alors ?
Emery : Non, le mur tout entier. Ces murs sont énormes. Certaines cantines ont des murs de 20 mètres de long.
Et ils ont de très… Les chaises et les tables sont assez neutres. Comme une table de pique-nique avec des tabourets, avec ou sans dossiers. Il y en a de très grandes et de très petites, pour convenir à des personnes et des races de tailles différentes.
Certaines ne ressemblent en rien à des chaises. Certaines sont pourvues de comptoirs qui jaillissent du mur et qui mesurent environ un mètre. D’autres sont à deux mètres du sol.
Cela étant dit, le programme est très intuitif quand il s’agit de commander à manger via le mur. Si vous voulez une salade au poulet et un milk-shake au chocolat, vous entrez votre commande et vous vous dirigez vers le côté du mur et le repas se trouvera à l’intérieur. Un panneau en verre s’élève, et il ne reste plus qu’à prendre le repas et rejoindre votre table.
David : J’ai du mal à visualiser une chose. Voulez-vous dire qu’il y a un nombre incroyable de lignes de texte des différents types de nourriture ?
Emery : Non.
David : Ou doit-on ouvrir des dossiers ?
Emery : Il faut cliquer dessus. Ils ont un système d’images avec un schéma de différents types de légumes et différents types de viandes, etc. Et ça s’affiche sur tout le mur.
Imaginons par exemple que vous êtes plus grand que moi, et que vous touchez le mur de la main. C’est là que ça apparaît. Un écran s’affiche devant vous. Du plafond au sol. Il n’y a pas de… Où que vous touchiez le mur, vous pourrez passer votre commande.
Et il y a plusieurs types de cantines. Mais celle-ci est amusante, voilà pourquoi je veux en parler. Parce que les gens qui ont participé aux projets pourront s’y identifier.
Après avoir commandé, vous avancez de quelques pas et au milieu du mur, une partie est ouverte. C’est là qu’on verrait le plongeur dans une cantine habituelle, à qui on donne nos plateaux à nettoyer. Ici, c’est le contraire. La nourriture apparaît dans ce compartiment. Ce qui est intéressant, c’est que les compartiments sont situés à des hauteurs différentes pour convenir à différents types de races.
Après, il ne reste qu’à rejoindre votre table avec votre repas.
David : C’est servi sur un plateau ?
Emery : Non, généralement pas.
David : Une assiette, alors ?
Emery : Oui. Une grande assiette avec tout dedans. Pas un plateau télé. Ils ont bien des plateaux, mais personne ne les utilise. On récupère juste notre repas pour l’amener à table.
La table est le point fort de la cantine. J’adore leur table parce que c’est un autre écran géant. Ces tables font 3 à 6 mètres de long pour 1,5 mètre de large. Entre 1,5 et 2 mètres.
Certaines tables ont des chaises pré-positionnées. Dix à vingt personnes peuvent s’y asseoir, en fonction des personnes qui s’y asseyent. Il y a aussi des tables simples. Dès que vous vous approchez de la table, un tabouret jaillit du sol quand vous voulez vous asseoir.
C’est impressionnant. Et ça ne ressemble pas à… Vous n’entendez pas de bruit mécanique quand le tabouret apparaît. Il s’élève simplement du sol en silence.
Mais ceux qui jaillissent du sol ont presque tous la même taille. Ils font environ 50 centimètres de diamètre.
Tout le monde sait où se trouvent les couverts, les condiments et le reste : ils sont DANS la table ! [David a une expression de surprise]
Nous avons donc une sorte de table de pique-nique géante, entièrement faite d’acier. Ça ressemble à de l’acier. Pas de l’acier inoxydable, mais un acier mat. Cette table vous donne l’impression de manger sur un écran d’iPhone. La table en elle-même.
Et quand vous faites un certain mouvement de la main… Main à plat pour les serviettes, double tapotement pour les couverts. Si vous faites ce mouvement, la serviette sort de la table vers votre main.
J’ignore quelle est cette technologie. Mais il ne faut rien faire glisser. Il n’y a pas de porte qui s’ouvre et dont sortent les condiments. Il suffit de tapoter sur la table et d’éloigner la main.
Si vous ignorez comment faire, même s’ils vous expliquent certaines choses, il suffit d’appuyer sur la table pour qu’apparaisse une appli intuitive.
Vous verrez des images de bouteilles de ketchup, de moutarde et de sauce barbecue. Tout se fait par images, ils n’utilisent pas de mots.
Il suffit de tapoter sur la bouteille de ketchup et il se produit la même chose. Ce qui se trouve sous la table devient non-solide là où les condiments se trouvent.
Puis on voit que ça se matérialise, les condiments apparaissent juste en-dessous de votre main.
David : Ce sont de petits sachets de ketchup ?
Emery : Les mêmes que les nôtres.
David : Oh.
Emery : Les mêmes que ceux qu’on trouve dans les fast-foods.
David : D’accord.
Emery : Je n’utilise pas de condiments, mais… C’est sûrement l’une des choses qui m’ont le plus intrigué, car cette technologie pourrait être utilisée à meilleur escient. Comme dans la chirurgie. Mais peu importe, c’est comme ça, et c’est palpable. Dès que vous retirez votre main, ça redevient solide.
C’est probablement l’une des technologies les plus impressionnantes parmi celles qu’ils dévoilent.
Mais personne ne peut savoir comment ça fonctionne. Il n’y a personne à qui le demander. Il est interdit de s’informer sur leur technologie. Certains détails de votre chambre sont gardés secrets. Interdit de demander pourquoi une personne a un certain dossier et pas vous.
C’est un concept vraiment intéressant d’objets high-tech beaucoup plus avancés que ce que nous avons ici, qui ne peuvent être dévoilés parce que c’est trop dangereux.
David : La serviette, c’est comme ça ? Vers le bas puis l’extérieur ?
Emery : Oui.
David : Le double tapotement, c’est pour les condiments et les couverts.
Emery : Les couverts.
David : Les couverts. Y a-t-il d’autres gestes de ce genre ?
Emery : Oui, il y a des gestes différents de la main, surtout si on utilise… Désolé, j’ai oublié de vous dire que pour le double tapotement, il faut utiliser au moins deux doigts.
On n’utilise jamais plus de deux doigts. Mais on peut aussi dessiner sur la table. Imaginons que vous avez besoin d’un ustensile différent, car différentes races utilisent des ustensiles différents, ce qui est très intéressant. Si vous mettez votre paume à plat, vous pourrez ensuite parcourir l’appli, et vous pouvez choisir n’importe quel ustensile.
Je dois aussi préciser que l’endroit d’où apparaissent les serviettes est différent de celui d’où apparaissent les condiments ou les couverts. Les couverts apparaissent toujours à gauche, les condiments et les serviettes à droite. Voilà ce qu’il est possible de faire.
David : Avez-vous déjà pensé qu’une technologie de particulisation ou de matérialisation était à l’origine de la nourriture ? Car beaucoup de personnes qui ont vécu des expériences similaires m’ont dit qu’elles pouvaient « imprimer leur repas ».
Emery : Absolument. La nourriture et tout ce qui est doté d’une certaine solidité, à part les boissons, tout le reste est imprimé en 3D.
David : Vraiment ?
Emery : Oui.
David : Savez-vous si une certaine matière première est nécessaire pour fabriquer la nourriture ? Comment ça fonctionne ?
Emery : Eh bien, au vu de mon expérience en termes d’impression 3D d’organes et d’autres projets auxquels j’ai participé, c’est lié au fait que les particules et la structure atomique peuvent être reproduites n’importe où, d’un cœur de laitue à un cerveau. Le procédé est à chaque fois le même. Tout se fonde sur la recomposition de la masse et des atomes en molécules.
En théorie, on pourrait donc imprimer quoi que ce soit. Voilà pourquoi le système est capable de préparer n’importe quel repas.
La nourriture passe par un dispositif après avoir été imprimée, qui permet de cuire la nourriture à une certaine température ou de la refroidir à une certaine température. C’est fascinant. Ça se fait en quelques secondes.
Cuisson à point ? Quelques secondes. Moins 32 degrés ? Quelques secondes. Chaque repas est préparé en moins de trois minutes.
Leurs imprimantes 3D sont aussi rapides que ça. On peut les entendre derrière le mur.
David : Vraiment ?
Emery : Oui, c’est un bruit très archaïque comme celui des servomoteurs. Elles font un mouvement perpétuel de va-et-vient.
David : Je connais un habitué des programmes spatiaux du nom de Jacob. Il me décrivait des choses similaires. Mais il m’a aussi dit que la nourriture avait des avantages supplémentaires que notre nourriture n’a pas. Je ne veux pas vous influencer, mais pourriez-vous nous en parler ?
Emery : Oui, c’est ça qui est génial avec leur nourriture. Elle est ultra-nutritive.
Ce à quoi nous sommes habitués, au dos des boîtes, etc… C’est terrible de penser qu’ils pourraient simplement ajouter plus de vitamine C à quelque chose ou ajouter plus de minéraux à quelque chose. Ils nous mettent la quantité minimale ici, dans le monde réel.
Là-bas, c’est le contraire. Ils mettent d’énormes doses de toutes sortes de minéraux et des choses que l’on ne trouve pas à la surface, à ce qu’il paraît. Ça élimine aussi les choses nocives, comme les toxines ou les graisses. Ils les impriment sans tout cela.
David : Jacob m’a aussi dit que la nourriture nettoyait automatiquement la bouche et qu’elle se digérait en nutrition pure. Avez-vous vécu la même chose ?
Emery : Je ne suis pas sûr. Je sais juste ce qu’ils m’ont appris et m’ont dit sur la valeur nutritionnelle de la nourriture. On ne fait pas mieux, c’est le top du top.
Ils n’ajoutent rien dans… Nous représentons un investissement pour ces sociétés. Un investissement énorme. Ils prennent soin de nous en termes de nutrition, de médecine et autres, sauf si vous faites une erreur.
David : Certaines des personnes qui m’ont parlé de nourriture imprimée… Pas toutes, mais plusieurs initiés m’ont dit que la nourriture est incroyablement savoureuse, que chaque repas est la meilleure version possible de cette recette.
Emery : C’est vrai. C’est meilleur que tout ce que j’ai goûté à la surface.
Je crois que c’est lié à la qualité des cellules ou de ce qui est à l’origine de la nourriture, et la quantité de nutrition impliquée. Ils réussissent à imprimer la nourriture sans les substances nocives que l’on retrouve dans les repas normaux, comme les pesticides, etc. Il n’y a rien de cela.
Vous y mangerez la pomme la plus pure que vous ayez jamais goûtée.
Et ils ajoutent des sortes d’enzymes à la nourriture. Donc comme l’a dit votre ami, ce sera digéré immédiatement par votre corps, et vous aurez moins de problèmes digestifs, etc. C’est absolument vrai.
David : Je vais ajouter un détail intéressant dont m’a parlé Jacob. Dans son programme spatial secret, ils s’inquiétaient que nous devenions dépendants de cette nourriture ultra-nutritive. Ils ont examiné la physiologie de certains extraterrestres, comme les Gris, qui ont un œsophage qui va directement à l’anus. Un simple tube, sans intestins ni estomac.
Et ils s’inquiétaient que si nous ne consommions pas la nourriture comme d’habitude, notre système sera incapable de survivre sans ce type de nourriture. Pourriez-vous développer ?
Emery : Oui. Je crois que ce qui se produit ici, c’est que le corps peut se passer de nourriture si on crée l’énergie dont il a besoin, les cellules et la disposition génétique du nucléole et de toutes les cellules. Voilà pourquoi certains peuvent se passer de manger pendant des années.
Ils ont acquis cette énergie. Beaucoup des extraterrestres que nous avons vus venant du lointain futur n’ont presque pas de bouche. Et presque pas de nez non plus. C’est dû au fait que nous finirons par ne plus manger. C’est quelque chose qu’on fera simplement pour se divertir, ce sera une activité sociale, car l’énergie dont ont besoin nos cellules pourra être téléportée dans notre corps. Nous avons déjà commencé à le faire avec des produits chimiques et des vitamines injectables par intraveineuse. Nous n’allons donc progressivement plus avoir besoin de manger.
C’est ainsi que, dans des millions d’années, notre corps s’adaptera et certains organes deviendront inutiles car la nourriture sera si pure que nous n’aurons plus besoin que notre foie et notre pancréas ajoutent des enzymes dans notre vésicule biliaire pour digérer, parce qu’elles seront déjà présentes dans la nourriture pré-imprimée.
David : Avez-vous interagi avec le monde extérieur depuis l’intérieur ? Ils ne vont évidemment pas vous donner de téléphone (sourire).
Emery : Non.
David : Donc vous…
Emery : Tout est très surveillé. Même internet. Il n’y a pas de caméras, il est impossible de passer un appel vidéo et des choses comme ça. Beaucoup de choses que vous avez aujourd’hui n’existaient pas à l’époque. C’était le début des années 90, les ordinateurs étaient une nouveauté. Il était possible de regarder ou d’écouter certaines choses, mais surtout pour se divertir. Il est interdit de communiquer ou d’avoir un téléphone portable. À l’époque, j’avais juste un beeper. Il était interdit d’emporter des appareils électroniques.
David : Ça a l’air d’être un endroit merveilleux. Est-il possible de demander de rester là de sa propre volonté ? Est-il possible qu’ils vous y autorisent ?
Emery : Je ne connais personne, dans mon installation, qui ait été autorisé à rester là juste parce qu’il en avait envie. Il faudrait qu’ils organisent une cérémonie où ils vous le demandent, ou si quelque chose se passe mal, ou s’ils verrouillent les valves. Il n’y a pas… Il me serait impossible de dire : « Hé, je resterais bien ici un mois. », ha ha ! Hors de question.
David : Quel est le verrouillage des valves le plus long que vous ayez vécu ? Ça n’a pas l’air si désagréable.
Emery : Une fois, je suis resté là presque une semaine. Six jours. Parce que ma zone avait été endommagée lors de l’état d’urgence. Je voulais faire des heures supplémentaires pour rattraper… Ils fixent parfois des délais auxquels des choses doivent être faites. Je travaillais sur un projet intéressant et j’ai tenu à rester. Ce n’était pas un problème. Je n’avais pas beaucoup d’amis ou de famille. C’était ma vie. C’est comme ça que je vivais.
En faisant ça, ça leur montre qu’on a vraiment envie d’aider et d’être là. Ils vous laissent parfois le choix : rester et terminer le projet, ou travailler au moins huit heures, partir puis revenir. Mais il faut revenir. Je n’en avais pas envie car je pouvais facilement travailler 12 à 14 heures sans me fatiguer, parce que la qualité de l’air est excellente.
L’eau y est purissime, c’est le quatrième état de l’eau. La nourriture est extrêmement nutritive.
Comme vous l’avez dit, c’était un endroit intéressant et c’était passionnant de participer à quelque chose d’aussi génial. J’apprenais sans cesse de nouvelles choses. J’en apprenais plus sur les différentes races. Je restais des heures à la bibliothèque, ce qui était très important pour moi.
David : Le verrouillage des valves a-t-il déjà semé la panique, et des informations ont-elles été dévoilées ? Ou était-ce plus : « Oh, encore un état d’urgence. J’ignore à quoi c’est dû. » ?
Emery : Non, ça c’est déjà produit par deux fois. C’est assez effrayant quand ils verrouillent tout d’un seul coup et qu’on ne vous explique pas ce qui se passe. Vous devez ensuite passer la nuit là-bas. On finit par découvrir la raison, ou ils enverront une lettre de désinformation qui dit : « Il y a eu un incendie », ou quelque chose de tellement banal que vous savez qu’ils vous mentent. Mais c’est leur excuse pour qu’on attende qu’ils éteignent l’incendie. Dans beaucoup de cas, on ignore ce qui s’est passé. Quand on travaille sur un projet assez longtemps, on le découvre parfois un an plus tard : « Ah, voilà pourquoi ils ont tout verrouillé pendant deux jours en janvier. D’accord. ». Quelqu’un aura peut-être ramené un virus et ils ont dû désinfecter toute une aile. Quand je dis « désinfecter », c’est négatif : ils tuent toute personne présente dans l’aile.
David : C’est extrêmement fascinant. Et j’espère, comme ceux qui nous regardent, que je verrai un jour quelque chose comme ça. Si nous assistons à une vraie divulgation, quelle aventure ce sera pour nous, en tant que civilisation, d’utiliser une telle technologie.
Emery : Absolument. J’adorerais vous y emmener.
David : Ça arrivera peut-être un jour.
Merci d’avoir regardé. C’était « Divulgation Cosmique », avec notre invité Emery Smith.
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